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CH
0.748.127.195.75
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null
Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_2
Art. 2 Chaque partie contractante accorde à l’autre partie contractante les droits spécifiés dans l’annexe au présent accord, nécessaires pour établir les routes et services aériens internationaux qui y sont décrits, que ces services soient inaugurés immédiatement ou à une date ultérieure, au choix de la partie contractante à laquelle les droits sont accordés.
Art. 2 Jede Vertragspartei gewährt der anderen Vertragspartei die im Anhang zu diesem Abkommen aufgeführten, für die Errichtung der dort beschriebenen Strecken und internationalen Luftverkehrslinien notwendigen Rechte, gleichgültig, ob diese Linien nach Wahl der Vertragspartei, der diese Rechte gewährt sind, sofort oder erst in einem späteren Zeitpunkt errichtet werden.
Art. 2 Le Parti s’accordano reciprocamente i diritti specificati nell’allegato, necessario per stabilire le linee e i servizi internazionali ivi descritti (dappresso «servizi convenuti»), i quali potranno poi essere inaugurati immediatamente o successivamente ad arbitro della Parte beneficiaria.
CH
0.748.127.195.75
null
null
null
Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_3
Art. 3 Chacun des services aériens ainsi définis pourra être ouvert à l’exploitation aussitôt que la partie contractante à laquelle les droits ont été accordés, conformément à l’article 2, de désigner une entreprise de transports aériens pour la route en question aura autorisé un service aérien sur cette route, et la partie contractante accordant les droits sera tenue, sous réserve de l’article 9 ci-après, de donner l’autorisation d’exploitation propre à l’entreprise en question. L’entreprise ainsi désignée pourra néanmoins être invitée à donner aux autorités aéronautiques compétentes de la partie contractante qui accorde les droits la preuve qu’elle est en mesure de remplir les conditions prescrites par les lois et règlements qu’elles appliquent normalement, avant de pouvoir entreprendre l’exploitation envisagée par cet accord; en outre, dans les zones de guerre ou d’occupation militaire ou dans les zones affectées par de tels faits, l’exploitation sera soumise à l’approbation des autorités militaires compétentes.
Art. 3 Jede dieser so umschriebenen Luftverkehrslinien kann in Betrieb genommen werden, sobald die Vertragspartei, der nach Artikel 2 die Rechte, für die fragliche Strecke eine Luftverkehrsunternehmung zu bezeichnen, gewährt sind, eine Luftverkehrslinie auf dieser Strecke bewilligt hat; die Vertragspartei, welche die Rechte gewährt, ist unter Vorbehalt des nachfolgenden Artikels 9 gehalten, der fraglichen Unternehmung ihre eigene Betriebsbewilligung zu erteilen. Die so bezeichnete Unternehmung kann indessen angehalten werden, den zuständigen Luftfahrtbehörden der die Rechte erteilenden Vertragspartei den Nachweis zu erbringen, dass sie vor der nach diesem Abkommen vorgesehenen Betriebsaufnahme in der Lage ist, den Bedingungen zu genügen, wie sie die von diesen Behörden normalerweise angewendeten Gesetze und Verordnungen vorschreiben. Überdies bedarf der Betrieb in Kriegszonen oder Zonen militärischer Besetzung oder solchen, die durch Krieg oder Besetzung in Mitleidenschaft gezogen worden sind, der Genehmigung durch die zuständigen militärischen Behörden.
Art. 3 Ciascun servizio convenuto può essere iniziato non appena sia stato autorizzato dalla Parte che, giusta l’articolo 2, ha ottenuto i diritti utili per affidare ad un’impresa designata il servizio aereo in questione; l’altra Parte dovrà a sua volta, con riserva dell’articolo 9, rilasciare l’autorizzazione d’esercizio all’impresa designata. Quest’ultima, prima d’inaugurare la linea, potrà nondimeno essere invitata a provare, alle autorità aeronautiche competenti di quest’altra Parte, che soddisfa le condizioni poste dalle leggi e dai regolamenti da essa usualmente applicati; inoltre, nelle zone di guerra o d’occupazione militare, come anche in quelle implicate in dette azioni, l’esercizio viene assoggettato anche all’approvazione delle competenti autorità militari.
CH
0.748.127.195.75
null
null
null
Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_4
Art. 4 1. Les tarifs qui seront appliqués par l’entreprise désignée d’une Partie contractante sur les services visés par le présent Accord seront établis à des taux raisonnables, compte tenu de tous les éléments déterminants, incluant les intérêts des usagers, les coûts d’exploitation, les caractéristiques des services, les taux des commissions, un bénéfice raisonnable, les tarifs appliqués par d’autres entreprises ainsi que d’autres considérations économiques du marché. 2. Les autorités aéronautiques veillent particulièrement aux tarifs contre lesquels des objections peuvent être soulevées parce qu’ils sont déraisonnablement discriminatoires, excessivement élevés ou restrictifs à cause de l’abus d’une position dominante, maintenus artificiellement bas par suite de subventions ou d’aides directes ou indirectes, ou qui sont exagérés. 3. Les tarifs seront soumis pour approbation au moins 6 jours avant la date proposée pour leur entrée en vigueur. Les autorités aéronautiques approuvent ou refusent les tarifs proposés pour les transports aller simple ou aller retour entre les territoires des Parties contractantes, qui commencent sur leur propre territoire. En cas de refus, elles notifieront leur désapprobation aux autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante aussi rapidement que possible ou au plus tard dans les 14 jours suivant le dépôt de la requête. 4. Aucune autorité aéronautique ne prendra de mesures unilatérales visant à empêcher l’introduction de tarifs proposés ou le maintien de tarifs déjà en vigueur pour les transports entre les territoires des Parties contractantes, qui commencent sur le territoire de l’autre Partie. 5. Si les autorités aéronautiques des Parties contractantes estiment qu’un tarif pour le transport à destination de leur territoire tombe sous les catégories mentionnées au ch. 2 ci-dessus, elles doivent, nonobstant le ch. 4 ci-dessus, notifier leur désapprobation aux autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante aussi rapidement que possible ou au plus tard dans les 14 jours suivant la réception de la requête. 6. Les autorités aéronautiques de chaque Partie contractante peuvent demander l’ouverture de négociations sur tout tarif qui a fait l’objet d’une désapprobation. De telles négociations doivent avoir lieu dans les 30 jours suivant le dépôt de la demande. Si les Parties contractantes arrivent à s’entendre, chacune d’entre elles fera de son mieux pour mettre cette entente à exécution. En l’absence d’accord mutuel, c’est la décision de la Partie contractante sur le territoire duquel le transport commence qui prévaut. 7. Pour le transport entre les territoires des Parties contractantes, les autorités aéronautiques autorisent l’entreprise ou les entreprises désignées de l’autre Partie contractante à aligner leurs tarifs sur tout tarif qu’une entreprise de l’une ou de l’autre Partie contractante ou d’un Etat tiers a déjà admis l’application sur la même paire de villes.
Art. 4 1. Die Tarife, die vom bezeichneten Unternehmen einer Vertragspartei für die von diesem Abkommen erfassten Dienste angewandt werden, sind in vernünftiger Höhe festzusetzen, wobei alle bestimmenden Einflüsse, einschliesslich der Interessen der Benützer, der Betriebskosten, der besonderen Merkmale der Dienste, der Kommissionssätze, eines vernünftigen Gewinnes, der Tarife anderer Unternehmen und andere wirtschaftliche Überlegungen zum Marktgeschehen in Betracht zu ziehen sind. 2. Die Luftfahrtbehörden achten besonders auf Tarife, gegen die Einwände bestehen können auf Grund der Tatsache, dass sie unvernünftigerweise diskriminierend sind, übermässig hoch oder über Gebühr einschränkend zufolge Missbrauchs einer beherrschenden Stellung, künstlich tief als Folge direkter oder indirekter Hilfe oder Unterstützung oder die überrissen sind. 3. Die Tarife sind mindestens 6 Tage vor dem für ihre Einführung vorgeschlagenen Zeitpunkt zur Genehmigung zu unterbreiten. Die Luftfahrtbehörden genehmigen die unterbreiteten Tarife oder lehnen diese ab für Einweg- oder Rundwegbeförderung zwischen den Gebieten der beiden Vertragsparteien, die in ihrem eigenen Gebiet beginnt. Im Fall einer Ablehnung geben sie die Nichtgenehmigung den Luftfahrtbehörden der anderen Vertragspartei so früh als möglich oder mindestens innerhalb von 14 Tagen nach Empfang der Eingabe bekannt. 4. Keine der Vertragsparteien unternimmt einseitige Vorkehren, um die Einführung von vorgeschlagenen Tarifen oder die Aufrechterhaltung bestehender Tarife für die Beförderung zwischen den Gebieten der beiden Vertragsparteien, die im Gebiet der anderen Partei beginnt, zu verhindern. 5. Ungeachtet Absatz 4 hiervor müssen die Luftfahrtbehörden der beiden Vertragsparteien, falls sie glauben, dass ein Tarif für die Beförderung nach ihrem Gebiet unter die in Absatz 2 hiervor erwähnten Kategorien fällt, den Luftfahrtbehörden der anderen Vertragspartei so schnell als möglich oder mindestens innerhalb von 14 Tagen vom Zeitpunkt des Empfangs der Eingabe bei ihnen ihre Nichtgenehmigung bekannt geben. 6. Die Luftfahrtbehörden jeder Vertragspartei können Verhandlungen über jeden Tarif verlangen, der Gegenstand der Nichtgenehmigung war. Solche Verhandlungen müssen innerhalb von 30 Tagen nach Erhalt eines entsprechenden Begehrens stattfinden. Wenn die Vertragsparteien eine Einigung erzielen, bemüht sich jede Partei nach besten Kräften, dieses Einvernehmen wirksam zu verwirklichen. Kommt keine Einigung zustande, geht die Entscheidung jener Vertragspartei vor, von deren Gebiet aus die Beförderung ihren Anfang nimmt. 7. Für die Beförderung zwischen den Gebieten der Vertragsparteien gestatten die Luftfahrtbehörden dem oder den bezeichneten Unternehmen der anderen Vertragspartei, mit jedem Tarif für das gleiche Städtepaar gleichzuziehen, der gegenwärtig zur Anwendung durch ein Unternehmen einer jeden Vertragspartei oder eines Drittstaates zugelassen ist.
Art. 4 1. Le tariffe che l’impresa designata di una Parte applica per i servizi contemplati nel presente Accordo vanno fissate ad aliquote ragionevoli, tenendo conto di tutti gli elementi determinanti, inclusi gli interessi degli utenti, le spese d’esercizio, le particolari caratteristiche di ogni servizio, i tassi di commissione, un utile ragionevole, le tariffe di altre imprese e altre considerazioni di ordine economico sugli avvenimenti di mercato. 2. Le autorità aeronautiche prestano particolare attenzione alle tariffe contro le quali possono essere sollevate obiezioni in virtù del fatto che sono insensatamente discriminati, eccessivamente elevate o limitanti attraverso tasse causate dall’abuso di una posizione dominante, artificialmente basse a seguito di sussidi o aiuti, diretti o indiretti, o esagerate. 3. Le tariffe sono sottoposte all’approvazione almeno sei giorni prima della data prevista per la loro entrata in vigore. Le autorità aeronautiche approvano o rifiutano le tariffe sottoposte per il trasporto di sola andata o di andata e ritorno fra i territori delle due Parti che iniziano nel loro proprio territorio. Nel caso di un rifiuto, notificano la non approvazione alle autorità aeronautiche dell’altra Parte il prima possibile o almeno entro quattordici giorni dalla ricezione delle tariffe. 4. Nessuna delle Parti intraprende unilateralmente provvedimenti atti a impedire l’introduzione delle tariffe proposte o il mantenimento di quelle esistenti per il trasporto fra i territori delle due Parti che inizia nel territorio dell’altra Parte. 5. A prescindere dal precedente numero 4, qualora ritengano che una tariffa per il trasporto verso il proprio territorio rientri nelle categorie menzionate a tale scopo nel numero 2, le autorità aeronautiche di una Parte devono notificare la loro non approvazione alle autorità aeronautiche dell’altra Parte il più rapidamente possibile o almeno entro quattordici giorni dal momento della ricezione delle tariffe. 6. Le autorità aeronautiche di ciascuna Parte possono esigere negoziati su ogni tariffa oggetto della non approvazione. Simili negoziati devono avere luogo entro trenta giorni dalla ricezione di una richiesta in tal senso. Se le Parti raggiungono un’intesa, ciascuna di esse si adopera al meglio per attuarla efficacemente. Se non si giunge a un’intesa, prevale la decisione di quella Parte dal cui territorio inizia il trasporto. 7. Per i trasporti fra i territori delle Parti, le autorità aeronautiche autorizzano la o le imprese designate dell’altra Parte a parificare le loro tariffe con quelle che un’impresa di ciascuna Parte o di uno Stato terzo è già stata autorizzata ad applicare per la stessa coppia di città.
CH
0.748.127.195.75
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_5
Art. 5 Chaque partie contractante s’engage à assurer le transfert des recettes réalisées sur son territoire pour le transport de passagers, bagages, marchandises et envois postaux, par l’entreprise désignée de l’autre partie contractante, à destination de son pays d’origine, sous déduction des dépenses locales, et sous réserve des règlements concernant le contrôle des changes qui seraient en vigueur.
Art. 5 Jede Vertragspartei verpflichtet sich, die Überweisung der durch die Beförderung von Fluggästen, Gepäck, Waren und Post durch die bezeichnete Unternehmung der anderen Vertragspartei auf ihrem Gebiet erzielten Einnahmen, unter Abzug der örtlichen Kosten, nach dem Heimatstaat sicherzustellen.
Art. 5 Ciascuna Parte si obbliga ad assicurare il trasferimento, nel Paese dell’impresa designata dall’altra, di tutti gli utili che detta impresa ha realizzato nel suo territorio col trasporto di passeggeri, bagagli, merci e posta, dedotte le spese locali e con riserva dei regolamenti, eventualmente in vigore, concernenti i cambi.
CH
0.748.127.195.75
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_6
Art. 6 En vue de prévenir toute pratique discriminatoire et d’assurer l’égalité de traitement, les parties contractantes conviennent de ce qui suit: a. Chaque partie contractante peut imposer ou permettre d’imposer à l’entreprise désignée de l’autre partie contractante des taxes justes et raisonnables pour l’usage des aéroports publics et d’autres facilités soumises à son contrôle. Chaque partie contractante consent, cependant, à ce que ces taxes ne soient pas plus élevées que celles que payeraient, pour l’usage de ces aéroports et autres facilités, ses propres aéronefs affectés à des transports internationaux similaires; b. Les provisions de bord embarquées sur le territoire d’une Partie contractante dans les limites fixées par les autorités de ladite Partie contractante et destinées à la consommation à bord des aéronefs employés en service international par l’entreprise désignée de l’autre Partie contractante seront exonérés des droits de douane et des taxes de révision ou de toute autre taxe ou redevance. c. Les pièces de rechange et les équipements normaux de bord importés sur le territoire d’une Partie contractante pour l’entretien ou la réparation des aéronefs employés en service international ainsi que les carburants et lubrifiants destinés au ravitaillement des aéronefs employés en service international par l’entreprise désignée d’une Partie contractante, même lorsque ces approvisionnements doivent être utilisés sur la partie du trajet effectuée au-dessus du territoire de la Partie contractante sur lequel ils ont été embarqués, seront également exonérés des droits de douane et des taxes de révision ou de toute autre taxe ou redevance. d. Les documents qui sont nécessaires à l’entreprise désignée par une Partie contractante, y compris les billets de passage, les lettres de transport aérien et le matériel de publicité seront également exonérés des droits de douane et des taxes de révision ou de toute autre taxe ou redevance. e. Les équipements normaux de bord, ainsi que les produits et approvisionnements se trouvant à bord des aéronefs employés par l’entreprise désignée d’une Partie contractante ne pourront être déchargés sur le territoire de l’autre Partie contractante qu’avec le consentement des autorités douanières de ce territoire. En ce cas, ils pourront être placés sous la surveillance desdites autorités jusqu’à ce qu’ils soient réexportés ou aient reçu une autre destination conformément aux règlements douaniers. f. Les aéronefs que l’entreprise désignée d’une partie contractante utilisera sur les services convenus, ainsi que les carburants, les huiles lubrifiantes, les pièces de rechange, l’équipement normal et les approvisionnements des aéronefs, restant à bord des aéronefs seront exempts, à l’arrivée ou au départ du territoire de l’autre partie contractante, des droits de douane, frais d’inspection ou autres droits ou taxes similaires, même si ces approvisionnements sont employés ou consommés au cours de vols au-dessus de ce territoire.
Art. 6 Für die Anwendung dieses Abkommens und seines Anhanges gilt, ausgenommen wenn es der Wortlaut anders bestimmt: a. Jede Vertragspartei kann der bezeichneten Unternehmung der anderen Vertragspartei für die Benützung der öffentlichen Flughäfen und anderer, ihrer Aufsicht unterstellten Einrichtungen gerechte und vernünftige Gebühren auferlegen oder gestatten, dass sie auferlegt werden. Beide Vertragsparteien stimmen indessen darin überein, dass diese Gebühren nicht höher sein dürfen als jene, die für die Benützung dieser Flughäfen und anderer Einrichtungen von den eigenen Luftfahrzeugen, die für ähnliche internationale Beförderungen eingesetzt sind, bezahlt werden müssen. b. Bordvorräte, die im Gebiet einer Vertragspartei innerhalb der von den Behörden dieser Vertragspartei festgesetzten Grenzen an Bord genommen werden und zum Verbrauch an Bord der Luftfahrzeuge bestimmt sind, die vom bezeichneten Unternehmen der anderen Vertragspartei auf internationalen Linien eingesetzt werden, sind von Zöllen, Revisionsgebühren oder anderen Abgaben oder Gebühren befreit. c. Ersatzteile und die ordentliche Bordausrüstung, die in das Gebiet einer der Vertragsparteien für den Unterhalt oder die Instandsetzung der auf internationalen Linien eingesetzten Luftfahrzeuge eingeführt werden, sowie Treib- und Schmierstoffe, die für die Versorgung der Luftfahrzeuge bestimmt sind, die durch das Unternehmen der anderen Vertragspartei auf internationalen Linien eingesetzt werden, selbst wenn diese Vorräte auf demjenigen Teil der Reise verbraucht werden müssen, der über dem Gebiet der Vertragspartei ausgeführt wird, in dem sie an Bord genommen worden sind, sind ebenfalls von Zöllen, Revisionsgebühren oder anderen Abgaben oder Gebühren befreit. d. Die erforderlichen Dokumente, die vom bezeichneten Unternehmen einer Vertragspartei benötigt werden, unter Einschluss von Beförderungsscheinen, Luftfrachtbriefen und Werbematerial, sind ebenfalls von Zöllen, Revisionsgebühren oder anderen Abgaben oder Gebühren befreit. e. Die ordentliche Bordausrüstung sowie die Sachen und Vorräte, die sich an Bord der vom bezeichneten Unternehmen einer Vertragspartei eingesetzten Luftfahrzeuge befinden, können im Gebiet der anderen Vertragspartei nur mit Zustimmung der Zollbehörden dieses Gebietes ausgeladen werden. In diesem Fall können sie unter die Aufsicht der genannten Behörden gestellt werden, bis sie wieder ausgeführt werden oder bis darüber in Übereinstimmung mit den Zollvorschriften in anderer Weise verfügt worden ist. f. Die Luftfahrzeuge, welche die bezeichnete Unternehmung einer Vertragspartei auf den vereinbarten Linien verwendet, sowie die Brennstoffe, die Schmierstoffe, die Ersatzteile, die normale Ausrüstung und die Vorräte der Luftfahrzeuge, die an Bord der Luftfahrzeuge verbleiben, sind bei der Ankunft in oder beim Wegflug aus dem Gebiet der anderen Vertragspartei von Zöllen, Revisionsgebühren oder anderen ähnlichen Abgaben oder Gebühren befreit, und zwar auch, wenn diese Vorräte auf Flügen über dem genannten Gebiet verwendet oder verbraucht werden.
Art. 6 Nell’intento di prevenire qualsiasi pratica discriminatoria e di garantire l’uguaglianza di trattamento, le Parti convengono quanto segue: a. ogni Parte può imporre o permettere d’imporre all’impresa designata dall’altra, delle tasse giuste e ragionevoli per l’uso degli aeroporti pubblici e degli altri sussidi al volo. Le Parti ammettono tuttavia che dette tasse non devono superare quelle analoghe riscosse sui propri aeromobili adibiti ai trasporti internazionali; b. le provviste di bordo imbarcate sul territorio di una Parte, nei limiti stabiliti dalle sue autorità, per essere consumate a bordo degli aeromobili impiegati in servizio internazionale dall’impresa designata dell’altra Parte sono esentate dalle tasse doganali, di ispezione o da qualsiasi altro dazio o tassa; c. i pezzi di ricambio e le normali attrezzature di bordo importati sul territorio di una Parte per la manutenzione o la riparazione degli aeromobili impiegati in servizio internazionale come anche i carburanti e lubrificanti destinati al rifornimento degli aeromobili impiegati in servizio internazionale dall’impresa designata dell’altra Parte, anche quando detti approvvigionamenti sono utilizzati dagli aeromobili in volo sopra il territorio della Parte ove furono imbarcati, sono parimenti esentati dalle tasse doganali, di ispezione o da qualsiasi altro dazio o tassa; d. i documenti necessari all’impresa designata da una Parte, ivi compresi i biglietti di passaggio, i titoli di trasporto aereo e il materiale di pubblicità, sono parimenti esentati dalle tasse doganali, di ispezione o da qualsiasi altro dazio o tassa; e. le normali attrezzature di bordo nonché i prodotti e gli approvvigionamenti a bordo degli aeromobili impiegati dall’impresa designata di una Parte possono essere sbarcati sul territorio dell’altra Parte solamente con il consenso delle autorità doganali di questo territorio. In tal caso essi possono essere posti sotto la vigilanza di dette autorità fintanto che non siano riesportati o adibiti ad altro uso, conformemente ai regolamenti doganali in vigore nel territorio di questa Parte; f. gli aeromobili che l’impresa designata da una Parte contraente impiega nei servizi convenuti, come anche i loro carburanti, lubrificanti, pezzi di ricambio, attrezzature e provviste normali, rimanenti a bordo, sono esentati, sia all’arrivo sia alla partenza nel territorio dell’altra Parte, dalle tasse doganali, di ispezione o analoghe; l’esenzione vale per gli approvvigionamenti anche se essi sono impiegati o consumati in volo in detto territorio.
CH
0.748.127.195.75
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Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_7
Art. 7 Les certificats de navigabilité, les brevets d’aptitude et les licences délivrés ou validés par une partie contractante et encore en force seront reconnus par l’autre partie contractante pour l’exploitation des routes et services décrits dans l’annexe, pourvu que les conditions auxquelles ces certificats ou licences ont été délivrés ou validés soient égales ou supérieures aux standards minima pouvant être établis conformément à la Convention. Chaque partie contractante se réserve, cependant, le droit de ne pas reconnaître, pour la circulation au-dessus de son propre territoire, les brevets d’aptitude de les licences délivrés à ses propres ressortissants par un autre Etat.
Art. 7 In Kraft stehende Lufttüchtigkeitsausweise, Fähigkeitszeugnisse und Bewilligungen, die von einer Vertragspartei ausgestellt oder anerkannt worden sind, werden von der anderen Vertragspartei für den Betrieb der im Anhang umschriebenen Strecken und Linien als gültig anerkannt, vorausgesetzt allerdings, dass die Bedingungen, nach denen diese Ausweise, Zeugnisse oder Bewilligungen erteilt oder anerkannt worden sind, gleich oder strenger sind als die Mindestbedingungen, die in Übereinstimmung mit dem Abkommen über die internationale Zivilluftfahrt aufgestellt worden sind. Jede Vertragspartei behält sich indessen das Recht vor, Fähigkeitszeugnisse und Bewilligungen, die ihren eigenen Staatsangehörigen durch einen anderen Staat ausgestellt worden sind, für den Verkehr über ihrem Staatsgebiet nicht anzuerkennen.
Art. 7 I certificati di navigabilità, i brevetti d’idoneità e le licenze, rilasciati o convalidati da una Parte e tutt’ora validi, devono essere riconosciuti dall’altra per l’esercizio delle linee e dei servizi convenuti, purché le condizioni del rilascio o della convalida siano almeno pari ai minimi stabiliti giusta la convenzione relativa alla navigazione aerea civile internazionale. Ogni Parte si riserva tuttavia il diritto di non riconoscere, per la circolazione nel proprio spazio aereo, i brevetti d’idoneità e le licenze rilasciati a propri cittadini da un altro Stato.
CH
0.748.127.195.75
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Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_8
Art. 8 a. Les lois et règlements régissant, sur le territoire d’une partie contractante, l’entrée et la sortie des aéronefs affectés à la navigation aérienne internationale ou l’emploi et la navigation de ces aéronefs au dessus dudit territoire s’appliqueront aux aéronefs de l’entreprise désignée de l’autre partie contractante et devront être observés par ces aéronefs à l’arrivée, pendant leur séjour et au départ du territoire de la première partie contractante. b. Les lois et règlements régissant sur le territoire d’une partie contractante l’entrée et la sortie des passagers, équipages, marchandises transportés par les aéronefs, telles que celles qui concernent les formalités d’entrée et de sortie, l’immigration, les passeports, les douanes et la quarantaine, s’appliqueront aux passagers, équipages ou marchandises transportés par les aéronefs de l’entreprise désignée de l’autre partie contractante pendant que ces aéronefs entreront sur ledit territoire, le quitteront ou y séjourneront. c. Les passagers en transit par le territoire d’une partie contractante seront soumis à un contrôle simplifié. Les bagages et les marchandises seront exempts de droits de douane, droits d’inspection et de taxes similaires, si le transit est direct.
Art. 8 a. Die Gesetze und Verordnungen, die auf dem Gebiete einer Vertragspartei den Einflug und den Wegflug der in der internationalen Luftfahrt eingesetzten Luftfahrzeuge oder die Verwendung und die Navigation dieser Luftfahrzeuge über dem genannten Gebiet regeln, gelten für die Luftfahrzeuge der bezeichneten Unternehmung der anderen Vertragspartei und müssen durch diese Luftfahrzeuge bei der Ankunft, während des Aufenthaltes in und beim Abflug aus dem Gebiet der ersten Vertragspartei befolgt worden. b. Die Gesetze und Verordnungen, die auf dem Gebiet einer Vertragspartei die Einreise und die Ausreise der durch die Luftfahrzeuge beförderten Fluggäste, Besatzungen und Waren regeln, wie die Vorschriften über Abfertigung bei der Einreise und Ausreise, Einwanderung, Pässe, Zoll und Quarantäne sind auf die durch die Luftfahrzeuge der bezeichneten Unternehmung der anderen Vertragspartei beförderten Fluggäste, Besatzungen oder Waren anwendbar, sobald diese Luftfahrzeuge in das genannte Gebiet einfliegen, sich dort befinden oder es verlassen. c. Die Fluggäste, die das Gebiet einer Vertragspartei durchreisen, unterliegen einer vereinfachten Kontrolle. Auf Gepäck und Waren im unmittelbaren Durchgangsverkehr werden keine Zölle oder Revisionsgebühren und ähnliche Abgaben erhoben.
Art. 8 a. Le leggi e i regolamenti che, quanto al territorio di una Parte, disciplinano l’entrata e l’uscita degli aeromobili, adibiti alla navigazione internazionale, nonché la navigazione e l’impiego dei medesimi all’interno, si applicano parimenti agli aeromobili dell’impresa designata dall’altra Parte e dovranno pertanto essere osservati da questi sia all’arrivo, sia durante il soggiorno, sia alla partenza. b. Le leggi e i regolamenti che, quanto al territorio di una Parte, disciplinano l’entrata e l’uscita dei passeggeri, equipaggi e merci del traffico aereo, segnatamente quelli attenenti alle formalità d’entrata e d’uscita, all’immigrazione, ai passaporti, alla dogana e alla quarantena, si applicano ai passeggeri, agli equipaggi e alle merci, trasportati dagli aeromobili dell’impresa designata dall’altra Parte, e dovranno pertanto essere osservati sia all’arrivo, sia durante il soggiorno, sia alla partenza. c. I passeggeri in transito nel territorio d’una Parte sottostanno a un controllo semplificato. I bagagli e le merci vanno esenti da dazio, diritti d’ispezione e tasse analoghe purché il transito sia diretto.
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0.748.127.195.75
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art_9
Art. 9 Sans préjudice des dispositions de l’article 12 ci-après, chaque partie contractante se réserve le droit de refuser ou de révoquer l’exercice des droits spécifiés dans l’annexe à cet accord par l’entreprise désignée de l’autre partie contractante, lorsqu’elle n’a pas la preuve qu’une part importante de la propriété et le contrôle effectif de cette entreprise sont entre les mains de ressortissants de l’autre partie contractante, ou lorsque cette entreprise ou le gouvernement qui l’a désignée ne se conforment pas aux lois et règlements visés à l’article 8 ci-dessus ou négligent de quelque autre façon de remplir les conditions auxquelles les droits sont accordés en application du présent accord et de son annexe.
Art. 9 Unter Vorbehalt der Bestimmungen des nachfolgenden Artikels 12 behält sich jede Vertragspartei das Recht vor, die Ausübung der im Anhang zu diesem Abkommen aufgeführten Rechte durch die bezeichnete Unternehmung der anderen Vertragspartei zu verweigern oder zu widerrufen, wenn sie nicht den Beweis besitzt, dass sich der wesentliche Teil des Eigentums an dieser Unternehmung und die tatsächliche Verfügungsgewalt darüber in Händen von Staatsangehörigen der anderen Vertragspartei befinden oder wenn sich diese Unternehmung oder die Regierung, welche sie bezeichnet hat, nicht den im vorstehenden Artikel 8 erwähnten Gesetzen und Verordnungen unterziehen oder ihre Verpflichtungen nicht erfüllen oder es in irgendeiner anderen Weise unterlassen, die Bedingungen, unter denen die Rechte in Anwendung dieses Abkommens und seines Anhanges erteilt worden sind, einzuhalten.
Art. 9 Salvo restando il disposto dell’articolo 12, ciascuna Parte si riserva la facoltà di negare o revocare l’esercizio dei diritti specificati in allegato all’impresa designata dall’altra Parte, quando manchi la prova che una parte importante della proprietà e il controllo effettivo di detta impresa sono nelle mani di cittadini dell’altra Parte, oppure quando l’impresa o il Governo che l’ha designata abbiano violato le leggi e i regolamenti di cui all’articolo 8, o comunque disatteso alle condizioni previste per i diritti conferiti dal presente accordo e dal suo allegato.
CH
0.748.127.195.75
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_9_bis
Art. 9 bis 1. Conformément à leurs droits et obligations en vertu du droit international, les Parties contractantes réaffirment que leur obligation mutuelle de protéger l’aviation civile contre les actes d’intervention illicite, pour en assurer la sûreté, fait partie intégrante du présent Accord. 2. Les Parties contractantes s’accordent mutuellement, sur demande, toute l'assistance nécessaire pour prévenir les actes de capture illicite d’aéronefs et autres actes illicites dirigés contre la sécurité de ces aéronefs, de leurs passagers et de leurs équipages, des aéroports et des installations et services de navigation aérienne, ainsi que toute autre menace pour la sûreté de l’aviation civile. 3. Les Parties contractantes, dans leurs rapports mutuels, se conforment aux dispositions relatives à la sûreté de l’aviation qui ont été établies par l’Organisation de l’aviation civile internationale et qui sont désignées comme Annexes à la Convention, dans la mesure où ces dispositions s’appliquent aux Parties contractantes. Elles exigent des exploitants d’aéronefs qu’elles ont immatriculés, ou des exploitants d’aéronefs qui ont le siège principal de leur exploitation ou leur résidence permanente sur leur territoire, et des exploitants d’aéroports situés sur leur territoire, qu’ils se conforment à ces dispositions relatives à la sûreté de l’aviation. 4. Chaque Partie contractante convient que ces exploitants d’aéronefs peuvent être tenus d’observer les dispositions relatives à la sûreté de l’aviation dont il est question au ch. 3 du présent article et que l’autre Partie contractante prescrit pour l’entrée sur le territoire, la sortie du territoire ou le séjour sur le territoire de cette autre Partie contractante. Chaque Partie contractante veille à ce que des mesures adéquates soient appliquées effectivement sur son territoire pour protéger les aéronefs et pour assurer l’inspection des passagers, des équipages, des bagages à main, des bagages, du fret et des provisions de bord, avant et pendant l’embarquement ou le chargement. Chaque Partie contractante examine aussi favorablement toute demande que lui adresse l’autre Partie contractante en vue d’obtenir que des mesures spéciales de sûreté raisonnables soient prises pour faire face à une menace particulière. 5. En cas d’incident ou de menace d’incident de capture illicite d’aéronefs civils ou d’autres actes illicites dirigés contre la sécurité de ces aéronefs, de leurs passagers et équipages, des aéroports ou des installations et services de navigation aérienne, les Parties contractantes s’entraident en facilitant les communications et en prenant toutes les mesures appropriées pour mettre fin avec rapidité et sécurité à cet incident ou à cette menace d’incident.
Art. 9 bis 1. Die Vertragsparteien bekräftigen, in Übereinstimmung mit ihren Rechten und Pflichten nach internationalem Recht, dass ihre gegenseitige Verpflichtung, die Sicherheit der Zivilluftfahrt gegen widerrechtliche Eingriffe zu schützen, Bestandteil dieses Abkommens bildet. 2. Die Vertragsparteien gewähren sich gegenseitig auf Ersuchen hin jede erforderliche Unterstützung, um Handlungen zur widerrechtlichen Inbesitznahme von zivilen Luftfahrzeugen sowie andere widerrechtliche Handlungen gegen die Sicherheit solcher Luftfahrzeuge, ihrer Fluggäste und Besatzungsmitglieder, gegen Flughäfen und Einrichtungen der Flugsicherung sowie jede andere Bedrohung der Sicherheit der Zivilluftfahrt zu verhindern. 3. Die Vertragsparteien handeln in ihren gegenseitigen Beziehungen in Übereinstimmung mit den von der Internationalen Zivilluftfahrt-Organisation aufgestellten und als Anhänge zum Übereinkommen bezeichneten Sicherheitsbestimmungen, soweit solche Sicherheitsbestimmungen für die Vertragsparteien anwendbar sind. Sie verlangen, dass bei ihnen eingetragene Luftfahrzeughalter oder Luftfahrzeughalter, die den Hauptsitz ihrer geschäftlichen Beziehungen oder ihren dauernden Aufenthalt in ihrem Gebiet haben, und Flughafenhalter in ihrem Gebiet in Übereinstimmung mit solchen Bestimmungen über die Sicherheit der Luftfahrt handeln. 4. Jede Vertragspartei erklärt sich damit einverstanden, dass solche Luftfahrzeughalter zur Einhaltung der in Absatz 3 dieses Artikels enthaltenen Bestimmungen über die Sicherheit der Luftfahrt aufgefordert werden, die von der anderen Vertragspartei für die Einreise in ihr Gebiet, die Ausreise oder den Aufenthalt im Gebiet dieser anderen Vertragspartei verlangt werden. Jede Vertragspartei stellt sicher, dass in ihrem Gebiet zweckmässige Massnahmen wirkungsvoll angewandt werden, um Luftfahrzeuge zu schützen und Fluggäste, Besatzungsmitglieder, Handgepäck, Gepäck, Fracht und Bordvorräte vor und während des Besteigens der Luftfahrzeuge oder der Beladung zu kontrollieren. Jede Vertragspartei überprüft des Weitern wohlwollend jedes Begehren der anderen Vertragspartei um vernünftige Sondersicherheitsmassnahmen, um eine bestimmte Gefahr abzuwenden. 5. Bei einem Zwischenfall oder der Gefahr eines Zwischenfalls für eine widerrechtliche Inbesitznahme eines zivilen Luftfahrzeuges oder bei anderen widerrechtlichen Handlungen gegen die Sicherheit solcher Luftfahrzeuge, ihrer Fluggäste und Besatzungsmitglieder, der Flughäfen oder Flugsicherungsanlagen unterstützen sich die beiden Vertragsparteien, indem sie den gegenseitigen Verkehr und andere zweckmässige Massnahmen erleichtern, die geeignet sind, einen solchen Zwischenfall oder eine solche Bedrohung schnell und sicher zu beenden.
Art. 9 bis 1. Conformemente ai loro diritti e obblighi in virtù del diritto internazionale, le Parti riaffermano che i loro obblighi reciproci di proteggere la sicurezza dell’aviazione civile contro gli atti di intervento illeciti fanno parte integrante del presente Accordo. 2. Le Parti si accordano reciprocamente, su richiesta, tutta l’assistenza necessaria per prevenire gli atti di cattura illecita di aeromobili civili e altri atti illeciti diretti contro la sicurezza di detti aeromobili, dei loro passeggeri ed equipaggi, degli aeroporti e delle attrezzature e servizi della navigazione aerea, nonché qualsiasi altra minaccia per la sicurezza dell’aviazione civile. 3. Nei loro rapporti reciproci, le Parti si conformano alle disposizioni relative alla sicurezza dell’aviazione stabilite dall’Organizzazione dell’aviazione civile internazionale e designate come Allegati alla Convenzione, per quanto queste disposizioni si applichino alle Parti medesime; esse esigono che gli esercenti degli aeromobili immatricolati nei loro propri registri o che hanno la sede principale delle loro attività o la loro residenza permanente sul loro territorio, nonché gli esercenti di aeroporti situati sul loro territorio, si conformino a dette disposizioni concernenti la sicurezza dell’aviazione. 4. Ciascuna Parte conviene che detti esercenti possono essere tenuti a osservare le leggi e i regolamenti relativi alla sicurezza dell’aviazione al momento dell’entrata, dell’uscita o durante il soggiorno sul territorio dell’altra Parte, di cui si tratta nel numero 3 del presente articolo. Ciascuna Parte vigila affinché vengano effettivamente applicati sul suo territorio provvedimenti per proteggere qualsiasi aeromobile e per garantire l’ispezione dei passeggeri, dell’equipaggio, dei bagagli a mano, dei bagagli, delle merci e delle provviste di bordo prima e durante l’imbarco e il carico. Ciascuna Parte esamina anche con spirito favorevole qualsiasi richiesta dell’altra di prendere ragionevoli provvedimenti di sicurezza speciali per fronteggiare una particolare minaccia. 5. In caso di incidente o minaccia di incidente, di cattura illecita di aeromobili civili e di altri atti illeciti diretti contro la sicurezza di detti aeromobili, dei loro passeggeri o equipaggi, degli aeroporti o delle attrezzature e servizi di navigazione aerea, le Parti si adoperano per facilitare le comunicazioni e adottano tutti i provvedimenti appropriati per porre fine con rapidità e sicurezza a questo incidente o a questa di incidente.
CH
0.748.127.195.75
null
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_10
Art. 10 Le présent accord et tous contrats en relation avec lui seront communiqués pour enregistrement à l’Organisation de l’aviation civile internationale.
Art. 10 Dieses Abkommen und alle mit ihm in Zusammenhang stehenden Verträge werden bei der Internationalen Zivilluftfahrtorganisation hinterlegt.
Art. 10 Il presente accordo e tutti i contratti che vi attengono saranno comunicati per registrazione all’Organizzazione dell’aviazione civile internazionale.
CH
0.748.127.195.75
null
null
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_11
Art. 11
Art. 11
Art. 11
CH
0.748.127.195.75
null
null
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Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_12
Art. 12 Chaque partie contractante pourra, en tout temps, notifier à l’autre partie contractante son intention de mettre fin au présent accord. Le même avis sera donné simultanément à l’Organisation de l’aviation civile internationale. En pareil cas, l’accord prendra fin un an après la réception de l’avis de dénonciation, à moins que, l’entente entre les parties contractantes, cette communication ne soit retirée avant l’expiration de cette période. A défaut d’accusé de réception de la part de l’autre partie contractante, l’avis de dénonciation sera réputé reçu quatorze jours après la date à laquelle il aura été reçu par l’Organisation de l’aviation civile internationale.
Art. 12 Jede Vertragspartei kann der anderen Vertragspartei jederzeit ihre Absieht anzeigen, dieses Abkommen zu kündigen. Die gleiche Anzeige ist gleichzeitig an die Internationale Zivilluftfahrtorganisation zu richten. In einem solchen Fall endigt das Abkommen ein Jahr nach dem Empfang der Kündigungsanzeige, es wäre denn, dass diese Anzeige im Einvernehmen zwischen beiden Vertragsparteien vor Ablauf dieser Frist zurückgezogen würde. Erfolgt durch die andere Vertragspartei keine Empfangsbestätigung, so gilt die Kündigungsanzeige als vierzehn Tage nach dem Zeitpunkt erhalten, an dem sie von der Internationalen Zivilluftfahrtorganisation erhalten worden ist.
Art. 12 Ciascuna Parte può, in ogni tempo, comunicare all’altra la disdetta del presente accordo; uguale comunicazione dev’essere data simultaneamente all’OACI. In tal caso, l’accordo prende fine un anno dopo che l’altra Parte abbia ricevuto la disdetta, a meno che questa non sia stata frattanto ritirata di comune accordo. Mancando la notificazione di ricevimento dell’altra Parte, la disdetta è considerata ricevuta 14 giorni dopo il suo ricevimento da parte dell’OACI.
CH
0.748.127.195.75
null
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_13
Art. 13 1. Si les Parties contractantes jugent souhaitable de modifier une disposition quelconque du présent Accord, une telle modification, si elle a été agréée par les Parties contractantes, entrera en vigueur dès qu’elle aura été approuvée par un échange de notes diplomatiques. 2. Si l’une des Parties contractantes juge souhaitable de modifier les routes ou les dispositions stipulées dans l’annexe ci-jointe, elle peut demander des consultations entre les services compétents des Parties contractantes, qui devront débuter dans un délai de soixante jours à compter de la date de la requête. Si ces autorités conviennent de modifier des conditions de l’annexe ou d’en introduire de nouvelles, leurs recommandations y relatives entreront en vigueur après qu’elles auront été confirmées par un échange de notes diplomatiques.
Art. 13 1. Erachten es die Vertragsparteien als wünschenswert, irgendeine Bestimmung dieses Abkommens zu ändern, so tritt eine solche Änderung, auf die sich die Vertragsparteien geeinigt haben, in Kraft, sobald sie durch den Austausch diplomatischer Noten bestätigt worden ist. 2. Falls es eine der Vertragsparteien als wünschenswert erachtet, die Strecken oder die im beigefügten Anhang festgesetzten Bestimmungen zu ändern, kann sie Beratungen zwischen den zuständigen Behörden der beiden Vertragsparteien verlangen, welche innerhalb von sechzig Tagen von dem Zeitpunkt der Anfrage an gerechnet, beginnen müssen. Beschliessen diese Behörden gemeinsam neue oder überarbeitete Bedingungen über den Anhang, treten ihre Empfehlungen in der Angelegenheit in Kraft, nachdem sie durch einen diplomatischen Notenwechsel bestätigt worden sind.
Art. 13 1. Se una delle Parti giudica auspicabile modificare una qualsiasi disposizione del presente Accordo, tale modifica, convenuta tra le Parti, entra in vigore appena è stata approvata mediante scambio di note diplomatiche. 2. Qualora una Parte giudichi auspicabile modificare le rotte o le disposizioni stipulate nell’allegato, può richiedere l’apertura di negoziati fra le proprie autorità competenti e quelle dell’altra Parte; i negoziati inizieranno entro sessanta giorni dalla data in cui saranno stati richiesti. Se le autorità competenti completano o modificano le disposizioni dell’allegato, il nuovo testo proposto entrerà in vigore non appena sia stato confermato mediante scambio di note diplomatiche.
CH
0.748.127.195.75
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Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_14
Art. 14 Si une convention multilatérale acceptée par les deux parties contractantes entre en vigueur, le présent accord sera modifié conformément aux dispositions de cette convention.
Art. 14 Tritt ein durch die beiden Vertragsparteien angenommenes mehrseitiges Luftverkehrsabkommen in Kraft, so wird das vorliegende Abkommen entsprechend den Bestimmungen des mehrseitigen Abkommens geändert.
Art. 14 Ove le Parti venissero ad essere vincolate da una convenzione multilaterale, il presente accordo dovrà essere adattato alle disposizioni di quella.
CH
0.748.127.195.75
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_15
Art. 15 Sauf s’il en est disposé autrement dans le présent accord ou dans son annexe, tout différend entre les parties contractantes, relatif à l’interprétation ou à l’application de cet accord ou de son annexe, qui ne pourra être réglé par voie de négociations directes sera soumis, pour avis consultatif, à un tribunal de trois arbitres, un arbitre étant désigné par chaque partie contractante et le troisième étant désigné par les deux premiers arbitres ainsi choisis, à condition que ce troisième arbitre n’ait pas la nationalité de l’une ou de l’autre des parties contractantes. Chaque partie contractante désignera un arbitre dans un délai de deux mois à compter de la date de réception d’une note diplomatique demandant l’arbitrage d’un différend et le troisième arbitre sera désigné dans un délai d’un mois après cette première période de deux mois. Si le troisième arbitre n’est pas désigné dans le délai indiqué, son remplacement sera assuré par une personne que désignera le président du Conseil de l’OACI, lequel choisira sur une liste d’arbitres tenue à jour conformément aux usages de l’OACI. Les autorités exécutives des parties contractantes feront tous leurs efforts, selon les moyens dont elles disposent, pour donner effet à l’opinion exprimée dans un tel avis consultatif. La moitié des frais du tribunal arbitral sera à la charge de chaque partie.
Art. 15 Ausgenommen wenn es dieses Abkommen oder sein Anhang anders bestimmt, wird jede Meinungsverschiedenheit zwischen den Vertragsparteien über die Auslegung oder Anwendung dieses Abkommens oder seines Anhangs, die nicht auf direktem Verhandlungswege beseitigt werden kann, einem dreiköpfigen Schiedsgericht zum Bericht und Antrag unterbreitet. Je einer der Schiedsrichter wird von beiden Vertragsparteien und der dritte durch die zwei so gewählten Schiedsrichter bezeichnet, mit der Bedingung, dass dieser dritte Schiedsrichter nicht Staatsangehöriger einer der beiden Vertragsparteien sei. Jede Vertragspartei hat binnen zweier Monate einen Schiedsrichter zu bezeichnen, gerechnet vom Zeitpunkt des Empfanges einer diplomatischen Note an, welche die schiedsgerichtliche Schlichtung einer Meinungsverschiedenheit verlangt. Der dritte Schiedsrichter ist binnen Monatsfrist nach dieser ersten Frist von zwei Monaten zu bezeichnen. Wenn der dritte Schiedsrichter nicht in der angegebenen Frist bezeichnet worden ist, wird die betreffende Lücke durch eine Persönlichkeit gefüllt, die der Präsident des ICAO‑Rates bezeichnet. Er wählt sie aus einer Schiedsrichterliste, die in Übereinstimmung mit den Gepflogenheiten der ICAO laufend bereit gehalten wird. Die ausführenden Behörden der Vertragsparteien werden entsprechend den Mitteln, über die sie verfügen, alle Anstrengungen unternehmen, um die in einem solchen schiedsrichterliehen Gutachten ausgedrückte Meinung zu verwirklichen. Die Hälfte der Kosten des Schiedsgerichtes geht zu Lasten jeder Vertragspartei.
Art. 15 Tranne disposizione contraria dell’accordo o dell’allegato, per ogni controversia, sorte tra le Parti nell’interpretazione o nell’applicazione di detti atti e non componibile mediante negoziati diretti, dovrà essere richiesto il parere consultivo di un tribunale arbitrale trimembre, formato come segue: due arbitri verranno designati, uno per Parte, e procederanno a cooptare il terzo, che non dovrà essere cittadino né dell’una né dell’altra Parte. Le designazioni dovranno avvenire entro due mesi a contare dal ricevimento della nota diplomatica richiedente l’arbitrato e la cooptazione entro il terzo mese. Ove la cooptazione non avvenisse entro il termine indicato, il presidente del Consiglio dell’OACI provvederà egli stesso alla completazione del collegio, scegliendo un arbitro da una lista apposita, aggiornata secondo gli usi dell’OACI. Le autorità esecutive delle Parti faranno ogni sforzo, coi mezzi di cui dispongono, per mandare ad effettivo il parere consultivo reso dal tribunale. Le spese d’arbitrato saranno divise per metà tra le Parti.
CH
0.748.127.195.75
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_16
Art. 16 a. Les changements apportés par l’une des parties contractantes aux routes décrites aux tableaux ci-après, sauf s’il s’agit de changer les points desservis par l’entreprise désignée de cette partie contractante sur le territoire de l’autre partie contractante, ne seront pas considérés comme des modifications de l’annexe. Les autorités aéronautiques de chaque partie contractante peuvent donc procéder unilatéralement à de tels changements, pourvu, cependant, qu’avis en soit donné sans délai aux autorités aéronautiques de l’autre partie contractante. b. Si les autorités aéronautiques de l’autre partie contractante trouvent que, vu les principes exposés à la section VII de l’annexe au présent accord, les intérêts de leur entreprise de transports aériens sont lésés par le transport de trafic effectué par l’entreprise désignée de la première partie contractante, entre le territoire de la seconde partie contractante et le nouveau point choisi sur le territoire d’un pays tiers, les autorités des deux parties contractantes se consulteront en vue d’arriver à un arrangement satisfaisant.
Art. 16 a. Die Änderungen, die an den in den nachstehenden Linienplänen umschriebenen Strecken durch eine der Vertragsparteien vorgenommen werden, ausgenommen wenn es sich darum handelt, die durch die bezeichnete Unternehmung dieser einen Vertragspartei angeflogenen Punkte zu wechseln, werden nicht als Änderung des Anhanges betrachtet. Die Luftfahrtbehörden jeder Vertragspartei können demnach solche Änderungen einseitig vornehmen, vorausgesetzt indessen, dass davon den Luftfahrtbehörden der anderen Vertragspartei ohne Verzug Kenntnis gegeben wird. b. Wenn die Luftfahrtbehörden der anderen Vertragspartei der Auffassung sind, dass im Hinblick auf die im Abschnitt VII des Anhangs dieses Abkommens aufgeführten Grundsätze die Interessen ihrer Luftverkehrsunternehmung durch die Verkehrsleistungen der Unternehmung der ersten Vertragspartei zwischen dem Gebiet der zweiten Vertragspartei und dem neuen, auf dem Gebiet eines dritten Staates gewählten Punkt verletzt worden sind, so beraten sich die Behörden der beiden Vertragsparteien, um zu einer befriedigenden Verständigung zu gelangen.
Art. 16 a. I mutamenti che una Parte dovesse apportare alle linee definite nelle pertinenti tavole non saranno considerati come modificazioni dell’allegato, purché non concernano gli scali fatti dall’impresa designata di detta Parte sul territorio dell’altra Parte. Le autorità aeronautiche di ciascuna Parte possono pertanto procedere unilateralmente a detti mutamenti, curando tuttavia che ne sia dato avviso immediato alle autorità aeronautiche dell’altra. b. Queste ultime, ove reputassero, giusta il disposto della sezione VII dell’allegato, che il mutamento nuoce alla propria imprese designata, in quanto instaura tra il loro territorio e il nuovo scalo nel Paese terzo un collegamento aero affidato all’impresa designata dall’altra Parte, chiederanno di consultarsi con le autorità aeronautiche di quest’ultima per ricercare assieme una soluzione soddisfacente.
CH
0.748.127.195.75
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Accord du 31 octobre 1960 relatif aux transports aériens entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'Union de Birmanie (avec annexe)
Luftverkehrsabkommen vom 31. Oktober 1960 zwischen der Schweiz und der Union von Birma (mit Anhang)
Accordo del 31 ottobre 1960 tra il Consiglio federale Svizzero e il Governo dell'Unione Birmana concernente i trasporti aerei (con allegato)
art_17
Art. 17 Le présent accord, y compris les dispositions de son annexe, sera ratifié. Il entrera en vigueur le jour où sa ratification sera notifiée de part et d’autre par un échange de notes diplomatiques.
Art. 17 Dieses Abkommen, inbegriffen die Bestimmungen des Anhangs, unterliegt der Ratifikation. Es tritt an dem Tag in Kraft, an dem seine Ratifikation gegenseitig durch einen Austausch diplomatischer Noten angezeigt worden ist.
Art. 17 Il presente accordo con le disposizioni dell’allegato dovrà essere ratificato. Esso entrerà in vigore il giorno in cui la sua ratificazione sarà notificato, da ambo le Parti, mediante scambio di note diplomatiche.
CH
0.836.934.92
null
null
null
Convention du 24 septembre 1958 entre la Suisse et la France relative à la situation, au regard des législations d'allocations familiales, de certains exploitants suisses de terres françaises
Abkommen vom 24. September 1958 zwischen der Schweiz und Frankreich betreffend die Stellung gewisser schweizerischer Benützer französischer Grundstücke unter den Gesetzgebungen über Familienzulagen
Convenzione del 24 settembre 1958 tra la Svizzera e la Francia concernente lo Stato di certi conduttori di fondi francesi rispetto alla legislazione sugli assegni familiari
art_1
Art. 1 Les salariés des exploitations agricoles situées dans le canton de Vaud et comportant des annexes dans les départements français du Haut‑Rhin, du Doubs, du Jura, de l’Ain et de la Haute‑Savoie, ainsi que dans le territoire de Belfort, continuent, pendant les périodes où ils sont employés dans ces départements et nonobstant leur activité professionnelle en territoire français, à bénéficier des allocations familiales, des allocations de ménage et des allocations de naissance auxquelles ils ont droit dans le canton de Vaud. La Caisse mutuelle d’allocations familiales agricoles française du lieu de travail supporte la charge de ces prestations, dont le montant est remboursé à la caisse vaudoise.
Art. 1 Die Arbeitnehmer der im Kanton Waadt gelegenen landwirtschaftlichen Betriebe, zu denen Grundstücke in den französischen Departementen Haut-Rhin, Doubs, Jura, Ain und Haute-Savoie sowie im Territorium von Belfort gehören, bleiben während der Dauer ihrer Beschäftigung in diesen Departementen ungeachtet ihrer Berufsausübung auf französischem Staatsgebiet im Genusse der Familienzulagen, der Haushaltzulagen und der Geburtszulagen, worauf sie im Kanton Waadt Anspruch haben. Diese Leistungen gehen zu Lasten der französischen Ausgleichskasse für landwirtschaftliche Familienzulagen am Arbeitsort, die deren Gegenwert der waadtländischen Kasse zurückvergütet.
Art. 1 I lavoratori delle aziende agricole situate nel Cantone di Vaud, alle quali siano annessi dei fondi nei Dipartimenti francesi dell’Alto Reno, del Doubs, del Giura, dell’Ain e dell’Alta Savoia, come anche nel territorio di Belfort, continuano, durante gli intervalli di tempo in cui siano impiegati in quei Dipartimenti, e quale che sia la loro opera professionale in territorio francese, a godere degli assegni di famiglia, degli assegni domestici, e degli assegni di nascita, ai quali hanno diritto nel Cantone di Vaud. La Cassa mutua francese d’assegni familiari agricoli del luogo di lavoro assume l’onere di queste prestazioni, il cui ammontare è rimborsato dalla cassa vodese.
CH
0.836.934.92
null
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Convention du 24 septembre 1958 entre la Suisse et la France relative à la situation, au regard des législations d'allocations familiales, de certains exploitants suisses de terres françaises
Abkommen vom 24. September 1958 zwischen der Schweiz und Frankreich betreffend die Stellung gewisser schweizerischer Benützer französischer Grundstücke unter den Gesetzgebungen über Familienzulagen
Convenzione del 24 settembre 1958 tra la Svizzera e la Francia concernente lo Stato di certi conduttori di fondi francesi rispetto alla legislazione sugli assegni familiari
art_2
Art. 2 Pendant les périodes où les salariés des exploitations agricoles situées dans le canton de Vaud sont employés dans l’un des départements français énumérés à l’art. 1, les caisses d’allocations familiales du canton de Vaud ne perçoivent pas la cotisation assise sur leurs salaires.
Art. 2 Während der Zeitspanne, in der die Arbeitnehmer der im Kanton Waadt gelegenen landwirtschaftlichen Betriebe in einem der in Artikel 1 aufgezählten französischen Departemente beschäftigt sind, beziehen die Familienausgleichskassen des Kantons Waadt den auf den Gehältern erhobenen Beitrag nicht.
Art. 2 Durante lo spazio di tempo in cui i lavoratori delle aziende agricole situate nel Cantone di Vaud sono impiegati in uno dei Dipartimenti francesi menzionati nell’ar-ticolo 1, le casse d’assegni familiari del Cantone di Vaud non riscuotono la quota attenente al loro salario.
CH
0.836.934.92
null
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Convention du 24 septembre 1958 entre la Suisse et la France relative à la situation, au regard des législations d'allocations familiales, de certains exploitants suisses de terres françaises
Abkommen vom 24. September 1958 zwischen der Schweiz und Frankreich betreffend die Stellung gewisser schweizerischer Benützer französischer Grundstücke unter den Gesetzgebungen über Familienzulagen
Convenzione del 24 settembre 1958 tra la Svizzera e la Francia concernente lo Stato di certi conduttori di fondi francesi rispetto alla legislazione sugli assegni familiari
art_3
Art. 3 Les autorités vaudoises mettront tout en œuvre pour que soit recommandé aux chefs des exploitations situées dans le canton de Vaud de s’acquitter dans les délais réglementaires des cotisations légales dues aux caisses mutuelles d’allocations familiales agricoles en raison des terres qu’ils exploitent dans les départements français énumérés à l’art. 1. Dans le cas où ces cotisations resteraient impayées, un organisme ou une organisation professionnelle désignée par les autorités vaudoises se substituerait au débiteur défaillant jusqu’à concurrence des cotisations dues et sauf recours contre ce débiteur.
Art. 3 Die waadtländischen Behörden werden alles daran setzen, damit den Leitern der im Kanton Waadt gelegenen Betriebe nahe gelegt wird, innerhalb der vorgeschriebenen Fristen die gesetzlichen Beiträge zu bezahlen, die sie den Ausgleichskassen für landwirtschaftliche Familienzulagen für die von ihnen benützten Grundstücke in den in Artikel 1 aufgezählten französischen Departementen schulden. Bei Nichtbezahlung dieser Beiträge würde bis zur Höhe der geschuldeten Beiträge und unter Vorbehalt des Rückgriffes auf den Schuldner eine von den waadtländischen Behörden bezeichnete Stelle oder Berufsorganisation für den säumigen Schuldner eintreten.
Art. 3 Le autorità vodesi useranno di ogni sforzo a raccomandare ai dirigenti delle aziende situate nel Cantone di Vaud il pagamento tempestivo delle quote legali dovute alle casse mutue d’assegni familiari agricoli a ragione delle terre che conducono nei Dipartimenti francesi menzionati nell’articolo 1. Qualora tali quote non siano pagate, al debitore mancante sarà sostituito, per l’ammontare dovuto e con riserva di regresso, un ufficio, o un’organizzazione, designato dal Cantone di Vaud.
CH
0.836.934.92
null
null
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Convention du 24 septembre 1958 entre la Suisse et la France relative à la situation, au regard des législations d'allocations familiales, de certains exploitants suisses de terres françaises
Abkommen vom 24. September 1958 zwischen der Schweiz und Frankreich betreffend die Stellung gewisser schweizerischer Benützer französischer Grundstücke unter den Gesetzgebungen über Familienzulagen
Convenzione del 24 settembre 1958 tra la Svizzera e la Francia concernente lo Stato di certi conduttori di fondi francesi rispetto alla legislazione sugli assegni familiari
art_4
Art. 4 Un arrangement administratif, à conclure entre l’Office fédéral des assurances sociales et le Ministère français de l’Agriculture, déterminera les conditions d’application de la présente convention et notamment les modalités de payement éventuel des cotisations ou des prestations par voie d’entraide administrative.
Art. 4 Eine zwischen dem Bundesamt für Sozialversicherung und dem französischen Landwirtschaftsministerium abzuschliessende Verwaltungsvereinbarung wird die Anwendungsbestimmungen des vorliegenden Abkommens und insbesondere die Bedingungen für die allfällige Zahlung von Beiträgen oder Leistungen auf dem Wege der Verwaltungshilfen festsetzen.
Art. 4 Un accordo amministrativo, da conchiudersi tra l’Ufficio federale delle assicurazioni sociali e il Ministero francese dell’agricoltura, determinerà le norme d’applicazione della presente convenzione e, in particolare, le condizioni di pagamento delle quote, o delle prestazioni, per il tramite dell’assistenza amministrativa.
CH
0.836.934.92
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Convention du 24 septembre 1958 entre la Suisse et la France relative à la situation, au regard des législations d'allocations familiales, de certains exploitants suisses de terres françaises
Abkommen vom 24. September 1958 zwischen der Schweiz und Frankreich betreffend die Stellung gewisser schweizerischer Benützer französischer Grundstücke unter den Gesetzgebungen über Familienzulagen
Convenzione del 24 settembre 1958 tra la Svizzera e la Francia concernente lo Stato di certi conduttori di fondi francesi rispetto alla legislazione sugli assegni familiari
art_5
Art. 5 Les deux Gouvernements pourront étendre la présente convention à d’autres cantons suisses par échange de lettres.
Art. 5 Die beiden Regierungen können das vorliegende Abkommen durch Briefwechsel auf andere schweizerische Kantone ausdehnen.
Art. 5 I due Governi hanno facoltà di estendere la presente convenzione ad altri Cantoni svizzeri, mediante uno scambio di note.
CH
0.836.934.92
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Convention du 24 septembre 1958 entre la Suisse et la France relative à la situation, au regard des législations d'allocations familiales, de certains exploitants suisses de terres françaises
Abkommen vom 24. September 1958 zwischen der Schweiz und Frankreich betreffend die Stellung gewisser schweizerischer Benützer französischer Grundstücke unter den Gesetzgebungen über Familienzulagen
Convenzione del 24 settembre 1958 tra la Svizzera e la Francia concernente lo Stato di certi conduttori di fondi francesi rispetto alla legislazione sugli assegni familiari
art_6
Art. 6 La présente convention est conclue pour la durée d’une année. Elle sera reconduite tacitement d’année en année, sauf dénonciation pax l’un des Gouvernements qui devra être notifiée à l’autre Gouvernement six mois avant l’expiration du terme annuel. Elle sera ratifiée et entrera en vigueur le jour de l’échange des instruments de ratification.
Art. 6 Das vorliegende Abkommen ist für die Dauer eines Jahres abgeschlossen. Es wird von Jahr zu Jahr stillschweigend erneuert, falls es nicht von einer der beiden Regierungen gekündigt wird, wobei die Kündigung der anderen Regierung sechs Monate vor Ablauf der Jahresfrist zu notifizieren ist. Es soll ratifiziert werden und tritt am Tage des Austausches der Ratifikationsurkunden in Kraft.
Art. 6 La presente convenzione è conchiusa per un anno. Essa sarà prorogata tacitamente di anno in anno, salvo disdetta, la quale dovrà essere notificata dall’un Governo all’altro sei mesi prima del decorso del termine annuale. La presente convenzione sarà ratificata ed entrerà in vigore il giorno dello scambio degli strumenti di ratificazione.
CH
0.946.297.581.1
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Protocole du 15 novembre 1963 à l'Accord commercial du 2 décembre 1961 entre la Confédération Suisse et la République Tunisienne, relatif aux transferts d'assurances et de réassurances
Protokoll vom 15. November 1963 zum Handelsabkommen vom 2. Dezember 1961 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Tunesischen Republik betreffend den Zahlungsverkehr im Versicherungs- und Rückversicherungswesen
Protocollo del 15 novembre 1963 all'Accordo commerciale tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Tunisina, inteso al trasferimento delle prestazioni di assicurazioni e riassicurazioni
art_1
Art. 1 Les paiements courants dans le domaine des assurances et des réassurances s’effectuent en devises convertibles, en vertu d’une autorisation général ou spéciale et sont exécutés au cours officiel sans charge additionnelle.
Art. 1 Die laufenden Zahlungen auf dem Gebiete der Versicherung und Rückversicherung erfolgen in transferierbaren Devisen auf Grund einer allgemeinen oder besonderen Genehmigung und werden zum offiziellen Kurs ohne Aufgeld ausgeführt.
Art. 1 I pagamenti correnti nel campo delle assicurazioni e riassicurazioni sono eseguiti, in virtù di un’autorizzazione generale o particolare e in valuta convertibile, al saggio ufficiale; essi non sono gravati da oneri addizionali.
CH
0.946.297.581.1
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Protocole du 15 novembre 1963 à l'Accord commercial du 2 décembre 1961 entre la Confédération Suisse et la République Tunisienne, relatif aux transferts d'assurances et de réassurances
Protokoll vom 15. November 1963 zum Handelsabkommen vom 2. Dezember 1961 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Tunesischen Republik betreffend den Zahlungsverkehr im Versicherungs- und Rückversicherungswesen
Protocollo del 15 novembre 1963 all'Accordo commerciale tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Tunisina, inteso al trasferimento delle prestazioni di assicurazioni e riassicurazioni
art_2
Art. 2 Sous paiements courants, on entend: En matière d’assurances directes, le transfert semestriel de l’excédent de caisse dont les compagnies suisses disposent lors de la demande d’autorisation en tenant compte des engagements échus et non encore payés. Le transfert des avoirs de réassurances et de rétrocessions en monnaie tunisienne, y compris les intérêts de dépôts en titres ou en espèces, ainsi que le produit de la liquidation de tels dépôts, que ces avoirs proviennent d’affaires traitées avec des sociétés tunisiennes ou avec des sociétés sises dans des pays tiers.
Art. 2 Unter laufenden Zahlungen versteht man: in der Direktversicherung den halbjährlichen Transfer des Kassa-Überschusses, über den die schweizerischen Gesellschaften im Zeitpunkt des Genehmigungsgesuches nach Berücksichtigung der fälligen und noch nicht beglichenen Verpflichtungen verfügen; den Transfer von Rückversicherungs- und Retrozessionsguthaben in tunesischer Währung, einschliesslich der Zinsen auf Wertschriften- und Bardepots sowie den Liquidationserlös solcher Depots, mögen diese Guthaben von Geschäften mit tunesischen oder in Drittländern domizilierten Gesellschaften herrühren.
Art. 2 Per pagamenti diretti s’intende: Il trasferimento semestrale, nel campo delle assicurazioni dirette, dell’eccedenza di cassa a disposizione delle compagnie svizzere, al momento della domanda d’autorizzazione, tenendo conto delle somme scadute e non ancora pagate; Il trasferimento degli averi di riassicurazioni e di retrocessioni in valuta tunisina, compresi gli interessi dei depositi in cartevalori, o in contanti, come anche il ricavo dalla liquidazione di tali depositi, indipendentemente se questi averi provengano da affari trattati con società tunisine o con società aventi sede in terzi Stati.
CH
0.946.297.581.1
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Protocole du 15 novembre 1963 à l'Accord commercial du 2 décembre 1961 entre la Confédération Suisse et la République Tunisienne, relatif aux transferts d'assurances et de réassurances
Protokoll vom 15. November 1963 zum Handelsabkommen vom 2. Dezember 1961 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Tunesischen Republik betreffend den Zahlungsverkehr im Versicherungs- und Rückversicherungswesen
Protocollo del 15 novembre 1963 all'Accordo commerciale tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Tunisina, inteso al trasferimento delle prestazioni di assicurazioni e riassicurazioni
art_3
Art. 3 Les réassureurs suisses peuvent ouvrir en Tunisie un «compte étranger en dinars convertibles» pour les paiements en monnaie tunisienne découlant de réassurances et de rétrocessions. Les avoirs sur un tel compte peuvent être transférés librement en Suisse. Les opérations au crédit et au débit de ce compte seront effectuées conformément à la réglementation des changes en vigueur en Tunisie.
Art. 3 Die schweizerischen Rückversicherer dürfen in Tunesien ein «ausländisches Konto in transferierbaren Dinars» für aus Rückversicherung oder Retrozessionen stammende Zahlungen in tunesischer Währung eröffnen lassen. Guthaben auf einem solchen Konto dürfen frei nach der Schweiz transferiert werden. Gutschriften und Belastungen auf diesem Konto werden gemäss den in Tunesien geltenden Devisenvorschriften ausgeführt.
Art. 3 I riassicuratori svizzeri possono aprire in Tunisia un «conto straniero in dinari convertibili» per il pagamento in moneta tunisina delle somme risultanti dalla riassicurazione o dalle retrocessioni. Gli averi di un tale conto possono essere trasferiti liberamente in Svizzera. Le operazioni a credito e a debito vengono eseguite conformemente all’ordinamento valutario vigente in Tunisia.
CH
0.946.297.581.1
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Protocole du 15 novembre 1963 à l'Accord commercial du 2 décembre 1961 entre la Confédération Suisse et la République Tunisienne, relatif aux transferts d'assurances et de réassurances
Protokoll vom 15. November 1963 zum Handelsabkommen vom 2. Dezember 1961 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Tunesischen Republik betreffend den Zahlungsverkehr im Versicherungs- und Rückversicherungswesen
Protocollo del 15 novembre 1963 all'Accordo commerciale tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Tunisina, inteso al trasferimento delle prestazioni di assicurazioni e riassicurazioni
art_4
Art. 4 Les représentations et agences tunisiennes des compagnies suisses pratiquant l’assurance directe en Tunisie obtiendront les devises nécessaires au paiement de dommages relevant du portefeuille tunisien, à régler à l’étranger.
Art. 4 Die tunesischen Vertretungen und Agenturen der schweizerischen Gesellschaften, die in Tunesien die Direktversicherung betreiben, erhalten die notwendigen Devisen für die im Zusammenhang mit dem tunesischen Versicherungsbestand im Ausland zu leistenden Schadenzahlungen.
Art. 4 Le rappresentanze e le agenzie tunisine delle compagnie svizzere che esercitano l’assicurazione diretta in Tunisia, possono ricevere la valuta necessaria, per la rifusione dei danni pertinenti al portafoglio tunisino e pagabili all’estero.
CH
0.946.297.581.1
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Protocole du 15 novembre 1963 à l'Accord commercial du 2 décembre 1961 entre la Confédération Suisse et la République Tunisienne, relatif aux transferts d'assurances et de réassurances
Protokoll vom 15. November 1963 zum Handelsabkommen vom 2. Dezember 1961 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Tunesischen Republik betreffend den Zahlungsverkehr im Versicherungs- und Rückversicherungswesen
Protocollo del 15 novembre 1963 all'Accordo commerciale tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Tunisina, inteso al trasferimento delle prestazioni di assicurazioni e riassicurazioni
art_5
Art. 5 Les autorités tunisiennes de change se réservent le droit de vérifier le bien-fondé et la légalité des transactions donnant lieu aux transferts précités.
Art. 5 Die tunesischen Devisenbehörden behalten sich das Recht vor, die Begründetheit und Gesetzmässigkeit der zu den vorgenannten Überweisungen Anlass gebenden Transaktionen zu prüfen.
Art. 5 Le autorità valutarie tunisine si riservano il diritto di controllare la fondatezza e la legalità delle transazioni che causano i trasferimenti menzionati.
CH
0.946.297.581.1
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Protocole du 15 novembre 1963 à l'Accord commercial du 2 décembre 1961 entre la Confédération Suisse et la République Tunisienne, relatif aux transferts d'assurances et de réassurances
Protokoll vom 15. November 1963 zum Handelsabkommen vom 2. Dezember 1961 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Tunesischen Republik betreffend den Zahlungsverkehr im Versicherungs- und Rückversicherungswesen
Protocollo del 15 novembre 1963 all'Accordo commerciale tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Tunisina, inteso al trasferimento delle prestazioni di assicurazioni e riassicurazioni
art_6
Art. 6 Si des problèmes se posaient au sujet de certains cas d’espèce, ils seraient examinés, le plus rapidement possible, par des experts désignés par les deux Gouvernements et agissant dans le cadre de la commission mixte prévue par l’art. 6 de l’Accord commercial tuniso-suisse du 2 décembre 1961. Ces experts s’efforceront de trouver une solution satisfaisante aux cas concrets qui leur seraient soumis.
Art. 6 Sollten sich bezüglich gewisser Einzelfälle Probleme stellen, so würden sie möglichst rasch durch Experten geprüft, die von beiden Regierungen bezeichnet und im Rahmen der in Artikel 6 des schweizerisch-tunesischen Handelsabkommens vom 2. Dezember 1961 vorgesehenen gemischten Kommission tätig sein würden. Diese Experten werden sich bemühen, für die ihnen unterbreiteten konkreten Fälle eine befriedigende Lösung zu finden.
Art. 6 Qualora sorgessero dei problemi riguardo a certi casi particolari, essi verranno esaminati, il più presto possibile, da periti designati dai due Governi, i quali agiranno nell’ambito della commissione mista, prevista nell’articolo 6 dell’Accordo. Questi periti cercheranno di trovare una soluzione soddisfacente ai casi concreti che fossero loro sottoposti.
CH
0.812.121.3
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_I/art_1
Chapitre I Définitions Définitions Art. 1 Définitions Sauf indication contraire, soit expresse, soit du contexte, les définitions ci‑après s’appliquent aux dispositions du présent Protocole. On entend: [tab] par «convention de 1925», la Convention internationale de l’opium signée à Genève le 19 février 1925 et amendée par le Protocole du 11 décembre 1946; [tab] par «Convention de 1931», la Convention pour limiter la fabrication et réglementer la distribution des stupéfiants, signée à Genève le 13 juillet 1931 et amendée par le Protocole du 11 décembre 1946; [tab] par «comité», le Comité central permanent créé en vertu de l’article 19 de la Convention de 1925; [tab] par «Organe de contrôle», l’Organe de contrôle créé en vertu de l’article 5 de la Convention de 1931; [tab] par «Commission», la Commission des stupéfiants du Conseil économique et social des Nations Unies; [tab] par «Conseil», le Conseil économique et social des Nations Unies; [tab] par «Secrétaire général», le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies; [tab] par «pavot», la plante Papaver somniferum L., et toute autre plante de l’espèce Papaver qui permettrait la production de l’opium; [tab] par «paille de pavot», toutes les parties du pavot (à l’exception des graines) dont, après le fauchage du pavot, on peut extraire des stupéfiants; [tab] par «opium», le latex épaissi du pavot, quelle que soit sa forme, y compris l’opium brut, l’opium médicinal et l’opium préparé, à l’exclusion des préparations galéniques; [tab] par «production», l’opération qui consiste à cultiver le pavot en vue de récolter de l’opium; [tab] par «stocks», la quantité totale d’opium détenue légalement sur le territoire d’un Etat donné, à l’exclusion: 1) des quantités détenues par les pharmaciens détaillants et par les institutions ou les personnes compétentes dans l’exercice licite de leurs fonctions thérapeutiques ou scientifiques, et 2) des quantités détenues par le gouvernement de cet Etat, ou se trouvant sous sa surveillance, et destinées à des usages militaires; [tab] par «territoire», toute partie d’un Etat donné qui est traitée comme une entité distincte pour l’application du système de certificats d’importation et d’autorisation d’exportation prévu par la Convention de 1925; [tab] par «exportation» ou «importation», dans leur acception respective, le transfert matériel d’opium d’un Etat donné à un autre Etat ou d’un territoire donné d’un Etat à un autre territoire du même Etat.
Kapitel I Definitionen Definitionen Art. 1 Definitionen Ausser wenn ausdrücklich etwas anderes bestimmt ist oder aus dem Zusammenhang hervorgeht, werden die nachfolgenden Definitionen auf alle Bestimmungen dieses Protokolls angewendet. Demnach versteht man unter: «Abkommen von 1925» die in Genf am 19. Februar 1925 unterzeichnete internationale Opiumkonvention, ergänzt durch das Protokoll vom 11. Dezember 1946; «Abkommen von 1931» das Abkommen zur Beschränkung der Herstellung und zur Regelung der Verteilung der Betäubungsmittel, unterzeichnet in Genf am 13. Juli 1931, ergänzt durch das Protokoll vom 11. Dezember 1946; «Komitee» das gemäss Artikel 19 des Abkommens von 1925 eingesetzte ständige Zentralkomitee; «Überwachungsausschuss» den gemäss Artikel 5 des Abkommens von 1931 eingesetzten Überwachungsausschuss; «Kommission» die Betäubungsmittelkommission des Wirtschafts- und Sozialrates der Vereinten Nationen; «Rat» den Wirtschafts- und Sozialrat der Vereinten Nationen; «Generalsekretär» den Generalsekretär der Vereinten Nationen; «Mohn» die Pflanze Papaver somniferum L. und jede andere Pflanze der Papaver-Art, welche die Gewinnung von Opium erlauben würde; «Mohnstroh» alle Teile von Mohn (ausgenommen Samen), aus denen nach der Ernte Betäubungsmittel gewonnen werden können; «Opium» den geronnenen Milchsaft des Mohns, gleichgültig welcher Form, eingeschlossen Rohopium, medizinisches Opium und zubereitetes Opium, jedoch ausgenommen galenische Präparate; «Erzeugung» der Mohnanbau zum Zwecke der Opiumgewinnung; «Lagerbestände» die Gesamtmenge an Opium, die im Gebiete eines Staates rechtmässig vorhanden ist, mit Ausnahme: 1. Der Opiummenge, die sich im Besitze von Apothekern, die den Kleinverkauf ausüben, und befugten Institutionen oder Personen zur genehmigten Durchführung ihrer therapeutischen oder wissenschaftlichen Aufgaben befinden, und 2. Der Opiummengen, die sich zur Verwendung für militärische Zwecke im Besitz oder unter der Kontrolle der Regierung dieses Staates befinden; «Gebiet» jeden Teil eines Staates, der in Bezug auf das System der Ein- und Ausfuhrbewilligungen gemäss Abkommen von 1925 als bestimmte Einheit behandelt wird; «Ausfuhr oder Einfuhr» in ihrer bezüglichen Bedeutung die tatsächliche Überführung von Opium von einem Staat in einen anderen Staat oder innerhalb des gleichen Staates von einem Gebiet in ein anderes Gebiet dieses Staates.
Capo I Definizioni Definizioni Art. 1 Definizioni Salvo contraria indicazione, espressa o desumibile dal contesto, si applicano alle disposizioni del presente Protocollo le definizioni seguenti. S’intende: per «Convenzione del 1925», la Convenzione internazionale concernente gli stupefacenti, conchiusa a Ginevra il 19 febbraio 1925 ed emendata con il Protocollo dell’11 dicembre 1946; per «Convenzione del 1931», la Convenzione internazionale per limitare la fabbricazione e regolare la distribuzione degli stupefacenti, firmata a Ginevra il 13 luglio 1931 ed emendata con il Protocollo dell’11 dicembre 1946; per «comitato», il Comitato centrale permanente creato in virtù dell’articolo 19 della Convenzione del 1925; per «Organo di controllo», l’Organo di controllo creato in virtù dell’articolo 5 della Convenzione del 1931; per «Commissione» la Commissione degli stupefacenti del Consiglio economico e sociale delle Nazioni Unite; per «Consiglio», il Consiglio economico e sociale delle Nazioni Unite; per «Segretario generale», il Segretario generale dell’Organizzazione delle Nazioni Unite; per «papavero», la pianta «Papaver somniferum L.», e ogni altra della specie «Papaver» che consenta la produzione dell’oppio; per «paglia di papavero», tutte le parti del papavero (eccettuati i semi) dai quali, dopo la falciatura del papavero, possano essere ricavati stupefacenti; per «oppio», il lattice rappreso del papavero, qualunque sia la sua forma, compresi l’oppio greggio, l’oppio medicinale e l’oppio preparato ed esclusi i preparati galenici; per «produzione», la coltivazione del papavero al fine di ricavarne oppio; per «riserve», la quantità complessiva d’oppio detenuta legittimamente nel territorio di uno Stato, escluse: 1) le qualità detenute dai farmacisti che vendono al minuto e dagli istituti o dalle persone competenti per il legittimo esercizio delle loro mansioni terapeutiche o scientifiche; 2) le quantità detenute dal Governo di detto Stato o poste sotto la sua vigilanza, destinate a scopi militari; per «territorio», qualsiasi parte di uno Stato, considerata quale entità distinta agli effetti dell’applicazione del sistema dei certificati d’importazione e di autorizzazione dell’esportazione previsto dalla Convenzione del 1925; per «esportazione» o «importazione», nella loro rispettiva accezione, il trasferimento materiale di oppio da uno Stato all’altro, oppure da un territorio all’altro del medesimo Stato.
CH
0.812.121.3
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_II/art_2
Chapitre II Réglementation de la production, Emploi de l’opium Art. 2 Emploi de l’opium Les Parties doivent limiter l’emploi de l’opium aux seuls besoins médicaux et scientifiques.
Kapitel II Regelung der Erzeugung und der Anwendung von Opium Verwendung von Opium Art. 2 Verwendung von Opium Die Vertragspartner haben die Verwendung von Opium ausschliesslich auf den medizinischen und wissenschaftlichen Bedarf zu beschränken.
Capo II Disciplina della produzione, del commercio e dell’utilizzazione dell’oppio Utilizzazione dell’oppio Art. 2 Utilizzazione dell’oppio Le Parti devono limitare l’utilizzazione dell’oppio al solo fabbisogno medico e scientifico.
CH
0.812.121.3
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_II/art_3
Chapitre II Réglementation de la production, Contrôle dans les Etats producteurs Art. 3 Contrôle dans les Etats producteurs Dans le but de contrôler la production, le commerce et l’emploi de l’opium: 1. Tout Etat producteur doit établir, s’il ne l’a déjà fait, et maintenir un ou plusieurs organismes d’Etat spécialisés (désignés ci‑après dans le présent article par le terme Organisme) afin d’accomplir les fonctions qui lui, ou leur, sont dévolues dans le présent article. Les fonctions visées aux paragraphes 2 à 6 du présent article doivent être exécutées par un seul organisme si la Constitution de l’Etat intéressé le permet. 2. La production doit être limitée à des régions désignées par l’Organisme ou, le cas échéant, par les autorités gouvernementales compétentes. 3. Les cultivateurs détenteurs d’une licence délivrée par l’Organisme ou, le cas échéant, par les autorités gouvernementales compétentes sont seuls autorisés à se livrer à la production. 4. Toute licence doit spécifier la superficie du terrain sur lequel la culture du pavot est autorisée. 5. Tout cultivateur de pavot doit être requis de livrer la totalité de sa récolte d’opium à l’Organisme. L’Organisme doit acheter la récolte et en prendre matériellement possession dès que possible. 6. L’Organisme ou, le cas échéant, les autorités gouvernementales compétentes auront seuls le droit d’importer, d’exporter, de se livrer au commerce de gros de l’opium et de conserver des stocks d’opium, à l’exception des stocks détenus par des fabricants autorisés à fabriquer des alcaloïdes à partir de l’opium. 7. Aucune disposition du présent article ne doit être considérée comme permettant dérogation aux obligations déjà contractées et aux lois promulguées par une Partie, conformément aux Conventions existantes relatives au contrôle de la culture du pavot.
Kapitel II Regelung der Erzeugung und der Anwendung von Opium Kontrolle in den Erzeugerstaaten Art. 3 Kontrolle in den Erzeugerstaaten Zum Zwecke der Kontrolle der Opiumerzeugung, des Handels und der Verwendung wird vereinbart: 1. Jeder Erzeugerstaat hat, sofern dies nicht bereits geschehen ist, eine oder mehrere besondere staatliche Stellen (in diesem Artikel in der Folge als Stelle bezeichnet) zu errichten und zu unterhalten, welche die ihr oder ihnen gemäss diesem Artikel zukommenden Aufgaben durchzuführen haben. Die in den Ziffern 2–6 dieses Artikels angeführten Aufgaben sollen, sofern dies nach der Verfassung des betreffenden Staates zulässig ist, von einer einzigen Stelle durchgeführt werden. 2. Die Erzeugung ist auf den von der Stelle oder gegebenenfalls den hierfür zuständigen Behörden festgesetzten Bezirk zu beschränken. 3. Mit der Erzeugung dürfen sich nur die Pflanzer befassen, die im Besitze einer von der Stelle oder gegebenenfalls den zuständigen Behörden ausgestellten Lizenz sind. 4. Jede Lizenz hat die bewilligte Mohnanbaufläche zu bezeichnen. 5. Jeder Pflanzer ist zu verpflichten, seine gesamte Opiumernte an die Stelle abzuliefern. Diese hat die Ernte zu kaufen und sie sobald als möglich in Verwahrung zu nehmen. 6. Die Stelle oder gegebenenfalls die zuständigen staatlichen Behörden haben das ausschliessliche Recht zur Ein- und Ausfuhr, zum Grosshandel und zur Lagerhaltung von Opium. Ausgenommen hievon sind Lagerbestände bei Fabrikanten, die eine Erlaubnis zur Herstellung von Alkaloiden aus Opium besitzen. 7. Aus keiner Bestimmung dieses Artikels darf die Erlaubnis abgeleitet werden, die durch einen Vertragspartner gemäss den bereits bestehenden Abkommen über die Kontrolle des Mohnanbaus eingegangenen Verpflichtungen und erlassenen Gesetze abzuändern.
Capo II Disciplina della produzione, del commercio e dell’utilizzazione dell’oppio Controllo negli Stati produttori Art. 3 Controllo negli Stati produttori Al fine di controllare la produzione, il commercio e l’utilizzazione dell’oppio: 1. Ogni Stato produttore deve creare, qualora già non vi abbia provveduto, e mantenere, uno o più organi statali specializzati (designati qui di seguito nel presente articolo col termine di «Organo»), il cui fine è quello di adempiere le funzioni ad esso o ad essi attribuiti dal presente articolo. Le funzioni previste dai paragrafi da 2 a 6 del presente articolo devono essere svolte da un solo organo, in quanto non vi osti la Costituzione dello Stato interessato. 2. La produzione deve essere contenuta in regioni determinate dall’Organo, o, al caso, dalle autorità governative competenti. 3. Autorizzati alla produzione sono esclusivamente i coltivatori in possesso di una licenza rilasciata dall’Organo o, al caso, dalla autorità governative competenti. 4. Ogni licenza deve indicare la superficie sulla quale è ammessa la coltivazione del papavero. 5. Ogni coltivatore di papavero deve essere tenuto a consegnare il suo intero raccolto d’oppio all’Organo. L’Organo deve acquistare il raccolto ed entrarne materialmente in possesso il più presto possibile. 6. Il diritto d’importare, d’esportare, di praticare il commercio all’ingrosso dell’oppio e di conservare riserve d’oppio, eccettuate quelle detenute dai fabbricanti autorizzati a ricavare alcaloidi dall’oppio, spetta esclusivamente all’Organo o, al caso, alle autorità governative competenti. 7. Nessuna disposizione del presente articolo deve consentire una deroga agli obblighi già assunti ed alle leggi emanate da una Parte in conformità alle vigenti Convenzioni concernenti il controllo della coltivazione del papavero.
CH
0.812.121.3
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_II/art_4
Chapitre II Réglementation de la production, Contrôle de la culture du pavot destinée à des fins autres Art. 4 Contrôle de la culture du pavot destinée à des fins autres que la récolte de l’opium Toute Partie qui autorise la culture et l’utilisation du pavot à des fins autres que la production de l’opium, que cette Partie permette ou non la production de l’opium, s’engage: a. A promulguer toute loi où tout règlement nécessaire en vue d’assurer: (i) Que les pavots cultivés à des fins autres que la production de l’opium ne serviront pas à produire de l’opium; (ii) Que la fabrication de substances stupéfiantes à partir de la paille de pavot sera contrôlée de façon adéquate; b. A communiquer au Secrétaire général le texte de toute loi ou de tout règlement promulgué à cette fin; et c. A communiquer chaque année au Comité, à la date fixée par ce dernier, les statistiques des importations et des exportations de paille de pavot effectuées, à quelque fin que ce soit, au cours de l’année précédente.
Kapitel II Regelung der Erzeugung und der Anwendung von Opium Kontrolle des nicht zur Opiumgewinnung bestimmten Mohnanbaus Art. 4 Kontrolle des nicht zur Opiumgewinnung bestimmten Mohnanbaus Die Vertragspartner, die den Anbau und die Verwendung von Mohn für andere Zwecke als für die Herstellung von Opium erlauben, verpflichten sich, gleichgültig ob sie die Erzeugung von Opium gestatten oder nicht: a. Gesetze oder sonstige Vorschriften zu erlassen, um sicherzustellen i. dass aus Mohn, der für andere Zwecke als zur Gewinnung von Opium angebaut wird, nicht Opium hergestellt wird; ii. dass die Herstellung von Betäubungsmitteln aus Mohnstroh angemessen kontrolliert wird; b. dem Generalsekretär die zu diesem Zweck erlassenen Gesetze oder sonstigen Vorschriften zur Kenntnis zu bringen; und c. dem Komitee alljährlich zu dem von ihm bestimmten Termin die Statistiken über das im vorhergehenden Jahr, gleichgültig zu welchen Zwecken, ein- und ausgeführte Mohnstroh bekannt zu geben.
Capo II Disciplina della produzione, del commercio e dell’utilizzazione dell’oppio Controllo della coltivazione del papavero destinato a scopi diversi dalla raccolta dell’oppio Art. 4 Controllo della coltivazione del papavero destinato a scopi diversi dalla raccolta dell’oppio Ogni parte che autorizza la coltivazione e l’utilizzazione del papavero per scopi diversi dalla produzione dell’oppio, sia che detta Parte consenta la produzione dell’oppio, sia che la vieti, s’impegna: a. ad emanare le leggi ed i regolamenti necessari per garantire: (i) che dal papavero coltivato per scopi diversi dalla produzione dell’oppio non venga ricavato oppio; (ii) che sia adeguatamente controllata la fabbricazione di prodotti stupefacenti ricavati dalla paglia del papavero; b. a comunicare al Segretario generale il testo di tutte le leggi e di tutti i regolamenti emanati a tal fine; e c. a comunicare annualmente al Comitato, alla data fissata da quest’ultimo, le statistiche concernenti le importazioni e le esportazioni della paglia del papavero, effettuate, per qualsiasi scopo, nel corso dell’anno precedente.
CH
0.812.121.3
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_II/art_5
Chapitre II Réglementation de la production, Limitation des stocks Art. 5 Limitation des stocks En vue de limiter aux besoins médicaux et scientifiques la quantité d’opium produite dans le monde: 1. Les Parties doivent réglementer la production, l’exportation et l’importation de l’opium de telle manière que les stocks détenus par toute Partie au 31 décembre de chaque année ne dépassent pas: a. Pour tout Etat producteur énuméré à l’alinéa a du paragraphe 2 de l’article 6, la somme totale de la quantité d’opium exportée par cet Etat à des fins médicales ou scientifiques et de la quantité d’opium utilisée à l’intérieur de cet Etat pour la fabrication d’alcaloïdes au cours de deux années, quelles qu’elles soient, plus la moitié de la quantité totale utilisée pour la fabrication d’alcaloïdes et de celle exportée pour une autre année quelle qu’elle soit, lesdites années étant désignées par cette Partie sous réserve qu’elles soient postérieures au 1 er janvier 1946. Ladite Partie sera en droit de désigner des périodes différentes pour le calcul des quantités exportées et pour celui des quantités utilisées; b. Pour toute Partie autre que celle visée à l’alinéa a du présent paragraphe qui, compte tenu des dispositions des Conventions de 1925 et de 1931 pour autant qu’elles sont applicables à cette Partie, permet la fabrication d’alcaloïdes, ses besoins normaux pour une période de deux ans. Le montant de ces besoins est fixé par le Comité; c. Pour toute autre Partie, le montant total de l’opium consommé au cours des cinq années précédentes. 2. a. Si un des Etats producteurs visés à l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article décide de cesser d’être producteur d’opium pour l’exportation et souhaite ne plus être inclus dans la catégorie d’Etat producteur établie par l’alinéa a du paragraphe 2 de l’article 6, il doit adresser au Comité une déclaration à cet effet au moment où la prochaine notification annuelle devrait être effectuée conformément à l’alinéa b du paragraphe 3 du présent article. A partir du moment où elle formule une telle déclaration, la Partie auteur de celle‑ci n’est plus censée faire partie des Etats mentionnés à l’alinéa a du paragraphe 2 de l’article 6 et elle ne sera plus admise à en faire partie à l’avenir. Dès reçu de cette déclaration, le Comité inscrit, selon le cas, la Partie intéressée dans l’une ou l’autre des catégories prévues par les alinéas b ou c du paragraphe 1 et en adresse notification à toutes les autres Parties au présent Protocole. Aux fins du présent Protocole tout changement de catégorie prend effet à la date de la notification du Comité; b. La procédure définie à l’alinéa précédent est applicable à toute déclaration présentée par une Partie désireuse de se voir transférée de la catégorie prévue à l’alinéa b du paragraphe 1 du présent article à celle que vise l’alinéa c du même paragraphe ou vice versa, étant entendu, toutefois, que dans ce cas la Partie en question peut, sur sa demande, être réadmise dans la catégorie à laquelle elle appartenait précédemment. 3. a. Les quantités d’opium stipulées aux alinéas a et c du paragraphe 1 du présent article sont calculées sur la base des statistiques arrêtées par le Comité dans ses rapports annuels, y compris celles de la période prenant fin au 31 décembre de l’année précédente telles qu’elles sont publiées ultérieurement; b. Toute Partie à laquelle s’appliquent les alinéas a ou b du paragraphe 1 du présent article doit notifier chaque année au Comité, selon le cas: (i) Les périodes de référence qu’elle a choisies conformément à l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article, ou (ii) La quantité d’opium qu’elle désire voir considérée par le Comité comme représentant ses besoins normaux pour l’application de l’alinéa b du paragraphe 1 du présent article; c. La notification prévue à l’alinéa précédent doit parvenir au Comité au plus tard le premier jour du mois d’août de l’année qui précède la date à laquelle cette notification se rapporte; d. Si une Partie qui est tenue d’adresser une des notifications prévues à l’alinéa b du présent paragraphe ne l’a pas fait à la date prévue, le Comité doit, sous réserve des dispositions de l’alinéa ci‑après, adopter les données contenues dans la dernière notification pertinente effectuée par cette Partie. Si le Comité ne reçoit de la Partie en cause aucune notification pertinente, il doit, selon le cas et sans consulter de nouveau cette Partie, mais en tenant dûment compte des renseignements dont il dispose, des buts du présent Protocole et des intérêts de ladite Partie: (i) Choisir les périodes de référence visées à l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article, ou (ii) Fixer la quantité représentant les besoins normaux visés à l’alinéa b du paragraphe 1 du présent article; e. Si le Comité reçoit une notification à une date postérieure à celle qui est fixée à l’alinéa c du présent paragraphe, il peut agir comme si cette notification lui était parvenue en temps voulu; f. Le Comité notifie chaque année: (i) A toute Partie visée à l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article, quelles sont les années de référence choisies en conformité soit dudit alinéa, soit des alinéas d et e du paragraphe 3 du présent article; (ii) A toute Partie visée à l’alinéa b du paragraphe 1 du présent article, quelle est la quantité d’opium qu’en conformité dudit alinéa il considère comme représentant les besoins normaux de cette Partie; g. Le Comité envoie les notifications visées à l’alinéa f du présent paragraphe au plus tard le 15 décembre de l’année qui précède la date à laquelle se rapportent les renseignements qu’elles contiennent. 4. a. En ce qui concerne les Etats parties au présent Protocole à la date de son entrée en vigueur les dispositions du paragraphe 1 du présent article prennent effet à la date du 31 décembre de l’année suivant celle au cours de laquelle le Protocole est entré en vigueur; b. En ce qui concerne tout autre Etat, les dispositions du paragraphe 1 du présent article prennent effet à dater du 31 décembre de l’année suivant celle au cours de laquelle l’Etat en question est devenu partie au Protocole. 5. a. Si le Comité estime que les circonstances sont exceptionnelles, il peut, sous les conditions et pour la période de temps qu’il détermine, dispenser une Partie d’observer les obligations prévues par le paragraphe 1 du présent article en ce qui concerne le niveau maximum des stocks d’opium; b. S’il existe lors de l’entrée en vigueur du présent Protocole dans un Etat producteur visé à l’alinéa a du paragraphe 2 de l’article 6 des stocks d’opium dépassant le niveau maximum autorisé par l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article, le Comité à sa discrétion, doit tenir compte de cet état de choses pour éviter que l’Etat en question ne subisse les difficultés économiques qu’entraînerait une réduction trop rapide des stocks d’opium au niveau maximum prescrit par l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article.
Kapitel II Regelung der Erzeugung und der Anwendung von Opium Beschränkung der Lagerbestände Art. 5 Beschränkung der Lagerbestände Um die Opium-Erzeugung der Welt auf den medizinischen und wissenschaftlichen Bedarf zu beschränken, sind folgende Massnahmen zu ergreifen: 1. Die Vertragspartner haben die Erzeugung sowie die Ein- und Ausfuhr von Opium derart zu regeln, dass die Lagerbestände keiner Vertragspartei am 31. Dezember eines jeden Jahres folgende Mengen übersteigen: a. in den in Artikel 6 Ziffer 2 Buchstabe a angeführten Erzeugerstaaten: die gesamte vom betreffenden Staat für medizinische und wissenschaftliche Zwecke ausgeführte und die vom betreffenden Staat für die Herstellung von Alkaloiden im Innern im Verlauf von zwei beliebigen Jahren benötigte Opiummenge und dazu die Hälfte der Opiummenge, die in einem andern Jahr zur Herstellung von Alkaloiden und zur Ausfuhr benötigt wurde, wobei die genannten Jahre vom betreffenden Vertragspartner zu bezeichnen sind und nicht vor dem 1. Januar 1946 liegen dürfen. Die betreffenden Vertragspartner sind berechtigt, zur Berechnung der ausgeführten und verbrauchten Mengen verschiedene Zeiträume zu wählen; b. bei den nicht unter Buchstabe a dieser Ziffer fallenden Vertragspartnern, die unter Berücksichtigung der Bestimmungen der Abkommen von 1925 und 1931 – sofern diese auf sie Anwendung finden – die Herstellung von Opiumalkaloiden gestatten: den normalen Bedarf für einen Zeitraum von zwei Jahren. Die Höhe dieses Bedarfes wird vom Komitee festgesetzt; c. bei jedem andern Vertragspartner: die gesamte während der vorangegangenen fünf Jahre verbrauchte Opiummenge. 2. a. Wenn einer der in Ziffer 1 Buchstabe a genannten Staaten die Erzeugung von Opium zur Ausfuhr einzustellen beschliesst und aus der Gruppe der in Artikel 6 Ziffer 2 Buchstabe a genannten Erzeugungsstaaten ausgeschlossen zu werden wünscht, so hat er dies dem Komitee im Zeitpunkt, wo die nächste Jahresmeldung nach Ziffer 3 Buchstabe b dieses Artikels zu erstatten wäre, anzuzeigen. Vom Zeitpunkt einer solchen Erklärung an gehört der betreffende Vertragspartner nicht mehr zu den in Artikel 6 Ziffer 2 Buchstabe a erwähnten Staaten und darf auch in Zukunft nicht mehr in diese Gruppe aufgenommen werden. Nach Empfang einer solchen Erklärung teilt das Komitee den betreffenden Staat entweder in die in Buchstabe b oder in die in Buchstabe c der Ziffer 1 dieses Artikels angeführte Gruppe ein und verständigt hievon alle anderen Teilnehmer des vorliegenden Protokolls. Im Sinne dieses Protokolls tritt jede Änderung der Kategorie mit dem Tage der Kenntnisnahme durch das Komitee in Kraft. b. Das in Buchstabe a dieser Ziffer festgelegte Verfahren wird auch auf die Anzeige eines Vertragspartners angewendet, der aus der in Buchstabe b der Ziffer 1 dieses Artikels angeführten Gruppe in die in Buchstabe c der Ziffer 1 dieses Artikels angeführte Gruppe oder umgekehrt versetzt werden will; dies jedoch mit dem Vorbehalt, dass jeder Vertragspartner auf seinen Antrag in die Gruppe zurückversetzt werden kann, in der er sich früher befunden hat. 3. a. Die in Ziffer 1 Buchstaben a und c dieses Artikels angeführten Opiummengen werden auf Grund der Statistiken berechnet, die vom Komitee in seinen jährlichen Berichten aufgestellt werden, mit Einschluss der noch nicht veröffentlichten und auf 31. Dezember abgeschlossenen Statistiken des Vorjahres. b. Jeder Vertragspartner, auf den sich die Buchstaben a und b der Ziffer 1 des vorliegenden Artikels beziehen, hat dem Komitee je nachdem alljährlich zu melden: i. die Zeiträume, die er gemäss Buchstabe a der Ziffer 1 dieses Artikels gewählt hat, oder ii. die Opiummenge, die er vom Komitee gemäss Buchstabe b der Ziffer 1 dieses Artikels als Normalbedarf festgesetzt erhalten möchte. c. Die im vorhergehenden Buchstaben vorgesehene Meldung muss beim Komitee spätestens am 1. August des Jahres einlangen, das dem Zeitraum, auf welchen sie sich bezieht, vorangeht. d. Unterlässt es ein Vertragspartner, der gehalten ist, eine Meldung nach Buchstabe b dieser Ziffer abzugeben, diese rechtzeitig zu übermitteln, so hat das Komitee unter Vorbehalt der Bestimmungen des folgenden Buchstabens die Angaben anzunehmen, die in der letzten entsprechenden Meldung des betreffenden Vertragsteilnehmers enthalten waren. Wenn das Komitee aber von einem Vertragspartner überhaupt keine entsprechende Meldung erhalten hat, soll es, je nachdem und ohne diesen erneut zu befragen, aber unter gebührender Berücksichtigung der ihm zur Verfügung stehenden Unterlagen, der Ziele dieses Protokolls und der Interessen des betreffenden Vertragsteilnehmers, entweder i. selbst die in Buchstabe a der Ziffer 1 dieses Artikels vorgesehenen Zeiträume wählen oder ii. den Normalbedarf nach Buchstabe b der Ziffer 1 dieses Artikels bestimmen. e. Erhält das Komitee eine Anzeige nach dem in Buchstabe c dieser Ziffer festgesetzten Termin, so steht es ihm frei, so vorzugehen, als ob ihm die Meldung rechtzeitig zugegangen wäre. f. Das Komitee meldet jährlich: i. jedem der in Buchstabe a der Ziffer 1 dieses Artikels angeführten Vertragspartner die gemäss diesem Buchstaben oder nach den Buchstaben d und e der Ziffer 3 dieses Artikels gewählten Stichjahre; ii. jedem der in Buchstabe b der Ziffer 1 dieses Artikels angeführten Vertragspartner die Opiummenge, die es gemäss dem erwähnten Buchstaben als Normalbedarf dieses Vertragsteilnehmers ansieht. g. Das Komitee verschickt die in Buchstabe f dieser Ziffer vorgesehenen Meldungen bis spätestens am 15. Dezember des Jahres, das dem Zeitraum vorangeht, auf welchen sie sich beziehen. 4. a. Für Staaten, die zum Zeitpunkt des Inkrafttretens des vorliegenden Protokolls Vertragsteilnehmer sind, werden die Bestimmungen der Ziffer 1 dieses Artikels am 31. Dezember des dem Jahre, in welchem das Protokoll in Kraft getreten ist, folgenden Jahres wirksam. b. Für die übrigen Staaten werden die Bestimmungen der Ziffer 1 dieses Artikels ab 31. Dezember des dem Jahre, in welchem der betreffende Staat dem Protokoll beigetreten ist, folgenden Jahres wirksam. 5. a. Findet das Komitee, dass aussergewöhnliche Umstände vorliegen, so kann es unter von ihm bezeichneten Bedingungen und für einen von ihm zu bestimmenden Zeitraum einen Vertragspartner von der Einhaltung der in der Ziffer 1 dieses Artikels auferlegten Verpflichtungen hinsichtlich der höchstzulässigen Lagerbestände an Opium befreien. b. Verfügt einer der in Buchstabe a der Ziffer 2 des Artikels 6 angeführten Erzeugerstaaten zum Zeitpunkt des Inkrafttretens dieses Protokolls über Lagerbestände an Opium, welche die nach Buchstabe a der Ziffer 1 dieses Artikels zulässige Höchstmenge überschreiten, so hat das Komitee diesem Umstande nach freiem Ermessen Rechnung zu tragen, um wirtschaftliche Schwierigkeiten für diesen Staat zu vermeiden, die als Ergebnis einer allzu raschen Verminderung der Lagerbestände an Opium auf die in Buchstabe a der Ziffer 1 dieses Artikels angeführte Höchstmenge eintreten könnten.
Capo II Disciplina della produzione, del commercio e dell’utilizzazione dell’oppio Limiti delle riserve Art. 5 Limiti delle riserve Al fine di limitare al fabbisogno medico e scientifico la quantità di oppio prodotto nel mondo: 1. Le Parti devono disciplinare la produzione, l’esportazione e l’importazione dell’oppio, in maniera che le riserve detenute da ciascuna Parte al 31 dicembre di ogni anno non superino: a. per ogni Stato produttore menzionato alla lettera a del paragrafo 2 dell’articolo 6, la somma totale della quantità d’oppio esportata da questo Stato per fini medici o scientifici, e della qualità d’oppio utilizzata in questo Stato per la fabbricazione di alcaloidi nel corso di un biennio qualsiasi, maggiorata della metà della quantità totale utilizzata per la fabbricazione di alcaloidi e di quella esportata nel corso di un altro anno qualsiasi; gli anni di cui sopra sono designati dalla Parte interessata e devono essere successivi al 1 o gennaio 1946. La Parte può designare per il calcolo delle quantità esportate e per quello delle quantità utilizzate periodi differenti; b. per ciascuna Parte diversa da quelle di cui alla lettera a del presente paragrafo, che, tenuto conto delle disposizioni delle Convenzioni del 1925 e del 1931, in quanto ad essa applicabili, consente la fabbricazione di alcaloidi, il suo fabbisogno normale per un biennio. L’ammontare di tale fabbisogno è determinato dal Comitato; c. per ciascuna altra Parte, la quantità d’oppio consumata nel corso dell’ultimo quinquennio. 2. a. Qualora uno degli Stati produttori di cui alla lettera a del paragrafo 1 del presente articolo decida di cessare la produzione d’oppio per l’esportazione e desideri d’essere escluso dalla categoria di Stati produttori stabilita dalla lettera a del paragrafo 2 dell’articolo 6, esso deve far pervenire al Comitato una dichiarazione a tal uopo nel momento in cui dovrebbe essere effettuata la prossima notificazione annuale ai sensi della lettera b del paragrafo 3 del presente articolo. Dal momento in cui ha formulato tale dichiarazione, la Parte non è più considerata appartenente alla categoria degli Stati menzionati alla lettera a del paragrafo 2 dell’articolo 6 e non sarà più ammessa a farne parte in avvenire. Ricevuta la dichiarazione predetta, il Comitato iscrive la Parte interessata, secondo i casi, nell’una o nell’altra categoria prevista dalle lettere b e c del paragrafo 1 e notifica ciò a tutte le altre Parti del presente Protocollo. Ai fini del presente Protocollo, ogni cambiamento di categoria ha effetto dalla data della notificazione fatta dal Comitato; b. La procedura descritta alla lettera precedente si applica ad ogni dichiarazione presentata da una Parte che intende essere trasferita dalla categoria prevista alla lettera b del paragrafo 1 del presente articolo a quella prevista dalla lettera c dello stesso paragrafo, e viceversa; la Parte interessata può, tuttavia, in questo caso, essere riammessa, su sua domanda, nella categoria a cui apparteneva in precedenza. 3. a. Le quantità d’oppio di cui alle lettere a e c del paragrafo 1 del presente articolo sono calcolate in base alle statistiche stabilite dal Comitato nei suoi rapporti annuali, comprese quelle del periodo con scadenza al 31 dicembre e che devono ancora essere pubblicate; b. Ciascuna Parte alla quale si applicano le lettere a o b del paragrafo 1 del presente articolo deve notificare annualmente al Comitato, secondo i casi: (i) i periodi di riferimento da essa scelti in conformità alla lettera a del paragrafo 1 del presente articolo, o (ii) la quantità d’oppio che essa desidera sia considerata dal Comitato come quella che rappresenti il suo normale fabbisogno ai fini dell’applicazione della lettera b del paragrafo 1 del presente articolo; c. La notificazione di cui alla lettera procedente deve pervenire al Comitato al più tardi entro il 1 o agosto dell’anno anteriore alla data alla quale la notificazione si riferisce; d. Qualora una Parte tenuta a procedere ad una delle notificazioni di cui alla lettera b del presente paragrafo, non l’abbia fatto nel termine previsto, il Comitato deve valersi, con riserva delle disposizioni della lettera successiva, dei dati contenuti nell’ultima notificazione pertinente, effettuata da detta Parte. Qualora il Comitato non riceva dalla Parte alcuna notificazione, esso deve, secondo i casi e senza consultare nuovamente la Parte, ma tenendo debito conto delle informazioni di cui dispone, dei fini del presente Protocollo e degli interessi della Parte: (i) scegliere i periodi di riferimento di cui alla lettera a del paragrafo 1 del presente articolo, o (ii) determinare la quantità che rappresenti il fabbisogno normale di cui alla lettera b del paragrafo 1 del presente articolo; e. Qualora riceva una notificazione in data successiva a quella fissata alla lettera e del presente paragrafo, il Comitato può procedere come se la stessa gli fosse pervenuta in tempo; f. Il Comitato notifica annualmente: (i) ad ognuna delle Parti di cui alla lettera a del paragrafo 1 del presente articolo, quali siano gli anni di riferimento scelti in conformità sia alla predetta lettera, sia alle lettere d e e del paragrafo 3 del presente articolo; (ii) ad ognuna delle Parti di cui alla lettera b del paragrafo 1 del presente articolo, quale sia la quantità d’oppio che, in conformità alla predetta lettera, si considera che rappresenti il fabbisogno normale della Parte stessa; g. Il Comitato invia le notificazioni di cui alla lettera f del presente paragrafo al più tardi il 15 dicembre dell’anno precedente la data cui si riferiscono le comunicazioni in esse contenute. 4. a. Per gli Stati che siano Parti del presente Protocollo alla data della sua entrata in vigore, le disposizioni del paragrafo 1 del presente articolo hanno effetto dal 31 dicembre dell’anno successivo a quello in cui il Protocollo è entrato in vigore; b. Per tutti gli altri Stati, le disposizioni del paragrafo 1 del presente articolo hanno effetto dal 31 dicembre dell’anno successivo a quello in cui lo Stato interessato ha aderito al Protocollo. 5. a. Qualora ritenga che ricorrono circostanze eccezionali, il Comitato può, alle condizioni e per il tempo che esso determina, dispensare una Parte dall’osservanza degli obblighi previsti dal paragrafo 1 del presente articolo per quel che concerne le riserve massime d’oppio consentite; b. Qualora al momento dell’entrata in vigore del presente Protocollo esistano in uno degli Stati produttori di cui alla lettera a del paragrafo 2 dell’articolo 6 riserve d’oppio superiori al livello massimo consentito dalla lettera a del paragrafo 1 del presente articolo, il Comitato deve tener conto discrezionalmente di tale circostanza, al fine di evitare che detto Stato abbia a subire pregiudizi economici dipendenti da una riduzione troppo rapida delle riserve al livello massimo prescritto dalla lettera a del paragrafo 1 del presente articolo.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_II/art_6
Chapitre II Réglementation de la production, Commerce international de l’opium Art. 6 Commerce international de l’opium 1. Les Parties s’engagent à limiter l’importation et l’exportation de l’opium aux seuls besoins médicaux et scientifiques. 2. a. Sans qu’il soit par là dérogé aux dispositions du paragraphe 5 de l’article 7, les Parties s’engagent à ne pas permettre l’exportation et l’importation d’opium autre que l’opium produit dans l’un quelconque des Etats ci‑après qui, au moment où s’effectuera l’importation ou l’exportation considérée, sera partie au présent Protocole: Bulgarie, Grèce, Inde, Iran, Turquie, Union des Républiques socialistes soviétiques, Yougoslavie; b. Les Parties s’engagent à ne pas permettre l’importation de l’opium en provenance d’un Etat quelconque qui n’est pas partie au présent Protocole. 3. Nonobstant les dispositions de l’alinéa a du paragraphe 2 du présent article, toute Partie peut autoriser, exclusivement pour sa consommation intérieure et sans dépasser les besoins d’une année, l’importation et l’exportation, s’effectuant entre ses territoires, d’opium produit dans un de ces territoires. 4. Les Parties doivent appliquer aux importations et aux exportations d’opium le système de certificats d’importation et d’autorisations d’exportation prévu par le chapitre V de la Convention de 1925, sous réserve que l’article 18 de cette dernière sera inapplicable. Il sera néanmoins loisible à une Partie d’imposer relativement à ses importations et à ses exportations d’opium des conditions plus restrictives que celles stipulées par le chapitre V de la Convention de 1925.
Kapitel II Regelung der Erzeugung und der Anwendung von Opium Internationaler Opiumhandel Art. 6 Internationaler Opiumhandel 1. Die Vertragspartner verpflichten sich, die Ein- und Ausfuhr von Opium ausschliesslich auf den medizinischen und wissenschaftlichen Bedarf zu beschränken. 2. a. Unbeschadet der Bestimmungen des Artikels 7 Ziffer 5 verpflichten sich die Vertragspartner, keine Ein- und Ausfuhr von Opium zu gestatten, das nicht in einem der folgenden Staaten, die zur Zeit der betreffenden Ein- oder Ausfuhr Teilnehmer am vorliegenden Protokoll sein müssen, erzeugt wurde: Bulgarien Griechenland Indien Iran Jugoslawien Türkei Union der Sozialistischen Sowjetrepubliken. b. Die Vertragspartner verpflichten sich, die Einfuhr von Opium aus keinem Staat zu gestatten, der nicht Teilnehmer dieses Protokolls ist. 3. Unbeschadet der Bestimmungen dieses Artikels, Ziffer 2 Buchstabe a darf jeder Vertragspartner das in einem seiner Gebiete erzeugte Opium zwischen seinen Gebieten für den ausschliesslichen Inlandverbrauch und ohne den Jahresbedarf zu überschreiten ein- und ausführen. 4. Bei der Ein- und Ausfuhr muss von den Teilnehmern des vorliegenden Protokolls das System der Einfuhrzertifikate und Ausfuhrgenehmigungen, welches im Kapitel V des Abkommens von 1925 vorgesehen ist, mit Ausnahme der Bestimmungen des Artikels 18 dieses Kapitels, angewendet werden. Jeder Vertragspartner kann jedoch hinsichtlich seiner Opiumein- und -ausfuhr einschränkender Bestimmungen treffen, als sie im Kapitel V des Abkommens von 1925 vorgesehen sind.
Capo II Disciplina della produzione, del commercio e dell’utilizzazione dell’oppio Commercio internazionale dell’oppio Art. 6 Commercio internazionale dell’oppio 1. Le Parti s’impegnano a limitare l’importazione e l’esportazione dell’oppio al solo fabbisogno medico e scientifico. 2. a. Ferme restando le disposizioni del paragrafo 5 dell’articolo 7, le Parti s’impegnano a consentire soltanto l’esportazione e l’importazione di oppio prodotto in uno qualsiasi degli Stati seguenti, che, al momento in cui si effettua l’importazione o l’esportazione considerata, sia Parte del presente Protocollo: Bulgaria, Grecia, India, Iran, Jugoslavia, Turchia, Unione delle Repubbliche socialiste sovietiche; b. Le Parti s’impegnano a non consentire l’importazione di oppio proveniente da un qualsiasi Stato che non sia Parte del presente Protocollo. 3. Ferme restando le disposizioni della lettera a del paragrafo 2 del presente articolo, ciascuna Parte può autorizzare, per il suo esclusivo consumo interno e senza superare il fabbisogno di un anno, l’importazione e l’esportazione tra i propri territori di oppio prodotto in uno di questi territori. 4. Le Parti devono applicare alle importazioni ed alle esportazioni d’oppio il sistema di certificati d’importazione e di permessi di esportazioni previsti dal Capo V della Convenzione del 1925, eccettuate le disposizioni dell’articolo 18. È tuttavia consentito ad una Parte di stabilire per le sue importazioni ed esportazioni d’oppio condizioni più restrittive di quelle disposte dal Capo V della Convenzione del 1925.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_II/art_7
Chapitre II Réglementation de la production, Disposition de l’opium saisi Art. 7 Disposition de l’opium saisi 1. Sauf s’il en est disposé autrement dans le présent article, tout opium saisi lors de transactions illicites doit être détruit. 2. Toute Partie a le droit de faire transformer, sous son contrôle, en totalité ou en partie, en substances non stupéfiantes, les stupéfiants contenus dans l’opium saisi, ou a le droit de réserver, en totalité ou en partie, cet opium et les alcaloïdes qui peuvent être fabriqués à partir de cet opium, à telles utilisations d’ordre médical ou scientifique que le gouvernement pourra en faire, ou qui pourront en être faites sous son contrôle. 3. Tout Etat producteur énuméré à l’alinéa a du paragraphe 2 de l’article 6 et qui est partie au présent Protocole a le droit de consommer et d’exporter l’opium saisi dans son pays ou les alcaloïdes fabriqués à partir de cet opium. 4. L’opium saisi et qui pourra être identifié comme dérobé d’un entrepôt d’Etat ou autre entrepôt licite peut être restitué à son propriétaire. 5. Toute Partie qui ne permet sur son territoire ni la production de l’opium ni la fabrication d’alcaloïdes de l’opium peut, dès qu’elle a obtenu l’autorisation du Comité, exporter, vers le territoire d’une Partie qui fabrique des alcaloïdes de l’opium, une quantité déterminée d’opium que ses propres autorités ont saisie, afin d’obtenir, en contrepartie, des alcaloïdes de l’opium, ou des drogues contenant des alcaloïdes de l’opium, ou encore afin de faire extraire ces alcaloïdes pour ses propres besoins médicaux ou scientifiques. Toutefois, la quantité d’opium ainsi exportée pour une année donnée ne pourra être supérieure à la quantité équivalant, en opium, aux besoins annuels de la Partie exportatrice tant en opium médicinal qu’en drogues contenant de l’opium ou des alcaloïdes de l’opium; la quantité en excédent devra être détruite.
Kapitel II Regelung der Erzeugung und der Anwendung von Opium Verfügung über beschlagnahmtes Opium Art. 7 Verfügung über beschlagnahmtes Opium 1. Sofern in diesem Artikel nichts anderes bestimmt wird, ist das gesamte im unerlaubten Verkehr beschlagnahmte Opium zu vernichten. 2. Die Vertragspartner können die in beschlagnahmtem Opium enthaltenen Betäubungsmittel unter behördlicher Kontrolle ganz oder teilweise in Stoffe umwandeln, die nicht Betäubungsmittel sind, oder dieses Opium und die daraus hergestellten Alkaloide ganz oder teilweise zur medizinischen oder wissenschaftlichen Verwendung durch amtliche Stellen oder unter amtlicher Kontrolle zulassen. 3. Jeder der in Buchstabe a der Ziffer 2 des Artikels 6 angeführten Opiumerzeuger, der Teilnehmer dieses Protokolls ist, kann das innerhalb seines Gebietes beschlagnahmte Opium oder die daraus gewonnenen Alkaloide verbrauchen oder ausführen. 4. Beschlagnahmtes Opium, bei dem festgestellt wird, dass es aus der Verwahrung der Regierung oder aus einem anderen behördlich bewilligten Lager entwendet wurde, kann seinem rechtmässigen Eigentümer zurückgegeben werden. 5. Vertragspartner, die auf ihrem Gebiet weder die Opium- noch die Opiumalkaloideerzeugung gestatten, können mit Genehmigung des Komitees eine bestimmte Menge des von ihren Behörden beschlagnahmten Opiums im Austausch gegen Opiumalkaloide oder Opiumalkaloide enthaltende Arzneimittel oder zur Gewinnung solcher Alkaloide für den eigenen medizinischen oder wissenschaftlichen Bedarf in das Gebiet eines Vertragsteilnehmers ausführen, der Alkaloide aus Opium herstellt. Die Menge des in einem Jahre derart ausgeführten Opiums darf aber den Jahresbedarf an Opium des betreffenden ausführenden Vertragspartners nicht übersteigen, weder in Form von medizinischem Opium noch in Form von Opium oder Opiumalkaloide enthaltenden Arzneimitteln; die darüber hinausgehende Menge ist zu vernichten.
Capo II Disciplina della produzione, del commercio e dell’utilizzazione dell’oppio Impiego dell’oppio sequestrato Art. 7 Impiego dell’oppio sequestrato 1. Qualora non sia altrimenti disposto nel presente articolo, tutto l’oppio sequestrato proveniente da traffico illecito deve essere distrutto. 2. Ciascuna Parte ha il diritto di fare trasformare, in sostanze non stupefacenti, sotto suo controllo, totalmente o parzialmente, gli stupefacenti contenuti nell’oppio sequestrato, o di destinare, totalmente o parzialmente, detto oppio e gli alcaloidi che possono esserne ricavati, ad uso medico o scientifico a vantaggio di organi statali o da questi controllabile. 3. Ciascuno degli Stati produttori menzionati nella lettera a del paragrafo 2 dell’articolo 6, che faccia parte del presente Protocollo, ha il diritto di consumare e di esportare l’oppio sequestrato nel proprio territorio o gli alcaloidi che ne siano stati ricavati. 4. L’oppio sequestrato, di cui sia accertata la provenienza furtiva da un deposito statale o da altro deposito autorizzato, può essere restituito al suo proprietario. 5. Ciascuna Parte che non consente sul proprio territorio la produzione dell’oppio, nè la fabbricazione di alcaloidi derivati dall’oppio, può, con l’autorizzazione del Comitato, esportare nel territorio di una Parte che fabbrica alcaloidi ricavati dall’oppio, un determinato quantitativo dell’oppio sequestrato dalle proprie autorità, al fine di ottenere, come contropartita, alcaloidi derivati dall’oppio o droghe contenenti alcaloidi derivati dall’oppio, oppure di farne ricavare detti alcaloidi per il proprio fabbisogno medico o scientifico. Tuttavia, il quantitativo d’oppio così esportato in un anno non può essere superiore alla quantità d’oppio determinata per il fabbisogno annuo d’oppio medicinale e di droghe contenenti oppio od alcaloidi derivati dall’oppio della Parte esportatrice; l’eccedenza deve essere distrutta.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_III/art_8
Chapitre III Renseignements à fournir par les gouvernements Evaluations Art. 8 Evaluations 1. D’une façon analogue à ce qu’a prévu pour les «drogues» la Convention de 1931, chaque Partie doit faire parvenir au Comité des évaluations pour l’année suivante concernant chacun de ses territoires et portant sur: a. La quantité d’opium requise pour être utilisée comme telle pour les besoins médicaux et scientifiques, y compris la quantité requise pour la fabrication des préparations exonérées conformément à l’article 8 de la Convention de 1925; b. La quantité d’opium requise pour la fabrication d’alcaloïdes; c. Les stocks qu’elle a l’intention de maintenir, compte tenu des dispositions de l’article 5, et la quantité d’opium qu’il est nécessaire d’ajouter ou de retrancher aux stocks existants pour les porter au niveau voulu; d. Les quantités d’opium qu’elle a l’intention soit d’ajouter aux stocks qu’elle peut avoir constitués à des fins militaires, soit de retrancher desdits stocks en vue de les mettre dans le commerce licite. 2. Par total des évaluations pour chaque pays ou territoire on entend la somme des quantités spécifiées aux alinéas a et b du paragraphe précédent, augmentée de la quantité nécessaire pour porter les stocks visés aux alinéas c et d du même paragraphe au niveau voulu, ou diminuée de la fraction de ces stocks qui dépasserait ce niveau. Toutefois, il ne doit être tenu compte de ces augmentations et diminutions que pour autant que les Parties intéressées auront fait parvenir en temps voulu au Comité les évaluations nécessaires. 3. Chaque Partie qui autorise la production de l’opium doit faire parvenir chaque année au Comité pour chacun de ses territoires une évaluation de la superficie (en hectares), indiquée aussi exactement que possible, sur laquelle elle se propose de cultiver du pavot en vue de récolter de l’opium, et des évaluations approximatives de la quantité d’opium à récolter basées sur le rendement moyen au cours des cinq années qui précèdent. Si la culture du pavot à cette fin est autorisée dans plus d’une région, ces renseignements doivent être fournis séparément pour chaque région. 4. a. Les évaluations prévues aux paragraphes 1 et 3 du présent article doivent être établies selon le modèle qui est prescrit de temps à autre par le Comité. b. Chaque évaluation doit être envoyée au Comité de manière à lui parvenir pour la date qu’il a prescrite. La date fixée peut ne pas être la même pour les évaluations visées au paragraphe 1 du présent article et pour celles visées au paragraphe 3. Le Comité, tenant compte des dates différentes auxquelles a lieu la récolte de l’opium, peut aussi fixer des dates différentes pour les évaluations que les Parties doivent fournir en vertu du paragraphe 3 du présent article. 5. Chaque évaluation doit être accompagnée d’un exposé de la méthode employée pour l’établir et pour calculer les différentes quantités qui y sont inscrites. 6. Les Parties peuvent fournir des évaluations supplémentaires, diminuant ou augmentant les évaluations primitives; ces évaluations supplémentaires doivent être envoyées promptement au Comité avec l’explication des raisons des modifications apportées. A l’exception de l’alinéa b du paragraphe 4 ainsi que du paragraphe 9, les dispositions du présent article s’appliquent à ces évaluations supplémentaires. 7. Les évaluations doivent être examinées par l’Organe de contrôle, lequel peut demander toute indication ou précision supplémentaire pour compléter une évaluation ou pour expliquer toute indication qui y figure, et peut modifier, avec le consentement du gouvernement intéressé, ces évaluations. 8. Le Comité doit demander, pour les pays ou territoires auxquels le présent Protocole ne s’applique pas, des évaluations établies conformément aux dispositions du présent Protocole. 9. Si, pour tout pays ou pour tout territoire, des évaluations ne parviennent pas au Comité à la date fixée par celui‑ci conformément à l’alinéa b du paragraphe 4 du présent article, ces évaluations doivent être établies, autant que faire se pourra, par l’Organe de contrôle. 10. Les évaluations prévues au paragraphe 1, y compris les évaluations établies par l’Organe de contrôle conformément au paragraphe 9 du présent article, ne doivent pas être dépassées par les Parties tant qu’elles n’auront pas été amendées, le cas échéant, par des évaluations supplémentaires. 11. S’il ressort des relevés des importations et des exportations adressés au Comité en vertu de l’article 9 du présent Protocole ou de l’article 22 de la Convention de 1925 que la quantité d’opium exportée à destination d’un pays ou territoire quelconque dépasse le total des évaluations définies au paragraphe 2 du présent article pour ce pays ou ce territoire, augmenté de ses exportations constatées, le Comité doit en aviser immédiatement toutes les Parties. Celles‑ci ne pourront plus autoriser, pendant l’année en question, aucune nouvelle exportation à destination dudit pays ou territoire, sauf: a. Dans le cas où une évaluation supplémentaire sera fournie pour ce pays ou territoire, en ce qui concerne à la fois toute quantité importée en excédent et la quantité supplémentaire requise, ou b. Dans les cas exceptionnels où l’exportation est, de l’avis de la Partie exportatrice, essentielle aux intérêts de l’humanité ou au traitement des malades.
Kapitel III Von den Regierungen zu erstattende Berichte Schätzungen Art. 8 Schätzungen 1. Jeder Vertragspartner hat in gleicher Weise, wie dies für «Stoffe» im Abkommen von 1931 vorgesehen ist, dem Komitee für jedes seiner Gebiete für das folgende Jahr Schätzungen vorzulegen über: a. die Opiummenge, die für medizinische und wissenschaftliche Zwecke benötigt wird, einschliesslich der zur Herstellung von Präparaten, die nach Artikel 8 des Abkommens von 1925 der Kontrolle nicht unterstehen, erforderlichen Menge; b. die zur Herstellung von Alkaloiden benötigte Opiummenge; c. die Lagerbestände, die er nach den Bestimmungen des Artikels 5 halten will, sowie die Opiummenge, um die die vorhandenen Lagerbestände erhöht oder vermindert werden sollen, um sie auf den gewünschten Stand zu bringen; d. die Opiummenge, um welche die für militärische Zwecke bestimmten Lagerbestände vergrössert oder um die diese Bestände zum Zwecke der Abgabe an den legitimen Handel vermindert werden sollen. 2. Als Gesamtschätzungen für jedes Land oder Gebiet gilt die Summe der in den Buchstaben a und b der obenstehenden Ziffer angeführten Mengen zuzüglich der Menge, die notwendig ist, um die in Buchstaben c und d dieser Ziffer angeführten Lagerbestände auf den gewünschten Stand zu bringen, oder abzüglich jener Menge, um welche die Vorräte diesen Stand überschreiten. Die genannten Erhöhungen oder Verminderungen sind aber nur insoweit in die Berechnungen einzubeziehen, als der betreffende Vertragsteilnehmer die nötigen Schätzungen dem Komitee rechtzeitig übermittelt hat. 3. Jeder Vertragspartner, der die Erzeugung von Opium gestattet, hat dem Komitee alljährlich für jedes seiner Gebiete eine möglichst genaue Schätzung der für den Mohnanbau zur Opiumgewinnung bestimmten Fläche (in Hektaren) sowie eine möglichst genaue Schätzung der voraussichtlich zu gewinnenden Opiummenge vorzulegen. Den Ertragsschätzungen ist der mittlere Ertrag der letzten fünf Jahre zugrunde zu legen. Ist der Mohnanbau zur Opiumgewinnung in mehreren Landstrichen gestattet, so sind die Angaben für jedes dieser Gebiete zu machen. 4. a. Die Schätzungen nach den Ziffern 1 und 3 dieses Artikels sind in der vom Komitee jeweils bestimmten Form durchzuführen. b. Jede Schätzung soll so zeitgerecht abgesandt werden, dass sie beim Komitee zu dem von ihm festgesetzten Zeitpunkt eintrifft. Das Komitee kann verschiedene Termine für die nach Ziffer 1 und die nach Ziffer 3 dieses Artikels durchzuführenden Schätzungen festsetzen. Es kann auch für die von den Vertragspartnern nach Ziffer 3 dieses Artikels zu erstattenden Schätzungen unter Berücksichtigung der unterschiedlichen Erntezeiten abweichende Fristen bestimmen. 5. Jeder Schätzung ist eine Darstellung des zu ihrer Erstellung und zur Berechnung der verschiedenen darin enthaltenen Mengen angewandten Verfahrens beizulegen. 6. Die Vertragspartner können Nachtragsschätzungen zur Erhöhung oder Verminderung der in den bereits vorgelegten Schätzungen angeführten Mengen einreichen. Diese Nachtragsschätzungen sind mit einer Begründung ohne Verzug dem Komitee vorzulegen. Auf die Nachtragsschätzungen finden die Bestimmungen dieses Artikels mit Ausnahme von Ziffer 4 Buchstabe b und Ziffer 9 Anwendung. 7. Die Schätzungen sind vom Überwachungsausschuss zu überprüfen. Dieser kann zur Vervollständigung der Schätzungen und zur Erläuterung der darin enthaltenen Angaben jede weitere Angabe oder Klarstellung verlangen. Er ist berechtigt, die Schätzungen mit Einverständnis der betreffenden Regierung abzuändern. 8. Das Komitee soll die Länder oder Gebiete, auf die dieses Protokoll nicht Anwendung findet, gleichfalls um die Abgabe von Schätzungen gemäss den Bestimmungen des vorliegenden Protokolls ersuchen. 9. Kommen die Schätzungen für ein Land oder Gebiet dem Komitee nicht zu dem in Buchstabe b der Ziffer 4 dieses Artikels festgesetzten Zeitpunkt zu, so sind sie so weit als möglich vom Kontrollausschuss selbst vorzunehmen. 10. Die Schätzungen nach Ziffer 1 dieses Artikels sowie die vom Überwachungsausschuss nach Ziffer 9 dieses Artikels vorgenommenen Schätzungen dürfen von den Vertragspartnern solange nicht überschritten werden, als sie nicht durch allfällige Nachtragsschätzungen abgeändert worden sind. 11. Ergibt sich aus den dem Komitee gemäss Artikel 9 des vorliegenden Protokolls oder nach Artikel 22 des Abkommens von 1925 vorgelegten Übersichten über die Ein- und Ausfuhr, dass die nach einem Land oder Gebiet ausgeführte Opiummenge die Gesamtschätzung für dieses Land im Sinne der Ziffer 2 dieses Artikels zuzüglich der von diesem Land ausgeführten Menge überschreitet, so hat das Komitee hievon unverzüglich alle Vertragsteilnehmer in Kenntnis zu setzen. Diese dürfen während des betreffenden Jahres keine weitere Ausfuhr nach dem betreffenden Land oder Gebiet genehmigen, ausgenommen: a. wenn eine Nachtragsschätzung für das betreffende Land oder Gebiet eingereicht wird, die sich sowohl auf jede eingeführte Überschussmenge als auch auf die noch geforderte Zusatzmenge bezieht, oder b. in Ausnahmefällen, wenn die Ausfuhr nach Ansicht des Ausfuhrlandes aus humanitären Gründen oder für die Behandlung Kranker wesentlich ist.
Capo III Valutazioni Valutazioni Art. 8 Valutazioni 1. Analogamente a quanto previsto dalla Convenzione del 1931 per le «droghe», ciascuna Parte deve far pervenire al Comitato le valutazioni per l’anno successivo, concernenti ciascuno dei suoi territori e aventi per oggetto: a. la quantità d’oppio richiesta per il fabbisogno medico e scientifico dell’oppio come tale, compresa la quantità richiesta per la produzione di preparati esenti da controllo in virtù dell’articolo 8 della Convenzione del 1925; b. la quantità d’oppio richiesta per la fabbricazione di alcaloidi; c. le riserve che, tenuto conto delle disposizioni dell’articolo 5, essa intende mantenere, e la quantità d’oppio da aggiungere alle riserve esistenti o da dedurre dalle medesime perchè esse siano portate al livello voluto; d. le quantità d’oppio che essa intende aggiungere alle sue eventuali riserve per scopi militari, oppure dedurre dalle medesime, al fine d’immetterle nel commercio autorizzato. 2. Quali valutazioni complessive per ogni Stato o territorio, s’intende la somma delle quantità indicate alle lettere a e b del paragrafo precedente, maggiorata della quantità necessaria per portare le riserve di cui alle lettere c e d dello stesso paragrafo al livello voluto, o diminuita della parte di dette riserve che superasse tale livello. Tuttavia, dev’essere tenuto conto di tali aumenti e di tali diminuzioni solo in quanto le Parti interessate abbiano fatto pervenire tempestivamente al Comitato le necessarie valutazioni. 3. Ciascuna Parte che autorizza la produzione dell’oppio, deve far pervenire annualmente al Comitato, per ciascuno dei suoi territori, una valutazione (in ettari) della superficie, calcolata nel modo più preciso possibile, sulla quale essa intende coltivare il papavero per ricavarne oppio, nonchè valutazioni approssimative, basate sul rendimento medio nel quinquennio precedente, della quantità d’oppio che ne sarà ricavata. Qualora la coltivazione a tal fine del papavero sia autorizzata in diverse regioni, questi dati devono essere forniti separatamente per ogni regione. 4. a. Le valutazioni previste dai paragrafi 1 e 3 del presente articolo devono essere fatte nella forma prescritta nei vari casi dal Comitato. b. Ogni valutazione deve essere inviata al Comitato in tempo utile in modo che gli pervenga nel termine da esso fissato. Per le valutazioni di cui al paragrafo 1 del presente articolo e per quelle di cui al paragrafo 3, può essere fissato un termine diverso. Il Comitato, tenendo conto delle diverse epoche in cui ha luogo il raccolto dell’oppio, può parimente fissare termini diversi per le valutazioni che le Parti devono fornirgli in virtù del paragrafo 3 del presente articolo. 5. A ogni valutazione deve essere unita un’esposizione del metodo usato nell’allestimento della valutazione e nel calcolo delle varie quantità in essa indicate. 6. Le Parti possono fornire valutazioni supplementari, che diminuiscano o aumentino le valutazioni originarie; tali valutazioni supplementari, corredate con i motivi delle modifiche apportate, devono essere inviate senza indugio al Comitato. A tali valutazioni supplementari si applicano le disposizioni del presente articolo, eccettuate quelle della lettera b del paragrafo 4 e quelle del paragrafo 9. 7. Le valutazioni devono essere esaminate dall’Organo di controllo, il quale può chiedere ulteriori indicazioni e chiarimenti al fine di completare una valutazione o di acclarare indicazioni che vi figurino, e può modificare, con il consenso del Governo interessato, le valutazioni medesime. 8. Il Comitato deve richiedere per gli Stati e per i territori ai quali non si applica il presente Protocollo, valutazioni allestite in conformità alle disposizioni del presente Protocollo. 9. Qualora non pervengano al Comitato nel termine da esso fissato in conformità alla lettera b del paragrafo 4 del presente articolo le valutazioni concernenti uno Stato o un territorio, dette valutazioni devono essere allestite, per quanto possibile, dall’Organo di controllo. 10. I limiti delle valutazioni previste al paragrafo 1, comprese le valutazioni allestite dall’Organo di controllo in conformità al paragrafo 9 del presente articolo, non devono essere superati dalle Parti, in quanto esse non li abbiano, al caso, modificati mediante valutazioni supplementari. 11. Qualora risulti, dai dati concernenti le importazioni e le esportazioni forniti al Comitato ai sensi dell’articolo 9 del presente Protocollo o dell’articolo 22 della Convenzione del 1925, che la quantità d’oppio esportata a destinazione di uno Stato o territorio qualsiasi superi la somma complessiva delle valutazioni menzionate nel paragrafo 2 del presente articolo concernenti detto Stato o territorio, maggiorata delle esportazioni accertate del medesimo, il Comitato deve darne comunicazione immediata a tutte le Parti. Queste non devono più autorizzare nell’anno in corso alcuna nuova esportazione a destinazione di detto Stato o territorio, tranne: a. nel caso in cui sia fornita da detto Stato o territorio una valutazione supplementare concernente sia le quantità importante in eccedenza, sia la quantità supplementare richiesta, o b. in quei casi eccezionali in cui, a giudizio della Parte esportatrice, l’esportazione è essenziale per gli interessi dell’umanità o per il trattamento dei malati.
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0.812.121.3
null
null
null
Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_III/art_9
Chapitre III Renseignements à fournir par les gouvernements Statistiques Art. 9 Statistiques 1. Les Parties doivent fournir au Comité pour chacun de leurs territoires: a. Le 31 mars au plus tard des statistiques, portant sur l’année précédente, indiquant: (i) La superficie cultivée en pavots aux fins de récolter de l’opium et la quantité d’opium qui y a été récoltée; (ii) La quantité d’opium consommée, c’est‑à‑dire les quantités d’opium soit livrées au commerce de détail, soit remises, en vue d’être dispensées ou administrées, à des hôpitaux ou à des personnes compétentes et dûment autorisées dans l’exercice de leurs fonctions médicales; (iii) La quantité d’opium employée pour la fabrication d’alcaloïdes ou de préparations opiacées, y compris la quantité requise pour la fabrication des préparations pour l’exportation desquelles les autorisations d’exportation ne sont pas requises, que ces préparations soient destinées à la consommation intérieure ou à l’exportation, le tout conformément aux dispositions des Conventions de 1925 et 1931; (iv) La quantité d’opium saisie dans le trafic illicite et confisquée et la manière dont il en a été disposé; b. Le 31 mai au plus tard des statistiques indiquant les stocks détenu, au 31 décembre précédent; dans les statistiques relatives à ces stocks il ne sera pas tenu compte des quantités d’opium détenues par une Partie à des fins militaires au 31 décembre 1953, mais il sera tenu compte de toute quantité qui y serait ultérieurement ajoutée et de toute quantité qui en aurait été retirée et mise dans le commerce licite; et c. Dans les quatre semaines qui suivent la fin du trimestre auquel elles se rapportent, des statistiques trimestrielles indiquant le montant des importations et des exportations d’opium. 2. Les statistiques visées au paragraphe 1 du présent article sont établies sur les formulaires dont le Comité prescrit l’emploi et de la façon qu’il détermine. 3. Les Etats producteurs, parties au présent Protocole, fourniront aussi exactement que possible au Comité, s’ils ne l’ont déjà fait, les statistiques requises au point (i) de l’alinéa a du paragraphe 1 du présent article pour les années 1946 et suivantes. 4. Le Comité publie les statistiques visées au présent article, sous la forme et aux intervalles qu’il juge appropriés.
Kapitel III Von den Regierungen zu erstattende Berichte Statistiken Art. 9 Statistiken 1. Die Vertragspartner haben dem Komitee für jedes ihrer Gebiete abzuliefern: a. spätestens bis zum 31. März Statistiken über das vorhergehende Jahr, die angeben: i. die mit Mohn zum Zwecke der Opiumgewinnung bebaute Fläche und die darauf geerntete Opiummenge; ii. die verbrauchte Menge Opium, d.h. die Opiummenge, die an den Kleinhandel oder zur Abgabe oder zur Verwendung an Krankenanstalten oder an zur Erfüllung ihrer medizinischen Aufgabe geeignete und entsprechend ermächtigte Personen abgegeben wurden; iii. die Opiummenge, die zur Herstellung von Alkaloiden und Opiumpräparaten verwendet wurde, einschliesslich der zur Herstellung von Präparaten verwendeten Menge, für deren Ausfuhr keine Ausfuhrbewilligung notwendig ist, gleichgültig ob diese Präparate für den Verbrauch im Inland oder zur Ausfuhr gemäss den Abkommen von 1925 und 1931 bestimmt sind; iv. die im unerlaubten Verkehr beschlagnahmte und eingezogene Opiummenge und wie darüber verfügt wurde; b. spätestens bis zum 31. Mai Statistiken über die Lagerbestände am 31. Dezember des Vorjahres; in diesen Statistiken sind die von den Vertragspartnern am 31. Dezember 1953 für militärische Zwecke gehaltenen Opiumlager nicht aufzunehmen. Es sind jedoch alle jene Mengen zu berücksichtigen, die diesen Lagerbeständen nachträglich zugefügt oder von diesen an den erlaubten Handel abgegeben worden sind; und c. spätestens vier Wochen nach Ablauf des Quartals, auf das sie sich beziehen, vierteljährliche statistische Angaben über die ein- oder ausgeführten Opiummengen. 2. Die in Ziffer 1 dieses Artikels vorgesehenen Statistiken sind auf den vom Komitee vorgeschriebenen Formularen und nach der von ihm festgesetzten Art und Weise zu erstatten. 3. Sofern dies nicht bereits geschehen ist, haben die Erzeugerstaaten, die Teilnehmer des vorliegenden Protokolls sind, dem Komitee möglichst genaue Statistiken über das Jahr 1946 und die folgenden Jahre im Sinne des Buchstabens a, i der Ziffer 1 dieses Artikels vorzulegen. 4. Die in diesem Artikel angeführten Statistiken werden vom Komitee von Zeit zu Zeit in der ihm geeignet erscheinenden Form veröffentlicht.
Capo III Valutazioni Statistiche Art. 9 Statistiche 1. Le Parti devono fornire al Comitato, per ognuno dei loro territori: a. entro il 31 marzo, statistiche, indicanti, con riferimento all’anno precedente: (i) la superficie coltivata a papavero al fine di ricavarne oppio, nonchè la quantità d’oppio che ne è stata raccolta; (ii) la quantità d’oppio consumata, ossia i quantitativi d’oppio immessi nel commercio al minuto e quelli forniti a ospedali o a persone competenti e debitamente autorizzate all’esercizio delle loro funzioni, a scopo di somministrazione o di amministrazione; (iii) la quantità d’oppio utilizzata per la fabbricazione di alcaloidi o di preparati oppiacei, ivi compresa la quantità richiesta per la fabbricazione di preparati per la cui esportazione non occorrono permessi di esportazione, tanto se destinati al consumo interno, quanto se destinati all’esportazione, il tutto in conformità alle Convenzioni dei 1925 e del 1931; (iv) la quantità d’oppio sequestrata e confiscata, proveniente dal traffico illegale e in qual modo ne sia stato disposto; b. entro il 31 maggio, statistiche indicanti le riserve detenute al 31 dicembre dell’anno precedente; nelle statistiche concernenti tali riserve; non devono essere considerate le quantità d’oppio detenute da una Parte per scopi militari al 31 dicembre 1953; devono invece essere considerate tutte le quantità aggiuntevi ulteriormente e tutte quelle prelevate da tali riserve e immesse nel commercio legale; e c. entro quattro settimane dalla fine del trimestro a cui esse si riferiscono, statistiche trimestrali indicanti l’ammontare delle importazioni e delle esportazioni di oppio. 2. Le statistiche di cui al paragrafo 1 del presente articolo devono essere allestite sui moduli prescritti dalla Commissione e nel modo da questa determinato. 3. Gli Stati produttori che siano parti del presente Protocollo devono, qualora non vi abbiano già provveduto, fornire al Comitato, nel modo più esatto possibile, le statistiche richieste dal numero (i) della lettera a del paragrafo 1 del presente articolo per gli anni 1946 e successivi. 4. Il Comitato pubblica le statistiche di cui al presente articolo nelle forme e con gli intervalli da esso ritenuti opportuni.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
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chap_III/art_10
Chapitre III Renseignements à fournir par les gouvernements Rapports au Secrétaire général Art. 10 Rapports au Secrétaire général Les Parties doivent fournir au Secrétaire général les rapports suivants: a. Un rapport relatif à l’organisation et aux attributions conférées par l’article 3 à l’Organisme visé à cet article et aux attributions conférées par l’article 3 aux autres autorités compétentes; b. Un rapport relatif aux mesures législatives, réglementaires ou administratives qu’elles auront prises en conformité des dispositions du Protocole; c. Un rapport annuel relatif au fonctionnement du Protocole. Ce rapport doit être établi en suivant le modèle prescrit par la Commission et peut être inclus dans les rapports annuels visés à l’article 21 de la Convention de 1931 ou y être annexé. 2. Les Parties doivent en outre fournir au Secrétaire général les informations supplémentaires au sujet de toutes modifications importantes concernant les questions visées au paragraphe précédent.
Kapitel III Von den Regierungen zu erstattende Berichte Berichte an den Generalsekretär Art. 10 Berichte an den Generalsekretär 1. Die Vertragsstaaten haben dem Generalsekretär folgende Berichte vorzulegen: a. einen Bericht über die Organisation und die Aufgaben der gemäss Artikel 3 vorgesehenen Stelle sowie über die durch Artikel 3 den übrigen zuständigen Behörden überbundenen Aufgaben; b. einen Bericht über die in Übereinstimmung mit diesem Protokoll getroffenen gesetzlichen und administrativen Massnahmen; c. einen Jahresbericht über die Durchführung dieses Protokolls. Dieser Bericht ist nach einem von der Kommission vorgeschriebenen Muster zu erstatten und kann in den nach Artikel 21 des Abkommens von 1931 zu erstellenden Jahresbericht aufgenommen oder diesem angefügt werden. 2. Die Vertragspartner haben dem Generalsekretär von jeder wesentlichen Änderung Kenntnis zu geben, welche die in der vorstehenden Ziffer angeführten Fragen betrifft:
Capo III Valutazioni Rapporti al Segretario generale Art. 10 Rapporti al Segretario generale 1. Le Parti devono presentare al Segretario generale i seguenti rapporti: a. un rapporto concernente l’organizzazione e le attribuzioni conferite dall’articolo 3 all’Organo menzionato nel medesimo articolo, e le attribuzioni conferite dall’articolo 3 alle altre autorità competenti; b. un rapporto concernente le misure legislative, regolamentari o amministrative prese in conformità alle disposizioni del Protocollo; c. un rapporto annuale concernente il funzionamento del Protocollo. Tale rapporto deve essere allestito secondo il modello prescritto dalla Commissione e può essere incluso o allegato ai rapporti annuali previsti dall’articolo 21 della Convenzione del 1931. 2. Le Parti devono inoltre fornire al Segretario generale le informazioni supplementari su tutte le modifiche importanti che concernano le questioni di cui al paragrafo precedente.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
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chap_IV/art_11
Chapitre IV Mesures internationales de surveillance et de mise en œuvre Mesures administratives Art. 11 Mesures administratives 1. Afin de surveiller l’exécution des dispositions du présent Protocole, le Comité peut prendre les mesures suivantes: a . Demandes de renseignements Le Comité est autorisé à demander confidentiellement aux Parties des renseignements sur la mise en oeuvre des dispositions du présent Protocole et, à cet égard, à faire aux Parties intéressées toutes suggestions appropriées; b . Demande d ’explications Si, à la lumière des renseignements dont il dispose, le Comité est d’avis qu’une disposition importante quelconque du présent Protocole n’est pas respectée dans un pays ou territoire quelconque, ou que la situation qui y existe en matière d’opium appelle des éclaircissements, le Comité a le droit de demander confidentiellement des explications à la Partie intéressée; c . Proposition de mesures correctives Si le Comité le juge opportun, il peut appeler confidentiellement l’attention d’un gouvernement sur l’inexécution par celui‑ci, dans une mesure appréciable, d’une disposition importante quelconque du présent Protocole ou sur une situation, en matière d’opium, qui laisse gravement à désirer dans l’un quelconque des territoires placés sous son contrôle, le Comité peut demander à ce gouvernement d’étudier la possibilité d’adopter les mesures correctives exigées par la situation; d . Enquête sur les lieux Si le Comité considère qu’une enquête sur les lieux contribuerait à l’éclairer sur la situation, il peut proposer au gouvernement intéressé l’envoi dans le pays ou territoire en question d’une personne ou d’une commission d’enquête désignée par le Comité. Si ce gouvernement n’a pas répondu dans un délai de quatre mois à la proposition du Comité, son silence sera considéré comme un refus. Si ce gouvernement donne son consentement explicite à l’enquête, celle‑ci sera menée en collaboration avec des fonctionnaires désignés par ce gouvernement. 2. La Partie intéressée est autorisée à faire, par l’intermédiaire de son représentant, une déclaration devant le Comité avant qu’une décision soit prise en vertu de l’alinéa c du paragraphe précédent. 3. Les décisions prises en vertu des alinéas c et d du paragraphe 1 du présent article doivent l’être à la majorité de tous les membres composant le Comité. 4. Si le Comité publie les décisions qu’il a prises en vertu de l’alinéa d du paragraphe 1 du présent article ou tous renseignements s’y rapportant, il doit également publier les vues du gouvernement intéressé, si ce gouvernement en fait la demande.
Kapitel IV Internationale Überwachungsmassnahmen und Repressalien Verwaltungsmassnahmen Art. 11 Verwaltungsmassnahmen 1. Um die Durchführung der Bestimmungen des vorliegenden Protokolls zu überwachen, kann das Komitee folgende Massnahmen treffen: a. Ersuchen um Auskunft Das Komitee kann von den Vertragspartnern vertraulich Auskünfte über die Durchführung dieses Protokolls verlangen und den Vertragspartnern in diesem Zusammenhang die geeigneten Vorschläge unterbreiten. b. Ersuchen um Erklärung Ist das Komitee auf Grund ihm zugegangener Auskünfte der Meinung, dass eine wichtige Bestimmung dieses Protokolls in einem Land oder Gebiet nicht beachtet wird oder dass in diesem Land oder Gebiet die Lage in Bezug auf das Opium Aufklärungen notwendig macht, so ist es berechtigt, von dem betreffenden Vertragsteilnehmer diesbezügliche vertrauliche Erklärungen zu verlangen. c. Vorschläge über Abhilfemassnahmen Erachtet es das Komitee für zweckmässig, so kann es vertraulich die Aufmerksamkeit einer Regierung auf die namhafte Nichtbefolgung einer wichtigen Bestimmung dieses Protokolls lenken oder auf eine sehr unbefriedigende Lage in Bezug auf das Opium in Gebieten, die der Kontrolle dieser Regierung unterstehen. Das Komitee kann die betreffende Regierung auffordern, die Möglichkeit zu prüfen, für die besondere Lage geeignet erscheinende Abhilfemassnahmen zu ergreifen. d. Untersuchung an Ort und Stelle Gelangt das Komitee zur Ansicht, dass eine Untersuchung an Ort und Stelle zur Klarstellung der Lage beitragen könnte, so kann es der betreffenden Regierung die Entsendung einer von ihm bezeichneten Person oder Untersuchungskommission in das in Frage stehende Land oder Gebiet vorschlagen. Falls die betreffende Regierung innerhalb von vier Monaten auf den Vorschlag des Komitees nicht antwortet, gilt ihr Stillschweigen als Ablehnung. Stimmt die Regierung der Untersuchung ausdrücklich zu, ist diese im Zusammenwirken mit von der Regierung beauftragten Beamten vorzunehmen. 2. Bevor ein Beschluss gemäss Buchstabe c der vorstehenden Ziffer gefasst wird, ist der betreffende Vertragspartner berechtigt, durch seinen Vertreter vor dem Komitee eine Erklärung abzugeben. 3. Die gemäss den Buchstaben c und d der Ziffer 1 dieses Artikels gefassten Beschlüsse des Komitees bedürfen der Mehrheit seiner Mitglieder. 4. Veröffentlicht das Komitee seine gemäss Buchstabe d der Ziffer 1 dieses Artikels gefassten Beschlüsse oder sonstige entsprechende Mitteilungen, so ist auf Verlangen der betreffenden Regierung auch deren Auffassung zu veröffentlichen.
Capo IV Misure internazionali di vigilanza e sanzioni Misure amministrative Art. 11 Misure amministrative 1. Al fine di vigilare sull’attuazione delle disposizioni del presente Protocollo, il Comitato può prendere le seguenti misure: a. Richiesta d’informazioni Il Comitato è autorizzato a chiedere alle Parti, in via riservata, informazioni sull’attuazione delle disposizioni del presente Protocollo e a dare in proposito alle Parti interessate tutti i suggerimenti del caso; b. Richiesta di spiegazioni Qualora, in base alle informazioni in suo possesso, ritenga che una qualsiasi disposizione importante del presente Protocollo non è osservata in uno Stato o territorio qualsiasi, oppure che la situazione in esso esistente in merito all’oppio richieda chiarimenti, il Comitato ha il diritto di chiedere in via riservata, spiegazioni alla Parte interessata; c. Proposta di misure correttive Qualora lo ritenga opportuno, il Comitato può richiamare, in via riservata, l’attenzione di un Governo sul fatto che esso ha omesso, in misura apprezzabile, di dare esecuzione a una qualsiasi disposizione importante del presente Protocollo, oppure su di una situazione in materia di oppio, che lascia gravemente a desiderare in uno qualsiasi dei territori posti sotto il suo controllo. Il Comitato può chiedere a tale Governo di studiare la possibilità di adottare le misure correttive imposte dalla situazione: d. Inchiesta sul luogo Qualora ritenga che un’inchiesta sul luogo varrebbe a meglio informarlo sulla situazione, il Comitato può proporre al Governo interessato l’invio nello Stato o nel territorio in questione di una persona o di una commissione d’inchiesta designata dal Comitato. Qualora il Governo non abbia dato risposta in un termine di quattro mesi alla proposta del Comitato, il suo silenzio è considerato come rifiuto. Qualora il Governo abbia dato il suo esplicito consenso all’inchiesta, questa deve essere svolta con la collaborazione dei funzionari da esso designati. 2. Prima che venga presa una decisione in virtù della lettera c del paragrafo precedente, la Parte interessata è autorizzata a fare, attraverso il suo rappresentante, una dichiarazione al Comitato. 3. Le decisioni di cui alle lettere c e d del paragrafo 1 del presente articolo sono prese dal Comitato a maggioranza assoluta dei suoi membri. 4. Qualora pubblichi le decisioni da esso prese in virtù della lettera d del paragrafo 1 del presente articolo o altre informazioni al riguardo, il Comitato deve pubblicare parimente il punto di vista del Governo interessato, in quanto questi lo richieda.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_IV/art_12
Chapitre IV Mesures internationales de surveillance et de mise en œuvre Mesures de mise en œuvre Art. 12 Mesures de mise en œuvre Déclarations publiques Si le Comité constate que l’inexécution par une Partie des dispositions du présent Protocole entrave sérieusement le contrôle des stupéfiants dans un territoire quelconque de cette Partie, ou dans un territoire quelconque d’un autre Etat, il peut prendre les mesures suivantes: a . Communications publiques Le Comité peut appeler l’attention de toutes les Parties et du Conseil sur la question. b . Autres déclarations publiques Si le Comité estime que les mesures qu’il a prises en vertu de l’alinéa précédent n’ont pas eu les effets voulus, il peut publier une déclaration signalant qu’une Partie a enfreint les obligations assumées par elle aux termes du présent Protocole ou que tout autre Etat a négligé de prendre les mesures nécessaires pour empêcher que la situation en matière d’opium dans l’un quelconque de ses territoires ne risque de compromettre le contrôle efficace des stupéfiants dans un territoire ou dans un ou plusieurs territoires relevant d’autres Parties ou Etats. En cas de déclaration publique le Comité doit également publier les vues du gouvernement intéressé si celui‑ci en fait la demande. Recommandation d’embargo Si le Comité constate: a. A l’issue de l’étude des évaluations et des statistiques fournies conformément aux articles 8 et 9, qu’une Partie a manqué de façon appréciable aux obligations assumées par elle aux termes du présent Protocole, ou qu’un autre Etat entrave sérieusement l’application efficace de ce Protocole, ou b. A la lumière des renseignements dont il dispose, que des quantités excessives d’opium s’accumulent dans un pays ou dans un territoire quelconque, ou que le danger existe de voir un pays ou un territoire quelconque devenir un centre de trafic illicite, il peut recommander aux Parties un embargo sur l’importation d’opium en provenance du pays ou du territoire intéressé ou sur l’exportation d’opium à destination du pays ou du territoire intéressé, ou, à la fois, sur l’importation et l’exportation, soit pour une période déterminée, soit jusqu’à ce que la situation en ce qui concerne l’opium dans le pays ou le territoire en question lui donne satisfaction. L’Etat intéressé a le droit de porter la question devant le Conseil, conformément aux dispositions pertinentes de l’article 24 de la Convention de 1925. Embargo obligatoire a. Déclaration et imposition de l’embargo Se basant sur toutes constatations faites aux termes des alinéas a ou b du paragraphe 2 du présent article, le Comité peut prendre les mesures suivantes: (i) Le Comité peut annoncer son intention de mettre l’embargo sur l’importation d’opium en provenance du pays ou du territoire intéressé ou l’exportation d’opium à destination du pays ou du territoire intéressé, ou à la fois sur l’importation et l’exportation d’opium; (ii) Si la déclaration prévue au point (i) de l’alinéa a du présent paragraphe ne réussit pas à remédier à la situation, le Comité peut mettre l’embargo, à condition que les mesures moins sévères prévues aux alinéas a et b du paragraphe 1 du présent article n’aient pas réussi à corriger, ou ne paraissent pas pouvoir corriger la situation qui laisse à désirer. L’embargo peut être imposé soit pour une période déterminée soit jusqu’à ce que la situation dans le pays ou le territoire intéressé, donne satisfaction au Comité. Le Comité doit aussitôt notifier sa décision à l’Etat intéressé et au Secrétaire général. La décision du Comité doit être confidentielle et, sauf si une disposition du présent article ne s’y oppose expressément, ne doit pas être révélée jusqu’à ce qu’il soit établi, conformément au point (i) de l’alinéa c du paragraphe 3 du présent article que l’embargo doit entrer en vigueur. b. Appel (i) Un Etat qui a fait l’objet d’une décision d’embargo obligatoire peut, dans un délai de trente jours à compter de la date de réception par lui de cette décision, faire confidentiellement connaître par écrit au Secrétaire général son intention de faire appel et peut indiquer par écrit dans un nouveau délai de trente jours les raisons de son appel; (ii) Le Secrétaire général doit, au moment de l’entrée en vigueur du présent Protocole, demander au Président de la Cour internationale de Justice de nommer une Commission d’appel de trois membres et de deux membres suppléants qui, par leur compétence, leur impartialité et leur désintéressement, mériteront la confiance générale. Si le Président de la Cour internationale de Justice informe le Secrétaire général qu’il n’est pas en mesure de procéder à cette nomination ou s’il n’y procède pas dans les deux mois qui suivent la date à laquelle il a reçu la demande à cet effet, le Secrétaire général doit procéder à cette nomination. Le mandat des membres de la Commission d’appel est de cinq ans et est renouvelable. Les membres ne doivent, conformément aux dispositions qui seront prises par le Secrétaire général, recevoir une rémunération que pour la durée des sessions de la Commission d’appel; (iii) La procédure définie au point (ii) de l’alinéa b du présent paragraphe s’applique aux désignations visant à pourvoir aux sièges vacants au sein de la Commission d’appel; (iv) Le Secrétaire général doit communiquer au Comité des copies de la notification écrite et de l’exposé des raisons de l’appel prévu au point (i) de l’alinéa b du présent paragraphe et prendre promptement les dispositions en vue d’une réunion de la Commission d’appel, afin que celle‑ci entende l’appel et statue sur lui. Il doit également prendre toutes dispositions utiles en vue du travail de la Commission d’appel et fournir aux membres de la Commission d’appel des copies de la décision du Comité, des communications mentionnées au point (i) de l’alinéa b du présent paragraphe, de la réponse du Comité si elle est disponible, et de tous autres documents pertinents; (v) La Commission d’appel adopte son propre règlement intérieur; (vi) L’Etat requérant et le Comité sont autorisés à faire des déclarations devant la Commission d’appel avant qu’une décision soit prise par celle‑ci; (vii) La Commission d’appel peut maintenir, modifier ou annuler la décision d’embargo prise par le Comité. La décision de la Commission d’appel est définitive et obligatoire et doit être communiquée sans délai au Secrétaire général; (viii) Le Secrétaire général doit communiquer à l’Etat requérant et au Comité la décision de la Commission d’appel; (ix) Si l’Etat requérant retire son appel, le Secrétaire général doit notifier ce retrait à la Commission d’appel et au Comité. c. Application de l’embargo (i) L’embargo imposé en vertu de l’alinéa a du présent paragraphe doit entrer en vigueur soixante jours après la date de la décision du Comité, à moins que la notification d’un appel ne parvienne dans les conditions fixées au point (i) de l’alinéa b du présent paragraphe. Dans ce cas, l’embargo doit entrer en vigueur trente jours après le retrait de l’appel ou après la date à laquelle la Commission d’appel a pris une décision confirmant l’embargo en tout ou en partie; (ii) Dès que, conformément aux dispositions du point (i) de l’alinéa c du présent paragraphe, il est établi que l’embargo doit entrer en vigueur, le Comité doit adresser à toutes les Parties notification des conditions de l’embargo auxquelles les Parties doivent se conformer. 4. Garanties de procédure a. Les décisions prises par le Comité en vertu du présent article doivent l’être à la majorité de tous les membres composant le Comité. b. L’Etat intéressé est autorisé à faire, par l’intermédiaire de son représentant, une déclaration devant le Comité, avant qu’une décision soit prise en vertu du présent article. c. Si le Comité publie une décision prise en vertu du présent article, ou tout renseignement s’y rapportant, il doit également publier les vues du gouvernement intéressé, si ce gouvernement en fait la demande. Si la décision du Comité n’est pas unanime, l’opinion de la minorité doit être exposée.
Kapitel IV Internationale Überwachungsmassnahmen und Repressalien Repressalien Art. 12 Repressalien 1. Öffentliche Erklärungen Stellt das Komitee fest, dass die Nichterfüllung von Bestimmungen des vorliegenden Protokolls durch einen Vertragspartner die Kontrolle der Betäubungsmittel auf einem Gebiet dieses Vertragspartners oder auf einem Gebiet eines anderen Staates ernstlich behindert, so kann es folgende Massnahmen ergreifen: a. Öffentliche Mitteilungen Das Komitee kann die Aufmerksamkeit aller Vertragspartner und des Rates auf den betreffenden Fall lenken. b. Andere öffentliche Erklärungen Ist das Komitee der Auffassung, dass seine nach Buchstabe a getroffene Massnahme nicht den gewünschten Erfolg gezeitigt hat, kann es eine Erklärung veröffentlichen, wonach ein Vertragspartner die ihm aus diesem Protokoll erwachsenden Verpflichtungen verletzt hat oder wonach ein anderer Staat es unterlassen hat, die erforderlichen Massnahmen zu ergreifen, um zu verhindern, dass die Verhältnisse in Bezug auf Opium in einem seiner Gebiete zur Beeinträchtigung der wirksamen Betäubungsmittelkontrolle in einem oder mehreren Gebieten anderer Vertragspartner oder Staaten führen. Im Falle einer öffentlichen Erklärung muss das Komitee auf Verlangen der betreffenden Regierung auch deren Ansicht bekannt geben. 2. Empfehlung einer Sperre Stellt das Komitee fest: a. dass – auf Grund der Überprüfung der gemäss den Artikeln 8 und 9 vorgelegten Schätzungen und Statistiken – es ein Vertragspartner in wesentlicher Weise unterlassen hat, die ihm durch dieses Protokoll erwachsenden Verpflichtungen zu erfüllen, oder dass ein Staat die wirksame Durchführung des vorliegenden Protokolls ernstlich behindert oder b. dass nach den ihm zugekommenen Nachrichten in einem Lande oder Gebiete übermässige Mengen an Opium aufgehäuft werden, oder dass die Gefahr besteht, dass ein Land oder Gebiet ein Zentrum des unerlaubten Verkehrs wird, kann es den Vertragspartnern empfehlen, für eine gewisse Zeitspanne oder bis die Lage in Bezug auf Opium in diesem Land oder Gebiet wieder befriedigt, über dieses Land oder Gebiet eine Sperre der Einfuhr von Opium aus diesem Land oder Gebiet oder der Ausfuhr von Opium nach diesem Land oder Gebiet oder der Einfuhr und Ausfuhr zugleich zu verhängen. Der betreffende Staat kann gemäss den entsprechenden Bestimmungen des Artikels 24 des Abkommens von 1925 die Angelegenheit vor den Rat bringen. 3. Verfügte Sperre a. Erklärung und Auferlegung der Sperre Auf Grund von Feststellungen im Sinne des Buchstabens a oder b der Ziffer 2 dieses Artikels ist das Komitee berechtigt, folgende Massnahmen zu treffen: i. Das Komitee kann seine Absicht bekannt geben, eine Sperre der Einfuhr von Opium aus diesem Land oder Gebiet oder der Ausfuhr von Opium aus diesem Land oder Gebiet oder der Einfuhr und Ausfuhr zugleich zu verhängen. ii. Tritt trotz der Anordnung im Sinne des Buchstabens a, i dieser Ziffer keine Besserung der Verhältnisse ein, kann das Komitee, sofern gelindere Massnahmen nach Buchstaben a und b der Ziffer 1 dieses Artikels nicht zum gewünschten Erfolg geführt haben oder es unwahrscheinlich ist, dass durch solche Massnahmen eine Besserung der unbefriedigenden Lage erzielt werden kann, die Sperre verhängen. Die Sperre kann auf bestimmte Zeit, oder bis das Komitee hinsichtlich der Verhältnisse in dem betreffenden Land oder Gebiet zufrieden gestellt ist, verhängt werden. Das Komitee hat den betreffenden Staat und den Generalsekretär von seinem Beschluss unverzüglich in Kenntnis zu setzen. Der Beschluss des Komitees ist vertraulich und soll, soweit in diesem Artikel nicht ausdrücklich Gegenteiliges bestimmt wird, nicht eher kundgemacht werden, als feststeht, dass die Sperre gemäss Buchstabe c, i der Ziffer 3 dieses Artikels in Kraft treten soll. b. Berufung i. Ein Staat, gegenüber dem die Verhängung einer Sperre beschlossen worden ist, kann innerhalb von 30 Tagen nach Empfang des Beschlusses dem Generalsekretär in schriftlicher Form vertraulich seine Absicht anzeigen, dagegen Berufung einzulegen. Binnen weiterer 30 Tage kann er die Berufungsgründe schriftlich überreichen. ii. Nach Inkrafttreten des vorliegenden Protokolls hat der Generalsekretär den Präsidenten des Internationalen Gerichtshofes um Bestellung eines aus drei Mitgliedern und zwei Ersatzmitgliedern bestehenden Berufungsausschusses zu ersuchen. Die Mitglieder dieses Ausschusses müssen auf Grund ihrer Fachkenntnis, Unparteilichkeit und Unabhängigkeit allgemeines Vertrauen geniessen. Wenn der Präsident des Internationalen Gerichtshofes den Generalsekretär davon in Kenntnis setzt, dass er nicht in der Lage ist, die Ernennung vorzunehmen, oder sie nicht binnen zweier Monate nach Erhalt des Ersuchens vornimmt, hat sie der Generalsekretär vorzunehmen. Das Mandat der Mitglieder des Berufungsausschusses beträgt fünf Jahre und kann erneuert werden. Die Mitglieder des Berufungsausschusses haben auf eine nach den vom Generalsekretär aufgestellten Richtlinien berechnete Entschädigung nur für die Dauer der Sitzungen Anspruch. iii. Das in Buchstabe b, ii dieser Ziffer vorgesehene Verfahren gilt auch für die Wiederbesetzung von Vakanzen. iv. Der Generalsekretär übersendet dem Komitee Abschriften der schriftlichen Berufungsanzeige und der Berufungsgründe nach Buchstabe b, i dieser Ziffer und veranlasst unverzüglich, dass der Berufungsausschuss zur Behandlung der Berufung zusammentritt. Er trifft ebenso alle im Hinblick auf die Arbeit des Berufungsausschusses notwendigen Vorkehrungen und versorgt die Mitglieder des Berufungsausschusses mit Abschriften des Beschlusses des Komitees, der in Buchstabe b, i dieser Ziffer angeführten Mitteilungen, der Antwort des Komitees, sofern sie verfügbar ist, und allen anderen einschlägigen Dokumenten. v. Der Berufungsausschuss legt selber den Gang des Verfahrens in einem Reglement fest. vi. Der Staat, der Berufung eingelegt hat, und das Komitee sind berechtigt, dem Berufungsausschuss Erklärungen abzugeben, bevor dieser einen Entscheid fällt. vii. Der Berufungsausschuss kann den Beschluss des Komitees über die Verhängung der Sperre bestätigen, abändern oder aufheben. Die Entscheidung des Berufungsausschusses ist endgültig und verbindlich. Sie ist dem Generalsekretär ohne Aufschub mitzuteilen. viii. Der Generalsekretär teilt die Entscheidung des Berufungsausschusses dem berufenden Staat und dem Komitee mit. ix. Wird die Berufung vom berufenden Staat zurückgezogen, so hat der Generalsekretär diese Zurückziehung dem Berufungsausschuss und dem Komitee anzuzeigen. c. Durchführung der Sperre i. Die gemäss Buchstabe a dieser Ziffer verhängte Sperre tritt, sofern dagegen nicht nach Buchstabe b, i dieser Ziffer Berufung eingelegt worden ist, 60 Tage nach dem Beschluss des Komitees in Kraft. Wurde eine Berufung eingebracht, tritt die Sperre mit Ablauf von 30 Tagen nach einer den Beschluss ganz oder teilweise bestätigenden Entscheidung des Berufungsausschusses oder nach Zurückziehung der Berufung in Kraft. ii. Sobald nach Buchstabe c, i dieser Ziffer feststeht, dass die Sperre in Kraft treten muss, gibt das Komitee allen Vertragsstaaten Kenntnis von den Bedingungen der Sperre, nach denen sie sich zu richten haben. 4. Verfahrensgarantien a. Die gemäss den Bestimmungen dieses Artikels vom Komitee gefassten Beschlüsse bedürfen der Stimmenmehrheit aller seiner Mitglieder. b. Ehe ein Beschluss nach diesem Artikel gefasst wird, hat der hievon betroffene Staat das Recht, durch seinen Vertreter vom Komitee gehört zu werden. c. Veröffentlicht das Komitee eine Entscheidung oder eine Mitteilung gemäss diesem Artikel, hat es auf Verlangen der betreffenden Regierung auch deren Stellungnahme zu veröffentlichen. Wird der Beschluss des Komitees nicht einstimmig gefasst, ist auch die Ansicht der Minderheit bekannt zu geben.
Capo IV Misure internazionali di vigilanza e sanzioni Sanzioni Art. 12 Sanzioni Dichiarazioni pubbliche Qualora accerti che una Parte non ha attuato disposizioni del presente Protocollo e che la loro mancata attuazione ostacoli seriamente il controllo degli stupefacenti in un qualsiasi territorio di detta Parte, o in un qualsiasi territorio di un altro Stato, il Comitato può prendere le seguenti misure: a. Comunicazione pubblica Il Comitato può richiamare l’attenzione di tutte le Parti e del Consiglio sulla questione. b. Altre dichiarazioni pubbliche Qualora ritenga che le misure prese in virtù della lettera precedente non abbiano conseguito gli effetti voluti, il Comitato può pubblicare una dichiarazione la quale renda noto che una Parte ha violato gli obblighi da essa assunti a termini del presente Protocollo, o che uno Stato ha omesso di prendere le misure necessarie per impedire che la situazione in materia d’oppio in uno qualsiasi dei suoi territori rischi di compromettere l’efficace controllo degli stupefacenti in uno o più territori di altre Parti o Stati. In caso di dichiarazione pubblica, il Comitato deve pubblicare pure il punto di vista del Governo interessato, qualora questi lo richieda. 2. Raccomandazione di procedere a un blocco Qualora il Comitato accerti: a. in seguito all’esame delle valutazioni e delle statistiche fornite conformemente agli articoli 8 e 9, che una Parte è venuta meno in misura apprezzabile agli obblighi da essa assunti a termini del presente Protocollo, o che uno Stato ostacola seriamente l’efficace applicazione del presente Protocollo, o b. in base alle informazioni di cui dispone, che in un qualsiasi Stato o territorio si accumulano quantità eccessive di oppio, o che sussiste il pericolo che un qualsiasi Stato o territorio divenga centro di traffico illegale, esso può raccomandare alle Parti di procedere al blocco dell’importazione dell’oppio proveniente dallo Stato o territorio interessato, oppure di procedere al blocco dell’esportazione dell’oppio a destinazione dello Stato o territorio interessato, oppure di procedere contemporaneamente al blocco dell’importazione e dell’esportazione, sia per un periodo determinato, sia fino a che la situazione concernente l’oppio nello Stato o territorio gli appaia soddisfacente. Lo Stato interessato ha il diritto di portare il caso avanti il Consiglio, in conformità alle disposizioni applicabili dall’articolo 24 della Convenzione del 1925. Blocco obbligatorio a. Dichiarazione ed importazione del blocco Fondandosi sugli accertamenti fatti ai sensi delle lettere a o b del paragrafo 2 del presente articolo, il Comitato può prendere le seguenti misure: (i) Esso può rendere nota la sua intenzione di procedere al blocco dell’importazione dell’oppio proveniente dallo Stato o territorio interessato, oppure di procedere al blocco dell’esportazione dell’oppio a destinazione dello Stato o territorio interessato, oppure di procedere contemporaneamente al blocco dell’importazione e dell’esportazione dell’oppio; (ii) Qualora la dichiarazione prevista dal numero (i) della lettera a del presente paragrafo non consegua un miglioramento della situazione, il Comitato può procedere al blocco, a condizione che le misure meno rigorose previste dalle lettere a e b del paragrafo 1 del presente articolo non siano valse o appaiano insufficienti a migliorare la situazione lamentata. Il blocco può essere imposto sia per un periodo di tempo determinato, sia fino a che la situazione nello Stato o territorio interessato appaia al Comitato soddisfacente. Il Comitato deve notificare senza indugio la propria decisione allo Stato interessato e al Segretario generale. La decisione del Comitato ha carattere riservato e, salvo che non sia altrimenti disposto nel presente articolo, non deve essere resa pubblica prima che venga stabilita, conformemente al numero (i) della lettera c del paragrafo 3 del presente articolo, l’entrata in vigore del blocco. b. Appello (i) Uno Stato nei riguardi del quale sia stato deciso il blocco obbligatorio può, nel termine di trenta giorni dalla data in cui gli è stata notificata la decisione, comunicare in via riservata al Segretario generale che intende appellare avverso la medesima e indicare per iscritto, entro un ulteriore termine di trenta giorni, i motivi dell’appello; (ii) Il Segretario generale deve, allorchè sia entrato in vigore il presente Protocollo, chiedere al Presidente della Corte internazionale di giustizia la nomina di una Commissione d’appello di tre membri e di due membri supplenti che, per la loro competenza e imparzialità e per la loro indipendenza, siano meritevoli della fiducia generale. Qualora il Presidente della Corte internazionale di giustizia informi il Segretario generale di non essere in grado di procedere alla nomina suddetta o non vi proceda nei due mesi successivi al ricevimento della domanda all’uopo indirizzatagli, la nomina è fatta dal Segretario generale. I membri della Commissione restano in carica cinque anni e possono essere rinominati. In conformità alle disposizioni che saranno prese dal Segretario generale, essi hanno diritto ad una indennità, soltanto per la durata delle sessioni della Commissione d’appello; (iii) La procedura descritta al numero (ii) della lettera b del presente paragrafo è applicabile anche alle nomine destinate a coprire i seggi vacanti nella Commissione d’appello; (iv) Il Segretario generale deve trasmettere al Comitato copie della notificazione scritta e dei motivi dell’appello di cui al numero (i) della lettera b del presente paragrafo, e disporre senza indugio la riunione della Commissione d’appello, perchè possa prendere conoscenza dell’appello e decidere su di esso. Egli deve inoltre prendere tutte le disposizioni utili, intese a facilitare il lavoro della Commissione d’appello, e fornire ai membri di questa copie della decisione del Comitato, delle comunicazioni di cui al numero (i) della lettera b del presente paragrafo, della risposta del Comitato, in quanto sia disponibile, e di tutti gli altri documenti pertinenti; (v) La Commissione d’appello stabilisce un proprio regolamento interno; (vi) Allo Stato appellante e al Comitato è consentito di fare dichiarazioni avanti la Commissione d’appello, prima che essa abbia preso una decisione; (vii) La Commissione d’appello può confermare, modificare o annullare la decisione del blocco presa dal Comitato. La decisione della Commissione d’appello è definitiva e obbligatoria e deve essere comunicata senza indugio al Segretario generale; (viii) Il Segretario generale deve comunicare la decisione della Commissione d’appello allo Stato appellante e al Comitato; (ix) Qualora lo Stato appellante ritiri il proprio appello, il Segretario generale deve notificare l’avvenuto ritiro alla Commissione d’appello e al Comitato. c. Attuazione del blocco (i) Il blocco imposto in virtù della lettera a del presente paragrafo deve entrare in vigore sessanta giorni dalla data della decisione del Comitato, salvo che l’appello non venga notificato nei modi stabiliti al numero (i) della lettera b del presente paragrafo. In tal caso, il blocco deve entrare in vigore trenta giorni dalla data dell’eventuale ritiro dell’appello o della decisione della Commissione d’appello, che confermi, totalmente o parzialmente, il blocco; (ii) Stabilita, in conformità alle disposizioni del numero (i) della lettera c del presente paragrafo, l’entrata in vigore del blocco, il Comitato notifica a tutte le Parti le condizioni del medesimo, alle quali esse devono conformarsi. 4. Garanzie procedurali a. Le decisioni del Comitato che si fondano sul presente articolo devono essere prese a maggioranza assoluta dei suoi membri. b. Lo Stato interessato prima che venga presa una decisione in virtù del presente articolo, ha il diritto di fare, attraverso il suo rappresentante, una dichiarazione avanti il Comitato. c. Pubblicando una decisione presa in virtù del presente articolo o qualsiasi comunicazione in rapporto col medesimo, il Comitato deve pubblicare parimente il punto di vista del Governo interessato, qualora questi lo richieda. Nel caso in cui la decisione del Comitato non sia stata presa all’unanimità, deve essere resa nota anche l’opinione della minoranza.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_IV/art_13
Chapitre IV Mesures internationales de surveillance et de mise en œuvre Application universelle Art. 13 Application universelle Les mesures visées au présent chapitre peuvent également, dans la mesure du possible, être prises par le Comité à l’égard d’Etats qui ne sont pas Parties au présent Protocole et à l’égard des territoires auxquels le présent Protocole ne s’applique pas en vertu de l’article 20.
Kapitel IV Internationale Überwachungsmassnahmen und Repressalien Allgemeine Anwendung Art. 13 Allgemeine Anwendung Soweit dies möglich ist, kann das Komitee die in diesem Kapitel vorgesehenen Massnahmen auch gegenüber Staaten ergreifen, die nicht Partner dieses Protokolls sind, sowie gegenüber Gebieten, auf welche, gemäss Artikel 20, dieses Protokoll keine Anwendung findet.
Capo IV Misure internazionali di vigilanza e sanzioni Applicazione universale Art. 13 Applicazione universale Il Comitato può prendere le misure previste dal presente capo, nei limiti del possibile, anche nei confronti di Stati che non sono Parti del presente Protocollo, nonchè dei territori ai quali il presente Protocollo non è applicabile in virtù dell’articolo 20.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
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chap_V/art_14
Chapitre V Clauses finales Mesures d’application Art. 14 Mesures d’application Les Parties s’engagent à prendre toutes mesures législatives, réglementaires ou administratives de nature à rendre pleinement effectives les dispositions du présent Protocole.
Kapitel V Schlussbestimmungen Durchführungsmassnahmen Art. 14 Durchführungsmassnahmen Die Vertragspartner verpflichten sich, alle gesetzlichen und administrativen Massnahmen zu treffen, die zur wirksamen Durchführung der Bestimmungen dieses Protokolls geeignet sind.
Capo V Disposizioni finali Misure d’attuazione Art. 14 Misure d’attuazione Le Parti s’impegnano a prendere tutte le misure legislative, regolamentari o amministrative idonee ad attuare integralmente le disposizioni del presente Protocollo.
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chap_V/art_15
Chapitre V Clauses finales Différends Art. 15 Différends 1. Les Parties reconnaissent expressément que la Cour internationale de Justice est compétente pour régler les différends concernant le présent Protocole. 2. A moins que les Parties en cause ne décident d’un autre mode de règlement, tout différend qui viendrait à s’élever entre les Parties au sujet de l’interprétation ou de l’exécution du présent Protocole sera soumis pour règlement à la Cour internationale de Justice sur la demande de l’une quelconque des Parties au différend.
Kapitel V Schlussbestimmungen Streitigkeiten Art. 15 Streitigkeiten 1. Die Vertragspartner anerkennen ausdrücklich die Zuständigkeit des Internationalen Gerichtshofes zur Schlichtung der sich aus dem vorliegenden Protokoll ergebenden Streitigkeiten. 2. Wenn die betreffenden Vertragspartner sich nicht auf eine andere Art der Schlichtung von Streitigkeiten einigen, soll jeder Streitfall zwischen zwei oder mehreren Vertragspartnern, der sich auf die Auslegung oder die Anwendung dieses Protokolls bezieht, auf Antrag einer der Streitparteien vor dem Internationalen Gerichtshof zur Schlichtung gebracht werden.
Capo V Disposizioni finali Controversie Art. 15 Controversie 1. Le Parti riconoscono espressamente la competenza della Corte internazionale di giustizia a risolvere le controversie concernenti il presente Protocollo. 2. Salvo che le Parti in causa non decidano un altro modo di risoluzione, ogni controversia sorta tra le Parti in merito all’interpretazione o all’esecuzione del presente Protocollo deve essere sottoposta per la sua risoluzione alla Corte internazionale di giustizia, su richiesta di una qualsiasi delle Parti della controversia.
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chap_V/art_16
Chapitre V Clauses finales Signature Art. 16 Signature Le présent Protocole, dont les textes anglais, chinois, espagnol, français et russe font également foi, est ouvert jusqu’au 31 décembre 1953 à la signature de tout Etat Membre de l’Organisation des Nations Unies et de tout Etat non membre invité, conformément aux instructions données par le Conseil, à participer aux travaux de la Conférence qui a établi le présent Protocole, et de tout autre Etat auquel le Secrétaire général, à la demande du Conseil, aura fait parvenir un exemplaire du présent Protocole.
Kapitel V Schlussbestimmungen Unterzeichnung Art. 16 Unterzeichnung Das vorliegende Protokoll, dessen chinesischer, englischer, französischer, russischer und spanischer Text in gleicher Weise massgebend sind, liegt bis 31. Dezember 1953 zur Unterzeichnung durch alle Mitgliedstaaten der Vereinten Nationen auf sowie durch jeden Nichtmitgliedstaat, der in Übereinstimmung mit den Weisungen des Rates zur Teilnahme an der dieses Protokoll beschliessenden Konferenz eingeladen wurde, und ferner durch jeden andern Staat, dem der Generalsekretär auf Ersuchen des Rates eine Ausfertigung dieses Protokolls übermittelt hat.
Capo V Disposizioni finali Firma Art. 16 Firma Il presente Protocollo, del quale fanno parimente fede il testo cinese, francese, inglese, russo e spagnolo, sarà aperto fino al 31 dicembre 1953 alla firma di tutti gli Stati Membri dell’Organizzazione delle Nazioni Unite e di tutti gli Stati non membri, invitati, conformemente alle istruzioni impartite dal Consiglio, a partecipare ai lavori della Conferenza che ha elaborato il presente Protocollo, nonchè a quella di tutti gli altri Stati ai quali il Segretario generale, su richiesta del Consiglio, abbia fatto pervenire un esemplare del presente Protocollo.
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chap_V/art_17
Chapitre V Clauses finales Ratification Art. 17 Ratification Le présent Protocole doit être ratifié. Les instruments de ratification doivent être déposés auprès du Secrétaire général.
Kapitel V Schlussbestimmungen Ratifizierung Art. 17 Ratifizierung Das vorliegende Protokoll bedarf der Ratifizierung. Die Ratifizierungsurkunden sind beim Generalsekretär zu hinterlegen.
Capo V Disposizioni finali Ratificazione Art. 17 Ratificazione Il presente Protocollo deve essere sottoposto a ratificazione. Gli strumenti di ratificazione devono essere depositati presso il Segretario generale.
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chap_V/art_18
Chapitre V Clauses finales Adhésion Art. 18 Adhésion Le présent Protocole sera ouvert à l’adhésion de tout Etat Membre de l’Organisation des Nations Unies ou de tout Etat non membre désigné à l’article 16, ou de tout autre Etat non membre auquel le Secrétaire général aura envoyé un exemplaire du présent Protocole à la demande du Conseil. Les instruments d’adhésion doivent être déposés auprès du Secrétaire général.
Kapitel V Schlussbestimmungen Beitritt Art. 18 Beitritt Diesem Protokoll kann jeder Mitgliedstaat der Vereinten Nationen beitreten sowie jeder Nichtmitgliedstaat, auf den im Artikel 16 Bezug genommen wurde, und ferner jeder andere Nichtmitgliedstaat, dem der Generalsekretär auf Ersuchen des Rates eine Ausfertigung dieses Protokolls übermittelt hat. Die Beitrittsurkunden sind beim Generalsekretär zu hinterlegen.
Capo V Disposizioni finali Adesione Art. 18 Adesione Il presente Protocollo sarà aperto all’adesione di tutti gli Stati membri dell’Organizzazione delle Nazioni Unite e di tutti gli Stati non membri designati dall’articolo 16, nonchè di tutti gli altri Stati ai quali il Segretario generale, su richiesta del Consiglio, abbia fatto pervenire un esemplare del presente Protocollo. Gli strumenti di adesione devono essere depositati presso il Segretario generale.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
Protokoll vom 23. Juni 1953 zur Beschränkung und Regelung des Mohnanbaus, der Erzeugung und Verwendung von Opium sowie des internationalen Handels und des Grosshandels damit
Protocollo del 23 giugno 1953 inteso a limitare e disciplinare la coltivazione del papavero e la produzione, il commercio internazionale, il commercio all'ingrosso e l'utilizzazione dell'oppio
chap_V/art_19
Chapitre V Clauses finales Dispositions transitoires Art. 19 Dispositions transitoires 1. A titre transitoire, toute Partie peut, à condition d’avoir fait une déclaration expresse à cet effet au moment de sa signature ou du dépôt de son instrument de ratification ou d’adhésion, autoriser: a. L’usage de l’opium sur l’un quelconque de ses territoires pour des besoins quasi médicaux; b. La production, l’importation ou l’exportation de l’opium pour de tels besoins en provenance ou à destination de tout Etat ou territoire désigné au moment de la déclaration prévue ci‑dessus, à condition: (i) Que l’usage, l’importation ou l’exportation de l’opium pour ces besoins aient été à la date du 1 er janvier 1950 traditionnel sur le territoire pour lequel la déclaration est faite et qu’ils aient été autorisés à cette date; (ii) Qu’aucune exportation ne soit autorisée vers un Etat qui n’est pas partie au présent Protocole; (iii) Que la Partie s’engage à abolir, dans un délai déterminé qui doit être stipulé par elle au moment de la déclaration et qui ne doit en aucun cas dépasser quinze ans après la date de la mise en vigueur du présent Protocole, l’usage, la production, l’importation et l’exportation de l’opium pour des besoins quasi médicaux. 2. Toute Partie qui a fait une déclaration conformément au paragraphe 1 du présent article est autorisée, dans le délai visé au point (iii) de l’alinéa b dudit paragraphe, à détenir chaque année, en plus des stocks maximums prévus à l’article 5, des stocks égaux aux quantités consommées pour des besoins quasi médicaux au cours des deux années qui précèdent. 3. Toute Partie peut également, à titre transitoire et à condition d’avoir fait une déclaration expresse à cet effet au moment de sa signature ou du dépôt de son instrument de ratification ou d’adhésion, permettre de fumer l’opium aux opiomanes âgés au moins de vingt et un ans qui ont été immatriculés à cet effet au 30 septembre 1953 par les autorités compétentes, sous réserve qu’à la date du 1 er janvier 1950, l’usage de fumer l’opium ait été autorisé par la Partie intéressée. 4. Toute Partie qui fait usage des dispositions transitoires prévues au présent article doit: a. Inclure dans le rapport annuel qu’elle doit adresser au Secrétaire général, conformément à l’article 10, un exposé des progrès accomplis au cours de l’année précédente en vue de rendre effective l’abolition de l’usage, de la production, de l’importation ou de l’exportation de l’opium pour des besoins quasi médicaux et de l’opium à fumer; b. Présenter séparément, en ce qui concerne l’opium utilisé, importé, exporté, et détenu pour les besoins quasi médicaux, et pour l’opium détenu ou utilisé pour être fumé, telles évaluations et statistiques qui doivent être fournies aux termes des articles 8 et 9 du présent Protocole. 5. a. Si une Partie qui invoque les dispositions transitoires du présent article ne fournit pas: (i) Le rapport visé à l’alinéa a du paragraphe 4 dans les six mois suivant l’expiration de l’année à laquelle se rapportent les renseignements qu’il contient, (ii) Les statistiques visées à l’alinéa b du paragraphe 4, dans les trois mois suivant la date à laquelle elles doivent être fournies, conformément à l’article 9, (iii) Les évaluations visées à l’alinéa b du paragraphe 4, dans les trois mois suivant la date fixée à ce sujet par le Comité, conformément à l’article 8, le Comité ou le Secrétaire général, selon le cas, doit adresser à la Partie intéressée une communication indiquant son retard, et lui demander de fournir ces renseignements dans les trois mois qui suivent la réception de cette communication. b. Si une Partie ne se conforme pas, dans le délai indiqué ci‑dessus à la demande du Comité ou du Secrétaire général, les dispositions transitoires autorisées par cet article ne doivent plus, à l’expiration de ce délai s’appliquer à cette Partie.
Kapitel V Schlussbestimmungen Übergangsbestimmungen Art. 19 Übergangsbestimmungen 1. Jeder Vertragspartner kann, vorausgesetzt, dass er bei der Unterzeichnung oder der Hinterlegung seiner Ratifizierungs- oder Beitrittsurkunde eine entsprechende Erklärung abgegeben hat, vorübergehend zulassen: a. die Verwendung von Opium zu quasi-medizinischen Zwecken auf irgendeinem seiner Gebiete; b. die Erzeugung, die Ein- oder Ausfuhr von Opium zu diesen Zwecken von und nach Staaten oder Gebieten, die in der oben erwähnten Erklärung angeführt wurden, vorausgesetzt, dass: i. am 1. Januar 1950 eine solche Verwendung, Ein- und Ausfuhr von Opium in dem Gebiet, für das die Erklärung abgegeben wurde, üblich und gestattet war; ii. keine Ausfuhr nach einem Staat, der nicht Teilnehmer dieses Protokolls ist, gestattet wird; und iii. der Vertragspartner die Verpflichtung übernimmt, innerhalb eines in der Erklärung zu bestimmenden Zeitraumes, der keinesfalls mehr als 15 Jahre nach Inkrafttreten dieses Protokolls betragen darf, die Verwendung, Erzeugung, Ein- und Ausfuhr von Opium für quasi-medizinische Zwecke abzuschaffen. 2. Jeder Vertragspartner, der eine Erklärung nach Ziffer 1 dieses Artikels abgegeben hat, ist während des in Buchstabe b, iii dieser Ziffer angeführten Zeitraumes berechtigt, ausser den nach Artikel 5 vorgesehenen maximalen Lagerbeständen jedes Jahr Opiumlager zu unterhalten, die der während der vorhergehenden zwei Jahre für quasi-medizinische Zwecke verbrauchten Opiummenge entsprechen. 3. Ausserdem kann jeder Vertragspartner, vorausgesetzt, dass er bei der Unterzeichnung oder Hinterlegung der Ratifikations- oder Beitrittsurkunde ausdrücklich eine entsprechende Erklärung abgegeben hat, als Übergangsmassnahme süchtigen, über 21 Jahre alten Personen, die von den zuständigen Behörden zu diesen Zwecken bis zum 30. September 1953 registriert wurden, das Opiumrauchen gestatten, dies jedoch nur dann, wenn das Opiumrauchen vom betreffenden Vertragspartner am 1. Januar 1950 gestattet war. 4. Ein Vertragspartner, der von den Übergangsbestimmungen dieses Artikels Gebrauch macht, hat: a. im Jahresbericht, der gemäss Artikel 10 dem Generalsekretär zuzustellen ist, eine Darstellung der im vorhergehenden Jahr hinsichtlich der Unterdrückung des Gebrauches, der Erzeugung, der Ein- und Ausfuhr von Opium für quasi-medizinische und von Rauchopium erzielten Erfolge einzuschliessen; b. über den Verbrauch, die Ein- und Ausfuhr und die Lagerhaltung von Opium für quasi-medizinische Zwecke sowie über das Opium, welches für Rauchzwecke vorrätig gehalten und verbraucht wurde, die in den Artikeln 8 und 9 vorgesehenen Schätzungen und Statistiken getrennt vorzulegen. 5. a. Unterlässt ein Vertragspartner, der sich auf die Übergangsmassnahmen dieses Artikels beruft: i. den Bericht nach Buchstabe a der Ziffer 4 innerhalb von 6 Monaten nach Ablauf des Jahres, auf welches sich diese Mitteilungen beziehen sollen, ii. die in Buchstabe b der Ziffer 4 angeführten Statistiken innerhalb von drei Monaten nach dem Fälligkeitstermin im Sinne des Artikels 9, iii. die Schätzungen nach Buchstabe b der Ziffer 4 innerhalb von drei Monaten nach dem Termin, der hiefür vom Rat nach Artikel 8 festgesetzt wurde, [tab] vorzulegen, so hat je nachdem der Rat oder der Generalsekretär diesem Vertragspartner eine Mitteilung über seine Verzögerung mit dem Ersuchen zu übermitteln, den Bericht binnen drei Monaten nach Empfang dieser Mitteilung zu erstatten. b. Kommt ein Vertragspartner innerhalb dieser Frist dem Ersuchen des Rates oder des Generalsekretärs nicht nach, so sind auf ihn die in diesem Artikel genehmigten Übergangsbestimmungen nicht länger anwendbar.
Capo V Disposizioni finali Disposizioni transitorie Art. 19 Disposizioni transitorie 1. A titolo transitorio, ciascuna Parte può, a condizione che abbia fatto una espressa dichiarazione in tal senso al momento della sua firma o del deposito del suo strumento di ratificazione o di adesione, autorizzare: a. l’impiego d’oppio in uno qualsiasi dei suoi territori per usi quasi medici; b. la produzione, l’importazione o l’esportazione d’oppio per detti usi proveniente o a destinazione di tutti gli Stati o territori designati al momento della dichiarazione di cui sopra, a condizione: (i) che l’impiego, l’importazione o l’esportazione d’oppio per tali usi fossero al 1 o gennaio 1950 tradizionali nel territorio per il quale è fatta la dichiarazione e che alla stessa data essi fossero autorizzati; (ii) che non venga autorizzata alcuna esportazione a destinazione di uno Stato che non sia parte del presente Protocollo; (iii) che la Parte s’impegni ad abolire, entro un termine da essa determinato al momento della sua dichiarazione, in nessun caso però superiore a quindici anni dalla data d’entrata in vigore del presente Protocollo, l’impiego, la produzione, l’importazione e l’esportazione d’oppio per usi quasi medici. 2. Ciascuna Parte che abbia fatto una dichiarazione conforme al paragrafo 1 del presente articolo è autorizzata, durante il termine di cui al numero (iii) della lettera b del medesimo paragrafo, a detenere annualmente, oltre le riserve massime previste dall’articolo 5, riserve pari alle quantità consumate per usi quasi medici nel corso dei due anni precedenti. 3. Ciascuna Parte può parimente, a titolo transitorio e in quanto abbia fatta una dichiarazione espressa in tal senso al momento della sua firma o del deposito del suo strumento di ratificazione o di adesione, consentire agli oppiomani di almeno ventun anni di età, immatricolati a tal fine il 30 settembre 1953 dalle competenti autorità, di fumare oppio, a condizione che al 1 o gennaio 1950 l’uso di fumare l’oppio fosse autorizzato dalla Parte interessata. 4. Ciascuna Parte che si giova delle disposizioni transitorie previste dal presente articolo, deve: a. includere nel rapporto annuale che essa deve trasmettere al Segretario generale in conformità all’articolo 10, una relazione sui progressi compiuti durante l’anno precedente nell’effettiva abolizione dell’impiego, dell’importazione o dell’esportazione dell’oppio per usi quasi medici e di quello da fumare; b. presentare separatamente, per l’oppio utilizzato, importato, esportato e detenuto per usi quasi medici, e per quello detenuto o utilizzato per il fumo, le valutazioni e le statistiche richieste dagli articolo 8 e 9 del presente Protocollo. 5. a. Qualora una Parte che si giova delle disposizioni transitorie del presente Protocollo non fornisca: (i) la relazione prevista dalla lettera a del paragrafo 4, entro sei mesi dalla scadenza dell’anno al quale si riferiscono le informazioni in essa contenute; (ii) le statistiche previste dalla lettera b del paragrafo 4, entro tre mesi dal termine nel quale esse devono venire presentate, in conformità all’articolo 9, (iii) le valutazioni previste dalla lettera b del paragrafo 4, entro tre mesi dal termine fissato a tal uopo dal Comitato, in conformità all’articolo 8, il Comitato o il Segretario generale, secondo il caso, deve fare presente alla Parte interessata, mediante comunicazione ad essa diretta, il suo ritardo, e richiederla di fornire la sua relazione entro tre mesi dal ricevimento della comunicazione. b. Qualora una Parte non dia seguito, nel termine indicato, alla richiesta del Comitato o del Segretario generale, le disposizioni transitorie autorizzate dal presente articolo non si applicano più, decorso tale termine, a detta Parte.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
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chap_V/art_20
Chapitre V Clauses finales Clause d’application territoriale Art. 20 Clause d’application territoriale Le présent Protocole s’applique à tous les territoires non autonome sous tutelle, coloniaux et autres territoires non métropolitains qu’une Partie représente sur le plan international, sauf là où le consentement préalable d’un territoire non métropolitain est nécessaire soit en vertu de la constitution de la Partie ou du territoire non métropolitain, soit en raison de l’usage. Dans ce cas, la Partie doit s’efforcer d’obtenir dans le plus bref délai le consentement du territoire non métropolitain, qui est nécessaire et, lorsque ce consentement a été obtenu, la Partie doit le notifier au Secrétaire général. Dès la date de la réception par le Secrétaire général de cette notification, le présent Protocole s’applique au territoire ou aux territoires désignés par celle‑ci. Dans les cas où le consentement préalable du territoire non métropolitain n’est pas nécessaire, la Partie intéressée doit, au moment de la signature ou de la ratification du présent Protocole, ou encore de l’adhésion au présent Protocole, déclarer le ou les territoire non métropolitains auxquels le présent Protocole s’applique.
Kapitel V Schlussbestimmungen Territoriale Anwendung Art. 20 Territoriale Anwendung Das vorliegende Protokoll findet auf alle nicht autonomen, unter Treuhandschaft stehenden, kolonialen und anderen nicht metropolen Gebiete Anwendung, für deren internationale Beziehungen ein Vertragspartner dieses Protokolls verantwortlich ist, ausgenommen jedoch die Fälle, in denen nach der Verfassung des betreffenden Vertragspartners oder des nicht metropolen Gebietes oder nach dem Herkommen die vorherige Zustimmung des nicht metropolen Gebietes erforderlich ist. In diesem Fall hat sich der betreffende Vertragspartner zu bemühen, die notwendige Zustimmung des nicht metropolen Gebietes möglichst bald zu erlangen und nach deren Erhalt hievon den Generalsekretär zu verständigen. Vom Empfang dieser Mitteilung durch den Generalsekretär an ist das vorliegende Protokoll auch auf das Gebiet oder die Gebiete, die darin angeführt sind, anzuwenden. In den Fällen, in denen keine vorhergehende Zustimmung des nicht metropolen Gebietes notwendig ist, hat der betreffende Vertragspartner bei der Unterzeichnung oder der Ratifikation des Beitritts das oder die nicht metropolen Gebiete zu bezeichnen, auf welche das vorliegende Protokoll Anwendung findet.
Capo V Disposizioni finali Applicazione territoriale Art. 20 Applicazione territoriale Il presente Protocollo si applica a tutti i territori non autonomi, sottoposti ad amministrazione fiduciaria, ai territori coloniali e agli altri territori non metropolitani rappresentati da una Parte nelle relazioni internazionali, salvo i casi in cui il consenso preventivo d’un territorio non metropolitano sia necessario in virtù della costituzione della Parte o del territorio non metropolitano, oppure in virtù di consuetudine. In tali casi, la Parte deve sforzarsi di ottenere, nel più breve termine possibile, il necessario consenso del territorio non metropolitano, e, conseguitolo, deve notificarlo al Segretario generale. Il presente Protocollo si applica al territorio o ai territori designati in detta notificazione, dalla data in cui essa è stata ricevuta dal Segretario generale. Nei casi in cui non sia necessario il consenso preventivo del territorio non metropolitano, la Parte interessata deve, al momento della firma o della ratificazione del presente Protocollo o a quello della sua adesione al medesimo, dichiarare a quali territori non metropolitani si applichi il presente Protocollo.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
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chap_V/art_21
Chapitre V Clauses finales Entrée en vigueur Art. 21 Entrée en vigueur 1. Le présent Protocole entrera en vigueur le trentième jour qui suivra le jour du dépôt des instruments de ratification ou d’adhésion d’au moins vingt‑cinq Etats, dont au moins trois des Etats producteurs indiqués à l’alinéa a du paragraphe 2 de l’article 6 et au moins trois des Etats fabricants ci‑après: République fédérale d’Allemagne, Belgique, Etats‑Unis d’Amérique, France, Italie, Japon, Pays‑Bas, Royaume‑Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord et Suisse. 2. Pour tout Etat qui dépose l’instrument de ratification ou d’adhésion postérieurement au dépôt des instruments nécessaires à l’entrée en vigueur du présent Protocole conformément au paragraphe 1 du présent article, le Protocole entrera en vigueur le trentième jour qui suivra la date à laquelle l’Etat en question aura déposé cet instrument.
Kapitel V Schlussbestimmungen Inkrafttreten Art. 21 Inkrafttreten 1. Das vorliegende Protokoll tritt in Kraft am 30. Tage nach Hinterlegung der Ratifizierungs- oder Beitrittsurkunden von mindestens 25 Staaten, unter denen sich wenigstens drei der in Buchstabe a Ziffer 2 des Artikels 6 genannten Erzeugerstaaten sowie wenigstens drei der nachstehenden Fabrikantenstaaten befinden müssen: Belgien, Bundesrepublik Deutschland, Frankreich, Italien, Japan, Niederlande, Schweiz, Vereinigtes Königreich von Grossbritannien und Nordirland, Vereinigte Staaten von Amerika. 2. Für die Staaten, die ihre Ratifikations- oder Beitrittsurkunde nach dem Inkrafttreten des vorliegenden Protokolls gemäss Ziffer 1 dieses Artikels hinterlegen, tritt das Protokoll am 30. Tag nach der Hinterlegung in Kraft.
Capo V Disposizioni finali Entrata in vigore Art. 21 Entrata in vigore 1. Il presente Protocollo entrerà in vigore il trentesimo giorno successivo a quello del deposito degli strumenti di ratificazione o di adesione di almeno venticinque Stati, di cui almeno tre siano Stati produttori compresi tra quelli indicati alla lettera a del paragrafo 2 dell’articolo 6, e almeno tre siano compresi tra i seguenti Stati fabbricanti: Belgio, Repubblica federale di Germania, Francia, Giappone, Regno Unito della Gran Bretagna e dell’Irlanda del Nord, Italia, Paesi Bassi, Stati Uniti d’America, Svizzera. 2. Per ogni Stato che deponga lo strumento di ratificazione o di adesione successivamente al deposito degli strumenti necessari per l’entrata in vigore del presente Protocollo in conformità al paragrafo 1 del presente articolo, il Protocollo entrerà in vigore il trentesimo giorno successivo a quello in cui lo Stato interessato abbia depositato detto strumento.
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Protocole du 23 juin 1953 visant à limiter et à réglementer la culture du pavot, ainsi que la production, le commerce international, le commerce de gros et l'emploi de l'opium
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chap_V/art_22
Chapitre V Clauses finales Révision Art. 22 Révision 1. Toute Partie peut, à tout moment, demander la révision du présent Protocole, par une notification adressée au Secrétaire général. 2. Le Conseil, après avoir consulté la Commission, doit recommander les mesures à prendre à la suite de cette demande.
Kapitel V Schlussbestimmungen Revision Art. 22 Revision 1. Jeder Vertragspartner kann jederzeit die Revision des vorliegenden Protokolls durch eine an den Generalsekretär gerichtete Note beantragen. 2. Nach Beratung mit der Kommission hat der Rat die infolge eines solchen Antrages zu unternehmenden Schritte zu empfehlen.
Capo V Disposizioni finali Revisione Art. 22 Revisione 1. Ciascuna Parte può chiedere, in qualsiasi momento, la revisione del presente Protocollo, mediante notificazione diretta al Segretario generale. 2. Il Consiglio, consultata la Commissione, deve raccomandare le misure da prendere in seguito a detta richiesta.
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chap_V/art_23
Chapitre V Clauses finales Dénonciation Art. 23 Dénonciation 1. A l’expiration d’une période de cinq années à compter de l’entrée en vigueur du présent Protocole, chaque Partie pourra, par le dépôt auprès du Secrétaire général d’un instrument écrit, dénoncer le Présent Protocole. 2. La dénonciation visée au paragraphe 1 du présent article prend effet le 1 er janvier de la première année qui suit la date à laquelle cette dénonciation a été reçue par le Secrétaire général.
Kapitel V Schlussbestimmungen Kündigung Art. 23 Kündigung 1. Jeder Vertragspartner kann das vorliegende Protokoll nach Ablauf von fünf Jahren nach seinem Inkrafttreten durch Hinterlegung einer schriftlichen Mitteilung beim Generalsekretär kündigen. 2. Die Kündigung nach Ziffer 1 dieses Artikels wird mit dem 1. Januar des auf die Hinterlegung der Urkunde beim Generalsekretär folgenden Jahres wirksam.
Capo V Disposizioni finali Denuncia Art. 23 Denuncia 1. Alla scadenza di un quinquennio dall’entrata in vigore del presente Protocollo, ogni Parte potrà denunciare il presente Protocollo, mediante il deposito di uno strumento scritto presso il Segretario generale. 2. La denuncia prevista dal paragrafo 1 del presente articolo ha effetto il 1 o gennaio dell’anno successivo a quello della data in cui il Segretario generale ha ricevuto detta denuncia.
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chap_V/art_24
Chapitre V Clauses finales Expiration Art. 24 Expiration Le présent Protocole cesse d’être en vigueur si, par suite de dénonciations notifiées en application de l’article 23, la liste des Parties n’est plus conforme à toutes les conditions établies à l’article 21.
Kapitel V Schlussbestimmungen Ausserkrafttreten Art. 24 Ausserkrafttreten Das vorliegende Protokoll tritt ausser Kraft, wenn zufolge Kündigungen gemäss Artikel 23 das Verzeichnis der Vertragspartner nicht mehr den im Artikel 21 aufgestellten Voraussetzungen entspricht.
Capo V Disposizioni finali Scadenza Art. 24 Scadenza Il presente Protocollo cessa d’aver vigore qualora, in seguito a denunce notificate ai sensi dell’articolo 23, l’elenco delle Parti non sia più conforme alle condizioni previste dall’articolo 21.
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chap_V/art_25
Chapitre V Clauses finales Réserves Art. 25 Réserves Exception faite pour ce qui est expressément prévu à l’article 19 relativement aux déclarations permises par cet article, et dans la mesure où le permet l’article 20 en ce qui concerne l’application territoriale, aucune Partie n’a le droit de formuler de réserve relativement à l’une quelconque des dispositions du présent Protocole.
Kapitel V Schlussbestimmungen Vorbehalte Art. 25 Vorbehalte Mit Ausnahme dessen, was in Artikel 19 ausdrücklich über die nach diesem Artikel zulässigen Erklärungen vorgesehen ist, und soweit dies Artikel 20 in Bezug auf die territoriale Anwendung erlaubt, ist kein Vertragspartner berechtigt, Vorbehalte hinsichtlich irgendeiner Bestimmung dieses Protokolls anzubringen.
Capo V Disposizioni finali Riserve Art. 25 Riserve Salvo quanto è espressamente previsto dall’articolo 19 per le dichiarazioni ammesse da detto articolo e nella misura consentita dall’articolo 20 per quel che riguarda l’applicazione territoriale, le Parti non possono formulare alcuna riserva concernente una disposizione qualsiasi del presente Protocollo.
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chap_V/art_26
Chapitre V Clauses finales Notifications du Secrétaire général Art. 26 Notifications du Secrétaire général Le Secrétaire général notifie à tous les Etats Membres de l’Organisation des Nations Unies et aux autres Etats visés aux articles 16 et 18: a. Les signatures apposées au présent Protocole à l’issue de la Conférence des Nations Unies sur l’opium et le dépôt des instruments de ratification et d’adhésion conformément aux articles 16, 17 et 18; b. Tout territoire qui, conformément à l’article 20, a été porté par l’Etat qui le représente sur le plan international, sur la liste des territoires auxquels s’applique le présent Protocole; c. La date à laquelle le présent Protocole entre en vigueur conformément à l’article 21; d. Les déclarations et les notifications faites conformément aux dispositions transitoires prévues à l’article 19, les dates auxquelles elles prennent fin et cessent d’avoir effet; e. Les dénonciations faites conformément à l’article 23; f. Les demandes de revision du présent Protocole présentées conformément à l’article 22; g. La date à partir de laquelle le présent Protocole cesse d’être en vigueur conformément à l’article 24. Le présent Protocole, dont les textes anglais, chinois, espagnol, français et russe feront également foi, sera déposé auprès du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies. Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies transmettra une copie certifiée conforme dudit Protocole à tous les Etats Membres de l’Organisation des Nations Unies et à tous les autres Etats visés aux articles 16 et 18 du Protocole.
Kapitel V Schlussbestimmungen Mitteilungen des Generalsekretärs Art. 26 Mitteilungen des Generalsekretärs Der Generalsekretär gibt allen Mitgliedern der Vereinten Nationen und den anderen Staaten, auf die in den Artikeln 16 und 18 Bezug genommen wurde, bekannt: a. die Unterzeichnungen des vorliegenden Protokolls nach Abschluss der Opiumkonferenz der Vereinten Nationen und die Hinterlegung der Ratifizierungs- und Beitrittsurkunden nach den Artikeln 16, 17 und 18; b. die Gebiete, die gemäss Artikel 20 von den sie im internationalen Verkehr vertretenden Staaten auf die Liste der Gebiete eingetragen wurden, auf welche das vorliegende Protokoll Anwendung findet; c. den Zeitpunkt des Inkrafttretens dieses Protokolls nach Artikel 21; d. die Erklärungen und Meldungen, die nach den Übergangsbestimmungen des Artikels 19 abgegeben wurden, ihre Geltungsdauer und den Zeitpunkt ihres Ausserkrafttretens; e. die nach Artikel 23 erfolgten Kündigungen; f. die Anträge auf Revision des vorliegenden Protokolls nach Artikel 22; g. den Zeitpunkt des Ausserkrafttretens dieses Protokolls nach Artikel 24. Das vorliegende Protokoll, dessen chinesischer, englischer, französischer, russischer und spanischer Text in gleicher Weise massgebend sind, ist beim Generalsekretär der Vereinten Nationen zu hinterlegen. Der Generalsekretär der Vereinten Nationen übermittelt gehörig beglaubigte Ausfertigungen an alle Mitglieder der Vereinten Nationen und an alle anderen Staaten, auf die in den Artikeln 16 und 18 dieses Protokolls Bezug genommen wird.
Capo V Disposizioni finali Notificazioni del Segretario generale Art. 26 Notificazioni del Segretario generale Il Segretario generale notifica a tutti gli Stati Membri dell’Organizzazione delle Nazioni Unite e agli altri Stati di cui agli articoli 16 e 18: a. le firme apposte al presente Protocollo alla fine della conferenza delle Nazioni Unite sull’oppio, e il deposito degli strumenti di ratificazione e di adesione in conformità agli articoli 16, 17 e 18; b. i territori che sono stati iscritti, conformemente all’articolo 20, dallo Stato che li rappresenta nelle relazioni internazionali, nell’elenco dei territori ai quali si applica il presente Protocollo; c. la data in cui il presente Protocollo entra in vigore in conformità all’articolo 21; d. le dichiarazioni e le notificazioni fatte in conformità alle disposizioni transitorie previste dall’articolo 19, la durata della loro validità e la data in cui cessano d’esplicare i loro effetti; e. le denunce fatte in conformità all’articolo 23; f. le domande di revisione del presente Protocollo, presentate in conformità all’articolo 22; g. la data in cui il presente Protocollo cessa d’aver vigore in conformità all’articolo 24. Il presente Protocollo, il cui testo cinese, francese, inglese, spagnuolo e russo fanno parimente fede, sarà depositato presso il Segretario generale dell’Organizzazione delle Nazioni Unite. Questi ne trasmetterà copia certificata conforme a tutti gli Stati Membri dell’Organizzazione delle Nazioni Unite e a tutti gli altri Stati di cui agli articoli 16 e 18 del Protocollo.
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0.232.03
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_1
Art. 1 (1) Les pays auxquels s’applique la présente Convention sont constitués à l’état d’Union pour la protection de la propriété industrielle. (2) La protection de la propriété industrielle a pour objet les brevets d’invention, les modèles d’utilité, les dessins ou modèles industriels, les marques de fabrique ou de commerce, les marques de service, le nom commercial et les indications de provenance ou appellations d’origine, ainsi que la répression de la concurrence déloyale. (3) La propriété industrielle s’entend dans l’acception la plus large et s’applique non seulement à l’industrie et au commerce proprement dits, mais également au domaine des industries agricoles et extractives et à tous produits fabriqués ou naturels, par exemple: vins, grains, feuilles de tabac, fruits, bestiaux, minéraux, eaux minérales, bières, fleurs, farines. (4) Parmi les brevets d’invention sont comprises les diverses espèces de brevets industriels admises par les législations des pays de l’Union, telles que brevets d’importation, brevets de perfectionnement, brevets et certificats d’addition, etc.
Art. 1 (1) Die Länder, auf die diese Übereinkunft Anwendung findet, bilden einen Verband zum Schutz des gewerblichen Eigentums. (2) Der Schutz des gewerblichen Eigentums hat zum Gegenstand die Erfindungspatente, die Gebrauchsmuster, die gewerblichen Muster oder Modelle, die Fabrik‑ oder Handelsmarken, die Dienstleistungsmarken, den Handelsnamen und die Herkunftsangaben oder Ursprungsbezeichnungen sowie die Unterdrückung des unlauteren Wettbewerbs. (3) Das gewerbliche Eigentum wird in der weitesten Bedeutung verstanden und bezieht sich nicht allein auf Gewerbe und Handel im eigentlichen Sinn des Wortes, sondern ebenso auf das Gebiet der Landwirtschaft und der Gewinnung der Bodenschätze und auf alle Fabrikate oder Naturerzeugnisse, zum Beispiel Wein, Getreide, Tabakblätter, Früchte, Vieh, Mineralien, Mineralwässer, Bier, Blumen, Mehl. (4) Zu den Erfindungspatenten zählen die von den Gesetzgebungen der Verbandsländer zugelassenen verschiedenen Arten gewerblicher Patente, wie Einführungspatente, Verbesserungspatente, Zusatzpatente, Zusatzbescheinigungen usw.
Art. 1 (1) I paesi ai quali si applica la presente Convenzione sono costituiti in Unione per la protezione della proprietà industriale. (2) La protezione della proprietà industriale ha per oggetto i brevetti d’invenzione, i modelli d’utilità, i disegni o modelli industriali, i marchi di fabbrica o di commercio, i marchi di servizio, il nome commerciale e le indicazioni di provenienza o denominazioni d’origine, nonché la repressione della concorrenza sleale. (3) La proprietà industriale s’intende nel significato più largo e si applica non solo all’industria e al commercio propriamente detti, ma anche alle industrie agricole ed estrattive e a tutti i prodotti fabbricati o naturali, come: vini, granaglie, foglie di tabacco, frutta, bestiame, minerali, acque minerali, birre, fiori, farine. (4) Tra i brevetti d’invenzione sono comprese le diverse specie di brevetti industriali ammesse dalle legislazioni dei paesi della Unione, come: brevetti d’importazione, brevetti di perfezionamento, brevetti e certificati completivi, ecc.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_2
Art. 2 (1) Les ressortissants de chacun des pays de l’Union jouiront dans tous les autres pays de l’Union, en ce qui concerne la protection de la propriété industrielle, des avantages que les lois respectives accordent actuellement ou accorderont par la suite aux nationaux, le tout sans préjudice des droits spécialement prévus par la présente Convention. En conséquence, ils auront la même protection que ceux-ci et le même recours légal contre toute atteinte portée à leurs droits, sous réserve de l’accomplissement des conditions et formalités imposées aux nationaux. (2) Toutefois, aucune condition de domicile ou d’établissement dans le pays où la protection est réclamée ne peut être exigée des ressortissants de l’Union pour la jouissance d’aucun des droits de propriété industrielle. (3) Sont expressément réservées les dispositions de la législation de chacun des pays de l’Union relatives à la procédure judiciaire et administrative et à la compétence, ainsi qu’à l’élection de domicile ou à la constitution d’un mandataire, qui seraient requises par les lois sur la propriété industrielle.
Art. 2 (1) Die Angehörigen eines jeden der Verbandsländer geniessen in allen übrigen Ländern des Verbandes in Bezug auf den Schutz des gewerblichen Eigentums die Vorteile, welche die betreffenden Gesetze den eigenen Staatsangehörigen gegenwärtig gewähren oder in Zukunft gewähren werden, und zwar unbeschadet der durch diese Übereinkunft besonders vorgesehenen Rechte. Demgemäss haben sie den gleichen Schutz wie diese und die gleichen Rechtsbehelfe gegen jeden Eingriff in ihre Rechte, vorbehaltlich der Erfüllung der Bedingungen und Förmlichkeiten, die den eigenen Staatsangehörigen auferlegt werden. (2) Jedoch darf der Genuss irgendeines Rechts des gewerblichen Eigentums für die Verbandsangehörigen keinesfalls von der Bedingung abhängig gemacht werden, dass sie einen Wohnsitz oder eine Niederlassung in dem Land haben, in dem der Schutz beansprucht wird. (3) Ausdrücklich bleiben vorbehalten die Vorschriften der Gesetzgebung eines jeden der Verbandsländer über das gerichtliche und das Verwaltungsverfahren und die Zuständigkeit sowie über die Wahl des Wohnsitzes oder die Bestellung eines Vertreters, die etwa nach den Gesetzen über das gewerbliche Eigentum erforderlich sind.
Art. 2 (1) I cittadini di ciascuno dei paesi dell’Unione godranno in tutti gli altri paesi dell’Unione, per quanto riguarda la protezione della proprietà industriale, dei vantaggi che le leggi rispettive accordano presentemente o accorderanno in avvenire ai nazionali, restando però impregiudicati i diritti specialmente previsti dalla presente Convenzione. Essi avranno quindi la stessa protezione dei nazionali e gli stessi mezzi legali di ricorso contro ogni lesione dei loro diritti, sempreché siano adempiute le condizioni e le formalità imposte agli stessi nazionali. (2) Tuttavia, nessun obbligo di domicilio o di stabilimento nel paese dove è domandata la protezione potrà essere richiesto ai cittadini dei paesi dell’Unione per il godimento d’uno qualunque dei diritti di proprietà industriale. (3) Sono espressamente riservate le disposizioni della legislazione di ciascun paese appartenente all’Unione relative alla procedura giudiziaria e amministrativa e alla competenza, come pure all’elezione del domicilio o alla nomina di un mandatario, che fossero richieste dalle leggi sulla proprietà industriale.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_3
Art. 3 Sont assimilés aux ressortissants des pays de l’Union les ressortissants des pays ne faisant pas partie de l’Union qui sont domiciliés ou ont des établissements industriels ou commerciaux effectifs et sérieux sur le territoire de l’un des pays de l’Union.
Art. 3 Den Angehörigen der Verbandsländer sind gleichgestellt die Angehörigen der dem Verbande nicht angehörenden Länder, die im Gebiet eines Verbandslandes ihren Wohnsitz oder tatsächliche und nicht nur zum Schein bestehende gewerbliche oder Handelsniederlassungen haben.
Art. 3 Sono assimilati ai cittadini dei paesi dell’Unione i cittadini dei paesi che non fanno parte dell’Unione che siano domiciliati o abbiano effettivamente stabilimenti industriali o commerciali reali sul territorio di uno dei paesi dell’Unione.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_4
Art. 4 [tab] A. – (1) Celui qui aura régulièrement fait le dépôt d’une demande de brevet d’invention, d’un modèle d’utilité, d’un dessin ou modèle industriel, d’une marque de fabrique ou de commerce, dans l’un des pays de l’Union, ou son ayant cause, jouira, pour effectuer le dépôt dans les autres pays, d’un droit de priorité pendant les délais déterminés ci-après. (2) Est reconnu comme donnant naissance au droit de priorité tout dépôt ayant la valeur d’un dépôt national régulier, en vertu de la législation nationale de chaque pays de l’Union ou de traités bilatéraux ou multilatéraux conclus entre des pays de l’Union. (3) Par dépôt national régulier on doit entendre tout dépôt qui suffit à établir la date à laquelle la demande a été déposée dans le pays en cause, quel que soit le sort ultérieur de cette demande. B. – En conséquence, le dépôt ultérieurement opéré dans l’un des autres pays de l’Union, avant l’expiration de ces délais, ne pourra être invalidé par des faits accomplis dans l’intervalle, soit, notamment, par un autre dépôt, par la publication de l’invention ou son exploitation, par la mise en vente d’exemplaires du dessin ou du modèle, par l’emploi de la marque, et ces faits ne pourront faire naître aucun droit de tiers ni aucune possession personnelle. Les droits acquis par des tiers avant le jour de la première demande qui sert de base au droit de priorité sont réservés par l’effet de la législation intérieure de chaque pays de l’Union. [tab] C. – (1) Les délais de priorité mentionnés ci-dessus seront de douze mois pour les brevets d’invention et les modèles d’utilité, et de six mois pour les dessins ou modèles industriels et pour les marques de fabrique ou de commerce. (2) Ces délais commencent à courir de la date du dépôt de la première demande, le jour du dépôt n’est pas compris dans le délai. (3) Si le dernier jour du délai est un jour férié légal, ou un jour où le Bureau n’est pas ouvert pour recevoir le dépôt des demandes dans le pays où la protection est réclamée, le délai sera prorogé jusqu’au premier jour ouvrable qui suit. (4) Doit être considérée comme première demande dont la date de dépôt sera le point de départ du délai de priorité, une demande ultérieure ayant le même objet qu’une première demande antérieure au sens de l’al. (2) ci-dessus, déposée dans le même pays de l’Union, à la condition que cette demande antérieure, à la date du dépôt de la demande ultérieure, ait été retirée, abandonnée, ou refusée, sans avoir été soumise à l’inspection publique et sans laisser subsister de droits, et qu’elle n’ait pas encore servi de base pour la revendication du droit de priorité. La demande antérieure ne pourra plus alors servir de base pour la revendication du droit de priorité. [tab] D. – (1) Quiconque voudra se prévaloir de la priorité d’un dépôt antérieur sera tenu de faire une déclaration indiquant la date et le pays de ce dépôt. Chaque pays déterminera à quel moment, au plus tard, cette déclaration devra être effectuée. (2) Ces indications seront mentionnées dans les publications émanant de l’Administration compétente, notamment sur les brevets et les descriptions y relatives. (3) Les pays de l’Union pourront exiger de celui qui fait une déclaration de priorité la production d’une copie de la demande (description, dessins, etc.) déposée antérieurement. La copie, certifiée conforme par l’Administration qui aura reçu cette demande, sera dispensée de toute légalisation et elle pourra en tout cas être déposée, exempte de frais, à n’importe quel moment dans le délai de trois mois à dater du dépôt de la demande ultérieure. On pourra exiger qu’elle soit accompagnée d’un certificat de la date du dépôt émanant de cette Administration et d’une traduction. (4) D’autres formalités ne pourront être requises pour la déclaration de priorité au moment du dépôt de la demande. Chaque pays de l’Union déterminera les conséquences de l’omission des formalités prévues par le présent article, sans que ces conséquences puissent excéder la perte du droit de priorité. (5) Ultérieurement, d’autres justifications pourront être demandées. Celui qui se prévaut de la priorité d’un dépôt antérieur sera tenu d’indiquer le numéro de ce dépôt; cette indication sera publiée dans les conditions prévues par l’al. (2) ci-dessus. [tab] E. – (1) Lorsqu’un dessin ou modèle industriel aura été déposé dans un pays en vertu d’un droit de priorité basé sur le dépôt d’un modèle d’utilité, le délai de priorité ne sera que celui fixé pour les dessins ou modèles industriels. (2) En outre, il est permis de déposer dans un pays un modèle d’utilité en vertu d’un droit de priorité basé sur le dépôt d’une demande de brevet et inversement. F. – Aucun pays de l’Union ne pourra refuser une priorité ou une demande de brevet pour le motif que le déposant revendique des priorités multiples, même provenant de pays différents, ou pour le motif qu’une demande revendiquant une ou plusieurs priorités contient un ou plusieurs éléments qui n’étaient pas compris dans la ou les demandes dont la priorité est revendiquée, à la condition, dans les deux cas, qu’il y ait unité d’invention, au sens de la loi du pays. En ce qui concerne les éléments non compris dans la ou les demandes dont la priorité est revendiquée, le dépôt de la demande ultérieure donne naissance à un droit de priorité dans les conditions ordinaires. [tab] G. – (1) Si l’examen révèle qu’une demande de brevet est complexe, le demandeur pourra diviser la demande en un certain nombre de demandes divisionnaires, en conservant comme date de chacune la date de la demande initiale et, s’il y a lieu, le bénéfice du droit de priorité. (2) Le demandeur pourra aussi, de sa propre initiative, diviser la demande de brevet, en conservant comme date de chaque demande divisionnaire la date de la demande initiale et, s’il y a lieu, le bénéfice du droit de priorité. Chaque pays de l’Union aura la faculté de déterminer les conditions auxquelles cette division sera autorisée. H. – La priorité ne peut être refusée pour le motif que certains éléments de l’invention pour lesquels on revendique la priorité ne figurent pas parmi les revendications formulées dans la demande au pays d’origine, pourvu que l’ensemble des pièces de la demande révèle d’une façon précise lesdits éléments.
Art. 4 [tab] A. – (1) Wer in einem der Verbandsländer die Anmeldung für ein Erfindungspatent, ein Gebrauchsmuster, ein gewerbliches Muster oder Modell, eine Fabrik‑ oder Handelsmarke vorschriftsmässig hinterlegt hat, oder sein Rechtsnachfolger geniesst für die Hinterlegung in den anderen Ländern während der unten bestimmten Fristen ein Prioritätsrecht. (2) Als prioritätsbegründend wird jede Hinterlegung anerkannt, der nach der nationalen Gesetzgebung jedes Verbandslandes oder nach den zwischen Verbandsländern abgeschlossenen zwei‑ oder mehrseitigen Verträgen die Bedeutung einer vorschriftsmässigen nationalen Hinterlegung zukommt. (3) Unter vorschriftsmässiger nationaler Hinterlegung ist jede Hinterlegung zu verstehen, die zur Festlegung des Zeitpunkts ausreicht, an dem die Anmeldung in dem betreffenden Land hinterlegt worden ist, wobei das spätere Schicksal der Anmeldung ohne Bedeutung ist. B. – Demgemäss kann die spätere, jedoch vor Ablauf dieser Fristen in einem der anderen Verbandsländer bewirkte Hinterlegung nicht unwirksam gemacht werden durch inzwischen eingetretene Tatsachen, insbesondere durch eine andere Hinterlegung, durch die Veröffentlichung der Erfindung oder deren Ausübung, durch das Feilbieten von Stücken des Musters oder Modells, durch den Gebrauch der Marke; diese Tatsachen können kein Recht Dritter und kein persönliches Besitzrecht begründen. Die Rechte, die von Dritten vor dem Tag der ersten, prioritätsbegründenden Anmeldung erworben worden sind, bleiben nach Massgabe der inneren Gesetzgebung eines jeden Verbandslandes gewahrt. [tab] C. – (1) Die oben erwähnten Prioritätsfristen betragen zwölf Monate für die Erfindungspatente und die Gebrauchsmuster und sechs Monate für die gewerblichen Muster oder Modelle und für die Fabrik‑ oder Handelsmarken. (2) Diese Fristen laufen vom Zeitpunkt der Hinterlegung der ersten Anmeldung an; der Tag der Hinterlegung wird nicht in die Frist eingerechnet. (3) Ist der letzte Tag der Frist in dem Land, in dem der Schutz beansprucht wird, ein gesetzlicher Feiertag oder ein Tag, an dem das Amt zur Entgegennahme von Anmeldungen nicht geöffnet ist, so erstreckt sich die Frist auf den nächstfolgenden Werktag. (4) Als erste Anmeldung, von deren Hinterlegungszeitpunkt an die Prioritätsfrist läuft, wird auch eine jüngere Anmeldung angesehen, die denselben Gegenstand betrifft wie eine erste ältere im Sinn des Absatzes (2) in demselben Verbandsland eingereichte Anmeldung, sofern diese ältere Anmeldung bis zum Zeitpunkt der Hinterlegung der jüngeren Anmeldung zurückgezogen, fallengelassen oder zurückgewiesen worden ist, und zwar bevor sie öffentlich ausgelegt worden ist und ohne dass Rechte bestehen geblieben sind; ebenso wenig darf diese ältere Anmeldung schon Grundlage für die Inanspruchnahme des Prioritätsrechts gewesen sein. Die ältere Anmeldung kann in diesem Fall nicht mehr als Grundlage für die Inanspruchnahme des Prioritätsrechts dienen. [tab] D. – (1) Wer die Priorität einer früheren Hinterlegung in Anspruch nehmen will, muss eine Erklärung über den Zeitpunkt und das Land dieser Hinterlegung abgeben. Jedes Land bestimmt, bis wann die Erklärung spätestens abgegeben werden muss. (2) Diese Angaben sind in die Veröffentlichungen der zuständigen Behörde, insbesondere in die Patenturkunden und die zugehörigen Beschreibungen aufzunehmen. (3) Die Verbandsländer können von demjenigen, der eine Prioritätserklärung abgibt, verlangen, dass er die frühere Anmeldung (Beschreibung, Zeichnungen usw.) in Abschrift vorlegt. Die Abschrift, die von der Behörde, die diese Anmeldung empfangen hat, als übereinstimmend bescheinigt ist, ist von jeder Beglaubigung befreit und kann auf alle Fälle zu beliebiger Zeit innerhalb einer Frist von drei Monaten nach der Hinterlegung der späteren Anmeldung gebührenfrei eingereicht werden. Es kann verlangt werden, dass ihr eine von dieser Behörde ausgestellte Bescheinigung über den Zeitpunkt der Hinterlegung und eine Übersetzung beigefügt werden. (4) Andere Förmlichkeiten für die Prioritätserklärung dürfen bei der Hinterlegung der Anmeldung nicht verlangt werden. Jedes Verbandsland bestimmt die Folgen der Nichtbeachtung der in diesem Artikel vorgesehenen Förmlichkeiten; jedoch dürfen diese Folgen über den Verlust des Prioritätsrechts nicht hinausgehen. (5) Später können weitere Nachweise verlangt werden. Wer die Priorität einer früheren Anmeldung in Anspruch nimmt, ist verpflichtet, das Aktenzeichen dieser Anmeldung anzugeben; diese Angabe ist nach Massgabe des Absatzes (2) zu veröffentlichen. [tab] E. – (1) Wird in einem Land ein gewerbliches Muster oder Modell unter Inanspruchnahme eines auf die Anmeldung eines Gebrauchsmusters gegründeten Prioritätsrechts hinterlegt, so ist nur die für gewerbliche Muster oder Modelle bestimmte Prioritätsfrist massgebend. (2) Im Übrigen ist es zulässig, in einem Land ein Gebrauchsmuster unter Inanspruchnahme eines auf die Hinterlegung einer Patentanmeldung gegründeten Prioritätsrechts zu hinterlegen und umgekehrt. F. – Kein Verbandsland darf deswegen die Anerkennung einer Priorität verweigern oder eine Patentanmeldung zurückweisen, weil der Anmelder mehrere Prioritäten in Anspruch nimmt, selbst wenn sie aus verschiedenen Ländern stammen, oder deswegen, weil eine Anmeldung, für die eine oder mehrere Prioritäten beansprucht werden, ein oder mehrere Merkmale enthält, die in der oder den Anmeldungen, deren Priorität beansprucht worden ist, nicht enthalten waren, sofern in beiden Fällen Erfindungseinheit im Sinn des Landesgesetzes vorliegt. Hinsichtlich der Merkmale, die in der oder den Anmeldungen, deren Priorität in Anspruch genommen worden ist, nicht enthalten sind, lässt die jüngere Anmeldung ein Prioritätsrecht unter den allgemeinen Bedingungen entstehen. [tab] G. – (1) Ergibt die Prüfung, dass eine Patentanmeldung nicht einheitlich ist, so kann der Anmelder die Anmeldung in eine Anzahl von Teilanmeldungen teilen, wobei ihm für jede Teilanmeldung als Anmeldezeitpunkt der Zeitpunkt der ursprünglichen Anmeldung und gegebenenfalls das Prioritätsvorrecht erhalten bleiben. (2) Der Anmelder kann auch von sich aus die Patentanmeldung teilen, wobei ihm für jede Teilanmeldung als Anmeldezeitpunkt der Zeitpunkt der ursprünglichen Anmeldung und gegebenenfalls das Prioritätsvorrecht erhalten bleiben. Jedem Verbandsland steht es frei, die Bedingungen festzulegen, unter denen diese Teilung zugelassen wird. H. – Die Priorität kann nicht deshalb verweigert werden, weil bestimmte Merkmale der Erfindung, für welche die Priorität beansprucht wird, nicht in den in der Patentanmeldung des Ursprungslandes aufgestellten Patentansprüchen enthalten sind, sofern nur die Gesamtheit der Anmeldungsunterlagen diese Merkmale deutlich offenbart.
Art. 4 A. (1) Chiunque avrà regolarmente depositati in uno dei paesi dell’Unione una domanda di brevetto d’invenzione, di modello d’utilità, di disegno o modello industriale, di marchio di fabbrica o di commercio, o il suo avente causa, godrà, per eseguire il deposito negli altri paesi, d’un diritto di priorità entro i termini sotto indicati. (2) È riconosciuto come idoneo a far nascere, il diritto di priorità qualsiasi deposito avente valore di deposito nazionale regolare, in virtù della legislazione nazionale di ciascun paese dell’Unione o di trattati bilaterali o plurilaterali stipulati tra paesi dell’Unione. (3) Per deposito nazionale regolare si deve considerare ogni deposito idoneo a stabilire la data alla quale la domanda è stata depositata nel paese in questione, qualunque sia la sorte ulteriore di tale domanda. B. Di conseguenza il deposito eseguito ulteriormente in uno degli altri paesi dell’Unione, prima della scadenza di detti termini, non potrà essere invalidato da fatti avvenuti nell’intervallo, come, in particolare, da un altro deposito, dalla pubblicazione dell’invenzione o dalla sua attuazione, dalla messa in vendita di esemplari del disegno o del modello, dall’uso del marchio, e tali fatti non potranno far nascere alcun diritto nei terzi, né alcun possesso personale. I diritti acquisiti dai terzi anteriormente alla data della prima domanda, che serve di base al diritto di priorità, sono riservati in base alla legislazione interna di ciascun paese dell’Unione. C. (1) I termini di priorità sopra menzionati saranno di dodici mesi per i brevetti d’invenzione e i modelli d’utilità, di sei mesi per i disegni o modelli industriali e per i marchi di fabbrica o di commercio. (2) Tali termini cominciano a decorrere dalla data del deposito della prima domanda; il giorno del deposito non è compreso nel termine. (3) Se l’ultimo giorno del termine è un giorno festivo riconosciuto, o un giorno nel quale l’Ufficio non è aperto per ricevere il deposito delle domande nel paese ove la protezione è richiesta, il termine sarà prorogato fino al primo giorno lavorativo successivo. (4) Deve essere considerata come prima domanda dalla cui data di deposito decorrerà il termine di priorità, una domanda ulteriore avente lo stesso oggetto di una prima domanda anteriore ai sensi del comma (2) suddetto, depositata nello stesso paese dell’Unione, a condizione che tale domanda anteriore, alla data dei deposito della domanda successiva, sia stata ritirata, abbandonata, o rifiutata, senza essere stata sottoposta alla visione del pubblico e senza che abbia lasciato sussistere diritti, né che sia servita di base per la rivendicazione dei diritto di priorità. La domanda anteriore non potrà più servire allora di base per la rivendicazione del diritto di priorità. D. (1) Chiunque vorrà avvalersi della priorità di un deposito anteriore dovrà fare una dichiarazione indicante la data e il paese di tale deposito. Ciascun paese stabilirà in quale momento, al più tardi, questa dichiarazione dovrà essere effettuata. (2) Tali indicazioni saranno menzionate nelle pubblicazioni eseguite a cura dell’Amministrazione competente, in modo particolare sui brevetti e sulle relative descrizioni. (3) I paesi dell’Unione potranno esigere da chi fa una dichiarazione di priorità la produzione di una copia della domanda (descrizione, disegni, ecc.) depositata anteriormente. La copia, autenticata dall’Amministrazione che avrà ricevuto la predetta domanda, sarà esentata da qualsiasi legalizzazione ed essa potrà in ogni caso essere depositata esente da spese, in qualunque momento nel termine di tre mesi a partire dal deposito della domanda ulteriore. Si potrà richiedere che essa sia accompagnata da un certificato della data di deposito rilasciato da detta Amministrazione e da una traduzione. (4) Altre formalità non potranno essere richieste per la dichiarazione della priorità al momento del deposito della domanda. Ciascun paese dell’Unione stabilirà le conseguenze dell’omissione delle formalità previste dal presente articolo, senza che tali conseguenze possano andare oltre la perdita del diritto di priorità. (5) Altre giustificazioni potranno essere richieste successivamente. Chi si avvale della priorità di un deposito anteriore sarà tenuto a indicare il numero di detto deposito; tale indicazione sarà pubblicata nei modi previsti dal precedente comma (2). E. (1) Quando un disegno o modello industriale è stato depositato in un paese in virtù di un diritto di priorità basato sul deposito di un modello di utilità, il termine di priorità sarà quello fissato per i disegni o modelli industriali. (2) È, inoltre, consentito di depositare in un paese un modello di utilità in virtù di un diritto di priorità basato sul deposito di una domanda di brevetto e viceversa. F. Nessun paese dell’Unione potrà rifiutare una priorità o una domanda di brevetto per il motivo che il depositante rivendica priorità multiple, anche se provenienti da paesi diversi, o perché la domanda che rivendica una o più priorità contiene uno o più elementi che non erano compresi nella o nelle domande di cui la priorità è rivendicata, a condizione che, nei due casi, vi sia unità d’invenzione secondo la legge del paese. Per quanto riguarda gli elementi non compresi nella o nelle domande di cui la priorità è rivendicata, il deposito della domanda ulteriore dà luogo a un diritto di priorità nelle condizioni ordinarie. G. (1) Se dall’esame si rivela che una domanda di brevetto è complessa, il richiedente potrà dividere la domanda in un certo numero di domande separate, conservando come data di ciascuna la data della domanda iniziale e, se del caso, il beneficio del diritto di priorità. (2) Il richiedente potrà anche, di propria iniziativa, dividere la domanda di brevetto, conservando come data di ciascuna domanda separata la data della domanda iniziale e, se dei caso, il beneficio del diritto di priorità. Ciascun paese dell’Unione avrà facoltà di determinare le condizioni secondo le quali tale divisione sarà autorizzata. H. La priorità non può essere rifiutata per il motivo che alcuni elementi dell’invenzione per i quali si rivendica la priorità non figurano fra le rivendicazioni formulate nella domanda al paese di origine, purché l’insieme della documentazione relativa alla domanda stessa riveli in modo preciso detti elementi.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_4_bis
Art. 4 bis (1) Les brevets demandés dans les différents pays de l’Union par des ressortissants de l’Union seront indépendants des brevets obtenus pour la même invention dans les autres pays, adhérents ou non à l’Union. (2) Cette disposition doit s’entendre d’une façon absolue, notamment en ce sens que les brevets demandés pendant le délai de priorité sont indépendants, tant au point de vue des causes de nullité et de déchéance qu’au point de vue de la durée normale. (3) Elle s’applique à tous les brevets existant au moment de sa mise en vigueur. (4) Il en sera de même, en cas d’accession de nouveaux pays, pour les brevets existant de part et d’autre au moment de l’accession. (5) Les brevets obtenus avec le bénéfice de la priorité jouiront, dans les différents pays de l’Union, d’une durée égale à celle dont ils jouiraient s’ils étaient demandés ou délivrés sans le bénéfice de la priorité.
Art. 4 bis (1) Die in den verschiedenen Verbandsländern von Verbandsangehörigen angemeldeten Patente sind unabhängig von den Patenten, die für dieselbe Erfindung in anderen Ländern erlangt worden sind, mögen diese Länder dem Verband angehören oder nicht. (2) Diese Bestimmung ist ohne jede Einschränkung zu verstehen, insbesondere in dem Sinn, dass die während der Prioritätsfrist angemeldeten Patente sowohl hinsichtlich der Gründe der Nichtigkeit und des Verfalls als auch hinsichtlich der gesetzmässigen Dauer unabhängig sind. (3) Sie findet auf alle im Zeitpunkt ihres Inkrafttretens bestehenden Patente Anwendung. (4) Für den Fall des Beitritts neuer Länder wird es mit den im Zeitpunkt des Beitritts auf beiden Seiten bestehenden Patenten ebenso gehalten. (5) Die mit Prioritätsvorrecht erlangten Patente geniessen in den einzelnen Verbandsländern die gleiche Schutzdauer, wie wenn sie ohne das Prioritätsvorrecht angemeldet oder erteilt worden wären.
Art. 4 bis (1) I brevetti chiesti nei diversi paesi dell’Unione da cittadini dell’Unione saranno indipendenti dai brevetti ottenuti per la stessa invenzione negli altri paesi, aderenti o no all’Unione. (2) Tale disposizione deve intendersi nel modo più assoluto, specialmente nel senso che i brevetti chiesti entro il termine di priorità sono indipendenti, sia per le cause di nullità e di decadenza che per la durata normale. (3) Essa si applica a tutti i brevetti esistenti al momento della sua entrata in vigore. (4) La stessa regola varrà nel caso di adesione di nuovi paesi, per i brevetti esistenti da una parte e dall’altra al momento dell’adesione. 5) I brevetti ottenuti col beneficio della priorità godranno, nei diversi paesi dell’Unione, di una durata uguale a quella di cui godrebbero se fossero richiesti o concessi senza il beneficio della priorità.
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art_4_ter
Art. 4 ter L’inventeur a le droit d’être mentionné comme tel dans le brevet.
Art. 4 ter Der Erfinder hat das Recht, als solcher im Patent genannt zu werden.
Art. 4 ter L’inventore ha il diritto di essere indicato come tale nel brevetto.
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art_4_quater
Art. 4 quater La délivrance d’un brevet ne pourra être refusée et un brevet ne pourra être invalidé pour le motif que la vente du produit breveté ou obtenu par un procédé breveté est soumise à des restrictions ou limitations résultant de la législation nationale.
Art. 4 quater Die Erteilung eines Patents kann nicht deshalb verweigert und ein Patent kann nicht deshalb für ungültig erklärt werden, weil der Vertrieb des patentierten Erzeugnisses oder des Erzeugnisses, das das Ergebnis eines patentierten Verfahrens ist, Beschränkungen oder Begrenzungen durch die Landesgesetzgebung unterworfen ist.
Art. 4 quater La Concessione di un brevetto non potrà essere rifiutata e un brevetto non potrà essere invalidato per il motivo che la vendita del prodotto brevettato o ottenuto mediante un procedimento brevettato, è sottoposto a restrizioni o limitazioni risultanti dalla legislazione nazionale.
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Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_5
Art. 5 [tab] A. – (1) L’introduction, par le breveté, dans le pays où le brevet a été délivré, d’objets fabriqués dans l’un ou l’autre des pays de l’Union, n’entraînera pas la déchéance. (2) Chacun des pays de l’Union aura la faculté de prendre des mesures législatives prévoyant la concession de licences obligatoires, pour prévenir les abus qui pourraient résulter de l’exercice du droit exclusif conféré par le brevet, par exemple faute d’exploitation. (3) La déchéance du brevet ne pourra être prévue que pour le cas où la concession de licences obligatoires n’aurait pas suffi pour prévenir ces abus. Aucune action en déchéance ou en révocation d’un brevet ne pourra être introduite avant l’expiration de deux années à compter de la concession de la première licence obligatoire. (4) Une licence obligatoire ne pourra pas être demandée pour cause de défaut ou d’insuffisance d’exploitation avant l’expiration d’un délai de quatre années à compter du dépôt de la demande de brevet, ou de trois années à compter de la délivrance du brevet, le délai qui expire le plus tard devant être appliqué; elle sera refusée si le breveté justifie son inaction par des excuses légitimes. Une telle licence obligatoire sera non exclusive et ne pourra être transmise, même sous la forme de concession de sous-licence, qu’avec la partie de l’entreprise ou du fonds de commerce exploitant cette licence. (5) Les dispositions qui précèdent seront applicables, sous réserve des modifications nécessaires, aux modèles d’utilité. B. – La protection des dessins et modèles industriels ne peut être atteinte par une déchéance quelconque, soit pour défaut d’exploitation, soit pour introduction d’objets conformes à ceux qui sont protégés. C. – (1) Si, dans un pays, l’utilisation de la marque enregistrée est obligatoire, l’enregistrement ne pourra être annulé qu’après un délai équitable et si l’intéressé ne justifie pas des causes de son inaction. [tab] (2) L’emploi d’une marque de fabrique ou de commerce, par le propriétaire, sous une forme qui diffère par des éléments n’altérant pas le caractère distinctif de la marque dans la forme sous laquelle celle-ci a été enregistrée dans l’un des pays de l’Union, n’entraînera pas l’invalidation de l’enregistrement et ne diminuera pas la protection accordée à la marque. [tab] (3) L’emploi simultané de la même marque sur des produits identiques ou similaires, par des établissements industriels ou commerciaux considérés comme copropriétaires de la marque d’après les dispositions de la loi nationale du pays où la protection est réclamée, n’empêchera pas l’enregistrement, ni ne diminuera d’aucune façon la protection accordée à ladite marque dans n’importe quel pays de l’Union, pourvu que ledit emploi n’ait pas pour effet d’induire le public en erreur et qu’il ne soit pas contraire à l’intérêt public. D. – Aucun signe ou mention du brevet, du modèle d’utilité, de l’enregistrement de la marque de fabrique ou de commerce, ou du dépôt du dessin ou modèle industriel ne sera exigé sur le produit pour la reconnaissance du droit.
Art. 5 [tab] A. – (1) Die durch den Patentinhaber bewirkte Einfuhr von Gegenständen, die in dem einen oder anderen Verbandsland hergestellt worden sind, in das Land, in dem das Patent erteilt worden ist, hat den Verfall des Patents nicht zur Folge. (2) Jedem der Verbandsländer steht es frei, gesetzliche Massnahmen zu treffen, welche die Gewährung von Zwangslizenzen vorsehen, um Missbräuche zu verhüten, die sich aus der Ausübung des durch das Patent verliehenen ausschliesslichen Rechts ergeben könnten, zum Beispiel infolge unterlassener Ausübung. (3) Der Verfall des Patents kann nur dann vorgesehen werden, wenn die Gewährung von Zwangslizenzen zur Verhütung dieser Missbräuche nicht ausreichen würde. Vor Ablauf von zwei Jahren seit Gewährung der ersten Zwangslizenz kann kein Verfahren auf Verfall oder Zurücknahme eines Patents eingeleitet werden. (4) Wegen unterlassener oder ungenügender Ausübung darf eine Zwangslizenz nicht vor Ablauf einer Frist von vier Jahren nach der Hinterlegung der Patentanmeldung oder von drei Jahren nach der Patenterteilung verlangt werden, wobei die Frist, die zuletzt abläuft, massgebend ist; sie wird versagt, wenn der Patentinhaber seine Untätigkeit mit berechtigten Gründen entschuldigt. Eine solche Zwangslizenz ist nicht ausschliesslich und kann, auch in der Form der Gewährung einer Unterlizenz, nur mit dem Teil des Unternehmens oder des Geschäftsbetriebs übertragen werden, der mit ihrer Auswertung befasst ist. (5) Die vorstehenden Bestimmungen finden unter Vorbehalt der notwendigen Änderungen auch auf Gebrauchsmuster Anwendung. B. – Der Schutz gewerblicher Muster und Modelle darf wegen unterlassener Ausübung oder wegen der Einfuhr von Gegenständen, die mit den geschützten übereinstimmen, in keiner Weise durch Verfall beeinträchtigt werden. [tab] C. – (1) Ist in einem Land der Gebrauch der eingetragenen Marke vorgeschrieben, so darf die Eintragung erst nach Ablauf einer angemessenen Frist und nur dann für ungültig erklärt werden, wenn der Beteiligte seine Untätigkeit nicht rechtfertigt. (2) Wird eine Fabrik‑ oder Handelsmarke vom Inhaber in einer Form gebraucht, die von der Eintragung in einem der Verbandsländer nur in Bestandteilen abweicht, ohne dass dadurch die Unterscheidungskraft der Marke beeinflusst wird, so soll dieser Gebrauch die Ungültigkeit der Eintragung nicht nach sich ziehen und den der Marke gewährten Schutz nicht schmälern. (3) Der gleichzeitige Gebrauch derselben Marke auf gleichen oder gleichartigen Erzeugnissen durch gewerbliche oder Handelsniederlassungen, die nach den Bestimmungen des Gesetzes des Landes, in dem der Schutz beansprucht wird, als Mitinhaber der Marke angesehen werden, steht der Eintragung der Marke nicht entgegen und schmälert nicht den der genannten Marke in einem Verbandsland gewährten Schutz, sofern dieser Gebrauch nicht eine Irreführung des Publikums zur Folge hat und dem öffentlichen Interesse nicht zuwiderläuft. D. – Für die Anerkennung des Rechts ist die Anbringung eines Zeichens oder Vermerks über das Patent, das Gebrauchsmuster, die Eintragung der Fabrik‑ oder Handelsmarke oder die Hinterlegung des gewerblichen Musters oder Modells auf dem Erzeugnis nicht erforderlich.
Art. 5 A. (1) L’introduzione, da parte del titolare del brevetto, nel paese ove questo fu concesso, di oggetti fabbricati in uno dei paesi dell’Unione, non comporterà la decadenza del brevetto. (2) Ciascuno dei paesi dell’Unione avrà la facoltà di adottare provvedimenti legislativi che prevedano la concessione di licenze obbligatorie, per prevenire gli abusi che potrebbero risultare dall’esercizio del diritto esclusivo conferito col brevetto, per esempio per difetto di attuazione. (3) La decadenza del brevetto non potrà essere prevista che per il caso in cui la concessione di licenze obbligatorie non sarebbe stata sufficiente per prevenire tali abusi. Nessuna azione per decadenza o per revoca di un brevetto potrà essere proposta prima che siano trascorsi due anni dalla concessione della prima licenza obbligatoria. (4) Una licenza obbligatoria non potrà essere domandata per mancata o insufficiente attuazione prima della scadenza di un termine di quattro anni a decorrere dal deposito della domanda di brevetto, o di tre anni a decorrere dalla concessione del brevetto, dovendo applicarsi il termine che scade più tardi; la licenza sarà rifiutata se il titolare dei brevetto giustifica la sua inazione con motivi legittimi. La licenza obbligatoria sarà non esclusiva e non potrà essere trasferita neppure sotto forma di concessione di una sub‑licenza, che non con la parte dell’impresa o dell’azienda che la utilizza. (5) Le disposizioni suddette saranno applicabili, con riserva delle modificazioni necessarie, ai modelli di utilità. B. La protezione dei disegni e modelli industriali non è suscettibile di decadenza né per mancanza di attuazione, né per l’importazione di oggetti conformi a quelli protetti. C. (1) Se in un paese l’utilizzazione del marchio registrato è obbligatoria, la registrazione non potrà essere annullata se non dopo trascorso un equo periodo e solo nel caso in cui l’interessato non giustifichi la causa della sua inazione. (2) L’uso di un marchio di fabbrica o di commercio da parte del proprietario, sotto una forma che differisca per alcuni elementi che non alterino il carattere distintivo del marchio nella forma in cui questo è stato registrato in un paese dell’Unione, non comporterà l’invalidazione della registrazione né diminuirà la protezione accordata al marchio. (3) L’uso simultaneo dello stesso marchio su prodotti identici o simili, da parte di stabilimenti industriali o commerciali considerati come comproprietari del marchio secondo le disposizioni della legge nazionale del paese nel quale è stata richiesta la protezione, non impedirà la registrazione né diminuirà in alcun modo la protezione accordata a detto marchio in un paese qualsiasi dell’Unione, purché detto uso non abbia per effetto d’indurre il pubblico in errore e non sia contrario all’interesse pubblico. D. Per il riconoscimento del diritto, non sarà richiesto che il prodotto porti un contrassegno o la menzione del brevetto, del modello di utilità, della registrazione del marchio di fabbrica o di commercio, o del deposito del disegno o modello industriale.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_5_bis
Art. 5 bis (1) Un délai de grâce, qui devra être au minimum de six mois, sera accordé pour le paiement des taxes prévues pour le maintien des droits de propriété industrielle, moyennant le versement d’une surtaxe, si la législation nationale en impose une. (2) Les pays de l’Union ont la faculté de prévoir la restauration des brevets d’invention tombés en déchéance par suite de non-paiement de taxes.
Art. 5 bis (1) Für die Zahlung der zur Aufrechterhaltung der gewerblichen Schutzrechte vorgesehenen Gebühren wird eine Nachfrist von mindestens sechs Monaten gewährt, und zwar gegen Entrichtung einer Zuschlagsgebühr, sofern die Landesgesetzgebung eine solche auferlegt. (2) Den Verbandsländern steht es frei, die Wiederherstellung der mangels Zahlung von Gebühren verfallenen Patente vorzusehen.
Art. 5 bis (1) Un periodo di grazia, non inferiore a sei mesi, sarà concesso per il pagamento delle tasse previste per il mantenimento dei diritti di proprietà industriale, mediante il versamento di una soprattassa, se la legislazione nazionale la richiede. (2) I paesi dell’Unione hanno la facoltà di prevedere la rivalidazione dei brevetti d’invenzione decaduti a seguito del mancato pagamento di tasse.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_5_ter
Art. 5 ter Dans chacun des pays de l’Union ne seront pas considérés comme portant atteinte aux droits du breveté: 1. l’emploi, à bord des navires des autres pays de l’Union, des moyens faisant l’objet de son brevet dans le corps du navire, dans les machines, agrès, apparaux et autres accessoires, lorsque ces navires pénétreront temporairement ou accidentellement dans les eaux du pays, sous réserve que ces moyens y soient employés exclusivement pour les besoins du navire; 2. l’emploi des moyens faisant l’objet du brevet dans la construction ou le fonctionnement des engins de locomotion aérienne ou terrestre des autres pays de l’Union ou des accessoires de ces engins, lorsque ceux-ci pénétreront temporairement ou accidentellement dans ce pays.
Art. 5 ter In keinem der Verbandsländer wird als Eingriff in die Rechte des Patentinhabers angesehen: 1. der an Bord von Schiffen der anderen Verbandsländer stattfindende Gebrauch patentierter Einrichtungen im Schiffskörper, in den Maschinen, im Takelwerk, in den Geräten und sonstigem Zubehör, wenn die Schiffe vorübergehend oder zufällig in die Gewässer des Landes gelangen, vorausgesetzt, dass diese Einrichtungen dort ausschliesslich für die Bedürfnisse des Schiffes verwendet werden; 2. der Gebrauch patentierter Einrichtungen in der Bauausführung oder für den Betrieb der Luft‑ oder Landfahrzeuge der anderen Verbandsländer oder des Zubehörs solcher Fahrzeuge, wenn diese vorübergehend oder zufällig in dieses Land gelangen.
Art. 5 ter in ciascuno dei paesi dell’Unione non saranno considerati come lesivi dei diritti del titolare del brevetto: 1. l’uso, a bordo di navi di altri paesi dell’Unione, di mezzi che sono oggetto dei suo brevetto, nel corpo della nave, nelle macchine, attrezzi, apparecchi ed altri accessori, quando dette navi penetreranno temporaneamente o accidentalmente nelle acque del paese, purché tali mezzi vi siano impiegati esclusivamente per i bisogni della nave; 2. l’uso di mezzi brevettati nella costruzione o nel funzionamento di strumenti di locomozione aerea o terrestre di altri paesi dell’Unione o degli accessori di tali strumenti, quando essi penetreranno temporaneamente o accidentalmente nel paese.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_5_quater
Art. 5 quater Lorsqu’un produit est introduit dans un pays de l’Union où il existe un brevet protégeant un procédé de fabrication dudit produit, le breveté aura, à l’égard du produit introduit, tous les droits que la législation du pays d’importation lui accorde, sur la base du brevet de procédé, à l’égard des produits fabriqués dans le pays même.
Art. 5 quater Wird ein Erzeugnis in ein Verbandsland eingeführt, in dem ein Patent zum Schutz eines Verfahrens zur Herstellung dieses Erzeugnisses besteht, so hat der Patentinhaber hinsichtlich des eingeführten Erzeugnisses alle Rechte, die ihm die Gesetzgebung des Einfuhrlandes auf Grund des Verfahrenspatents hinsichtlich der im Land selbst hergestellten Erzeugnisse gewährt.
Art. 5 quater Quando un prodotto è importato nel paese dell’Unione dove esiste un brevetto che protegge un procedimento di fabbricazione di detto prodotto, il titolare del brevetto avrà, riguardo al prodotto importato, tutti i diritti che la legislazione del paese d’importazione gli accorda, sulla base del brevetto di procedimento, riguardo ai prodotti fabbricati nel paese stesso.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_5_quinquies
Art. 5 quinquies Les dessins et modèles industriels seront protégés dans tous les pays de l’Union.
Art. 5 quinquies Die gewerblichen Muster und Modelle werden in allen Verbandsländern geschützt.
Art. 5 quinquies I disegni e modelli industriali saranno protetti in tutti i paesi dell’Unione.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6
Art. 6 (1) Les conditions de dépôt et d’enregistrement des marques de fabrique ou de commerce seront déterminées dans chaque pays de l’Union par sa législation nationale. (2) Toutefois, une marque déposée par un ressortissant d’un pays de l’Union dans un quelconque des pays de l’Union ne pourra être refusée ou invalidée pour le motif qu’elle n’aura pas été déposée, enregistrée ou renouvelée au pays d’origine. (3) Une marque régulièrement enregistrée dans un pays de l’Union sera considérée comme indépendante des marques enregistrées dans les autres pays de l’Union, y compris le pays d’origine.
Art. 6 (1) Die Bedingungen für die Hinterlegung und Eintragung von Fabrik‑ oder Handelsmarken werden in jedem Land durch die Landesgesetzgebung bestimmt. (2) Jedoch darf eine durch einen Angehörigen eines Verbandslandes in irgendeinem Verbandsland hinterlegte Marke nicht deshalb zurückgewiesen oder für ungültig erklärt werden, weil sie im Ursprungsland nicht hinterlegt, eingetragen oder erneuert worden ist. (3) Eine in einem Verbandsland vorschriftsmässig eingetragene Marke wird als unabhängig angesehen von den in anderen Verbandsländern einschliesslich des Ursprungslandes eingetragenen Marken.
Art. 6 (1) Le condizioni di deposito e di registrazione dei marchi di fabbrica o di commercio saranno stabilite in ciascun paese dell’Unione dalla sua legislazione nazionale. (2) Tuttavia, un marchio depositato da un cittadino di uno dei paesi dell’Unione in un paese qualsiasi della medesima non potrà essere rifiutato o invalidato per il motivo che esso non sia stato depositato, registrato o rinnovato nel paese d’origine. (3) Un marchio regolarmente registrato in un paese dell’Unione sarà considerato come indipendente dai marchi registrati negli altri paesi dell’Unione, compreso il paese di origine.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6_bis
Art. 6 bis (1) Les pays de l’Union s’engagent, soit d’office si la législation du pays le permet, soit à la requête de l’intéressé, à refuser ou à invalider l’enregistrement et à l’interdire l’usage d’une marque de fabrique ou de commerce qui constitue la reproduction, l’imitation ou la traduction, susceptibles de créer une confusion, d’une marque que l’autorité compétente du pays de l’enregistrement ou de l’usage estimera y être notoirement connue comme étant déjà la marque d’une personne admise à bénéficier de la présente Convention et utilisée pour des produits identiques ou similaires. Il en sera de même lorsque la partie essentielle de la marque constitue la reproduction d’une telle marque notoirement connue ou une imitation susceptible de créer une confusion avec celle-ci. (2) Un délai minimum de cinq années à compter de la date de l’enregistrement devra être accordé pour réclamer la radiation d’une telle marque. Les pays de l’Union ont la faculté de prévoir un délai dans lequel l’interdiction d’usage devra être réclamée. (3) Il ne sera pas fixé de délai pour réclamer la radiation ou l’interdiction d’usage des marques enregistrées ou utilisées de mauvaise foi.
Art. 6 bis (1) Die Verbandsländer verpflichten sich, von Amts wegen, wenn dies die Gesetzgebung des Landes zulässt, oder auf Antrag des Beteiligten, die Eintragung einer Fabrik‑ oder Handelsmarke zurückzuweisen oder für ungültig zu erklären und den Gebrauch der Marke zu untersagen, wenn sie eine verwechslungsfähige Abbildung, Nachahmung oder Übersetzung einer anderen Marke darstellt, von der es nach Ansicht der zuständigen Behörde des Landes der Eintragung oder des Gebrauchs dort notorisch feststeht, dass sie bereits einer zu den Vergünstigungen dieser Übereinkunft zugelassenen Person gehört und für gleiche oder gleichartige Erzeugnisse benutzt wird. Das gleiche gilt, wenn der wesentliche Bestandteil der Marke die Abbildung einer solchen notorisch bekannten Marke oder eine mit ihr verwechslungsfähige Nachahmung darstellt. (2) Für den Antrag auf Löschung einer solchen Marke ist eine Frist von mindestens fünf Jahren vom Tag der Eintragung an zu gewähren. Den Verbandsländern steht es frei, eine Frist zu bestimmen, innerhalb welcher der Anspruch auf Untersagung des Gebrauchs geltend zu machen ist. (3) Gegenüber bösgläubig erwirkten Eintragungen oder bösgläubig vorgenommenen Benutzungshandlungen ist der Antrag auf Löschung dieser Marken oder auf Untersagung ihres Gebrauchs an keine Frist gebunden.
Art. 6 bis (1) I paesi dell’Unione s’impegnano a rifiutare o a invalidare, sia d’ufficio, se la legislazione del paese lo consente, sia a richiesta dell’interessato, la registrazione e a vietare l’uso di un marchio di fabbrica o di commercio che sia la riproduzione, l’imitazione o la traduzione, atte a produrre confusione, di un marchio che l’autorità competente dei paese della registrazione o dell’uso stimerà essere ivi notoriamente conosciuto già come marchio di una persona ammessa al beneficio della presente Convenzione e usato per prodotti identici o simili. Lo stesso dicasi quando la parte essenziale del marchio costituisce la riproduzione d’un marchio notoriamente conosciuto o un’imitazione atta a creare confusione con esso. (2) Un termine minimo dì cinque anni decorrenti dalla data della registrazione dovrà essere concesso per richiedere la cancellazione d’un tale marchio. I paesi dell’Unione hanno la facoltà di prevedere un termine entro il quale il divieto dell’uso dovrà essere richiesto. (3) Non sarà fissato alcun termine per richiedere la cancellazione o il divieto d’uso dei marchi registrati o utilizzati in mala fede.
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art_6_ter
Art. 6 ter 1) a. Les pays de l’Union conviennent de refuser ou d’invalider l’enregistrement et d’interdire, par des mesures appropriées, l’utilisation, à défaut d’autorisation des pouvoirs compétents, soit comme marque de fabrique ou de commerce, soit comme éléments de ces marques, des armoiries, drapeaux et autres emblèmes d’Etat des pays de l’Union, signes et poinçons officiels de contrôle et de garantie adoptés par eux, ainsi que toute imitation au point de vue héraldique. b. Les dispositions figurant sous la lettre a ci-dessus s’appliquent également aux armoiries, drapeaux et autres emblèmes, sigles ou dénominations des organisations internationales intergouvernementales dont un ou plusieurs pays de l’Union sont membres, à l’exception des armoiries, drapeaux et autres emblèmes, sigles ou dénominations qui ont déjà fait l’objet d’accords internationaux en vigueur destinés à assurer leur protection. c. Aucun pays de l’Union ne pourra être tenu d’appliquer des dispositions figurant sous la lettre b ci-dessus au détriment des titulaires de droits acquis de bonne foi avant l’entrée en vigueur, dans ce pays, de la présente Convention. Les pays de l’Union ne sont pas tenus d’appliquer lesdites dispositions lorsque l’utilisation ou l’enregistrement visé sous la lettre a ci-dessus n’est pas de nature à suggérer, dans l’esprit du public, un lien entre l’organisation en cause et les armoiries, drapeaux, emblèmes, sigles ou dénominations, ou si cette utilisation ou enregistrement n’est vraisemblablement pas de nature à abuser le public sur l’existence d’un lien entre l’utilisateur et l’organisation. (2) L’interdiction des signes et poinçons officiels de contrôle et de garantie s’appliquera seulement dans les cas où les marques qui les comprendront seront destinées à être utilisées sur les marchandises du même genre ou d’un genre similaire. 3) a. Pour l’application de ces dispositions, les pays de l’Union conviennent de se communiquer réciproquement, par l’intermédiaire du Bureau international, la liste des emblèmes d’Etat, signes et poinçons officiels de contrôle et de garantie, qu’ils désirent ou désireront placer, d’une façon absolue ou dans certaines limites, sous la protection du présent article, ainsi que toutes modifications ultérieures apportées à cette liste. Chaque pays de l’Union mettra à la disposition du public, en temps utile, les listes notifiées. Toutefois, cette notification n’est pas obligatoire en ce qui concerne les drapeaux des Etats. b. Les dispositions figurant sous la let. b de l’al. (1) du présent article ne sont applicables qu’aux armoiries, drapeaux et autres emblèmes, sigles ou dénominations des organisations internationales intergouvernementales que celles-ci ont communiqués aux pays de l’Union par l’intermédiaire du Bureau international. (4) Tout pays de l’Union pourra, dans un délai de douze mois à partir de la réception de la notification, transmettre, par l’intermédiaire du Bureau international, au pays ou à l’organisation internationale intergouvernementale intéressé, ses objections éventuelles. (5) Pour les drapeaux d’Etat, les mesures prévues à l’al. (1) ci-dessus s’appliqueront seulement aux marques enregistrées après le 6 novembre 1925. (6) Pour les emblèmes d’Etat autres que les drapeaux, pour les signes et poinçons officiels des pays de l’Union et pour les armoiries, drapeaux et autres emblèmes, sigles ou dénominations des organisations internationales intergouvernementales, ces dispositions ne seront applicables qu’aux marques enregistrées plus de deux mois après réception de la notification prévue à l’al. (3) ci-dessus. (7) En cas de mauvaise foi, les pays auront la faculté de faire radier même les marques enregistrées avant le 6 novembre 1925 et comportant des emblèmes d’Etat, signes et poinçons. (8) Les nationaux de chaque pays qui seraient autorisés à faire usage des emblèmes d’Etat, signes et poinçons de leur pays, pourront les utiliser, même s’il y avait similitude avec ceux d’un autre pays. (9) Les pays de l’Union s’engagent à interdire l’usage non autorisé, dans le commerce, des armoiries d’Etat des autres pays de l’Union, lorsque cet usage sera de nature à induire en erreur sur l’origine des produits. (10) Les dispositions qui précèdent ne font pas obstacle à l’exercice, par les pays, de la faculté de refuser ou d’invalider, par application du ch. 3 de la let. B de l’art. 6 quinquies , les marques contenant, sans autorisation, des armoiries, drapeaux et autres emblèmes d’Etat, ou des signes et poinçons officiels adoptés par un pays de l’Union, ainsi que des signes distinctifs des organisations internationales intergouvernementales mentionnés à l’al. (1) ci-dessus.
Art. 6 ter (1) a. Die Verbandsländer kommen überein, die Eintragung der Wappen, Flaggen und anderen staatlichen Hoheitszeichen der Verbandsländer, der von ihnen eingeführten amtlichen Prüf‑ und Gewährzeichen und ‑stempel sowie jeder Nachahmung im heraldischen Sinn als Fabrik‑ oder Handelsmarken oder als Bestandteile solcher zurückzuweisen oder für ungültig zu erklären sowie den Gebrauch dieser Zeichen durch geeignete Massnahmen zu verbieten, sofern die zuständigen Stellen den Gebrauch nicht erlaubt haben. b. Die Bestimmungen unter dem Buchstaben a sind ebenso auf die Wappen, Flaggen und anderen Kennzeichen, Siegel oder Bezeichnungen der internationalen zwischenstaatlichen Organisationen anzuwenden, denen ein oder mehrere Verbandsländer angehören; ausgenommen sind die Wappen, Flaggen und anderen Kennzeichen, Siegel oder Bezeichnungen, die bereits Gegenstand von in Kraft befindlichen internationalen Abkommen sind, die ihren Schutz gewährleisten. c. Kein Verbandsland ist gehalten, die Bestimmungen unter dem Buchstaben b zum Nachteil der Inhaber von Rechten anzuwenden, die gutgläubig vor dem Inkrafttreten der gegenwärtigen Übereinkunft in diesem Land erworben worden sind. Die Verbandsländer sind nicht gehalten, diese Bestimmungen anzuwenden, falls die Benutzung oder Eintragung gemäss dem Buchstaben a nicht geeignet ist, beim Publikum den Eindruck einer Verbindung zwischen der betreffenden Organisation und den Wappen, Flaggen, Kennzeichen, Siegeln oder Bezeichnungen hervorzurufen, oder falls die Benutzung oder Eintragung offenbar nicht geeignet ist, das Publikum über das Bestehen einer Verbindung zwischen dem Benutzer und der Organisation irrezuführen. (2) Das Verbot der amtlichen Prüf‑ und Gewährzeichen und ‑stempel findet nur dann Anwendung, wenn die Marken mit diesen Zeichen für gleiche oder gleichartige Waren bestimmt sind. (3) a. Für die Anwendung dieser Bestimmungen kommen die Verbandsländer überein, durch Vermittlung des Internationalen Büros ein Verzeichnis der staatlichen Hoheitszeichen und amtlichen Prüf‑ und Gewährzeichen und ‑Stempel auszutauschen, die sie jetzt oder in Zukunft unumschränkt oder in gewissen Grenzen unter den Schutz dieses Artikels zu stellen wünschen; dies gilt auch für alle späteren Änderungen dieses Verzeichnisses. Jedes Verbandsland soll die mitgeteilten Verzeichnisse rechtzeitig öffentlich zugänglich machen. Diese Mitteilung ist jedoch für Staatsflaggen nicht erforderlich. b. Die Bestimmungen unter dem Buchstaben b des Absatzes (1) dieses Artikels sind nur auf die Wappen, Flaggen und anderen Kennzeichen, Siegel und Bezeichnungen der internationalen zwischenstaatlichen Organisationen anwendbar, die diese durch Vermittlung des Internationalen Büros den Verbandsländern mitgeteilt haben. (4) Jedes Verbandsland kann innerhalb einer Frist von zwölf Monaten nach dem Empfang der Mitteilung seine etwaigen Einwendungen durch das Internationale Büro dem betreffenden Land oder der betreffenden internationalen zwischenstaatlichen Organisation übermitteln. (5) Hinsichtlich der Staatsflaggen finden die im Absatz (1) vorgesehenen Massnahmen nur auf Marken Anwendung, die nach dem 6. November 1925 eingetragen worden sind. (6) Hinsichtlich der staatlichen Hoheitszeichen – mit Ausnahme der Flaggen – und der amtlichen Zeichen und Stempel der Verbandsländer und hinsichtlich der Wappen, Flaggen und anderen Kennzeichen, Siegel oder Bezeichnungen der internationalen zwischenstaatlichen Organisationen sind diese Bestimmungen nur auf Marken anwendbar, die später als zwei Monate nach dem Empfang der im Absatz (3) vorgesehenen Mitteilung eingetragen worden sind. (7) Den Ländern steht es frei, bei Bösgläubigkeit auch solche Marken zu löschen, die vor dem 6. November 1925 eingetragen worden sind und staatliche Hoheitszeichen, Zeichen und Stempel enthalten. (8) Die Angehörigen eines jeden Landes, die zum Gebrauch der staatlichen Hoheitszeichen, Zeichen und Stempel ihres Landes ermächtigt sind, dürfen sie auch dann benutzen, wenn sie denen eines anderen Landes ähnlich sind. (9) Die Verbandsländer verpflichten sich, den unbefugten Gebrauch der Staatswappen der anderen Verbandsländer im Handel zu verbieten, wenn dieser Gebrauch zur Irreführung über den Ursprung der Erzeugnisse geeignet ist. (10) Die vorhergehenden Bestimmungen hindern die Länder nicht an der Ausübung der Befugnis, gemäss Artikel 6 quinquies Buchstabe B Ziffer 3 Marken zurückzuweisen oder für ungültig zu erklären, die ohne Ermächtigung Wappen, Flaggen und andere staatliche Hoheitszeichen oder in einem Verbandsland eingeführte amtliche Zeichen und Stempel enthalten; dies gilt auch für die im Absatz (1) genannten unterscheidungskräftigen Zeichen der internationalen zwischenstaatlichen Organisationen.
Art. 6 ter (1) a. I paesi dell’Unione convengono di rifiutare o d’invalidare la registrazione e di vietare, con misure adeguate, l’utilizzazione, non autorizzata dalle autorità competenti, sia come marchi di fabbrica o di commercio, sia come elementi di detti marchi, di stemmi, bandiere e altri emblemi di Stato dei paesi dell’Unione, di segni e di punzoni ufficiali di controllo e di garanzia da essi adottati, nonché di qualsiasi loro imitazione dal punto di vista araldico. b. Le disposizioni di cui alla precedente lettera a si applicano ugualmente agli stemmi, alle bandiere e agli altri emblemi, sigle o denominazioni delle organizzazioni internazionali intergovernative di cui uno o più paesi dell’Unione siano membri, ad eccezione di stemmi, bandiere ed altri emblemi, sigle o denominazioni, che siano stati già oggetto di accordi internazionali in vigore destinati a garantirne la protezione. c. Nessun paese dell’Unione potrà essere tenuto ad applicare le disposizioni di cui alla precedente lettera b a danno dei titolari di diritti acquisiti in buona fede prima dell’entrata in vigore, in tale paese, della presente Convenzione. I paesi dell’Unione non sono tenuti ad applicare le disposizioni di cui sopra quando l’uso o la registrazione previsti dalla predetta lettera a non sia tale da suggerire, nell’apprezzamento del pubblico, un nesso tra l’organizzazione in questione e gli stemmi, bandiere, emblemi, sigle o denominazioni o se questo uso o registrazione non sia verosimilmente tale da trarre in inganno il pubblico sull’esistenza d’un nesso tra l’utente e l’organizzazione. (2) Il divieto d’uso di segni e punzoni ufficiali di controllo e di garanzia si applicherà solamente nei casi in cui i marchi, che li comprenderanno, saranno destinati a essere usati su merci dello stesso genere o di genere simile. (3) a. Per l’applicazione di dette disposizioni, i paesi dell’Unione convengono di comunicarsi reciprocamente, per mezzo dell’Ufficio internazionale, l’elenco degli emblemi di Stato, segni e punzoni ufficiali di controllo e di garanzia, ch’essi desiderano o desidereranno porre, in modo assoluto o entro certi limiti, sotto la protezione dei presente articolo, come pure tutte le modificazioni che saranno apportate successivamente a tale elenco. Ogni paese dell’Unione metterà a disposizione del pubblico, in tempo utile, gli elenchi notificati. Tuttavia tale notificazione non è obbligatoria per le bandiere degli Stati. b. Le disposizioni di cui alla lettera b comma (1) del presente articolo si applicano solo per quegli stemmi, bandiere e altri emblemi, sigle o denominazioni delle organizzazioni internazionali intergovernative che siano state comunicate dalle stesse ai paesi dell’Unione per mezzo dell’Ufficio internazionale. (4) Ciascun paese dell’Unione potrà, entro il termine di dodici mesi decorrente dal ricevimento della notifica, trasmettere, per mezzo dell’Ufficio internazionale, al paese o all’organizzazione internazionale intergovernativa interessata, le sue obiezioni eventuali. (5) Per le bandiere di Stato, le misure previste dal precedente comma (1) di cui sopra si applicheranno solo ai marchi registrati dopo il 6 novembre 1925. (6) Per gli emblemi di Stato diversi dalle bandiere, per i segni e punzoni ufficiali dei paesi dell’Unione e per gli stemmi, bandiere e altri emblemi, sigle o denominazioni delle organizzazioni internazionali intergovernative, queste disposizioni non saranno applicabili se non a marchi registrati da più di due mesi dal ricevimento della notifica, prevista dal comma (3) qui sopra. (7) In caso di malafede, i paesi avranno la facoltà di far cancellare anche i marchi registrati prima del 6 novembre 1925 e relativi a emblemi di Stato, segni e punzoni. (8) I cittadini di ciascun paese che fossero autorizzati a far uso degli emblemi di Stato, segni e punzoni del loro paese, potranno usarli anche se fossero simili a quelli di un altro paese. (9) I paesi dell’Unione s’impegnano a vietare l’uso non autorizzato, nel commercio, degli stemmi di Stato degli altri paesi dell’Unione, quando quest’uso fosse di natura tale da indurre in errore sull’origine dei prodotti. (10) Le disposizioni che precedono non fanno ostacolo all’esercizio, da parte dei paesi, della facoltà di rifiutare o d’invalidare, applicando il numero 3 della lettera B dell’articolo 6 quinquies , i marchi contenenti, senza autorizzazione, stemmi, bandiere e altri emblemi di Stato o segni e punzoni ufficiali adottati da un paese dell’Unione, nonché segni distintivi delle organizzazioni internazionali intergovernative citati al comma (1) suddetto.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6_quater
Art. 6 quater (1) Lorsque, conformément à la législation d’un pays de l’Union, la cession d’une marque n’est valable que si elle a lieu en même temps que le transfert de l’entreprise ou du fonds de commerce auquel la marque appartient, il suffira, pour que cette validité soit admise, que la partie de l’entreprise ou du fonds de commerce située dans ce pays soit transmise au cessionnaire avec le droit exclusif d’y fabriquer ou d’y vendre les produits portant la marque cédée. (2) Cette disposition n’impose pas aux pays de l’Union l’obligation de considérer comme valable le transfert de toute marque dont l’usage par le cessionnaire serait, en fait, de nature à induire le public en erreur, notamment en ce qui concerne la provenance, la nature ou les qualités substantielles des produits auxquels la marque est appliquée.
Art. 6 quater (1) Ist nach der Gesetzgebung eines Verbandslandes die Übertragung einer Marke nur rechtsgültig, wenn gleichzeitig das Unternehmen oder der Geschäftsbetrieb, zu dem die Marke gehört, mit übergeht, so genügt es zur Rechtsgültigkeit der Übertragung, dass der in diesem Land befindliche Teil des Unternehmens oder Geschäftsbetriebes mit dem ausschliesslichen Recht, die mit der übertragenen Marke versehenen Erzeugnisse dort herzustellen oder zu verkaufen, auf den Erwerber übergeht. (2) Diese Bestimmung verpflichtet die Verbandsländer nicht, die Übertragung einer Marke als rechtsgültig anzusehen, deren Gebrauch durch den Erwerber tatsächlich geeignet wäre, das Publikum irrezuführen, insbesondere was die Herkunft, die Beschaffenheit oder die wesentlichen Eigenschaften der Erzeugnisse betrifft, für welche die Marke verwendet wird.
Art. 6 quater (1) Quando, in conformità della legge di un paese dell’Unione, la cessione di un marchio è valida solo se essa avviene contemporaneamente al trasferimento dell’impresa o dell’azienda alla quale il marchio appartiene, sarà sufficiente, perché questa validità sia ammessa, che la parte dell’impresa o dell’azienda situata in tale paese sia trasferita al cessionario con diritto esclusivo di fabbricarvi o di vendervi i prodotti contraddistinti dal marchio ceduto. (2) Tale disposizione non impone ai paesi dell’Unione l’obbligo di considerare valido il trasferimento di qualsiasi marchio di cui l’uso da parte del cessionario sarebbe, in fatto, di natura a indurre il pubblico in errore, particolarmente per quanto concerne la provenienza, la natura o le qualità sostanziali dei prodotti ai quali il marchio è applicato.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6_quinquies
Art. 6 quinquies [tab] A. – (1) Toute marque de fabrique ou de commerce régulièrement enregistrée dans le pays d’origine sera admise au dépôt et protégée telle quelle dans les autres pays de l’Union, sous les réserves indiquées au présent article. Ces pays pourront, avant de procéder à l’enregistrement définitif, exiger la production d’un certificat d’enregistrement au pays d’origine, délivré par l’autorité compétente. Aucune légalisation ne sera requise pour ce certificat. (2) Sera considéré comme pays d’origine le pays de l’Union où le déposant a un établissement industriel ou commercial effectif et sérieux, et, s’il n’a pas un tel établissement dans l’Union, le pays de l’Union où il a son domicile, et, s’il n’a pas de domicile dans l’Union, le pays de sa nationalité, au cas où il est ressortissant d’un pays de l’Union. B. – Les marques de fabrique ou de commerce, visées par le présent article, ne pourront être refusées à l’enregistrement ou invalidées que dans les cas suivants: 1. lorsqu’elles sont de nature à porter atteinte à des droits acquis par des tiers dans le pays où la protection est réclamée; 2. lorsqu’elles sont dépourvues de tout caractère distinctif, ou bien composées exclusivement de signes ou d’indications pouvant servir, dans le commerce, pour désigner l’espèce, la qualité, la quantité, la destination, la valeur, le lieu d’origine des produits ou l’époque de production, ou devenus usuels dans le langage courant ou les habitudes loyales et constantes du commerce du pays où la protection est réclamée; 3. lorsqu’elles sont contraires à la morale ou à l’ordre public et notamment de nature à tromper le public. Il est entendu qu’une marque ne pourra être considérée comme contraire à l’ordre public pour la seule raison qu’elle n’est pas conforme à quelque disposition de la législation sur les marques, sauf le cas où cette disposition elle-même concerne l’ordre public. Est toutefois réservée l’application de l’art. 10 bis . [tab] C. – (1) Pour apprécier si la marque est susceptible de protection, on devra tenir compte de toutes les circonstances de fait, notamment de la durée de l’usage de la marque. (2) Ne pourront être refusées dans les autres pays de l’Union les marques de fabrique ou de commerce pour le seul motif qu’elles ne diffèrent des marques protégées dans le pays d’origine que par des éléments n’altérant pas le caractère distinctif et ne touchant pas à l’identité des marques, dans la forme sous laquelle celles-ci ont été enregistrées audit pays d’origine. D. – Nul ne pourra bénéficier des dispositions du présent article si la marque dont il revendique la protection n’est pas enregistrée au pays d’origine. E. – Toutefois, en aucun cas, le renouvellement de l’enregistrement d’une marque dans le pays d’origine n’entraînera l’obligation de renouveler l’enregistrement dans les autres pays de l’Union où la marque aura été enregistrée. F. – Le bénéfice de la priorité, reste acquis aux dépôts de marques effectués dans le délai de l’art. 4, même lorsque l’enregistrement dans le pays d’origine n’intervient qu’après l’expiration de ce délai.
Art. 6 quinquies [tab] A. – (1) Jede im Ursprungsland vorschriftsmässig eingetragene Fabrik‑ oder Handelsmarke soll so, wie sie ist, unter den Vorbehalten dieses Artikels in den anderen Verbandsländern zur Hinterlegung zugelassen und geschützt werden. Diese Länder können vor der endgültigen Eintragung die Vorlage einer von der zuständigen Behörde ausgestellten Bescheinigung über die Eintragung im Ursprungsland verlangen. Eine Beglaubigung dieser Bescheinigung ist nicht erforderlich. (2) Als Ursprungsland wird das Verbandsland angesehen, in dem der Hinterleger eine tatsächliche und nicht nur zum Schein bestehende gewerbliche oder Handelsniederlassung hat, und, wenn er eine solche Niederlassung innerhalb des Verbandes nicht hat, das Verbandsland, in dem er seinen Wohnsitz hat, und, wenn er keinen Wohnsitz innerhalb des Verbandes hat, das Land seiner Staatsangehörigkeit, sofern er Angehöriger eines Verbandslandes ist. B. – Die Eintragung von Fabrik‑ oder Handelsmarken, die unter diesen Artikel fallen, darf nur in folgenden Fällen verweigert oder für ungültig erklärt werden: 1. wenn die Marken geeignet sind, Rechte zu verletzen, die von Dritten in dem Land erworben sind, in dem der Schutz beansprucht wird; 2. wenn die Marken jeder Unterscheidungskraft entbehren oder ausschliesslich aus Zeichen oder Angaben zusammengesetzt sind, die im Verkehr zur Bezeichnung der Art, der Beschaffenheit, der Menge, der Bestimmung, des Wertes, des Ursprungsortes der Erzeugnisse oder der Zeit der Erzeugung dienen können, oder die im allgemeinen Sprachgebrauch oder in den redlichen und ständigen Verkehrsgepflogenheiten des Landes, in dem der Schutz beansprucht wird, üblich sind; 3. wenn die Marken gegen die guten Sitten oder die öffentliche Ordnung verstossen, insbesondere wenn sie geeignet sind, das Publikum zu täuschen. Es besteht Einverständnis darüber, dass eine Marke nicht schon deshalb als gegen die öffentliche Ordnung verstossend angesehen werden kann, weil sie einer Vorschrift des Markenrechts nicht entspricht, es sei denn, dass diese Bestimmung selbst die öffentliche Ordnung betrifft. Die Anwendung des Artikels 10 bis bleibt jedoch vorbehalten. [tab] C. – (1) Bei der Würdigung der Schutzfähigkeit der Marke sind alle Tatumstände zu berücksichtigen, insbesondere die Dauer des Gebrauchs der Marke. (2) In den anderen Verbandsländern dürfen Fabrik‑ oder Handelsmarken nicht allein deshalb zurückgewiesen werden, weil sie von den im Ursprungsland geschützten Marken nur in Bestandteilen abweichen, die gegenüber der im Ursprungsland eingetragenen Form die Unterscheidungskraft der Marken nicht beeinflussen und ihre Identität nicht berühren. D. – Niemand kann sich auf die Bestimmungen dieses Artikels berufen, wenn die Marke, für die er den Schutz beansprucht, im Ursprungsland nicht eingetragen ist. E. – Jedoch bringt die Erneuerung der Eintragung einer Marke im Ursprungsland keinesfalls die Verpflichtung mit sich, die Eintragung auch in den anderen Verbandsländern zu erneuern, in denen die Marke eingetragen worden ist. F. – Das Prioritätsvorrecht bleibt bei den innerhalb der Frist des Artikels 4 vorgenommenen Markenhinterlegungen gewahrt, selbst wenn die Marke im Ursprungsland erst nach Ablauf dieser Frist eingetragen wird.
Art. 6 quinquies A. (1) Ogni marchio di fabbrica o di commercio, regolarmente registrato nel paese d’origine, sarà ammesso al deposito e protetto tale e quale negli altri paesi dell’Unione, con le riserve indicate nel presente articolo. Questi paesi potranno esigere, prima di procedere alla registrazione definitiva, la presentazione di un certificato di registrazione nel paese di origine, rilasciato dall’autorità competente. Non sarà richiesta alcuna legalizzazione per questo certificato. (2) Sarà considerato come paese d’origine il paese dell’Unione dove il depositante ha effettivamente uno stabilimento industriale o commerciale reale, e, se non ha un tale stabilimento nell’Unione, il paese dell’Unione dove ha il suo domicilio, e, se non ha domicilio nell’Unione, il paese della sua nazionalità, nel caso che egli sia cittadino di un paese dell’Unione. B. La registrazione dei marchi di fabbrica o di commercio, considerati nel presente articolo, non potrà essere rifiutata o invalidata che nei casi seguenti: 1. quando essi siano di natura tale da recare pregiudizio ai diritti acquisiti da terzi nel paese dove la protezione è richiesta; 2. quando essi siano privi di qualsiasi carattere distintivo, ovvero composti esclusivamente da segni o indicazioni che possano servire, nel commercio, per indicare la specie, la qualità, la quantità, la destinazione, il valore, il luogo d’origine dei prodotti o l’epoca di produzione, o siano divenuti di uso comune nel linguaggio corrente o nelle consuetudini leali e costanti del commercio del paese dove la protezione è richiesta; 3. quando essi siano contrari alla morale o all’ordine pubblico e specialmente siano di natura tale da ingannare il pubblico. Resta inteso che un marchio non potrà essere considerato contrario all’ordine pubblico per la sola ragione che esso non è conforme a qualche disposizione della legislazione sui marchi, salvo il caso in cui questa disposizione riguardi essa stessa l’ordine pubblico. È tuttavia riservata l’applicazione dell’articolo 10 bis . C. (1) Per valutare se il marchio sia suscettibile di protezione, si dovrà tener conto di tutte le circostanze di fatto, particolarmente della durata dell’uso del marchio. (2) Non potranno essere rifiutati negli altri paesi dell’Unione i marchi di fabbrica o di commercio per il solo motivo che essi differiscono dai marchi protetti nel paese d’origine solo per elementi che non ne alterano il carattere distintivo e non toccano l’identità dei marchi nella forma in cui essi sono stati registrati nel detto paese d’origine. D. Nessuno potrà beneficiare delle disposizioni dei presente articolo se il marchio di cui è rivendicata la protezione non sia stato registrato nel paese d’origine. E. Tuttavia, in nessun caso, la rinnovazione della registrazione di un marchio nel paese di origine comporterà l’obbligo di rinnovare la registrazione negli altri paesi dell’Unione nei quali il marchio sia stato registrato. F. Il beneficio della priorità resta acquisito ai depositi di marchi entro il termine di cui all’articolo 4, anche quando la registrazione nel paese di origine intervenga dopo la scadenza di tale termine.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6_sexies
Art. 6 sexies Les pays de l’Union s’engagent à protéger les marques de service. Ils ne sont pas tenus de prévoir l’enregistrement de ces marques.
Art. 6 sexies Die Verbandsländer verpflichten sich, die Dienstleistungsmarken zu schützen. Sie sind nicht gehalten, die Eintragung dieser Marken vorzusehen.
Art. 6 sexies I paesi dell’Unione s’impegnano a proteggere i marchi di servizio. Essi non sono tenuti a prevedere la registrazione di tali marchi.
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Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6_septies
Art. 6 septies (1) Si l’agent ou le représentant de celui qui est titulaire d’une marque dans un des pays de l’Union demande, sans l’autorisation de ce titulaire l’enregistrement de cette marque en son propre nom, dans un ou plusieurs de ces pays, le titulaire aura le droit de s’opposer à l’enregistrement demandé ou de réclamer la radiation ou, si la loi du pays le permet, le transfert à son profit dudit enregistrement, à moins que cet agent ou représentant ne justifie de ses agissements. (2) Le titulaire de la marque aura, sous les réserves de l’al. (1) ci-dessus, le droit de s’opposer à l’utilisation de sa marque par son agent ou représentant, s’il n’a pas autorisé cette utilisation. (3) Les législations nationales ont la faculté de prévoir un délai équitable dans lequel le titulaire d’une marque devra faire valoir les droits prévus au présent article.
Art. 6 septies (1) Beantragt der Agent oder der Vertreter dessen, der in einem der Verbandsländer Inhaber einer Marke ist, ohne dessen Zustimmung die Eintragung dieser Marke auf seinen eigenen Namen in einem oder mehreren dieser Länder, so ist der Inhaber berechtigt, der beantragten Eintragung zu widersprechen oder die Löschung oder, wenn das Gesetz des Landes es zulässt, die Übertragung dieser Eintragung zu seinen Gunsten zu verlangen, es sei denn, dass der Agent oder Vertreter seine Handlungsweise rechtfertigt. (2) Der Inhaber der Marke ist unter den Voraussetzungen des Absatzes (1) berechtigt, sich dem Gebrauch seiner Marke durch seinen Agenten oder Vertreter zu widersetzen, wenn er diesen Gebrauch nicht gestattet hat. (3) Den Landesgesetzgebungen steht es frei, eine angemessene Frist zu bestimmen, innerhalb welcher der Inhaber einer Marke seine in diesem Artikel vorgesehenen Rechte geltend machen muss.
Art. 6 septies (1) Se l’agente o il rappresentante del titolare di un marchio in uno dei paesi dell’Unione domanda, senza esserne autorizzato, la registrazione a suo nome di tale marchio, in uno o più dei suddetti paesi, il titolare avrà il diritto di opporsi alla registrazione richiesta o di domandarne la cancellazione o, se la legge del paese lo permette, il trasferimento a suo favore di detta registrazione, a meno che l’agente o rappresentante non giustifichi il proprio operato. (2) Il titolare di un marchio avrà, con le riserve di cui al predetto comma (1), il diritto di opporsi alla utilizzazione del suo marchio da parte dei proprio agente o rappresentante, se egli non abbia autorizzato tale utilizzazione. (3) Le legislazioni nazionali possono prevedere un equo termine entro il quale il titolare di un marchio dovrà far valere i diritti previsti nel presente articolo.
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art_7
Art. 7 La nature du produit sur lequel la marque de fabrique ou de commerce doit être apposée ne peut, dans aucun cas, faire obstacle à l’enregistrement de la marque.
Art. 7 Die Beschaffenheit des Erzeugnisses, auf dem die Fabrik‑ oder Handelsmarke angebracht werden soll, darf keinesfalls die Eintragung der Marke hindern.
Art. 7 La natura del prodotto sul quale il marchio di fabbrica o di commercio deve essere apposto non può, in nessun caso, ostacolare la registrazione del marchio.
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art_7_bis
Art. 7 bis (1) Les pays de l’Union s’engagent à admettre au dépôt et à protéger les marques collectives appartenant à des collectivités dont l’existence n’est pas contraire à la loi du pays d’origine, même si ces collectivités ne possèdent pas un établissement industriel ou commercial. (2) Chaque pays sera juge des conditions particulières sous lesquelles une marque collective sera protégée, et il pourra refuser la protection si cette marque est contraire à l’intérêt public. (3) Cependant, la protection de ces marques ne pourra être refusée à aucune collectivité dont l’existence n’est pas contraire à la loi du pays d’origine, pour le motif qu’elle n’est pas établie dans le pays où la protection est requise ou qu’elle n’est pas constituée conformément à la législation de ce pays.
Art. 7 bis (1) Die Verbandsländer verpflichten sich, Verbandsmarken, die Verbänden gehören, deren Bestehen dem Gesetz des Ursprungslandes nicht zuwiderläuft, auch dann zur Hinterlegung zuzulassen und zu schützen, wenn diese Verbände eine gewerbliche oder Handelsniederlassung nicht besitzen. (2) Es steht jedem Land zu, frei darüber zu bestimmen, unter welchen besonderen Bedingungen eine Verbandsmarke geschützt wird, und es kann den Schutz verweigern, wenn diese Marke gegen das öffentliche Interesse verstösst. (3) Jedoch darf der Schutz dieser Marken einem Verband, dessen Bestehen dem Gesetz des Ursprungslandes nicht zuwiderläuft, nicht deshalb verweigert werden, weil er in dem Land, in dem der Schutz nachgesucht wird, keine Niederlassung hat oder seine Gründung der Gesetzgebung dieses Landes nicht entspricht.
Art. 7 bis (1) I paesi dell’Unione s’impegnano ad ammettere al deposito e a proteggere i marchi collettivi appartenenti a collettività la cui esistenza non sia contraria alla legge del paese d’origine, anche se tali collettività non posseggano uno stabilimento industriale o commerciale. (2) Ogni paese potrà determinare le condizioni particolari secondo le quali un marchio collettivo sarà protetto e potrà rifiutarne la protezione se tale marchio è contrario al pubblico interesse. (3) Tuttavia la protezione di tali marchi non potrà essere rifiutata ad alcuna collettività la cui esistenza non sia contraria alla legge del paese d’origine, per il motivo che essa non è stabilita nel paese ove la protezione è richiesta o che non è costituita in conformità della legislazione di detto paese.
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art_8
Art. 8 Le nom commercial sera protégé dans tous les pays de l’Union sans obligation de dépôt ou d’enregistrement, qu’il fasse ou non partie d’une marque de fabrique ou de commerce.
Art. 8 Der Handelsname wird in allen Verbandsländern, ohne Verpflichtung zur Hinterlegung oder Eintragung, geschützt, gleichgültig ob er einen Bestandteil einer Fabrik oder Handelsmarke bildet oder nicht.
Art. 8 Il nome commerciale sarà protetto in tutti i paesi dell’Unione senza obbligo di deposito o di registrazione, anche se non costituisce parte di un marchio di fabbrica o di commercio.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_9
Art. 9 (1) Tout produit portant illicitement une marque de fabrique ou de commerce ou un nom commercial, sera saisi à l’importation dans ceux des pays de l’Union dans lesquels cette marque ou ce nom commercial ont droit à la protection légale. (2) La saisie sera également effectuée dans le pays où l’apposition illicite aura eu lieu, ou dans les pays où aura été importé le produit. (3) La saisie aura lieu à la requête soit du Ministère public, soit de toute autre autorité compétente, soit d’une partie intéressée, personne physique ou morale, conformément à la législation intérieure de chaque pays. (4) Les autorités ne seront pas tenues d’effectuer la saisie en cas de transit. (5) Si la législation d’un pays n’admet pas la saisie à l’importation, la saisie sera remplacée par la prohibition d’importation ou la saisie à l’intérieur. (6) Si la législation d’un pays n’admet ni la saisie à l’importation, ni la prohibition d’importation, ni la saisie à l’intérieur, et en attendant que cette législation soit modifiée en conséquence, ces mesures seront remplacées par les actions et moyens que la loi de ce pays assurerait en pareil cas aux nationaux.
Art. 9 (1) Jedes widerrechtlich mit einer Fabrik‑ oder Handelsmarke oder mit einem Handelsnamen versehene Erzeugnis ist bei der Einfuhr in diejenigen Verbandsländer, in denen diese Marke oder dieser Handelsname Anspruch auf gesetzlichen Schutz hat, zu beschlagnahmen. (2) Die Beschlagnahme ist auch in dem Land vorzunehmen, in dem die widerrechtliche Anbringung stattgefunden hat, oder in dem Land, in das das Erzeugnis eingeführt worden ist. (3) Die Beschlagnahme erfolgt gemäss der inneren Gesetzgebung jedes Landes auf Antrag entweder der Staatsanwaltschaft oder jeder anderen zuständigen Behörde oder einer beteiligten Partei, sei diese eine natürliche oder eine juristische Person. (4) Die Behörden sind nicht gehalten, die Beschlagnahme im Fall der Durchfuhr zu bewirken. (5) Lässt die Gesetzgebung eines Landes die Beschlagnahme bei der Einfuhr nicht zu, so tritt an die Stelle der Beschlagnahme das Einfuhrverbot oder die Beschlagnahme im Inland. (6) Lässt die Gesetzgebung eines Landes weder die Beschlagnahme bei der Einfuhr noch das Einfuhrverbot noch die Beschlagnahme im Inland zu, so treten an die Stelle dieser Massnahmen bis zu einer entsprechenden Änderung der Gesetzgebung diejenigen Klagen und Rechtsbehelfe, die das Gesetz dieses Landes im gleichen Fall den eigenen Staatsangehörigen gewährt.
Art. 9 (1) Qualsiasi prodotto che porti illecitamente un marchio di fabbrica o di commercio o un nome commerciale, sarà sequestrato all’importazione in quei paesi dell’Unione nei quali detto marchio o nome commerciale ha diritto alla protezione legale. (2) Il sequestro sarà eseguito anche nel paese dove l’illecita apposizione avrà avuto luogo, o in quello dove sarà stato importato il prodotto. (3) Il sequestro avrà luogo su richiesta del Pubblico Ministero, o di qualsiasi altra autorità competente, o di una parte interessata, persona fisica o giuridica, in conformità della legislazione interna di ciascun paese. (4) Le autorità non saranno tenute a procedere al sequestro in caso di transito. (5) Se la legislazione di un paese non ammette il sequestro all’importazione, esso sarà sostituito col divieto d’importazione o col sequestro all’interno. (6) Se la legislazione di un paese non ammette né il sequestro all’importazione, né il divieto d’importazione, né il sequestro all’interno, e in attesa che tale legislazione sia modificata in tal senso, queste misure saranno sostituite dalle azioni e dai mezzi che la legge di detto paese accorderebbe ai nazionali in casi analoghi.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_10
Art. 10 (1) Les dispositions de l’article précédent seront applicables en cas d’utilisation directe ou indirecte d’une indication fausse concernant la provenance du produit ou l’identité du producteur, fabricant ou commerçant. (2) Sera en tout cas reconnu comme partie intéressée, que ce soit une personne physique ou morale, tout producteur, fabricant ou commerçant engagé dans la production, la fabrication ou le commerce de ce produit et établi soit dans la localité faussement indiquée comme lieu de provenance, soit dans la région où cette localité est située, soit dans le pays faussement indiqué, soit- le pays où la fausse indication de provenance est employée.
Art. 10 (1) Die Bestimmungen des vorhergehenden Artikels sind im Fall des unmittelbaren oder mittelbaren Gebrauchs einer falschen Angabe über die Herkunft des Erzeugnisses oder über die Identität des Erzeugers, Herstellers oder Händlers anwendbar. (2) Als beteiligte Partei, mag sie eine natürliche oder juristische Person sein, ist jedenfalls jeder Erzeuger, Hersteller oder Händler anzuerkennen, der sich mit der Erzeugung oder Herstellung des Erzeugnisses befasst oder mit ihm handelt und in dem fälschlich als Herkunftsort bezeichneten Ort oder in der Gegend, in der dieser Ort liegt, oder in dem fälschlich bezeichneten Land oder in dem Land, in dem die falsche Herkunftsangabe verwendet wird, seine Niederlassung hat.
Art. 10 (1) Le disposizioni dell’articolo precedente saranno applicate in caso di utilizzazione diretta o indiretta di una indicazione falsa relativa alla provenienza del prodotto o all’identità dei produttore, fabbricante o commerciante. (2) Sarà in ogni caso riconosciuto come parte interessata, sia esso persona fisica o giuridica, ogni produttore, fabbricante o commerciante che si occupi della produzione, della fabbricazione o del commercio del prodotto e che sia stabilito nel luogo falsamente indicato come luogo di provenienza, o nella regione ove questo luogo è situato, o nel paese falsamente indicato, o nel paese in cui è adoperata la falsa indicazione di provenienza.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_10_ter
Art. 10 ter (1) Les pays de l’Union s’engagent à assurer aux ressortissants des autres pays de l’Union des recours légaux appropriés pour réprimer efficacement tous les actes visés aux art. 9, 10 et 10 bis . (2) Ils s’engagent, en outre, à prévoir des mesures pour permettre aux syndicats et associations représentant les industriels, producteurs ou commerçants intéressés et dont l’existence n’est pas contraire aux lois de leurs pays, d’agir en justice ou auprès des autorités administratives, en vue de la répression des actes prévus par les art. 9, 10 et 10 bis , dans la mesure où la loi du pays dans lequel la protection est réclamée le permet aux syndicats et associations de ce pays.
Art. 10 ter (1) Um alle in den Artikeln 9, 10 und 10 bis bezeichneten Handlungen wirksam zu unterdrücken, verpflichten sich die Verbandsländer, den Angehörigen der anderen Verbandsländer geeignete Rechtsbehelfe zu sichern. (2) Sie verpflichten sich ausserdem, Massnahmen zu treffen, um den Verbänden und Vereinigungen, welche die beteiligten Gewerbetreibenden, Erzeuger oder Händler vertreten und deren Bestehen den Gesetzen ihres Landes nicht zuwiderläuft, das Auftreten vor Gericht oder vor den Verwaltungsbehörden zum Zweck der Unterdrückung der in den Artikeln 9, 10 und 10 bis bezeichneten Handlungen in dem Mass zu ermöglichen, wie es das Gesetz des Landes, in dem der Schutz beansprucht wird, den Verbänden und Vereinigungen dieses Landes gestattet.
Art. 10 ter (1) I paesi dell’Unione s’impegnano ad assicurare ai cittadini degli altri paesi dell’Unione i mezzi legali idonei a reprimere efficacemente tutti gli atti contemplati negli articoli 9, 10 e 10 bis . (2) Essi s’impegnano, inoltre, a prevedere le misure per permettere ai sindacati e associazioni rappresentanti gl’industriali, i produttori o commercianti interessati e la cui esistenza non sia contraria alle leggi dei loro paesi, di agire in via giudiziaria o amministrativa per la repressione degli atti previsti agli articoli 9, 10 e 10 bis , nella misura in cui la legge del paese dove è chiesta la protezione lo consenta ai sindacati e associazioni del paese stesso.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_11
Art. 11 (1) Les pays de l’Union accorderont, conformément à leur législation intérieure, une protection temporaire aux inventions brevetables, aux modèles d’utilité, aux dessins ou modèles industriels ainsi qu’aux marques de fabrique ou de commerce, pour les produits qui figureront aux expositions internationales officielles ou officiellement reconnues organisées sur le territoire de l’un d’eux. (2) Cette protection temporaire ne prolongera pas les délais de l’art. 4. Si, plus tard, le droit de priorité est invoqué, l’Administration de chaque pays pourra faire partir le délai de la date de l’introduction du produit dans l’exposition. (3) Chaque pays pourra exiger, comme preuve de l’identité de l’objet exposé et de la date d’introduction, les pièces justificatives qu’il jugera nécessaires.
Art. 11 (1) Die Verbandsländer werden nach Massgabe ihrer inneren Gesetzgebung den patentfähigen Erfindungen, den Gebrauchsmustern, den gewerblichen Mustern oder Modellen sowie den Fabrik‑ oder Handelsmarken für Erzeugnisse, die in einem Verbandsland auf den amtlichen oder amtlich anerkannten internationalen Ausstellungen zur Schau gestellt werden, einen zeitweiligen Schutz gewähren. (2) Dieser zeitweilige Schutz verlängert die Fristen des Artikels 4 nicht. Wird später das Prioritätsrecht beansprucht, so kann die Behörde eines jeden Landes die Frist mit dem Zeitpunkt beginnen lassen, zu dem das Erzeugnis in die Ausstellung eingebracht worden ist. (3) Jedes Land kann zum Nachweis der Übereinstimmung des ausgestellten Gegenstandes und des Zeitpunkts der Einbringung die ihm notwendig erscheinenden Belege verlangen.
Art. 11 (1) I paesi dell’Unione accorderanno, conformemente alla loro legislazione interna, una protezione temporanea alle invenzioni brevettabili, ai modelli d’utilità, ai disegni o modelli industriali, nonché ai marchi di fabbrica o di commercio, per i prodotti che figureranno nelle esposizioni internazionali ufficiali o ufficialmente riconosciute organizzate sul territorio di uno di essi. (2) Tale protezione temporanea non prolungherà i termini dell’articolo 4. Se più tardi fosse rivendicato il diritto di priorità, l’Amministrazione di ciascun paese potrà far decorrere il termine dalla data d’introduzione del prodotto nell’esposizione. (3) Ciascun paese potrà esigere, come prova dell’identità dell’oggetto esposto e della data d’introduzione, i documenti giustificativi che esso stimerà necessari.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_12
Art. 12 (1) Chacun des pays de l’Union s’engage à établir un service spécial de la propriété industrielle et un dépôt central pour la communication au public des brevets d’invention, des modèles d’utilité, des dessins ou modèles industriels et des marques de fabrique ou de commerce. (2) Ce service publiera une feuille périodique officielle. Il publiera régulièrement: a. Les noms des titulaires des brevets délivrés, avec une brève désignation des inventions brevetées; b. les reproductions des marques enregistrées.
Art. 12 (1) Jedes der Verbandsländer verpflichtet sich, ein besonderes Amt für das gewerbliche Eigentum und eine Zentralhinterlegungsstelle einzurichten, um die Erfindungspatente, die Gebrauchsmuster, die gewerblichen Muster oder Modelle und die Fabrik‑ oder Handelsmarken der Öffentlichkeit zur Kenntnis zu bringen. (2) Dieses Amt wird ein regelmässig erscheinendes amtliches Blatt herausgeben. Es wird regelmässig veröffentlichen: a. die Namen der Inhaber der erteilten Patente mit einer kurzen Bezeichnung der patentierten Erfindungen; b. die Abbildungen der eingetragenen Marken.
Art. 12 (1) Ogni paese dell’Unione si obbliga a stabilire un servizio speciale della proprietà industriale e un deposito centrale per render noti al pubblico i brevetti d’invenzione, i modelli d’utilità, i disegni o modelli industriali e i marchi di fabbrica o di commercio. (2) Questo servizio pubblicherà un periodico ufficiale. Esso pubblicherà regolarmente: a. i nomi dei titolari dei brevetti rilasciati, con una breve designazione delle invenzioni brevettate; b. le riproduzioni dei marchi registrati.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_13
Art. 13 (1) L’Office international institué sous le nom de Bureau international pour la protection de la propriété industrielle est placé sous la haute autorité du Gouvernement de la Confédération suisse, qui en règle l’organisation et en surveille le fonctionnement. 2) a. Les langues française et anglaise seront utilisées par le Bureau international dans l’accomplissement des missions prévues aux al. (3) et (5) du présent article. b. Les conférences et réunions visées à l’art. 14 se tiendront en langues française, anglaise et espagnole. (3) Le Bureau international centralise les renseignements de toute nature relatifs à la protection de la propriété industrielle; il les réunit et les publie. Il procède aux études d’utilité commune intéressant l’Union et rédige, à l’aide des documents qui sont mis à sa disposition par les diverses Administrations, une feuille périodique sur les questions concernant l’objet de l’Union. (4) Les numéros de cette feuille, de même que tous les documents publiés par le Bureau international, sont répartis entre les Administrations des pays de l’Union dans la proportion du nombre des unités contributives ci-dessous mentionnées. Les exemplaires et documents supplémentaires qui seraient réclamés, soit par lesdites Administrations, soit par des sociétés ou des particuliers, seront payés à part. (5) Le Bureau international doit se tenir en tout temps à la disposition des pays de l’Union pour leur fournir, sur les questions relatives au service international de la propriété industrielle, les renseignements spéciaux dont ils pourraient avoir besoin. Le Directeur du Bureau international fait sur sa gestion un rapport annuel qui est communiqué à tous les pays de l’Union. (6) Les dépenses ordinaires du Bureau international seront supportées en commun par les pays de l’Union. Jusqu’à nouvel ordre, elles ne pourront pas dépasser la somme de cent vingt mille francs suisses par année. Cette somme pourra être augmentée, au besoin, par décision unanime d’une des Conférences prévues à l’art. 14. (7) Les dépenses ordinaires ne comprennent pas les frais afférents aux travaux des Conférences de Plénipotentiaires ou administratives, ni les frais que pourront entraîner des travaux spéciaux ou des publications effectuées conformément aux décisions d’une Conférence. Ces frais, dont le montant annuel ne pourra dépasser 20 000 francs suisses, seront répartis entre les pays de l’Union proportionnellement à la contribution qu’ils payent pour le fonctionnement du Bureau international, suivant les dispositions de l’al. (8) ci-après. (8) Pour déterminer la part contributive de chacun des pays dans cette somme totale des frais, les pays de l’Union et ceux qui adhéreront ultérieurement à l’Union sont divisés en six classes, contribuant chacune dans la proportion d’un certain nombre d’unités, savoir: 1 re classe 25 unités 2 e classe 20 unités 3 e classe 15 unités 5e classe 10 unités 5 e classe 5 unités 6 e classe 3 unités Ces coefficients sont multipliés par le nombre des pays de chaque classe et la somme des produits ainsi obtenus fournit le nombre d’unités par lequel la dépense totale doit être divisée. Le quotient donne le montant de l’unité de dépense. (9) Chacun des pays de l’Union désignera, au moment de son accession, la classe dans laquelle il désire être rangé. Toutefois, chaque pays de l’Union pourra déclarer ultérieurement qu’il désire être rangé dans une autre classe. (10) Le Gouvernement de la Confédération suisse surveille les dépenses du Bureau international, ainsi que les comptes de ce dernier, et fait les avances nécessaires. (11) Le compte annuel, établi par le Bureau international, sera communiqué à toutes les autres Administrations.
Art. 13 (1) Das unter dem Namen «Internationales Büro zum Schutz des gewerblichen Eigentums» errichtete Internationale Amt ist der Hohen Autorität der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft unterstellt, die seine Einrichtung regelt und seine Geschäftsführung überwacht. (2) a. Bei Erfüllung der in den Absätzen (3) und (5) dieses Artikels vorgesehenen Aufgaben bedient sich das Internationale Büro der französischen und der englischen Sprache. b. Die in Artikel 14 vorgesehenen Konferenzen und Zusammenkünfte werden in französischer, englischer und spanischer Sprache abgehalten. (3) Das Internationale Büro sammelt die den Schutz des gewerblichen Eigentums betreffenden Mitteilungen aller Art, vereinigt und veröffentlicht sie. Es befasst sich mit Studien, die von allgemeinem Nutzen und für den Verband von Interesse sind, und redigiert mit Hilfe der ihm von den verschiedenen Behörden zur Verfügung gestellten Unterlagen ein regelmässig erscheinendes Blatt, in dem die den Gegenstand des Verbandes betreffenden Fragen behandelt werden. (4) Die Nummern dieses Blattes sowie alle sonstigen Veröffentlichungen des Internationalen Büros werden auf die Behörden der Verbandsländer im Verhältnis zur Zahl der unten erwähnten Beitragseinheiten verteilt. Die darüber hinaus von den genannten Behörden oder von Gesellschaften oder Privatpersonen etwa beanspruchten Stücke des Blattes und der sonstigen Veröffentlichungen sind besonders zu bezahlen. (5) Das Internationale Büro hat sich jederzeit zur Verfügung der Verbandsländer zu halten, um ihnen über Fragen der internationalen Verwaltung des gewerblichen Eigentums die etwa erforderlichen besonderen Auskünfte zu geben. Der Direktor des Internationalen Büros erstattet über seine Amtsführung alljährlich einen Bericht, der allen Verbandsländern mitgeteilt wird. (6) Die ordentlichen Ausgaben des Internationalen Büros werden von den Verbandsländern gemeinsam getragen. Bis auf weiteres dürfen sie die Summe von einhundertzwanzigtausend Schweizerfranken im Jahr nicht übersteigen. Diese Summe kann im Bedarfsfall durch einstimmigen Beschluss einer der im Artikel 14 vorgesehenen Konferenzen erhöht werden. (7) Die ordentlichen Ausgaben umfassen weder die Kosten, die mit den Arbeiten von Konferenzen von Bevollmächtigten oder Verwaltungskonferenzen zusammenhängen, noch etwaige Kosten besonderer Arbeiten oder Veröffentlichungen, die gemäss den Entscheidungen einer Konferenz vorgenommen werden. Diese Kosten, deren Höhe jährlich zwanzigtausend Schweizerfranken nicht übersteigen darf, werden auf die Verbandsländer nach Massgabe des Beitrages verteilt, den sie für die Tätigkeit des Internationalen Büros nach den Bestimmungen des Absatzes (8) zahlen. (8) Um den Beitrag jedes Landes zu dieser Gesamtsumme der Kosten zu bestimmen, werden die Verbandsländer und diejenigen Länder, die dem Verband später beitreten, in sechs Klassen eingeteilt, von denen jede im Verhältnis einer bestimmten Zahl von Einheiten beiträgt, nämlich: die 1. Klasse 25 Einheiten die 2. Klasse 20 Einheiten die 3. Klasse 15 Einheiten die 4. Klasse 10 Einheiten die 5. Klasse 5 Einheiten die 6. Klasse 3 Einheiten Diese Koeffizienten werden mit der Zahl der Länder jeder Klasse multipliziert, und die Summe der so erhaltenen Produkte bildet die Zahl der Einheiten, durch welche die Gesamtausgabe zu dividieren ist. Der Quotient ergibt dann den Betrag der Ausgabeeinheit. (9) Jedes der Verbandsländer gibt bei seinem Beitritt die Klasse an, der es zugeteilt zu werden wünscht. Jedoch kann jedes Verbandsland nachträglich erklären, dass es in eine andere Klasse eingereiht zu werden wünscht. (10) Die Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft überwacht die Ausgaben des Internationalen Büros ebenso wie dessen Abrechnung und leistet die nötigen Vorschüsse. (11) Die vorn Internationalen Büro erstellte Jahresrechnung wird allen anderen Regierungen mitgeteilt.
Art. 13 (1) L’Ufficio internazionale, istituito col nome di Ufficio internazionale per la protezione della proprietà industriale, è posto sotto l’alta autorità del Governo della Confederazione svizzera, il quale ne regola l’organizzazione e ne vigila il funzionamento. (2) a. La lingua francese e quella inglese saranno adoperate dall’Ufficio internazionale nell’adempimento delle mansioni previste ai commi (3) e (5) del presente articolo. b. Le conferenze e riunioni previste all’articolo 14 si terranno nelle lingue francese, inglese e spagnola. (3) L’Ufficio internazionale raccoglie le informazioni di ogni genere concernenti la protezione della proprietà industriale, le riunisce e le pubblica. Esso procede agli studi di utilità comune interessanti l’Unione e compila, con la scorta dei documenti che gli sono forniti dalle varie Amministrazioni, un periodico sulle questioni concernenti le finalità dell’Unione. (4) I numeri di questo periodico, come pure tutti i documenti pubblicati dall’Ufficio internazionale, sono distribuiti tra le Amministrazioni dei paesi della Unione in ragione del numero delle unità contributive in appresso menzionate. Gli esemplari e i documenti supplementari che fossero richiesti dalle dette Amministrazioni, da società o da privati, saranno pagati a parte. (5) L’Ufficio internazionale deve sempre tenersi a disposizione dei paesi della Unione per fornir loro, sulle questioni relative al servizio internazionale della proprietà industriale, le informazioni speciali di cui potessero aver bisogno. Il Direttore dell’Ufficio internazionale fa sulla sua gestione un rapporto annuale che è comunicato a tutti i paesi dell’Unione. (6) Le spese ordinarie dell’Ufficio internazionale saranno sopportate in comune dai paesi dell’Unione. Fino a nuovo ordine, esse non potranno superare la somma di centoventimila franchi svizzeri all’anno. Questa somma potrà essere aumentata, occorrendo, con decisione unanime di una delle Conferenze previste all’articolo 14. (7) Le spese ordinarie non comprendono quelle inerenti ai lavori delle Conferenze di Plenipotenziari o amministrative, né quelle dovute a lavori speciali o a pubblicazioni fatte conformemente alle decisioni di una Conferenza. Tali spese, il cui ammontare annuo non potrà superare la somma di 20 000 franchi svizzeri, saranno ripartite fra i paesi dell’Unione in proporzione al loro contributo per il funzionamento dell’Ufficio internazionale, secondo le disposizioni dei seguente comma (8). (8) Per determinare la quota contributiva di ciascun paese alla somma totale delle spese, i paesi dell’Unione e quelli che vi aderiranno in seguito sono divisi in sei classi, ciascuna delle quali contribuisce in ragione d’un certo numero di unità, cioè: 1 a classe 25 unità 2 a classe 20 unità 3 a classe 15 unità 4 a classe 10 unità 5 a classe 5 unità 6 a classe 3 unità Detti coefficienti sono moltiplicati per il numero dei paesi di ciascuna classe e la somma dei prodotti così ottenuti dà il numero di unità per il quale deve essere divisa la spesa totale. Il quoziente dà l’ammontare dell’unità di spesa. (9) Ciascuno dei paesi dell’Unione designerà, all’atto della sua adesione, la classe nella quale desidera essere compreso. Tuttavia, ciascun paese dell’Unione potrà dichiarare ulteriormente che desidera essere compreso in un’altra classe. (10) Il Governo della Confederazione svizzera vigila sulle spese dell’Ufficio internazionale, come pure sui conti di quest’ultimo, e fa le anticipazioni necessarie. (11) Il conto annuale, compilato dall’Ufficio internazionale, sarà comunicato a tutte le altre Amministrazioni,
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_14
Art. 14 (1) La présente Convention sera soumise à des révisions périodiques, en vue d’y introduire les améliorations de nature à perfectionner le système de l’Union. (2) A cet effet, des Conférences auront lieu, successivement, dans l’un des pays de l’Union, entre les Délégués desdits pays. (3) L’Administration du pays où doit siéger la Conférence préparera, avec le concours du Bureau international, les travaux de cette Conférence. (4) Le Directeur du Bureau international assistera aux séances des Conférences et prendra part aux discussions, sans voix délibérative. 5) a. Dans l’intervalle des Conférences diplomatiques de révision, des Conférences de représentants de tous les pays de l’Union se réuniront tous les trois ans à l’effet d’établir un rapport sur les dépenses prévisibles du Bureau international pour chaque période triennale à venir, et de connaître des questions relatives à la sauvegarde et au développement de l’Union. b. De plus, elles pourront modifier, par décision unanime, le montant maximum annuel des dépenses du Bureau international, à condition d’être réunies en qualité de Conférences de Plénipotentiaires de tous les pays de l’Union, sur convocation du Gouvernement de la Confédération suisse. c. En outre, les Conférences prévues sous lettre a ci-dessus pourront être convoquées entre leurs réunions triennales sur l’initiative, soit du Directeur du Bureau international, soit du Gouvernement de la Confédération suisse.
Art. 14 (1) Diese Übereinkunft soll periodischen Revisionen unterzogen werden, um Verbesserungen herbeizuführen, die geeignet sind, das System des Verbandes zu vervollkommnen. (2) Zu diesem Zweck werden der Reihe nach in einem der Verbandsländer Konferenzen zwischen den Delegierten der genannten Länder stattfinden. (3) Die Regierung des Landes, in dem die Konferenz tagen soll, bereitet unter Mitwirkung des Internationalen Büros die Arbeiten dieser Konferenz vor. (4) Der Direktor des Internationalen Büros hat den Sitzungen der Konferenzen beizuwohnen und an den Verhandlungen ohne beschliessende Stimme teilzunehmen. (5) a. In dem Zeitraum zwischen den diplomatischen Revisionskonferenzen treten Vertreter aller Verbandsländer alle drei Jahre zu Konferenzen zusammen, um einen Bericht über die voraussichtlichen Ausgaben des Internationalen Büros für die nächsten drei Jahre zu erstatten und über die den Bestand und die Entwicklung des Verbandes betreffenden Fragen zu befinden. b. Darüber hinaus können sie durch einstimmigen Beschluss den jährlichen Höchstbetrag der Ausgaben des Internationalen Büros unter der Bedingung ändern, dass sie als Konferenz von Bevollmächtigten aller Verbandsländer auf Einladung der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft zusammentreten. c. Ausserdem können die unter dem Buchstaben a vorgesehenen Konferenzen zwischen ihren alle drei Jahre stattfindenden Zusammenkünften auf Veranlassung entweder des Direktors des Internationalen Büros oder der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft einberufen werden.
Art. 14 (1) La presente Convenzione sarà sottoposta a revisioni periodiche, al fine di introdurvi i miglioramenti atti a perfezionare il sistema dell’Unione. (2) A tale scopo avranno luogo, successivamente, Conferenze in uno dei paesi dell’Unione, fra i Delegati dei detti paesi. (3) L’Amministrazione del paese nel quale sarà tenuta la Conferenza preparerà, con il concorso dell’Ufficio internazionale, i lavori della Conferenza. (4) Il Direttore dell’Ufficio internazionale assisterà alle sedute delle Conferenze e prenderà parte alle discussioni, senza voto deliberativo. (5) a. Nell’intervallo tra le Conferenze diplomatiche dì revisione, si riuniranno ogni tre anni Conferenze di rappresentanti di tutti i paesi dell’Unione allo scopo di stabilire un rapporto sulle spese prevedibili dell’Ufficio internazionale per ogni futuro periodo triennale, e di esaminare le questioni relative alla salvaguardia e allo sviluppo dell’Unione. b. Inoltre esse potranno modificare, con decisione unanime, l’ammontare massimo annuale delle spese dell’Ufficio internazionale, a condizione che siano riunite quali Conferenze di Plenipotenziari di tutti i paesi della Unione, su convocazione del Governo della Confederazione svizzera. c. Le Conferenze previste alla suddetta lettera a, potranno, altresì, essere convocate nel periodo intercorrente tra le loro riunioni triennali su iniziativa del Direttore dell’Ufficio internazionale o del Governo della Confederazione svizzera.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_15
Art. 15 Il est entendu que les pays de l’Union se réservent respectivement le droit de prendre séparément, entre eux, des arrangements particuliers pour la protection de la propriété industrielle, en tant que ces arrangements ne contreviendraient point aux dispositions de la présente Convention.
Art. 15 Es besteht Einverständnis darüber, dass die Verbandsländer sich das Recht vorbehalten, einzeln untereinander besondere Abmachungen zum Schutz des gewerblichen Eigentums zu treffen, sofern diese Abmachungen den Bestimmungen dieser Übereinkunft nicht zuwiderlaufen.
Art. 15 Resta inteso che i paesi dell’Unione si riservano rispettivamente il diritto di stipulare separatamente, fra loro, accordi particolari per la protezione della proprietà industriale, purché tali accordi non contravvengano alle disposizioni della presente Convenzione.
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_16
Art. 16 (1) Les pays qui n’ont point pris part à la présente Convention seront admis à y adhérer sur leur demande. (2) Cette adhésion sera notifiée par la voie diplomatique au Gouvernement de la Confédération suisse et par celui-ci à tous les autres. (3) Elle emportera, de plein droit, accession à toutes les clauses et admission à tous les avantages stipulés par la présente Convention, et produira ses effets un mois après l’envoi de la notification faite par le Gouvernement de la Confédération suisse aux autres pays unionistes, à moins qu’une date postérieure n’ait été indiquée dans la demande d’adhésion.
Art. 16 (1) Die Länder, die an dieser Übereinkunft nicht teilgenommen haben, werden auf ihren Antrag zum Beitritt zugelassen. (2) Dieser Beitritt ist auf diplomatischem Weg der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft und von dieser allen übrigen Regierungen anzuzeigen. (3) Er hat mit voller Rechtswirkung den Anschluss an alle Bestimmungen und die Zulassung zu allen Vergünstigungen zur Folge, die in dieser Übereinkunft vorgesehen sind, und tritt einen Monat nach der Absendung der Anzeige durch die Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft an die übrigen Verbandsländer in Kraft, sofern im Beitrittsgesuch kein späterer Zeitpunkt angegeben ist.
Art. 16 (1) I paesi che non hanno partecipato alla presente Convenzione saranno ammessi ad aderirvi a loro domanda. (2) Tale adesione sarà notificata per via diplomatica al Governo della Confederazione svizzera e da questo a tutti gli altri. (3) Essa implicherà, di pieno diritto, l’accettazione di tutte le clausole e l’ammissione a tutti i vantaggi stipulati con la presente Convenzione, e produrrà i suoi effetti un mese dopo l’invio della notifica fatta dal Governo della Confederazione svizzera agli altri paesi dell’Unione, a meno che una data posteriore non sia stata indicata nella domanda di adesione.
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Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_16_bis
Art. 16 bis (1) Chacun des pays de l’Union peut, en tout temps, notifier par écrit au Gouvernement de la Confédération suisse que la présente Convention est applicable à tout ou partie de ses colonies, protectorats, territoires sous mandat ou tous autres territoires soumis à son autorité, ou tous territoires sous suzeraineté, et la Convention s’appliquera à tous les territoires désignés dans la notification un mois après l’envoi de la communication faite par le Gouvernement de la Confédération suisse aux autres pays de l’Union, à moins qu’une date postérieure n’ait été indiquée dans la notification. A défaut de cette notification, la Convention ne s’appliquera pas à ces territoires. (2) Chacun des pays de l’Union peut, en tout temps, notifier par écrit au Gouvernement de la Confédération suisse que la présente Convention cesse d’être applicable à tout ou partie des territoires qui ont fait l’objet de la notification prévue à l’alinéa qui précède, et la Convention cessera de s’appliquer dans les territoires désignés dans cette notification douze mois après réception de la notification adressée au Gouvernement de la Confédération suisse. (3) Toutes les notifications faites au Gouvernement de la Confédération suisse, conformément aux dispositions des al. (1) et (2) du présent article, seront communiquées par ce Gouvernement à tous les pays de l’Union.
Art. 16 bis (1) Jedes Verbandsland kann jederzeit der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft schriftlich anzeigen, dass diese Übereinkunft auf seine Kolonien, Protektorate, Mandatsgebiete oder andere seiner Staatshoheit oder Oberhoheit unterworfenen Gebiete, sei es auf sämtliche oder nur auf einzelne, anwendbar ist; die Übereinkunft findet auf alle in der Anzeige bezeichneten Gebiete Anwendung nach Ablauf eines Monats seit der Absendung der Anzeige durch die Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft an die übrigen Verbandsländer, sofern nicht in der Anzeige ein späterer Zeitpunkt angegeben ist. Mangels einer solchen Anzeige ist die Übereinkunft auf diese Gebiete nicht anwendbar. (2) Jedes Verbandsland kann jederzeit der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft anzeigen, dass diese Übereinkunft für alle oder für einzelne der Gebiete, die den Gegenstand der im vorhergehenden Absatz vorgesehenen Anzeige bildeten, nicht mehr anwendbar ist; die Übereinkunft tritt in den in dieser Anzeige bezeichneten Gebieten zwölf Monate nach Empfang der an die Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft gerichteten Anzeige ausser Kraft. (3) Alle gemäss den Bestimmungen der Absätze (1) und (2) dieses Artikels der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft gemachten Anzeigen werden von ihr allen Verbandsländern mitgeteilt.
Art. 16 bis (1) Ciascun paese dell’Unione può, in qualunque momento, notificare per iscritto al Governo della Confederazione svizzera che la presente Convenzione è applicabile a tutte o a parte delle sue colonie, protettorati, territori sotto mandato o tutti gli altri territori sottoposti alla sua autorità o tutti i territori posti sotto la sua sovranità, e la Convenzione si applicherà a tutti i territori designati nella notifica un mese dopo l’invio della comunicazione da parte del Governo della Confederazione svizzera agli altri paesi dell’Unione, a meno che nella notifica non sia indicata una data posteriore. In mancanza di tale notifica, la Convenzione non si applicherà a tali territori. (2) Ciascun paese dell’Unione può, in qualunque momento, notificare per iscritto al Governo della Confederazione svizzera che la presente Convenzione cessa di essere applicabile a tutti o a parte dei territori che hanno formato oggetto della notifica prevista al comma precedente, e la Convenzione cesserà di essere applicata nei territori designati in detta notifica dodici mesi dopo il ricevimento della notifica fatta al Governo della Confederazione svizzera. (3) Tutte le notifiche fatte al Governo della Confederazione svizzera conformemente alle disposizioni dei commi (1) e (2) del presente articolo, saranno comunicate da detto Governo a tutti i paesi dell’Unione.
CH
0.232.03
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_17
Art. 17 Tout pays partie à la présente Convention s’engage à adopter, conformément à sa Constitution, les mesures nécessaires pour assurer l’application de cette Convention. Il est entendu qu’au moment du dépôt d’un instrument de ratification ou d’adhésion au nom d’un pays, ce pays sera en mesure, conformément à sa législation interne, de donner effet aux dispositions de cette Convention.
Art. 17 Jedes Land, das dieser Übereinkunft angehört, verpflichtet sich, entsprechend seiner Verfassung alle notwendigen Massnahmen zu ergreifen, um die Anwendung dieser Übereinkunft zu gewährleisten. Es besteht Einverständnis darüber, dass jedes Land im Zeitpunkt der Hinterlegung seiner Ratifikations- oder Beitrittsurkunde gemäss seiner Gesetzgebung in der Lage sein muss, den Bestimmungen dieser Übereinkunft Wirkung zu verleihen.
Art. 17 Ogni paese che partecipa alla presente Convenzione s’impegna ad adottare, in conformità della sua Costituzione, i provvedimenti necessari per assicurare l’applicazione della Convenzione stessa. Resta inteso che, al momento del deposito dell’atto di ratifica o di adesione a nome di un paese, questo sarà in grado, in conformità della sua legislazione interna, di dare attuazione alle disposizioni della presente Convenzione.
CH
0.232.03
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_17_bis
Art. 17 bis (1) La Convention demeurera en vigueur pendant un temps indéterminé, jusqu’à l’expiration d’une année à partir du jour où la dénonciation en sera faite. (2) Cette dénonciation sera adressée au Gouvernement de la Confédération suisse. Elle ne produira son effet qu’à l’égard du pays au nom duquel elle aura été faite, la Convention restant exécutoire pour les autres pays de l’Union.
Art. 17 bis (1) Die Übereinkunft bleibt auf unbestimmte Zeit bis zum Ablauf eines Jahres vom Tag der Kündigung an in Kraft. (2) Diese Kündigung ist an die Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft zu richten. Ihre Wirkung erstreckt sich nur auf das Land, in dessen Namen sie ausgesprochen worden ist; für die übrigen Verbandsländer bleibt die Übereinkunft in Kraft.
Art. 17 bis (1) La Convenzione resterà in vigore per un tempo indeterminato, fino alla scadenza di un anno dal giorno in cui ne sarà fatta denuncia. (2) Tale denuncia sarà diretta al Governo della Confederazione svizzera. Essa avrà effetto soltanto rispetto al paese in nome del quale sarà fatta, restando la Convenzione esecutoria per gli altri paesi dell’Unione.
CH
0.232.03
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_18
Art. 18 (1) Le présent Acte sera ratifié et les instruments de ratification en seront déposés à Berne au plus tard le 1 er mai 1963. Il entrera en vigueur, entre les pays au nom desquels il aura été ratifié, un mois après cette date. Toutefois, si auparavant il était ratifié au nom de six pays au moins, il entrerait en vigueur, entre ces pays, un mois après que le dépôt de la sixième ratification leur aurait été notifié par le Gouvernement de la Confédération suisse et, pour les pays au nom desquels il serait ratifié ensuite, un mois après la notification de chacune de ces ratifications. (2) Les pays au nom desquels l’instrument de ratification n’aura pas été déposé dans le délai visé à l’alinéa précédent seront admis à l’adhésion aux termes de l’art. 16. (3) Le présent Acte remplacera, dans les rapports entre les pays auxquels il s’applique, la Convention de Paris de 1883 et les Actes de révision subséquents. (4) En ce qui concerne les pays auxquels le présent Acte ne s’applique pas, mais auxquels s’applique la Convention de Paris révisée à Londres en 1934, cette dernière restera en vigueur. (5) De même, en ce qui concerne les pays auxquels ne s’appliquent ni le présent Acte, ni la Convention de Paris révisée à Londres, la Convention de Paris révisée à La Haye en 1925 restera en vigueur. (6) De même, en ce qui concerne les pays auxquels ne s’appliquent ni le présent Acte, ni la Convention de Paris révisée à Londres, ni la Convention de Paris révisée à La Haye, la Convention de Paris révisée à Washington en 1911 restera en vigueur.
Art. 18 (1) Diese Übereinkunft bedarf der Ratifizierung; die Ratifikationsurkunden sollen spätestens am 1. Mai 1963 in Bern hinterlegt werden. Die Übereinkunft tritt unter den Ländern, in deren Namen sie ratifiziert worden ist, einen Monat nach diesem Zeitpunkt in Kraft. Sollte sie jedoch schon früher im Namen von mindestens sechs Ländern ratifiziert werden, so tritt sie unter diesen Ländern einen Monat, nachdem ihnen die Hinterlegung der sechsten Ratifikationsurkunde von der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft angezeigt worden ist, in Kraft, und für die Länder, in deren Namen sie danach ratifiziert wird, jeweils einen Monat nach der Anzeige jeder dieser Ratifikationen. (2) Den Ländern, in deren Namen die Ratifikationsurkunde nicht innerhalb der im vorhergehenden Absatz vorgesehenen Frist hinterlegt worden ist, steht der Beitritt gemäss Artikel 16 offen. (3) Diese Übereinkunft tritt in den Beziehungen zwischen den Ländern, auf die sie Anwendung findet, an die Stelle der Pariser Verbandsübereinkunft von 1883 und der nachfolgenden Revisionsakte. (4) Für die Länder, auf die diese Übereinkunft nicht Anwendung findet, wohl aber die in London im Jahre 1934 revidierte Verbandsübereinkunft, bleibt die letztere in Kraft. (5) Ebenso bleibt für die Länder, auf die weder diese Übereinkunft noch die in London revidierte Pariser Verbandsübereinkunft Anwendung findet, die in Den Haag im Jahre 1925 revidierte Pariser Verbandsübereinkunft in Kraft. (6) Ebenso bleibt für die Länder, auf die weder diese Übereinkunft noch die in London revidierte Pariser Verbandsübereinkunft noch die in Den Haag revidierte Pariser Verbandsübereinkunft Anwendung findet, die in Washington im Jahre 1911 revidierte Pariser Verbandsübereinkunft in Kraft.
Art. 18 (1) Il presente Atto sarà ratificato e gli strumenti di ratifica saranno depositati a Berna non più tardi del 1° maggio 1963. Esso entrerà in vigore, tra i paesi in nome dei quali sarà stato ratificato, un mese dopo tale data. Tuttavia, qualora fosse stato in precedenza ratificato in nome di almeno sei paesi, esso entrerebbe in vigore, tra questi paesi, un mese dopo che il deposito della sesta ratifica fosse stato loro notificato dal Governo della Confederazione svizzera e, per i paesi in nome dei quali fosse ratificato successivamente, un mese dopo la notifica di ciascuna di dette ratifiche. (2) I paesi in nome dei quali lo strumento di ratifica non sarà stato depositato nel termine previsto dal comma precedente, saranno ammessi all’adesione secondo l’articolo 16. (3) Il presente Atto sostituirà, nei rapporti tra i paesi ai quali si applica, la Convenzione di Parigi del 1883 e gli Atti di revisione successivi. (4) Per quanto concerne i paesi ai quali non si applica il presente Atto, ma ai quali si applica la Convenzione di Parigi riveduta a Londra nel 1934, quest’ultima rimarrà in vigore. (5) Egualmente, per quanto concerne i paesi ai quali non si applica né il presente Atto, né la Convenzione di Parigi riveduta a Londra, la Convenzione riveduta all’Aja nel 1925 rimarrà in vigore. (6) Del pari, per quanto riguarda i paesi ai quali non si applica né il presente Atto, né la Convenzione di Parigi riveduta a Londra, né la Convenzione di Parigi riveduta a l’Aja, la Convenzione di Parigi riveduta a Washington nel 1911 rimarrà in vigore.
CH
0.232.03
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Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle, révisée à Lisbonne le 31 octobre 1958
Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Convenzione di Parigi per la protezione della proprietà industriale, riveduta a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_19
Art. 19 (1) Le présent Acte sera signé en un seul exemplaire en langue française, lequel sera déposé aux archives du Gouvernement de la Confédération suisse. Une copie certifiée sera remise par ce dernier à chacun des Gouvernements des pays de l’Union. (2) Le présent Acte restera ouvert à la signature des pays de l’Union jusqu’au 30 avril 1959. (3) Des traductions officielles du présent Acte seront établies en langues allemande, anglaise, espagnole, italienne et portugaise.
Art. 19 (1) Diese Übereinkunft wird in einem einzigen Stück in französischer Sprache unterzeichnet, das im Archiv der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft hinterlegt wird. Eine beglaubigte Abschrift wird von dieser den Regierungen der Verbandsländer übermittelt. (2) Diese Übereinkunft steht zur Unterzeichnung durch die Verbandsländer bis zum 30. April 1959 offen. (3) Amtliche Übersetzungen dieser Übereinkunft werden in deutscher, englischer, spanischer, italienischer und portugiesischer Sprache hergestellt.
Art. 19 (1) Il presente Atto sarà firmato in un solo esemplare in lingua francese, che sarà depositato negli archivi del Governo della Confederazione svizzera. Una copia autentica sarà rimessa da quest’ultimo a ciascuno dei Governi dei paesi dell’Unione. (2) Il presente Atto rimarrà aperto alla firma dei paesi dell’Unione fino al 30 aprile 1959. (3) Traduzioni ufficiali del presente Atto saranno effettuate nelle lingue inglese, italiana, portoghese, spagnola e tedesca.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_1
Art. 1 (1) Tout produit portant une indication fausse ou fallacieuse par laquelle un des pays auxquels s’applique le présent Arrangement, ou un lieu situé dans l’un d’entre eux, serait directement ou indirectement indiqué comme pays ou comme lieu d’origine, sera saisi à l’importation dans chacun desdits pays. (2) La saisie sera également effectuée dans le pays où l’indication fausse ou fallacieuse de provenance aura été apposée ou dans celui où aura été introduit le produit muni de cette indication fausse ou fallacieuse. (3) Si la législation d’un pays n’admet pas la saisie à l’importation, cette saisie sera remplacée par la prohibition d’importation. (4) Si la législation d’un pays n’admet ni la saisie à l’importation, ni la prohibition d’importation, ni la saisie à l’intérieur, et en attendant que cette législation soit modifiée en conséquence, ces mesures seront remplacées par les actions et moyens que la loi de ce pays assure en pareil cas aux nationaux. (5) A défaut de sanctions spéciales assurant la répression des indications fausses ou fallacieuses de provenance, les sanctions prévues par les dispositions correspondantes des lois sur les marques ou les noms commerciaux seront applicables.
Art. 1 (1) Jedes Erzeugnis, das eine falsche oder irreführende Angabe trägt, durch die eines der Länder, auf die dieses Abkommen Anwendung findet, oder ein in diesen Ländern befindlicher Ort unmittelbar oder mittelbar als Land oder Ort des Ursprungs angegeben ist, wird bei der Einfuhr in diese Länder beschlagnahmt. (2) Die Beschlagnahme erfolgt sowohl in dem Land, in dem die falsche oder irreführende Herkunftsangabe angebracht, als auch in dem Land, in welches das mit dieser falschen oder irreführenden Angabe versehene Erzeugnis eingeführt worden ist. (3) Lässt die Gesetzgebung eines Landes die Beschlagnahme bei der Einfuhr nicht zu, so tritt an die Stelle dieser Beschlagnahme das Einfuhrverbot. (4) Lässt die Gesetzgebung eines Landes weder die Beschlagnahme bei der Einfuhr noch das Einfuhrverbot noch die Beschlagnahme im Inland zu, so treten an die Stelle dieser Massnahme bis zu einer entsprechenden Änderung der Gesetzgebung diejenigen Klagen und Rechtsbehelfe, die das Gesetz dieses Landes im gleichen Fall den eigenen Staatsangehörigen gewährt. (5) Fehlen besondere Zwangsvorschriften zur Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, so sind die entsprechenden Zwangsvorschriften der Gesetze über die Marken oder die Handelsnamen anzuwenden.
Art. 1 (1) Qualsiasi prodotto recante una falsa o ingannevole indicazione di provenienza, nella quale uno dei paesi, cui si applica il presente Accordo, o un luogo situato in uno di essi, fosse direttamente o indirettamente indicato come paese o come luogo d’origine, sarà sequestrato alla importazione in ciascuno dei detti paesi. (2) Il sequestro sarà eseguito anche nel paese in cui la falsa o ingannevole indicazione di provenienza sarà stata apposta, o in quello in cui sarà stato importato il prodotto recante tale falsa o ingannevole indicazione. (3) Se la legislazione di un paese non ammette il sequestro all’importazione, questo sarà sostituito dal divieto d’importazione. (4) Se la legislazione di un paese non ammette né il sequestro all’importazione, né il divieto d’importazione, né il sequestro nell’interno, dette misure, nell’attesa che detta legislazione sia adeguatamente modificata, saranno sostituite dalle azioni e dai mezzi che la legge di quel paese assicura in simili casi ai propri cittadini. (5) In mancanza di sanzioni speciali che assicurino la repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, saranno applicabili le sanzioni previste dalle corrispondenti disposizioni delle leggi sui marchi o sui nomi commerciali.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_2
Art. 2 (1) La saisie aura lieu à la diligence de l’Administration des douanes, qui avertira immédiatement l’intéressé, personne physique ou morale, pour lui permettre de régulariser, s’il le désire, la saisie opérée conservatoirement, toutefois, le Ministère public ou toute autre autorité compétente pourra requérir la saisie, soit à la demande de la partie lésée, soit d’office; la procédure suivra alors son cours ordinaire. (2) Les autorités ne seront pas tenues d’effectuer la saisie en cas de transit.
Art. 2 (1) Die Beschlagnahme erfolgt auf Betreiben der Zollverwaltung, die den Beteiligten, sei es eine natürliche oder eine juristische Person, sogleich benachrichtigt, damit er die vorsorglich vorgenommene Beschlagnahme in Ordnung bringen kann, falls er dies beabsichtigt; die Staatsanwaltschaft oder jede andere zuständige Behörde kann jedoch auf Verlangen der verletzten Partei oder von Amts wegen die Beschlagnahme beantragen; das Verfahren nimmt alsdann seinen gewöhnlichen Lauf. (2) Im Fall der Durchfuhr sind die Behörden nicht zur Beschlagnahme verpflichtet.
Art. 2 (1) Il sequestro sarà eseguito a cura dell’Amministrazione delle dogane, che ne avvertirà immediatamente l’interessato, persona fisica o giuridica, allo scopo di permettergli di regolarizzare, se lo desidera, il sequestro conservativo; tuttavia il Ministero pubblico, o qualsiasi altra autorità competente, potrà chiedere il sequestro sia a domanda della parte lesa sia d’ufficio; la procedura seguirà allora il suo corso ordinario. (2) Le autorità non saranno tenute ad eseguire il sequestro in caso di transito.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_3
Art. 3 Les présentes dispositions ne font pas obstacle à ce que le vendeur indique son nom ou son adresse sur les produits provenant d’un pays différent de celui de la vente; mais, dans ce cas, l’adresse ou le nom doit être accompagné de l’indication précise, et en caractères apparents, du pays ou du lieu de fabrication ou de production, ou d’une autre indication suffisante pour éviter toute erreur sur l’origine véritable des marchandises.
Art. 3 Diese Bestimmungen hindern den Verkäufer nicht, seinen Namen oder seine Anschrift auf den Erzeugnissen anzugeben, die aus einem anderen als dem Land des Verkaufs stammen; in diesem Fall ist jedoch der Anschrift oder dem Namen die genaue und in deutlichen Schriftzeichen wiedergegebene Bezeichnung des Landes oder des Ortes der Herstellung oder Erzeugung oder eine andere Angabe hinzuzufügen, die geeignet ist, jeden Irrtum über den wahren Ursprung der Waren auszuschliessen.
Art. 3 Le presenti disposizioni non escludono che il venditore indichi il suo nome o il suo indirizzo su prodotti provenienti da un paese diverso da quello della vendita, ma, in tal caso, l’indirizzo o il nome deve essere accompagnato dall’indicazione precisa, e a caratteri ben chiari, dei paese o del luogo di fabbricazione o di produzione o da altra indicazione che valga ad evitare qualsiasi errore sulla vera origine delle merci.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_3_bis
Art. 3 bis Les pays auxquels s’applique le présent Arrangement s’engagent également à prohiber l’emploi, relativement à la vente, à l’étalage ou à l’offre des produits, de toutes indications ayant un caractère de publicité et susceptibles de tromper le public sur la provenance des produits, en les faisant figurer sur les enseignes, annonces, factures, cartes relatives aux vins, lettres ou papiers de commerce ou sur toute autre communication commerciale.
Art. 3 bis Die Länder, auf die dieses Abkommen Anwendung findet, verpflichten sich ferner zu verbieten, dass beim Verkauf, Feilhalten oder Anbieten von Erzeugnissen irgend-welche Angaben gebraucht werden, die den Charakter einer öffentlichen Bekanntmachung haben und geeignet sind, das Publikum über die Herkunft der Erzeugnisse zu täuschen, gleichgültig ob sie auf Geschäftsschildern, Ankündigungen, Rechnungen, Weinkarten, Geschäftsbriefen oder Geschäftspapieren oder in irgendeiner anderen geschäftlichen Mitteilung verwendet werden.
Art. 3 bis I paesi ai quali si applica il presente Accordo s’impegnano altresì a vietare l’uso, per quanto riguarda la vendita, l’esposizione o l’offerta dì prodotti, di qualsiasi indicazione che abbia carattere pubblicitario e sia tale da trarre in inganno il pubblico sulla provenienza dei prodotti, facendola figurare su insegne, annunci, fatture, carte dei vini, lettere o documenti commerciali o in qualsiasi altra comunicazione commerciale.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_4
Art. 4 Les tribunaux de chaque pays auront à décider quelles sont les appellations qui, à raison de leur caractère générique, échappent aux dispositions du présent Arrangement, les appellations régionales de provenance des produits vinicoles n’étant cependant pas comprises dans la réserve spécifiée par cet article.
Art. 4 Die Gerichte jedes Landes haben zu entscheiden, welche Bezeichnungen wegen ihrer Eigenschaft als Gattungsbezeichnung nicht unter die Bestimmungen dieses Abkommens fallen; der Vorbehalt dieses Artikels bezieht sich jedoch nicht auf die regionalen Bezeichnungen der Herkunft von Weinbauerzeugnissen.
Art. 4 I tribunali di ciascun paese dovranno decidere quali sono le denominazioni che, per il loro carattere generico, sfuggono alle disposizioni del presente Accordo, non rientrando, però, nell’eccezione stabilita da questo Art. le denominazioni regionali di provenienza dei prodotti vinicoli.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_5
Art. 5 (1) Les pays de l’Union pour la protection de la propriété industrielle qui n’ont pas pris part au présent Arrangement seront admis à y adhérer sur leur demande, et dans la forme prescrite par l’article 16 de la Convention générale. (2) Les stipulations des art. 16 bis et 17 bis de la Convention générale s’appliquent au présent Arrangement.
Art. 5 (1) Die dem Verband zum Schutz des gewerblichen Eigentums angehörenden Länder, die an diesem Abkommen nicht teilgenommen haben, werden auf ihren Antrag und in der durch Artikel 16 der Hauptübereinkunft vorgeschriebenen Form zum Beitritt zugelassen. (2) Die Bestimmungen der Artikel 16 bis und 17 bis der Hauptübereinkunft sind auf dieses Abkommen anzuwenden.
Art. 5 (1) I paesi dell’Unione per la protezione della proprietà industriale che non hanno preso parte al presente Accordo saranno ammessi ad aderirvi a loro domanda, nella forma prescritta dall’articolo 16 della Convenzione generale. (2) Al presente Accordo si applicano le disposizioni degli articoli 16 bis e 17 bis della Convenzione generale.
CH
0.232.111.13
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Arrangement de Madrid concernant la répression des indications de provenance fausses ou fallacieuses, révisé à Lisbonne le 31 octobre 1958
Madrider Abkommen über die Unterdrückung falscher oder irreführender Herkunftsangaben, revidiert in Lissabon am 31. Oktober 1958
Accordo di Madrid sulla repressione delle false o ingannevoli indicazioni di provenienza, riveduto a Lisbona il 31 ottobre 1958
art_6
Art. 6 (1) Le présent Acte sera ratifié et les instruments de ratification en seront déposés à Berne au plus tard le 1 er mai 1963. Il entrera en vigueur, entre les pays au nom desquels il aura été ratifié, un mois après cette date. Toutefois, si auparavant il était ratifié au nom de six pays au moins, il entrerait en vigueur, entre ces pays, un mois après que le dépôt de la sixième ratification leur aurait été notifié par le Gouvernement de la Confédération suisse et, pour les pays au nom desquels il serait ratifié ensuite, un mois après la notification de chacune de ces ratifications. (2) Les pays au nom desquels l’instrument de ratification n’aura pas été déposé dans le délai visé à l’alinéa précédent seront admis à l’adhésion, aux termes de l’art. 16 de la Convention générale. (3) Le présent Acte remplacera, dans les rapports entre les pays auxquels il s’applique, l’Arrangement conclu à Madrid le 14 avril 1891 et les Actes de revision subséquents. (4) En ce qui concerne les pays auxquels le présent Acte ne s’applique pas, mais auxquels s’applique l’Arrangement de Madrid revisé à Londres en 1934, ce dernier restera en vigueur. (5) De même, en ce qui concerne les pays auxquels ne s’appliquent ni le présent Acte, ni l’Arrangement de Madrid revisé à Londres, l’Arrangement de Madrid revisé à La Haye en 1925 restera en vigueur. (6) De même, en ce qui concerne les pays auxquels ne s’appliquent ni le présent Acte, ni l’Arrangement de Madrid revisé à Londres, ni l’Arrangement de Madrid revisé à La Haye, l’Arrangement de Madrid revisé à Washington en 1911 restera en vigueur. Fait à Lisbonne, le 31 octobre 1958.
Art. 6 (1) Dieses Abkommen bedarf der Ratifizierung; die Ratifikationsurkunden sollen spätestens am 1. Mai 1963 in Bern hinterlegt werden. Das Abkommen tritt unter den Ländern, in deren Namen es ratifiziert worden ist, einen Monat nach diesem Zeitpunkt in Kraft. Sollte es jedoch schon früher im Namen von mindestens sechs Ländern ratifiziert werden, so tritt es unter diesen Ländern einen Monat, nachdem ihnen die Hinterlegung der sechsten Ratifikationsurkunde von der Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft angezeigt worden ist, in Kraft, und für die Länder, in deren Namen es danach ratifiziert wird, jeweils einen Monat nach der Anzeige jeder dieser Ratifikationen. (2) Den Ländern, in deren Namen die Ratifikationsurkunde nicht innerhalb der im vorhergehenden Absatz vorgesehenen Frist hinterlegt worden ist, steht der Beitritt gemäss Artikel 16 der Hauptübereinkunft offen. (3) Dieses Abkommen tritt in den Beziehungen zwischen den Ländern, auf die es Anwendung findet, an die Stelle des in Madrid am 14. April 1891 geschlossenen Abkommens und der nachfolgenden Revisionsakte. (4) Für die Länder, auf die dieses Abkommen nicht Anwendung findet, wohl aber das in London im Jahre 1934 revidierte Madrider Abkommen, bleibt das letztere in Kraft. (5) Ebenso bleibt für die Länder, auf die weder dieses Abkommen noch das in London revidierte Madrider Abkommen Anwendung findet, das in Den Haag im Jahre 1925 revidierte Madrider Abkommen in Kraft. (6) Ebenso bleibt für die Länder, auf die weder dieses Abkommen noch das in London revidierte Madrider Abkommen noch das in Den Haag revidierte Madrider Abkommen Anwendung findet, das in Washington im Jahre 1911 revidierte Madrider Abkommen in Kraft. Geschehen in Lissabon am 31. Oktober 1958.
Art. 6 (1) Il presente Atto sarà ratificato e gli strumenti di ratifica saranno depositati a Berna al più tardi il 1° maggio 1963. Esso entrerà in vigore, tra i paesi in nome dei quali è stato ratificato, dopo un mese da tale data. Tuttavia, se fosse ratificato prima in nome di almeno sei paesi, esso entrerebbe in vigore, fra questi paesi, dopo un mese dalla data in cui il Governo della Confederazione svizzera avrà loro notificato il deposito della sesta ratifica e, per i paesi in nome dei quali fosse ratificato in seguito, un mese dopo la notificazione di ciascuna di tali ratifiche. (2) I paesi in nome dei quali l’istrumento di ratifica non sarà stato depositato entro il termine di cui al comma precedente, saranno ammessi ad aderirvi al sensi dell’articolo 16 della Convenzione generale. (3) Il presente Atto sostituirà, nei rapporti tra i paesi ai quali esso si applica, l’Accordo concluso a Madrid il 14 aprile 1891 e gli Atti successivi di revisione. (4) Per quanto concerne i paesi ai quali non si applica il presente Atto, ma ai quali si applica l’Accordo di Madrid, riveduto a Londra nel l934, quest’ultimo resterà in vigore. (5) Parimenti, per quanto concerne i paesi al quali non si applica né il presente Atto, né l’Accordo di Madrid riveduto a Londra, l’Accordo di Madrid riveduto all’Aja nel 1925 resterà in vigore. (6) Parimenti, per quanto concerne i paesi ai quali non si applica né il presente Atto, né l’Accordo di Madrid riveduto a Londra, né l’Accordo di Madrid riveduto all’Aja, l’Accordo di Madrid riveduto a Washington nel 1911 resterà in vigore. Fatto a Lisbona, il 31 ottobre 1958.
CH
0.141.126.3
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Convention du 15 janvier 1959 entre la Suisse et la Colombie concernant le service militaire
Abkommen vom 15. Januar 1959 zwischen der Schweiz und Kolumbien betreffend den Militärdienst
Convenzione del 15 gennaio 1959 tra la Svizzera e la Colombia concernente il servizio militare
art_1
Art. 1 Le gouvernement de la République de Colombie s’engage à ne pas incorporer dans son armée les personnes qui sont à la fois de nationalité colombienne selon les lois colombiennes, et de nationalité suisse selon les suisse, lorsque ces personnes démontrent avoir servi dans l’armée suisses.
Art. 1 Die Regierung der Republik von Kolumbien verpflichtet sich, diejenigen Personen, die zugleich gemäss den kolumbischen Gesetzen die kolumbische Staatsangehörigkeit und gemäss den schweizerischen Gesetzen die schweizerische Staatsangehörigkeit besitzen, nicht in ihrer Armee einzuteilen, wenn diese Personen nachweisen, dass sie in der schweizerischen Armee Militärdienst geleistet haben.
Art. 1 Il governo della Repubblica di Colombia si impegna a non incorporare nel suo esercito le persone che possiedono tanto la cittadinanza colombiana, secondo le leggi colombiane, quanto la cittadinanza svizzera, secondo le leggi svizzere, purchè esse provino di aver servito nell’esercito svizzero.
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Convention du 15 janvier 1959 entre la Suisse et la Colombie concernant le service militaire
Abkommen vom 15. Januar 1959 zwischen der Schweiz und Kolumbien betreffend den Militärdienst
Convenzione del 15 gennaio 1959 tra la Svizzera e la Colombia concernente il servizio militare
art_2
Art. 2 Le gouvernement de la Confédération suisse s’engage à ne pas incorporer dans l’armée suisse les personnes qui possèdent à la fois la nationalité suisse selon les lois suisses, et la nationalité colombienne selon les lois colombiennes, lorsque ces personnes prouvent, au moyen d’un document délivré par le Ministère de la guerre, qu’elles ont servi dans l’armée colombienne.
Art. 2 Die Regierung der Schweizerischen Eidgenossenschaft verpflichtet sich, diejenigen Personen, die zugleich gemäss den schweizerischen Gesetzen die schweizerische Staatsangehörigkeit und gemäss den kolumbischen Gesetzen die kolumbische Staatsangehörigkeit besitzen, nicht in der schweizerischen Armee einzuteilen, wenn diese Personen durch ein vom Kriegsministerium ausgestelltes Dokument beweisen, dass sie in der kolumbischen Armee Militärdienst geleistet haben.
Art. 2 Il governo svizzero si impegna a non incorporare nell’esercito svizzero le persone che possiedono tanto la cittadinanza svizzera, secondo le leggi svizzere, quanto la cittadinanza colombiana, secondo le leggi colombiane, purchè esse provino, mediante un documento rilasciato dal Ministero della guerra, di aver servito nell’esercito colombiano.