FRBRcountry
stringclasses 1
value | FRBRnumber
stringlengths 3
20
⌀ | FRBRshortName_fr
stringlengths 2
16
⌀ | FRBRshortName_de
stringlengths 2
15
⌀ | FRBRshortName_it
stringlengths 2
16
⌀ | FRBRname_fr
stringlengths 24
760
| FRBRname_de
stringlengths 23
744
| FRBRname_it
stringlengths 23
709
| eId
stringlengths 5
255
| content_fr
stringlengths 6
40.6k
| content_de
stringlengths 6
40.5k
| content_it
stringlengths 6
38.6k
|
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
CH | 221.215.311 | LECCT | AVEG | LOCCL | Loi fédérale du 28 septembre 1956 permettant d'étendre le champ d'application de la convention collective de travail | Bundesgesetz vom 28. September 1956 über die Allgemeinverbindlicherklärung von Gesamtarbeitsverträgen | Legge federale del 28 settembre 1956 concernente il conferimento del carattere obbligatorio generale al contratto collettivo di lavoro | lvl_II/lvl_II/lvl_u12/art_18 | II. Compétence et procédure Abrogation de la décision d’extension sur demande ou d’office Art. 18 1 L’autorité compétente pour prononcer l’extension doit rapporter sa décision si toutes les parties le demandent. 2 L’autorité qui a prononcé la décision doit la rapporter si elle constate, d’office ou sur dénonciation, que les conditions de l’extension ne sont pas ou ne sont plus réunies. Elle peut également la rapporter en cas de violation du principe de l’égalité de traitement posé à l’art. 5, al. 1, ou si, contrairement à l’art. 5, al. 2, une caisse ou une institution n’est pas gérée correctement. | II. Zuständigkeit und Verfahren Ausserkraftsetzung der Art. 18 1 Die für die Allgemeinverbindlicherklärung zuständige Behörde hat auf Antrag aller Vertragsparteien die Allgemeinverbindlichkeit ausser Kraft zu setzen. 2 Stellt die für die Allgemeinverbindlicherklärung zuständige Behörde von Amtes wegen oder auf Anzeige hin fest, dass die Voraussetzungen für die Allgemeinverbindlichkeit nicht oder nicht mehr erfüllt sind, so hat sie die Allgemeinverbindlichkeit ausser Kraft zu setzen. Ebenso kann sie dies anordnen, wenn der Grundsatz der Gleichbehandlung gemäss Artikel 5 Absatz 1 verletzt, oder wenn entgegen Artikel 5 Absatz 2 eine Kasse oder Einrichtung nicht ordnungsgemäss geführt wird. | II. Competenza e procedura Cessazione della obbligatorietà generale a Art. 18 1 L’autorità competente a conferire il carattere obbligatorio generale deve abrogarlo se tutte le parti lo domandano. 2 L’autorità competente a conferire il carattere obbligatorio generale deve abrogarlo se constata, d’ufficio o su denuncia, che le condizioni non ne erano e non ne sono più adempiute: essa può parimente abrogarlo qualora si sia contravvenuto al principio della parità di trattamento, previsto nell’articolo 5 capoverso 1 oppure se, malgrado l’articolo 5 capoverso 2 una cassa o una istituzione non sono amministrate correttamente. |
CH | 221.215.311 | LECCT | AVEG | LOCCL | Loi fédérale du 28 septembre 1956 permettant d'étendre le champ d'application de la convention collective de travail | Bundesgesetz vom 28. September 1956 über die Allgemeinverbindlicherklärung von Gesamtarbeitsverträgen | Legge federale del 28 settembre 1956 concernente il conferimento del carattere obbligatorio generale al contratto collettivo di lavoro | lvl_III/art_19 | III. Dispositions finales Art. 19 | III. Schlussbestimmungen Art. 19 | III. Disposizioni finali Art. 19 |
CH | 221.215.311 | LECCT | AVEG | LOCCL | Loi fédérale du 28 septembre 1956 permettant d'étendre le champ d'application de la convention collective de travail | Bundesgesetz vom 28. September 1956 über die Allgemeinverbindlicherklärung von Gesamtarbeitsverträgen | Legge federale del 28 settembre 1956 concernente il conferimento del carattere obbligatorio generale al contratto collettivo di lavoro | lvl_III/lvl_III/lvl_u2/art_20 | III. Dispositions finales Désignation des autorités compétentes Art. 20 1 Les cantons désignent les autorités compétentes pour prononcer et rapporter la décision d’extension, pour appliquer la procédure réglée aux art. 8 à 11 et 14 à 18, ainsi que pour prendre les mesures prévues aux art. 5, al. 2, et 6. 2 Lorsque la demande d’extension relève du Conseil fédéral, l’autorité compétente mène la procédure et prend les mesures prévues aux art. 5, al. 2, et 6. | III. Schlussbestimmungen Bezeichnung Art. 20 1 Die Kantone bezeichnen die zuständigen Behörden für die Allgemeinverbindlicherklärung und deren Aufhebung, für die Durchführung des Verfahrens gemäss den Artikeln 8–11 und 14–18 sowie für die Massnahmen gemäss den Artikeln 5 Absatz 2 und 6. 2 Bei Anträgen, über die der Bundesrat entscheidet, führt die zuständige Behörde das Verfahren und trifft die Massnahmen nach den Artikeln 5 Absatz 2 und 6. | III. Disposizioni finali Designazione Art. 20 1 I Cantoni designano le autorità competenti a pronunciare e ad abrogare l’obbligatorietà generale, ad applicare la procedura disciplinata negli articoli 8, 9, 10, 11, 14, 15, 16, 17 e 18, come pure a prendere le misure previste negli articoli 5 capoverso 2, e 6. 2 Se il conferimento dell’obbligatorietà generale è di competenza del Consiglio federale, della procedura e delle misure previste negli articoli 5 capoverso 2 e 6 è incaricata l’autorità competente. |
CH | 221.215.311 | LECCT | AVEG | LOCCL | Loi fédérale du 28 septembre 1956 permettant d'étendre le champ d'application de la convention collective de travail | Bundesgesetz vom 28. September 1956 über die Allgemeinverbindlicherklärung von Gesamtarbeitsverträgen | Legge federale del 28 settembre 1956 concernente il conferimento del carattere obbligatorio generale al contratto collettivo di lavoro | lvl_III/lvl_III/lvl_u3/art_21 | III. Dispositions finales Entrée en vigueur Art. 21 Le Conseil fédéral fixe la date de l’entrée en vigueur de la présente loi. Date de l’entrée en vigueur: 1 er janvier 1957 | III. Schlussbestimmungen Inkrafttreten Art. 21 Der Bundesrat bestimmt den Zeitpunkt des Inkrafttretens dieses Gesetzes. Datum des Inkrafttretens: 1. Januar 1957 | III. Disposizioni finali Entrata Art. 21 Il Consiglio federale fissa la data dell’entrata in vigore della presente legge. Data dell’entrata in vigore: 1° gennaio 1957 |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | art_1 | Dispositions générales Art. 1 Dispositions générales Sont réputées «Zones frontières», au sens de la présente Convention, les zones limitrophes s’étendant des deux côtés de la frontière commune. La profondeur de chacune de ces «zones» est d’environ dix kilomètres, sous réserve des cas exceptionnels, justifiés par les exigences locales, dans lesquels les deux Parties Contractantes pourront fixer la profondeur de la zone même au-delà des dix kilomètres. Les listes des Communes ou fractions de Communes comprises dans les zones précitées figurent à l’Annexe I. Sont réputés «frontaliers», au sens de la présente Convention, les personnes qui habitent dans la zone frontière de l’un des deux Pays et qui se rendent fréquemment dans la zone frontière limitrophe pour leur activité habituelle, pour leurs intérêts privés ou pour des raisons permanentes de famille. À part les exceptions prévues par la présente Convention, le «trafic de frontière» s’entend des importations et des exportations (définitives ou temporaires) se déroulant entre les deux zones susmentionnées, limitrophes et contiguës, en tant qu’il s’agit d’échanges effectués exclusivement par des frontaliers pour les besoins normaux de leur propre ménage ou de la culture et de l’amodiation de leurs terres. Le mouvement des personnes dans le trafic de frontière précité est, en ce qui concerne les prescriptions de police, régi par les accords spéciaux en la matière, conclus entre les deux Pays. D’une manière générale, la frontière ne peut être franchie que par des personnes munies de la «pièce officielle d’identité» prévue dans les accords de police susmentionnés (passeport, carte frontalière et laissez-passer), et à condition que la frontière soit franchie par les routes douanières permises et pendant les heures de service. Toutefois, le fait d’être titulaire de la «pièce officielle d’identité» délivrée par les Autorités de police aux termes des accords spéciaux concernant le mouvement des personnes dans le trafic de frontière ne donne pas droit aux facilités douanières prévues par la présente Convention, ces facilités étant subordonnées à la condition expresse que le titulaire de la pièce soit «frontalier» au sens de la définition ci-dessus. Les Autorités douanières des deux Pays fixeront, d’un commun accord, le système et les modalités à adopter pour garantir l’application des conditions ci-dessus. Elles s’efforceront de faire concorder, autant que possible, les points de franchissement de la frontière, les attributions et les horaires des bureaux correspondants; en outre, elles favoriseront la création de ces derniers à proximité de la frontière. | Allgemeine Bestimmungen Art. 1 Allgemeine Bestimmungen Als «Grenzzone» im Sinne des gegenwärtigen Abkommens sind die zwei Gebietsstreifen beidseitig der gemeinsamen Grenze zu betrachten. Die Ausdehnung jeder der genannten Zonen beträgt ungefähr zehn Kilometer vorbehältlich der durch örtliche Verhältnisse bedingten Abweichungen, in welchen Fällen die Zonenausdehnung von den beiden vertragschliessen den Staaten auch über zehn Kilometer hinaus festgesetzt werden kann. Die Verzeichnisse der Gemeinden oder Gemeindefraktionen, die in den genannten Zonen eingeschlossen sind, befinden sich im Anhang I. Als «Grenzbewohner» im Sinne dieses Abkommens gelten Personen, die in der Grenzzone des einen der beiden Staaten wohnen und sich in Ausübung ihrer gewöhnlichen Tätigkeit zur Wahrung ihrer persönlichen Interessen oder aus familiären Gründen dauernder Natur öfters in die gegenüberliegende Grenzzone begeben. Vorbehältlich der in diesem Abkommen vorgesehenen Ausnahmen gilt als «Grenzverkehr» der sich zwischen den obgenannten zwei gegenüberliegenden und anstossenden Zonen abwickelnde Ein- und Ausfuhrverkehr (definitiv oder vorübergehend), soweit es sich ausschliesslich um den Austausch zwischen den betreffenden Bewohnern zur Deckung des normalen eigenen Haushaltungsbedarfes oder zur Bewirtschaftung ihrer Grundstücke handelt. Hinsichtlich der Polizeivorschriften wird der Grenzübertritt von Personen im vorgenannten Grenzverkehr durch die zwischen den beiden Ländern abgeschlossenen besonderen diesbezüglichen Vereinbarungen geregelt. Im allgemeinen kann die Grenze nur von Personen überschritten werden, die im Besitze eines der in den vorgenannten Übereinkommen vorgesehenen, gültigen «amtlichen Identitätsausweises» sind (Pass, Grenzkarte und Passierschein) und unter der Bedingung, dass der Übertritt auf einer erlaubten Zollstrasse und während der Dienststunden erfolgt. Der Besitz des von den Polizeibehörden auf Grund der besonderen Vereinbarungen betreffend den Grenzübertritt von Personen im Grenzverkehr ausgestellten «amtlichen Identitätsausweises» gibt indessen kein Anrecht auf die im vorliegenden Abkommen vorgesehenen besonderen Zollerleichterungen, indem diese ausdrücklich an die Bedingung geknüpft sind, dass der Inhaber des Ausweises «Grenzbewohner» im vorerwähnten Sinne ist. Die Zollbehörden der beiden Staaten werden gemeinsam die Massnahmen festlegen, die notwendig sind, um die Einhaltung der obgenannten Bedingungen zu gewährleisten. Sie werden bestrebt sein, den Ort der Grenzübertrittsstellen, sowie die Befugnisse und Dienststunden der beidseitigen Zollämter soweit möglich in Übereinstimmung zu bringen. Zudem werden sie die Errichtung der Zollämter in der Nähe der Grenze begünstigen. | Disposizioni generali Art. 1 Disposizioni generali Sono considerate «Zone di frontiera», ai sensi della presente Convenzione, le due strisce di territorio situato ai due lati del confine comune. L’estensione di ciascuna di dette «Zone» sarà approssimativamente di dieci chilometri, salvo casi eccezionali, giustificati da esigenze locali, in cui le due Parti Contraenti potranno fissare l’estensione della zona anche oltre i dieci chilometri. Gli elenchi dei Comuni o frazioni di Comuni che sono compresi nelle predette zone figurano all’Annesso I. Sono considerati come «frontalieri», ai sensi della presente Convenzione, le persone che abitano nella zona di frontiera di uno dei due Stati e che si rechino frequentemente, per la loro attività abituale, per i loro interessi particolari o per motivi familiari permanenti, nella zona frontiera limitrofa. Salvo le eccezioni previste dalla presente Convenzione, è considerato «traffico di frontiera» il traffico di importazione e di esportazione (definitiva o temporanea) svolgentesi tra le suddette due zone, limitrofe e contigue, in quanto si tratti di scambi esclusivamente effettuati dai relativi abitanti per i bisogni normali delle proprie singole economie domestiche, o per la coltivazione e conduzione dei loro terreni. La circolazione delle persone nel predetto traffico di frontiera è, ai fini delle norme di polizia, regolata dagli accordi speciali su tale materia, conclusi fra i due Paesi. In linea generale, la frontiera non può essere attraversata che dalle persone munite di «documento ufficiale d’identità» previsto negli accordi predetti (passaporto, tessera di frontiera e lasciapassare) e a condizione che il passaggio avvenga per le vie doganali permesse e nelle ore di servizio. Tuttavia, il solo possesso del «documento ufficiale di identità», rilasciato dalle Autorità di polizia ai sensi degli accordi speciali sulla circolazione delle persone nel traffico di frontiera, non dà diritto alle facilitazioni doganali previste dalla presente Convenzione, rimanendo queste tassativamente subordinate alla specifica condizione che il titolare del documento sia «frontaliere» come sopra indicato. Le Autorità doganali dei due Paesi fisseranno di comune accordo il sistema e le modalità da adottare per garantire l’osservanza delle suesposte condizioni e si adopreranno per far concordare, fin dove possibile, i punti di passaggio, le attribuzioni e gli orari dei rispettivi uffici corrispondenti, favorendo, inoltre, l’istituzione di questi ultimi in prossimità della frontiera. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | art_2 | Trafic rural et forestier Art. 2 Trafic rural et forestier I. Les «frontaliers» qui ont leurs exploitations agricoles et forestières dans la zone frontière de l’un des deux pays et qui s’occupent personnellement, à titre de propriétaire, de fermier ou d’usufruitier, de la culture ou de l’exploitation forestière des biens-fonds situés dans la zone contiguë de l’autre Pays, de même que les membres de leur famille et leurs employés, peuvent conduire ou transporter – en franchise de droits de douane et de toute autre taxe ou impôt – de leurs habitations ou exploitations aux biens-fonds en question et vice versa: a. les animaux de somme et de trait et ceux qui sont amenés au pacage journalier; b. les engins, outils, véhicules et machines utilisés ordinairement dans l’économie agricole et forestière, y compris leurs accessoires, les carburants et lubrifiants, etc., nécessaires au fonctionnement des machines et des véhicules. En ce qui concerne les carburants, l’exemption est toutefois limitée au contenu du réservoir normal relié directement au moteur; c. les engrais de tout genre, les produits pour la protection des plantes, les semences, les plants et arbustes pour le reboisement, les échalas pour la vigne, les matériaux pour la remise en état des constructions sises sur ces biens-fonds; d. les vivres et les boissons (sauf les boissons alcooliques, à l’exception du vin, du cidre et de la bière) nécessaires à l’entretien des ouvriers pendant la période des travaux; e. les fourrages nécessaires à l’entretien des animaux durant la même période. À la fin du pacage ou des travaux, les animaux, engins, outils, machines et véhicules, de même que les excédents de fourrages, de carburants contenus dans le réservoir normal précité, de lubrifiants, d’engrais, de semences et de tout autre matériel devront être réexportés. Un cautionnement ne sera pas exigé, sauf si l’on est fondé à soupçonner des abus. En ce qui concerne les animaux conduits au pacage journalier, les bureaux n’appliqueront que les mesures de contrôle tendant à empêcher des abus éventuels. Le pacage de longue durée est régi par les normes de l’art. 6. II. Sont également au bénéfice de la franchise de tout droit d’entrée ou de sortie, ainsi que de toute autre taxe ou impôt: a. les produits bruts tirés des biens-fonds agricoles et forestiers (à l’exception des produits bruts de la vigne et des produits de la culture du tabac) mentionnés sous chiffre 1, et transportés dans l’autre zone par les propriétaires, fermiers, usufruitiers, ou par les membres de leur famille ou leurs employés. Par produits bruts, on entend ceux qui n’ont pas subi d’autres manipulations que celles qui sont nécessaires à la récolte et au transport; b. les produits obtenus des animaux durant leur séjour sur ces biens-fonds, y compris les jeunes bêtes qui y sont mises bas; c. les dépouilles (viande, cuirs et peaux, os) des animaux victimes d’accidents ou abattus par nécessité durant le pacage ou le travail dans l’une des deux zones, si ces dépouilles sont adressées à leur propriétaire. III. En ce qui concerne les exploitations coupées par la ligne des douanes, la franchise de tout droit de douane, taxe ou impôt est accordée aux «produits de l’économie rurale et forestière», y compris les produits de l’élevage du bétail et de la viticulture (vin inclus), provenant de la mise en œuvre des produits bruts des biens-fonds appartenant à l’exploitation précitée, et qui sont transférés d’un local de la maison d’habitation ou du bâtiment rural, situé dans l’une des zones, dans un autre local situé dans l’autre zone, mais faisant partie de l’ensemble des bâtiments de l’exploitation rurale. Les deux Administrations des douanes régleront entre elles l’application de cette concession. IV. Lorsque la nécessité en sera établie, les opérations prévues au présent article pourront se dérouler exceptionnellement par des chemins non ouverts au trafic douanier, à condition que la demande en soit faite à temps aux bureaux de douane compétents et que ceux-ci aient donné l’autorisation formelle. Dans ces cas, les animaux, engins, outils, véhicules et machines doivent être réexportés ou réimportés dans le délai fixé par les bureaux de douane. V. Les facilités prévues par le présent article seront accordées seulement pour les saisons et les heures de la journée pendant lesquelles – conformément aux usages locaux – s’effectuent les travaux agricoles et forestiers, ainsi que les récoltes et leur transport. Les frontaliers qui désirent bénéficier de ces facilités devront présenter, chaque année, à la douane de leur propre Pays, une attestation de l’Autorité communale compétente de l’autre zone, indiquant la situation et l’étendue des biens-fonds, ainsi que le genre de culture. Les certificats devront être délivrés gratuitement. Les frontaliers devront indiquer également la récolte présumée. Lorsque la situation indiquée dans le certificat ou les indications concernant la récolte se sont modifiées, les données devront être rectifiées. L’attestation de l’Autorité communale compétente et la déclaration de la récolte présumée devront être rédigées en double exemplaire, pour les deux douanes intéressées, sur le document officiel (recto et verso), selon l’Annexe II. Lorsqu’elles auront reconnu l’exactitude des indications fournies, les deux douanes valideront le document; celui-ci servira de pièce justificative permettant de bénéficier des facilités prévues au présent article. Chacune des deux douanes en gardera un exemplaire. Le cas échéant, des commissions pour l’évaluation des récoltes pourront être instituées; leur composition et leur fonctionnement seront déterminés par la Commission Mixte permanente prévue à l’art. 12 ci-après. VI. Les dispositions du présent article sont aussi applicables, aux mêmes conditions, aux personnes morales qui n’exercent pas à titre principal une activité commerciale ou industrielle, aux communes, aux Provinces ou aux Cantons des deux zones frontières. | Land- und forstwirtschaftlicher Verkehr Art. 2 Land- und forstwirtschaftlicher Verkehr I. Grenzbewohner, die ihre land- und forstwirtschaftlichen Betriebe in der Grenzzone des einen der beiden Staaten haben und die als Besitzer, Pächter oder Nutzniesser die Bebauung oder die forstwirtschaftliche Nutzung von in der anstossenden Grenzzone des andern Staates gelegenen Grundstücken persönlich besorgen, sowie ihre Familienangehörigen und ihre Angestellten, können zollfrei und frei von jeder andern Gebühr oder Steuer von ihren Wohnungen oder Betrieben auf die vorerwähnten Grundstücke und umgekehrt führen oder tragen: a. Arbeitstiere und Tiere, die zum täglichen Weidgang geführt werden. b. Geräte, Fahrzeuge und Maschinen, die gewöhnlich für land- und forstwirtschaftliche Arbeiten gebraucht werden, mit Einschluss ihrer Zubehörden, der Treibstoffe, Schmiermittel und des übrigen Bedarfes für den Betrieb der Maschinen und Fahrzeuge. Was den Treibstoff betrifft, so beschränkt sich die Abgabebefreiung indessen auf die Menge, die im normalen, mit dem Motor direkt verbundenen Fahrzeugtank enthalten ist. c. Düngmittel jeder Art, Pflanzenschutzmittel, Sämereien, Setzlinge und Pflanzen für Aufforstungen, Rebstecken, Konstruktionsmaterialien zum Unterhalt der auf diesen Grundstücken stehenden Gebäude. d. Lebensmittel und Getränke (alkoholhaltige ausgeschlossen, mit Ausnahme von Wein, Most und Bier), die für die Verpflegung der Arbeiter während der Arbeitsperiode notwendig sind. e. Die für die Tiere während der gleichen Arbeitsperiode erforderlichen Futtermittel. Nach Beendigung des Weidganges oder der Arbeiten müssen die Tiere, Geräte Maschinen und Fahrzeuge, wie auch die Futtermittel, die im normalen, oben beschriebenen Fahrzeugtank enthaltenen Treibstoffe, die Schmiermittel, Düngmittel, Sämereien und alle andern übriggebliebenen Materialien wieder über die Grenze zurückgeführt oder zurückgetragen werden. Eine Sicherheitsleistung wird nicht verlangt, ausgenommen wenn begründeter Verdacht des Missbrauchs bestehen sollte. Für die zum täglichen Weidgang geführten Tiere werden die Zollämter nur die zur Vermeidung eventueller Missbräuche notwendigen Kontrollmassnahmen anwenden. Für den Weidgang von langer Dauer sind die in Artikel 6 aufgestellten Richtlinien zu befolgen. II. Von jeder Ein- oder Ausfuhrabgabe sowie von jeder andern Gebühr oder Steuer sind ebenfalls befreit : a. die rohen land- und forstwirtschaftlichen Erzeugnisse (ausgenommen die rohen Erzeugnisse der Rebberge sowie diejenigen des Tabakbaues), die von den in Ziffer 1 hiervor genannten Grundstücken stammen und von den Besitzern, Pächtern, Nutzniessern oder von ihren Familienangehörigen oder Angestellten in die andere Zone verbracht werden. Rohe Erzeugnisse sind solche, die keine weitere Bearbeitung erfahren haben als diejenige, die zu ihrer Gewinnung und zu ihrem Abtransport nötig ist; b. die von den Tieren während ihres Aufenthaltes auf diesen Grundstücken erhaltenen Produkte, mit Einschluss der dort geworfenen Jungen; c. Fleisch, Häute und Knochen von Tieren, die während des Weidganges oder bei der Arbeit in einer der beiden Zonen umgekommen sind oder notgeschlachtet werden mussten, soweit sie ihrem Besitzer zugestellt werden. III. Bei den von der Zollgrenze durchschnittenen Liegenschaften wird die Befreiung von jeder Zollabgabe und von jeder anderen Gebühr oder Steuer gewährt für die «land- und forstwirtschaftlichen Erzeugnisse», einschliesslich jener der Viehzucht und des Rebbaues (der Wein nicht ausgenommen), die bei der Verarbeitung der auf den vorgenannten Liegenschaften gewonnenen rohen Erzeugnisse entstehen und von einem in der einen Zone gelegenen Wohn- oder Ökonomiegebäude nach einem in der anderen Zone gelegenen Gebäude verbracht werden, das aber zum nämlichen Gebäudekomplex des betreffenden landwirtschaftlichen Betriebes gehört. Die beiden Zollbehörden werden die zur praktischen Anwendung dieses Zugeständnisses erforderlichen Anordnungen treffen. IV. Bei anerkannter Notwendigkeit kann sich der in diesem Artikel vorgesehene Verkehr ausnahmsweise auch auf anderen als Zollstrassen abwickeln, vorausgesetzt, dass rechtzeitig bei den zuständigen Zollstellen darum nachgesucht wird und dass diese eine besondere Bewilligung erteilt haben. In diesen Fällen muss die Rückkehr der Tiere, Geräte, Fahrzeuge und Maschinen innert der von den Zollämtern festgesetzten Frist erfolgen. V. Die in diesem Artikel vorgesehenen Erleichterungen werden nur während der Jahreszeiten und Tagesstunden zugestanden, während welcher nach Ortsgebrauch die land- und forstwirtschaftlichen Arbeiten ausgeführt und die Ernten besorgt und eingebracht werden. Grenzbewohner, welche davon Gebrauch machen wollen, müssen der Zollbehörde des eigenen Staates jedes Jahr eine Bescheinigung der zuständigen Gemeindebehörde der andern Zone vorlegen, woraus die Lage der Grundstücke, ihre Ausmasse und die Art der Kulturen hervorgehen. Die Bescheinigungen müssen unentgeltlich ausgestellt werden. Die Grenzbewohner müssen auch den mutmasslichen Ertrag angeben. Tritt in den in der Bescheinigung vorgemerkten Verhältnissen oder im mutmasslichen Ertrag eine Änderung ein, so müssen die Angaben berichtigt werden. Die Bescheinigung der zuständigen Gemeindebehörde und die Erklärung betreffend den mutmasslichen Ertrag müssen im Doppel für die beiden interessierten Zollbehörden auf dem amtlichen Dokument (Vorder- und Rückseite) gemäss Anhang II erstellt werden. Nach Richtigbefund der Angaben anerkennen die beiden Zollstellen das Dokument als Ausweis über das Anrecht auf die in diesem Artikel vorgesehenen Erleichterungen und behalten je ein Exemplar für sich zurück. Gegebenenfalls können Kommissionen zur Schätzung der Ernte eingesetzt werden, deren Zusammensetzung und Arbeitsweise durch die in Artikel 12 hiernach erwähnte gemischte Kommission für den Grenzverkehr bestimmt werden. VI. Unter den gleichen Bedingungen sind die Bestimmungen dieses Artikels auch anwendbar auf juristische Personen, die nicht in der Hauptsache eine kommerzielle oder industrielle Tätigkeit ausüben, auf Gemeinden, Provinzen und Kantone der beiden Grenzzonen. | Traffico agricolo e forestale Art. 2 Traffico agricolo e forestale I. I «frontalieri» che abbiano le loro aziende agricole e forestali nella zona di frontiera di uno dei due Stati e che curino personalmente, come proprietari, affittuari od usufruttuari la coltivazione o lo sfruttamento forestale di terreni situati nella contigua zona di frontiera dell’altro Stato, come pure le persone di loro famiglia ed i loro dipendenti, potranno condurre o trasportare – in esenzione da diritti doganali e da ogni altra tassa o imposta – dalle loro abitazioni od aziende ai predetti terreni e viceversa: a. gli animali da lavoro e quelli condotti al pascolo giornaliero; b. gli attrezzi, i veicoli e le macchine comunemente usati nei lavori agricoli e forestali, compresi i loro accessori, i carburanti, i lubrificanti e quant’altro occorra per il funzionamento delle macchine e dei veicoli. Per quanto concerne i carburanti l’esenzione è tuttavia limitata alla quantità contenuta nel serbatoio normale, comunicante direttamente con il motore; c. i concimi di ogni specie, i prodotti per la difesa delle piante, le sementi, le pianticelle e le piante da rimboschimento, i pali da vigna, i materiali da costruzione per la manutenzione degli edifici esistenti su questi terreni; d. i viveri e le bevande (escluse quelle alcooliche, ad eccezione del vino, sidro e birra) occorrenti per il nutrimento degli operai durante il periodo dei lavori; e. i foraggi necessari per il mantenimento degli animali durante il periodo stesso. Al termine del pascolo o dei lavori, gli animali, gli attrezzi, le macchine ed i veicoli, come pure i foraggi, i carburanti contenuti nel serbatoio normale come sopra specificato, i lubrificanti, i concimi, le sementi e tutti gli altri materiali sopravanzati, dovranno essere ricondotti o riportati oltre frontiera. Non sarà però richiesto il deposito di una cauzione, salvo dovessero esistere fondati sospetti di abusi. Per gli animali condotti al pascolo giornaliero, gli uffici adotteranno le sole misure di vigilanza atte ad evitare eventuali abusi. Per il pascolo di lunga durata si osserveranno le norme stabilite nell’articolo 6. II. Godranno parimenti della franchigia da ogni diritto di entrata o di uscita e da ogni altra tassa o imposta: a. i prodotti greggi agricoli e forestali (ad eccezione dei prodotti greggi dei vigneti e di quelli della coltivazione del tabacco) ottenuti dai terreni di cui al predetto paragrafo I. e trasportati nell’altra zona dai proprietari, affittuari, usufruttuari o da persone della loro famiglia o dai loro dipendenti. I prodotti greggi sono quelli che non hanno subìto altra manipolazione all’infuori di quella richiesta per la loro raccolta e il loro trasporto; b. i prodotti ottenuti dagli animali durante il loro soggiorno su questi terreni, compresi i loro nati; c. le spoglie (carne, pelle e ossa) degli animali sinistrati o abbattuti per necessità durante il pascolo o il lavoro, in una delle due zone, quando queste spoglie sono spedite al loro proprietario. III. Per i beni stabili intersecati dalla linea doganale è concessa la franchigia da ogni diritto doganale e da ogni altra tassa od imposta ai «prodotti dell’economia agricola e forestale», compresi i prodotti dell’allevamento del bestiame e della viticultura (non escluso il vino), derivanti dalla lavorazione dei prodotti greggi ottenuti dai terreni costituenti i beni suddetti e che, estratti da uno stabile della casa di abitazione o di conduzione, sito in una zona, vengano trasportati ad altro stabile, sito nell’altra zona, ma formante parte del medesimo complesso di fabbricati rurali di esercizio. Saranno presi accordi tra le due Dogane per regolare l’attuazione pratica di questa concessione. IV. Quando ne sia riconosciuta la necessità, le operazioni previste dal presente articolo potranno, eccezionalmente, effettuarsi anche per vie non doganali, a condizione che ne sia fatta tempestiva richiesta agli uffici doganali competenti e questi ne abbiano data speciale autorizzazione. In questi casi, il ritorno degli animali, attrezzi, veicoli e macchine deve avvenire nel termine fissato dagli uffici doganali. V. Le facilitazioni previste da questo articolo saranno concesse soltanto nelle stagioni e nelle ore della giornata durante le quali, secondo le usanze locali, sono eseguiti i lavori agricoli e forestali e si provvede ai raccolti nonchè al trasporto dei medesimi. I frontalieri che intendono usufruirne dovranno presentare ogni anno alla dogana del proprio Stato un certificato dell’Autorità comunale competente dell’altra zona, dal quale risulti l’ubicazione dei fondi, la loro estensione ed il genere delle culture. I certificati dovranno essere rilasciati gratuitamente. I frontalieri dovranno ugualmente indicare il raccolto presunto. Nel caso di variazione alla situazione indicata nel certificato o alla indicazione nel raccolto, i dati dovranno essere aggiornati. Il certificato dell’Autorità comunale competente e la indicazione del raccolto presunto, in doppio esemplare per le due dogane interessate, dovranno essere redatti sul documento ufficiale (recto e verso) di cui all’Annesso II. Le due Dogane, riscontrate esatte le indicazioni fornite, convalideranno detto documento come giustificativo per usufruire le facilitazioni previste nel presente articolo e ne tratterranno ciascuna un esemplare. Se del caso, potranno essere istituite commissioni per la stima dei raccolti, la cui composizione e funzionamento saranno determinati dalla Commissione mista permanente per il traffico di frontiera, di cui al successivo articolo 12. VI. Le disposizioni di questo articolo si applicano, sotto le stesse condizioni, anche agli Enti morali che non esercitano a titolo principale una attività commerciale o industriale, ai Comuni, alle Provincie od ai Cantoni delle due zone di frontiera. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | art_3 | Facilités spéciales Art. 3 Facilités spéciales Lorsque les conditions locales en feront apparaître la nécessité, la franchise douanière pourra être accordée pour les marchandises suivantes provenant de l’une des deux zones, si elles sont importées dans l’autre zone pour les besoins domestiques exclusifs de la personne qui les importe: a. foin, paille (même hachée), herbe d’affouragement, ramée et litière; b. plantes vivantes, mousse, jonc, tiges de chanvre et de lin; c. bois à brûler, charbon de bois, tourbe et charbon de tourbe; d. charrée, engrais de tout genre, résidus de la fabrication de l’alcool et de la bière, résidus de la distillation du marc, balayures et autres déchets et résidus semblables; e. pierres non taillées, gravier, sable, argile, pierre à chaux et chaux vive. La Commission permanente mixte prévue à l’art. 12 désignera les marchandises précitées et les quantités qui devront être mises au bénéfice de la franchise, de même que les bureaux de douane où elles devront franchir la frontière. Les douanes auront toujours la faculté d’adopter les mesures qui se révéleraient nécessaires pour éviter des abus. | Besondere Erleichterungen Art. 3 Besondere Erleichterungen Sofern im Hinblick auf die örtlichen Verhältnisse die Notwendigkeit anerkannt wird, kann die Zollfreiheit für folgende, aus einer der beiden Grenzzonen stammende Waren zugestanden werden, wenn sie in die andere Zone eingeführt werden und ausschliesslich zum Eigenbedarf der sie einführenden Person bestimmt sind: a. Heu, Stroh (auch gehäckselt), Grünfutter, Reisig und Streue; b. lebende Pflanzen, Moos, Binsen, Hanf- und Flachsstengel; c. Brennholz, Holzkohle, Torf und Torfkohle; d. ausgelaugte Asche, Dünger aller Art, Rückstände der Alkohol- und Bierfabrikation, gebrannte Weintrester, Müll und andere ähnliche Rückstände und Abfälle; e. nicht behauene Steine, Kies, Sand, Tonerde, Kalkstein und ungelöschter Kalk. Die in Artikel 12 vorgesehene, ständige gemischte Kommission bestimmt, für welche der obgenannten Waren und für welche Mengen die Zollfreiheit gewährt werden soll und über welche Grenzübergangsstellen der Transport zu erfolgen hat. Die Zollbehörden sind jederzeit befugt, die zur Vermeidung von Missbräuchen nötigen Massnahmen zu treffen. | Facilitazioni speciali Art. 3 Facilitazioni speciali In quanto ne sia riconosciuta la necessità, in relazione alle condizioni locali, potrà essere concessa la esenzione doganale per le seguenti merci, provenienti da una delle due zone di frontiera, quando siano importate nell’altra zona per essere esclusivamente destinate ai bisogni domestici della persona che le importa: a. fieno, paglia (anche tritata), erba per foraggio, frasche e materie per lettiera; b. piante vieve, muschio, giunchi, steli di canapa e di lino; c. legna da ardere, carbone di legna, torba e carbone di torba; d. ceneraccio, concimi di ogni specie, residui della fabbricazione dell’alcool e della birra, vinacce esaurite, spazzature ed altri simili residui e cascami; e. pietre non tagliate, ghiaia, sabbia, argilla, pietra da calce e calce viva. La Commissione mista permanente prevista all’articolo 12 stabilirà per quali delle merci suindicate e per quali quantitativi dovrà essere concessa l’esenzione, nonchè, per quali varchi di confine esse dovranno essere trasportate. Le Dogane avranno sempre facoltà di adottare le misure che si rendessero necessarie per evitare abusi. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | art_4 | Importations ou exportations définitives Art. 4 Importations ou exportations définitives Dans le trafic entre les deux zones frontières, sont affranchis réciproquement de tous droits d’entrée ou de sortie et autres redevances: a. les denrées alimentaires et les boissons ordinaires, dans les limites admises par les dispositions autonomes des deux Pays, que les habitants de l’une des zones importent en provenance de l’autre zone, personnellement et une fois par jour au maximum, pour les besoins de leur ménage et non pour en faire le commerce; b. les provisions de vivres n’excédant pas les besoins journaliers, que les habitants d’une zone frontière travaillant dans l’autre zone emportent pour leur propre nourriture ou qui leur sont apportées par des membres de leur famille. Cette facilité n’est pas applicable aux boissons alcooliques, à l’exception du vin, du cidre et de la bière; c. les médicaments, les articles de pansement et les désinfectants que les médecins, les vétérinaires et les sages-femmes habitant dans l’une des zones emportent en quantités normales pour l’usage ou la consommation immédiate dans l’autre zone. Les excédents de médicaments, articles de pansement et désinfectants devront être réexportés; d. les médicaments, les articles de pansement et les désinfectants que les habitants de l’une des zones vont chercher dans les pharmacies de la zone limitrophe auxquelles ils sont obligés d’avoir recours de par les conditions locales, sur ordonnance du médecin ou du vétérinaire, en petites quantités répondant aux besoins des cas particuliers de maladie. Il ne sera pas nécessaire, dans les limites précitées, de présenter l’ordonnance médicale lorsqu’il s’agit de produits courants ou de préparations chimiques et pharmaceutiques bien connues et dont la dénomination figure d’une manière claire et nette sur l’emballage, à condition que l’importation et la vente au détail en soient admises sans ordonnance médicale dans le Pays où elles seront consommées. Par nécessité locale, on entend l’impossibilité pratique de se servir dans sa propre zone, à l’exclusion de toute préférence personnelle ou de considération d’ordre pécuniaire; e. les cercueils contenant des dépouilles mortelles et les urnes funéraires renfermant les cendres de personnes incinérées, les couronnes mortuaires et les objets analogues, destinés à l’ornementation desdits cercueils et urnes; le matériel et les objets destinés à l’entretien et à l’ornement des tombes des parents de frontaliers; f. les fleurs, les feuilles, la verdure, naturelles ou artificielles, même liées en festons, guirlandes, bouquets, etc., que les habitants de l’une des zones apportent personnellement dans l’autre zone à l’occasion de fêtes de famille ou de cérémonies religieuses, sans en faire le commerce. | Definitive Ein- und Ausfuhren Art. 4 Definitive Ein- und Ausfuhren Im Verkehr zwischen den beiden Grenzzonen werden gegenseitig zollfrei zur Einund Ausfuhr zugelassen: a. Lebensmittel und gewöhnliche Getränke im Rahmen der autonomen Bestimmungen der beiden Länder, die von Bewohnern der einen Grenzzone persönlich und nicht mehr als einmal täglich, für die Bedürfnisse des eigenen Haushaltes und nicht für Handelszwecke, aus der andern Zone eingeführt werden; b. die den Tagesbedarf nicht übersteigenden Nahrungsmittel, welche Bewohner der Grenzzone, die in der andern Zone arbeiten, zu ihrer persönlichen Verpflegung mitbringen oder die ihnen von Angehörigen ihrer Familiengemeinschaft gebracht werden. Diese Vergünstigung ist nicht anwendbar auf alkoholhaltige Getränke. Eine Ausnahme besteht jedoch für Wein, Most und Bier; c. die Medikamente, Verbandstoffe und Desinfektionsmittel, welche Ärzte, Tierärzte und Hebammen, die in einer der Grenzzonen wohnen, in normalen Mengen zum unmittelbaren Gebrauch oder Verbrauch in die andere Zone mit sich bringen. Die übrig gebliebenen Medikamente, Verbandstoffe und Desinfektionsmittel müssen wieder ausgeführt werden; d. die Medikamente, Verbandstoffe und Desinfektionsmittel, welche Bewohner der einen Grenzzone auf Grund eines ärztlichen oder tierärztlichen Rezeptes in kleinen Mengen für den Bedarf in einzelnen Krankheitsfällen bei Apotheken der andern Zone holen, auf die sie nach den örtlichen Verhältnissen angewiesen sind. Innerhalb der vorerwähnten Grenzen erübrigt sich ein ärztliches Rezept, wenn es sich um einfache, gut bekannte chemische und pharmazeutische Produkte oder Präparate handelt, die auf der Umhüllung die klare und genaue Bezeichnung tragen und die im Staate, in dem sie verbraucht werden sollen, zur Einfuhr und zum Detailverkauf ohne ärztliches Rezept zugelassen sind. Unter örtlicher Notwendigkeit ist die praktische Unmöglichkeit zu verstehen, sich diese Produkte in der eigenen Zone zu beschaffen, unter Ausschluss aller Beweggründe persönlicher Bevorzugung oder Erwägungen finanzieller Natur; e. Särge mit den Leichen und Urnen mit der Asche verstorbener Personen, Trauerkränze und ähnliche Gegenstände zum Schmuck der genannten Särge und Urnen; Materialien und Gegenstände zur Pflege und zum Schmuck der Gräber der Verwandten von Grenzbewohnern; f. Blumen, Blätter, Schnittgrün, natürlich oder künstlich, auch in Gehängen, Girlanden, Sträussen usw., die von Bewohnern der einen Zone anlässlich von Familienfesten oder religösen Feiern persönlich in die andere Zone verbracht werden und nicht zum Verkauf bestimmt sind. | Importazioni ed esportazioni definitive Art. 4 Importazioni ed esportazioni definitive Nel traffico tra le due zone di frontiera saranno reciprocamente ammessi alla importazione e alla esportazione in esenzione doganale: a. i generi alimentari e le bevande comuni, nei limiti ammessi dalle disposizioni autonome dei due Paesi, che gli abitanti di una delle zone di frontiera importano dall’altra zona, personalmente e non più di una volta al giorno, per i bisogni della propria economia domestica e non per farne commercio; b. la provvista di viveri, non eccedenti il fabbisogno giornaliero, che gli abitanti della zona di frontiera, addetti a lavori nell’altra zona, portano seco per il proprio sostentamento o che viene ad essi portata da persona appartenente al loro complesso familiare. Questa facilitazione non è applicabile alle bevande alcooliche. È tuttavia fatta eccezione per il vino, il sidro e la birra; c. i medicamenti, i bendaggi ed i disinfettanti che i medici, i veterinari e le levatrici, abitanti in una delle zone di frontiera portano seco in quantità normali per l’immediato uso o consumo nell’altra zona. I medicamenti, i bendaggi ed i disinfettanti, sopravanzati, dovranno essere riesportati; d. i medicamenti, i bendaggi ed i disinfettanti che gli abitanti di una delle due zone di frontiera vanno a prendere, su ricetta di medici e di veterinari ed in piccole dosi, rispondenti ai singoli casi di malattia, in farmacie dell’altra zona cui sia necessario far ricorso in relazione alle condizioni locali. Nei limiti suindicati, non sarà necessario presentare la ricetta medica quando si tratti di prodotti semplici o di preparazioni chimiche e farmaceutiche ben note recanti sull’involucro chiara ed esatta la propria denominazione, delle quali sia ammessa l’importazione e la vendita al minuto, senza ricetta medica, nello Stato nel quale deve farsene consumo. Per necessità locale si intende l’impossibilità pratica, puramente materiale, di ricorrere alla propria zona di frontiera, con esclusione di ogni criterio di preferenza personale o di ogni considerazione di ordine pecuniario; e. le bare e le urne funerarie, contenenti i resti di persone decedute, le corone mortuarie e gli oggetti analoghi, destinati all’ornamento delle dette bare ed urne; i materiali e oggetti destinati alla manutenzione e all’ornamento delle sepolture dei parenti di frontalieri; f. i fiori, foglie, erbe, naturali o artificiali, anche legate in festoni, ghirlande, mazzi, ecc. che gli abitanti di una delle zone portano personalmente nell’altra zona in occasione di feste familiari o solennità religiose, senza scopo di farne commercio. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | art_5 | Importations et exportations temporaires Art. 5 Importations et exportations temporaires Dans le trafic entre les deux zones frontières, seront admis réciproquement au régime des importations et exportations temporaires, à condition d’appartenir aux habitants de l’une des zones et d’être conduits ou transportés dans l’autre zone aux fins indiquées ci-après et dans l’intérêt exclusif des ayants droit: a. les animaux de trait et de somme, les machines, instruments, outils et engins destinés à être utilisés temporairement pour les travaux agricoles et forestiers, compte tenu des besoins locaux; b. les animaux de tout genre, en vue du pacage journalier, ou pour la reproduction, la visite vétérinaire, la castration, le ferrage ou le pesage; c. les céréales, les légumes, les châtaignes, les semences et fruits oléagineux, le chanvre, le lin, les cuirs et peaux, les écorces et autres produits semblables des zones frontières destinés à être moulus, extraits, écossés, égrainés, battus, tannés, corroyés, pressés ou être soumis à un autre traitement; le bois brut destiné à être coupé, fendu ou scié en planches ou en poutres; en tant que ces produits servent aux besoins des habitants de la zone frontière et qu’il soit nécessaire de recourir aux moulins, pressoirs, scieries ou autres ateliers situés dans l’autre zone. Les produits obtenus devront être réexportés ou réimportés en quantités correspondant aux rendements usuels, et notamment par les personnes qui ont procédé à l’importation ou à l’exportation temporaire des produits bruts. Les sous-produits, de même que les déchets, devront être réexportés ou dédouanés s’ils sont assujettis à des droits de douane. Les quantités à admettre en franchise pourront, le cas échéant, être fixées d’un commun accord par les Administrations des douanes des deux Pays; d. les machines, les outils, instruments et engins pour les travaux agricoles et forestiers, les appareils et autres objets pour l’usage ménager ou personnel, destinés à être modifiés ou réparés, de même que les tissus en général pour la confection de vêtements, si ce trafic est nécessité par les conditions locales au sens de l’art. 4, let. d; e. les instruments emportés par les médecins, les vétérinaires et les sages-femmes pour l’exercice de leur profession; les objets de culte que les prêtres ou leurs assistants emportent pour célébrer des cérémonies religieuses; les instruments destinés à des recherches scientifiques ou à dès travaux artistiques; les outils et instruments emportés par les ouvriers pour exercer leur métier; f. les armes de chasse avec le nombre de cartouches autorisé par les dispositions autonomes des deux Pays; les engins de chasse et de pêche, à condition que les détenteurs soient porteurs des permis réglementaires; les articles de sport de tout genre; g. les véhicules (en ce qui concerne les véhicules à moteur, sous réserve des accords spéciaux sur le trafic routier et la circulation des véhicules automobiles conclus entre les deux Pays), les animaux de trait, de selle et de somme qui franchissent la frontière pour transporter ou aller chercher des personnes dans l’autre zone. Cette facilité est également applicable aux harnais, selles, etc., ainsi qu’aux objets d’équipement des véhicules et aux fourrages nécessaires. Les excédents de fourrage doivent être réimportés; h. les meubles, les objets et articles de cuisine et de ménage, les instruments, ustensiles et outils – le tout usagé – que les habitants de l’une des zones introduisent dans l’autre zone pour les utiliser personnellement pendant leur séjour temporaire; i. les marchandises, à l’exception des denrées alimentaires et des boissons, importées ou exportées en vue d’être vendues, y compris les produits que les artisans et les salariés travaillant à domicile et demeurant dans l’une des zones frontières emportent ou transportent personnellement dans l’autre zone pour les vendre sur les marchés ou dans les foires. Les produits qui n’y sont pas vendus doivent être réimportés dans la zone de provenance. Les droits d’entrée ou de sortie grevant les objets vendus doivent être payés dès la fin du dernier marché ou de la dernière foire à laquelle ont participé les intéressés. Les douanes auront la faculté de prescrire le prélèvement d’échantillons, l’application de marques d’identification, la présentation de dessins et de photographies, et d’exiger que la réexportation ou la réimportation des objets précités soit garantie par le dépôt des droits de douane ou d’un cautionnement d’une personne digne de confiance. Le délai pour la rentrée en franchise dans la zone de provenance doit être limité à la durée nécessaire à l’exécution des travaux; d’une manière générale, il ne devra pas dépasser six mois. Les véhicules, animaux, machines agricoles et instruments de travail franchissant la frontière d’une manière répétée pourront faire l’objet de documents douaniers valables jusqu’à une année. En règle générale, on n’exigera ni caution ni autre formalité douanière dans les cas mentionnés sous lettre e. | Vorübergehende Ein- und Ausfuhren Art. 5 Vorübergehende Ein- und Ausfuhren Im Verkehr zwischen den beiden Grenzzonen werden die nachgenannten Tiere, Fahrzeuge und Waren gegenseitig zur vorübergehenden Ein- und Ausfuhr zugelassen, wenn sie Bewohnern der einen Grenzzone gehören und in ihrem ausschliesslichen Interesse zu einem der nachstehend erwähnten Zwecke in die andere Zone geführt oder getragen werden: a. Arbeitstiere, Maschinen, Instrumente und Geräte, die zur vorübergehenden Verwendung im Rahmen der örtlichen Bedürfnisse für land- und forstwirtschaftliche Arbeiten bestimmt sind; b. Tiere aller Art zum täglichen Weidgang, zum Decken, zur tierärztlichen Behandlung, zum Kastrieren, Beschlagen oder Abwiegen; c. Getreide, Hülsenfrüchte, Kastanien, Ölsamen und Ölfrüchte, Hanf, Flachs, Häute, Rinden und andere ähnliche Produkte der Grenzzonen, die gemahlen, ausgepresst, enthülst, gedroschen, gegerbt, gepresst oder einer andern Behandlung unterzogen werden sollen; rohes Holz zum Behauen, Spalten oder Sägen zu Brettern oder Balken, sofern dies alles zur Deckung der Bedürfnisse der Bewohner der Grenzzone dient und dieselben auf die Mühlen, Presswerke, Sägereien oder andern Verarbeitungsbetriebe in der andern Zone angewiesen sind. Die so erhaltenen Erzeugnisse müssen in der der üblichen Ausbeute entsprechenden Menge wieder aus- oder eingeführt werden, und zwar von den nämlichen Personen, welche die vorübergehende Ein- oder Ausfuhr der rohen Materialien vorgenommen haben. Sofern die Nebenprodukte sowie die Abfälle der Zollpflicht unterliegen, müssen sie wieder ausgeführt oder verzollt werden. Die zollfrei zuzulassenden Mengen können nötigenfalls im gemeinsamen Einvernehmen der Zollverwaltungen der beiden Staaten festgesetzt werden; d. Maschinen, Instrumente und Geräte für land- und forstwirtschaftliche Arbeiten, Apparate und andere Gegenstände für den Haushalt oder den persönlichen Gebrauch zum Abändern oder Reparieren, Gewebe aller Art zum Konfektionieren zu Kleidern, vorausgesetzt, dass dieser Verkehr durch die örtlichen Verhältnisse bedingt ist, wie bereits in Artikel 4 Buchstabe d näher umschrieben; e. die von Ärzten, Tierärzten und Hebammen mitgeführten Instrumente zur Ausübung ihres Berufes; die von Priestern und ihren Gehilfen mitgebrachten Kultusgegenstände zur Abhaltung religiöser Zeremonien; Instrumente zu wissenschaftlichen Forschungen oder zu künstlerischen Arbeiten; Geräte und Werkzeuge, die von Arbeitern zur Ausübung ihres Berufes mitgebracht werden; f. Jagdwaffen, mit der auf Grund der autonomen Bestimmungen jedes Staates zulässigen Anzahl Patronen, Jagd- und Fischereigeräte, sofern die Besitzer Inhaber einer ordnungsgemässen Bewilligung sind, sowie Sportgeräte aller Art; g. Fahrzeuge (Motorfahrzeuge unter Vorbehalt der in den besondern Vereinbarungen zwischen den beiden Ländern über den Strassentransport und den Motorfahrzeugverkehr festgelegten Bestimmungen), Zug-, Reit- und Lasttiere, die die Grenze passieren, um Personen und Waren von einer Grenzzone zur andern zu befördern oder abzuholen. Die Erleichterung erstreckt sich auf Zuggeschirre und Sattelzeuge und auf die Ausrüstungsgegenstände der Fahrzeuge sowie auf das zur Ernährung der Tiere notwendige Futter. Die nicht verbrauchten Futtermengen müssen wiedereingeführt werden; h. Möbel, Hausrat und Hausgeräte, Instrumente und Werkzeuge – alles gebraucht –, welche Bewohner der einen Zone in die andere Zone einführen zum persönlichen Gebrauch während ihres vorübergehenden Aufenthaltes; i. Waren, ausgenommen Lebensmittel und Getränke, die zum ungewissen Verkauf ein- oder ausgeführt werden, mit Einschluss der Erzeugnisse, welche die in einer der Grenzzonen wohnenden Handwerker sowie Lohnheimarbeiter zum Zwecke des Verkaufes auf Märkten oder Messen in der andern Zone persönlich auf sich tragen oder mit sich führen. Die auf Märkte oder Messen gebrachten und unverkauft gebliebenen Erzeugnisse müssen in die Herkunftszone zurückgebracht werden und die auf den verkauften Gegenständen lastenden Ein- und Ausfuhrabgaben sofort nach Schluss des zuletzt besuchten Marktes oder der zuletzt besuchten Messe erlegt werden. Die Zollbehörden sind befugt, die Erhebung von Mustern, das Anbringen von Erkennungszeichen, die Vorlage von Zeichnungen und Photographien vorzuschreiben und zu verlangen, dass die Wiederausfuhr oder Wiedereinfuhr der vorgenannten Gegenstände durch Hinterlage des Zollbetrages oder durch Bürgschaft einer vertrauenswürdigen Person garantiert wird. Die Frist für die zollfreie Wiederausfuhr in die Herkunftszone ist auf die zur Ausführung der Arbeiten unbedingt notwendige Zeitdauer zu beschränken und darf in der Regel sechs Monate nicht überschreiten. Für Fahrzeuge, Tiere, landwirtschaftliche Maschinen und Arbeitsgeräte, die wiederholt über die Grenze gebracht werden, können Zolldokumente mit Gültigkeit bis zu einem Jahr ausgestellt werden. Für die unter dem Buchstaben e vorgesehenen Fälle wird in der Regel auf die Leistung einer Bürgschaft und andere Zollformalitäten verzichtet. | Importazioni ed esportazioni temporanee Art. 5 Importazioni ed esportazioni temporanee Nel traffico tra le due zone di frontiera saranno reciprocamente ammessi alla importazione e alla esportazione temporanea, se appartenenti agli abitanti di una delle zone di frontiera e siano condotti o trasportati nell’altra zona per gli scopi rispettivamente indicati e nell’esclusivo loro interesse: a. gli animali da lavoro, le macchine, gli strumenti e gli attrezzi destinati ad essere temporaneamente adoperati in lavori agricoli e forestali, in relazione alle condizioni locali; b. gli animali di ogni specie, per il pascolo giornaliero, per la monta, per essere sottoposti a trattamento veterinario, castrati, ferrati o pesati; c. i cereali, i legumi, le castagne, i semi e i frutti oleosi, la canapa, il lino, le pelli, le cortecce e simili altri prodotti delle zone di frontiera, per essere macinati, spremuti, sgranati, battuti, conciati, pressati o essere sottoposti ad altro trattamento; il legname rozzo per essere tagliato, spaccato o segato in tavole o in travi; in quanto tutto ciò serva ai bisogni degli abitanti della zona di frontiera e sia necessario rivolgersi ai molini, alle spremiture, alle segherie o altri opifici situati nell’altra zona. I prodotti ottenuti dovranno essere riesportati o reimportati nella quantità corrispondente agli usuali rendimenti e dalle stesse persone che hanno effettuato l’operazione di importazione o di esportazione temporanea delle materie gregge. I sottoprodotti, come pure i cascami, se soggetti a diritti doganali, dovranno essere riesportati o sdoganati. Le quantità da ammettersi in franchigia potranno, occorrendo, essere fissate di comune accordo fra le Amministrazioni doganali dei due Paesi; d. le macchine, gli strumenti e gli attrezzi per lavori agricoli e forestali, gli apparecchi ed altri oggetti di uso casalingo o personale, per essere modificati o riparati e i tessuti in genere, per essere confezionati in vestiti, semprechè questo traffico sia reso necessario dalle condizioni locali come già precisato all’articolo 4, lettera d; e. gli strumenti portati dai medici, dai veterinari e dalle levatrici, per l’esercizio della loro professione; gli oggetti del culto portati dai sacerdoti o dai loro assistenti, per la celebrazione di cerimonie religiose; gli strumenti destinati a ricerche scientifiche o a lavori artistici; gli attrezzi e gli utensili portati dagli operai per l’esercizio del loro mestiere; f. le armi da caccia con il numero di relative cartucce consentito dalle disposizioni autonome di ciascun Paese, gli attrezzi per la caccia e per la pesca, purchè i loro detentori siano muniti di regolare licenza, nonchè gli attrezzi sportivi in genere; g. i veicoli (e per quelli a motore sotto riserva delle norme di cui agli accordi speciali sul traffico stradale e la circolazione degli autoveicoli conchiusi tra i due Paesi), gli animali da tiro, le cavalcature e gli animali da soma che passano il confine per trasportare persone e merci dall’una all’altra zona di frontiera o per andare a prenderne. La facilitazione si estende ai finimenti da tiro e da sella e agli oggetti di equipaggiamento dei veicoli nonchè ai foraggi necessari al mantenimento degli animali. I foraggi non utilizzati devono essere reimportati; h. i mobili, le masserizie e le suppellettili di casa, gli strumenti e gli utensili – il tutto usato – che gli abitanti di una delle zone introducono nell’altra zona per l’uso personale durante il loro temporaneo soggiorno; i. le merci, a eccezione delle derrate alimentari e delle bevande, importate o esportate per tentarne la vendita, compresi i prodotti che gli artigiani, nonchè i lavoratori salariati a domicilio, abitanti in una delle zone di frontiera, portano o trasportano personalmente, per venderli, sui mercati o alle fiere dell’altra zona. I prodotti portati ai mercati o alle fiere, invenduti, devono essere ritornati alla zona di provenienza e i diritti di entrata e di uscita afferenti agli oggetti venduti, devono essere liquidati subito dopo la chiusura dell’ultimo mercato o dell’ultima fiera visitata. Le Dogane avranno la facoltà di prescrivere prelevamenti di campioni, applicazione di contrassegni, presentazione di disegni e fotografie ed esigere che la riesportazione o la reimportazione degli oggetti sopra indicati sia garantita dal deposito dell’ammontare dei diritti doganali o da fideiussione di persona di fiducia. Il termine per il ritorno in franchigia nella zona di provenienza deve essere quello strettamente necessario alla esecuzione dei lavori e, di regola, non dovrà superare i sei mesi. Per i veicoli, gli animali, le macchine agricole e gli attrezzi da lavoro che ripetutamente passano il confine, potranno essere rilasciati documenti con validità fino a un anno. Di regola, non sarà richiesta cauzione, nè altra formalità doganale, nei casi contemplati dalla lettera e. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | art_6 | Pacage de longue durée Art. 6 Pacage de longue durée Les animaux de tout genre, conduits du territoire d’une des Parties contractantes en vue du pacage prolongé (estivage ou hivernage) dans le territoire de l’autre Partie contractante pourront, si les conditions ci-après sont observées, être importés et exportés réciproquement en franchise temporaire de tout droit et taxe – pourvu qu’ils soient réexportés ou réimportés dans le délai prescrit. L’exemption de tout droit d’entrée et de sortie sera accordée aux produits obtenus de ces animaux durant l’estivage et l’hivernage, savoir: a. les jeunes bêtes, mises bas pendant l’estivage ou l’hivernage; b. le lait, le fromage et le beurre, dans les limites des quantités produites normalement, compte tenu du nombre et du genre des animaux, ainsi que de la durée du séjour dans l’autre zone. L’exemption sera accordée aussi bien si ces produits sont exportés ou importés durant le séjour des animaux dans l’autre zone que s’ils sont exportés ou importés après le retour du bétail, mais dans le délai de quatre semaines au plus à compter du jour de la rentrée du bétail. Les douanes auront la faculté d’exiger que la réexportation et la réimportation du bétail soient garanties par le dépôt du montant des droits de douane ou d’un cautionnement. La caution fournie par un propriétaire de biens-fonds digne de confiance sera considérée comme suffisante. Une marque individuelle, indélébile ou inamovible, sera appliquée aux animaux des races bovine et chevaline au moment de la visite du vétérinaire effectuée conformément aux dispositions de la police vétérinaire régissant le mouvement des animaux; cette marque sera reportée sur le certificat sanitaire, de manière à permettre l’identification des animaux lors de leur rentrée dans les pays de provenance. En outre, les douanes prendront toutes les mesures nécessaires pour que le trafic du bétail puisse se dérouler normalement. | Weidgang von langer Dauer Art. 6 Weidgang von langer Dauer Tiere aller Art, die zum Weidgang von langer Dauer (Sömmerung und Winterung) vom Gebiet eines der vertragschliessenden Staaten auf das Gebiet des andern Staates geführt werden, werden gegenseitig unter folgenden Bedingungen – frei von jeder Gebühr oder Steuer – zur vorübergehenden Ein- und Ausfuhr zugelassen, sofern sie innerhalb der vorgängig festgesetzten Frist zurückkehren. Die nachgenannten während der Sömmerung und Winterung von den Tieren gewonnenen Erzeugnisse werden frei von jeder Ein- oder Ausfuhrabgabe zugelassen: a. die Jungen, die während der Sömmerung oder Winterung geworfen werden; b. Milch, Käse und Butter im Rahmen der normalerweise anfallenden Mengen, unter Berücksichtigung der Anzahl und Art der Tiere und der Dauer des Aufenthaltes jenseits der Grenze. Diese Abgabenbefreiung wird sowohl während des Aufenthaltes der Tiere jenseits der Grenze, als auch nach der Rückkehr zugestanden, sofern im letzten Falle die Einfuhr innert vier Wochen nach Rückkehr der Tiere erfolgt. Die Zollbehörden können verlangen, dass die Wiedereinfuhr und Wiederausfuhr des Viehs durch Hinterlage des Zollbetrages oder durch Bürgschaft garantiert wird. Die von einem vertrauenswürdigen Grundeigentümer eingegangene Bürgschaft wird als genügend anerkannt. Anlässlich der tierärztlichen Untersuchung gemäss den veterinärpolizeilichen Vorschriften über den Viehverkehr werden die Tiere der Rinder- und Pferdegattung mit individuellen, nicht auslöschbaren oder nicht entfernbaren Kennzeichen versehen, um die Identifizierung der Tiere bei der Rückkehr in die betreffenden Herkunftsländer zu erleichtern. Die Kennzeichen müssen im tierärztlichen Zeugnis vermerkt werden. Die Zollbehörden treffen alle notwendigen Massnahmen zur Sicherung eines geregelten Viehverkehrs. | Pascolo a lunga durata Art. 6 Pascolo a lunga durata Alle condizioni sottoindicate, gli animali di ogni specie condotti dal territorio di una delle Parti contraenti al pascolo di lunga durata (alpeggio e svernamento) nel territorio dell’altra Parte, saranno reciprocamente ammessi alla importazione e alla esportazione temporanea – in esenzione da ogni tassa od imposta – purchè siano fatti ritornare entro il termine preventivamente stabilito. Sarà concessa l’esenzione da ogni diritto di entrata e di uscita ai prodotti ottenuti dagli animali stessi durante l’alpeggio e lo svernamento, e, cioè: a. ai piccoli, partoriti durante il tempo dell’alpeggio o dello svernamento; b. al latte, al formaggio e al burro, nei limiti delle quantità normalmente prodotte, tenuto conto del numero e della specie degli animali e della durata del soggiorno oltre frontiera. Questa esenzione sarà accordata tanto nel caso che questi prodotti siano esportati o importati durante il soggiorno degli animali oltre frontiera, quanto nel caso che siano esportati o importati dopo il ritorno del bestiame, purchè in questo secondo caso, non siano trascorse più di quattro settimane dal giorno del ritorno. Le Dogane avranno facoltà di esigere che la riesportazione o la reimportazione del bestiame siano garantite dal deposito dell’ammontare dei diritti doganali o da fideiussioni. La fideiussione data da un proprietario di terreni meritevole di fiducia sarà ritenuta sufficiente. Al bestiame, limitatamente ai bovini e ai cavalli, verrà, all’atto della visita sanitaria di cui alle norme di polizia veterinaria disciplinanti la circolazione degli animali, applicato un contrassegno individuale, indelebile o inamovibile, da riportare sul certificato sanitario, in modo da rendere agevole la identificazione dei capi al rientro nei rispettivi Paesi di provenienza. Le Dogane prenderanno altresì tutte le misure necessarie per assicurare il regolare movimento del bestiame. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | lvl_u7/art_7 | Franchissement de la frontière; facilités Art. 7 Lorsque les circonstances locales l’exigent, les Autorités douanières des deux Pays pourront autoriser, autant que possible et, si c’est nécessaire, d’un commun accord, des dérogations à l’obligation de suivre les routes douanières et d’observer l’horaire pour des trafics et des points frontières déterminés. Lorsque cette nécessité est établie, on pourra renoncer, en règle générale, à la perception des taxes pour les dédouanements effectués hors de l’emplacement officiel et en dehors des heures du service des douanes. | Erleichterungen beim Grenzübertritt Art. 7 Wenn die örtlichen Verhältnisse es erfordern, können die Zollbehörden der beiden Staaten, im Rahmen der bestehenden Möglichkeiten und nötigenfalls im gegenseitigen Einvernehmen, für gewisse Arten des Grenzverkehrs und für bestimmte Grenzpunkte Ausnahmen von der Regel gewähren, wonach sich der Warenverkehr auf den Zollstrassen und während der festgesetzten Stunden abwickeln muss. Wenn diese Notwendigkeit anerkannt wird, kann normalerweise von der Erhebung einer besonderen Gebühr für die ausserhalb des Amtsplatzes und ausser den Zollstunden vorgenommenen zollamtlichen Verrichtungen abgesehen werden. | Facilitazioni di passaggio Art. 7 Esigendolo le circostanze locali, le Autorità doganali dei due Paesi potranno concedere, nei limiti del possibile e, se occorre, di comune accordo, che per determinati traffici di frontiera e in determinati punti del confine sia fatta eccezione alla regola che il traffico delle merci deve svolgersi per le vie doganali e durante le ore stabilite. Quando questa necessità sia riconosciuta sì potrà prescindere, in via normale, dall’esigere speciali indennità per le operazioni doganali compiute fuori dogana e fuori dell’orario normale degli uffici. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | lvl_u7/art_8 | Franchissement de la frontière; facilités Art. 8 Les médecins, les vétérinaires et les sages-femmes domiciliés dans l’une des deux zones et autorisés à exercer leur profession aux termes de la Convention du 28 juin 1888 peuvent franchir la frontière au moyen d’un véhicule (bicyclette, motocyclette ou automobile) sans fournir de garantie pour ces moyens de transport. Les normes régissant l’application de cette facilité seront fixées, d’un commun accord, par les douanes des deux pays. En cas de nécessité, ces personnes pourront franchir la frontière – sans payer de taxes spéciales – à toute heure et même par des routes non ouvertes au trafic douanier, à condition qu’elles n’emportent pas de marchandises passibles de droits de douane. | Erleichterungen beim Grenzübertritt Art. 8 Die in einer der beiden Grenzzonen niedergelassenen und gemäss Übereinkunft vom 28. Juni 1888 zur Ausübung ihres Berufes ermächtigten Ärzte, Tierärzte und Hebammen, können die Grenze mit einem Fahrzeug (Fahrrad, Motorfahrrad oder Automobil) überschreiten, ohne für genannte Transportmittel Sicherheit zu leisten. Die Richtlinien für die Anwendung der obgenannten Erleichterung werden im gegenseitigen Einvernehmen der Zollbehörden der beiden Staaten festgelegt. Nötigenfalls können die obgenannten Personen ohne Bezahlung besonderer Gebühren die Grenze zu jeder Stunde und auch auf andern als Zollstrassen überschreiten, vorausgesetzt, dass sie keine zollpflichtigen Waren auf sich tragen oder mit sich führen. | Facilitazioni di passaggio Art. 8 I medici, i veterinari e le levatrici domiciliati in una delle zone di frontiera e autorizzati a esercitare la loro professione a’ termini della Convenzione del 28 giugno 1888, possono attraversare la frontiera con un veicolo (bicicletta, motocicletta o automobile) senza fornire – per detti mezzi di trasporto – delle garanzie. Le norme per l’attuazione della suddetta facilitazione saranno fissate di comune accordo dalle Dogane dei due Paesi. In caso di necessità, dette persone potranno attraversare – senza pagamento di speciali indennità – la frontiera in ogni ora, anche per vie non doganali, a condizione che non portino o trasportino merci passibili di dogana. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | lvl_u7/art_9 | Franchissement de la frontière; facilités Art. 9 En cas d’incendie ou d’autre sinistre dans les zones frontières, la population de l’endroit et les Corps de sauvetage (pompiers, etc.) pourront franchir la frontière en vue de prêter leur concours, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit et même par des routes non ouvertes au trafic douanier, sans payer de taxes, en emportant ou conduisant des engins, outils, véhicules et animaux de trait, y compris les fourrages pour ces derniers, ainsi que tout ce qui est nécessaire au fonctionnement des moteurs. Les formalités douanières se limiteront à l’annotation sommaire des divers passages. Les engins, outils, véhicules et animaux de trait, de même que les excédents de fourrages et de carburants, etc., devront être réexportés une fois l’opération de secours terminée. | Erleichterungen beim Grenzübertritt Art. 9 Bei Feuersbrünsten oder andern Unglücksfällen in den Grenzzonen können die zu Hilfe eilenden Ortsbewohner und Rettungskorps (Angehörige der Feuerwehr usw.), mit Geräten, Fahrzeugen und Zugtieren, inbegriffen das Futter für letztere und alles Nötige für den Betrieb der Motoren, die Grenze zu jeder Tages- und Nachtstunde, auch ausserhalb der Zollstrassen und ohne Bezahlung von Gebühren überschreiten. Die Zollformalitäten beschränken sich auf die summarische Vormerkung der betreffenden Grenzübertritte. Geräte, Fahrzeuge, Zugtiere sowie die nicht verbrauchten Futtermittel und Betriebsstoffe für die Motoren müssen nach Beendigung der Hilfeleistung wieder über die Grenze zurückgebracht werden. | Facilitazioni di passaggio Art. 9 Nel caso di incendio o di altro sinistro nelle zone di frontiera, le persone del luogo e i Corpi di salvataggio (pompieri, ecc.) potranno passare il confine, anche per vie non doganali e in qualsiasi ora del giorno e della notte e senza pagamento di alcuna indennità, per prestare soccorso, con gli attrezzi, veicoli e animali da tiro, compresi i foraggi per questi ultimi e quanto occorra per il funzionamento dei motori, rimanendo le formalità doganali limitate alla sommaria annotazione dei relativi passaggi. Gli attrezzi, i veicoli, gli animali da tiro, nonchè i foraggi e i materiali per il funzionamento dei motori, non consumati, dovranno essere riportati oltre frontiera dopo terminata l’opera di soccorso. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | lvl_u7/art_10 | Franchissement de la frontière; facilités Dispositions spéciales Art. 10 Dispositions spéciales La franchise douanière prévue par la présente Convention comprend l’exemption des droits d’entrée ou de sortie et de toute autre taxe ou impôt dont sont également passibles les marchandises importées ou exportées. En revanche, et hormis les exceptions prévues aux art. 7 et 9, la franchise ne s’applique pas aux taxes perçues pour les services effectués, à la demande des intéressés, hors de l’emplacement officiel ou en dehors des heures réglementaires des bureaux de douane. Vont également de pair avec la franchise douanière les dérogations aux interdictions ou autres restrictions de caractère économique applicables, d’une manière générale, aux importations ou aux exportations. Sont exclues de cette facilité les marchandises importées ou exportées temporairement pour vente incertaines, conformément à l’art. 5, let. i. Demeurent toutefois applicables également dans le trafic de frontière les dispositions autonomes et conventionnelles en vigueur dans les deux Pays, concernant les devises, les paiements, les œuvres d’art, les monopoles, la police, la chasse et la pêche, de même que les dispositions de caractère sanitaire et phytosanitaire et les restrictions relatives à la production, au transport et au commerce de produits déterminés. Les dispositions de la présente Convention ne modifient pas les dispositions dans les deux Pays au sujet des dédouanements et de la surveillance douanière. Les mesures de police vétérinaire applicables au mouvement du bétail seront réglées par un échange ultérieur de Notes entre les deux Gouvernements. | Erleichterungen beim Grenzübertritt Besondere Bestimmungen Art. 10 Besondere Bestimmungen Die in diesem Abkommen vorgesehene Zollfreiheit umfasst die Befreiung von Einoder Ausfuhrzöllen sowie von jeder andern auf ein- oder ausgeführten Waren zusätzlich zu den Grenzzöllen erhobenen Gebühr oder Steuer. Sie erstreckt sich hingegen nicht auf Gebühren für ausserordentliche Dienstleistungen, die auf Gesuch der Interessenten ausserhalb des Amtsplatzes oder ausser den normalen Zollstunden vorgenommen werden. Vorbehalten bleiben die in den Artikeln 7 und 9 vorgesehenen Ausnahmen. Die Zollbefreiung schliesst auch den Verzicht auf die Handhabung der Verbote und andern Beschränkungen wirtschaftlichen Charakters in sich, die auf die Einoder Ausfuhr allgemein anwendbar sind. Von dieser Erleichterung sind die gemäss Artikel 5 Buchstabe i zum ungewissen Verkauf vorübergehend ein- oder ausgeführten Waren ausgeschlossen. Unberührt bleiben hingegen auch im Grenzverkehr sowohl die in jedem der beiden Staaten geltenden autonomen und vertraglichen Bestimmungen betreffend die Devisen und den Zahlungsverkehr, Kunstgegenstände, Monopole, Polizei, Jagd und Fischerei, Gesundheitspolizei und Pflanzenschutz, als auch die für bestimmte Erzeugnisse verfügten Einschränkungen betreffend die Produktion, den Transport und den Handel. Die Bestimmungen dieses Abkommens ändern die in den beiden Staaten geltende Regelung des Zollabfertigungsverfahrens und der zollamtlichen Überwachung nicht. Die im Viehverkehr anzuwendenden tierseuchen-polizeilichen Massnahmen werden nachträglich durch Notenwechsel zwischen den beiden Regierungen festgelegt. | Facilitazioni di passaggio Disposizioni speciali Art. 10 Disposizioni speciali La esenzione doganale prevista dalla presente Convenzione comprende la esenzione dai dazi di importazione o di esportazione e da ogni altra tassa o imposta applicabile, in aggiunta ai dazi di confine, alle merci importate o esportate. Non comprende, invece, salvo le eccezioni previste agli articoli 7 e 9, le indennità per servizi straordinari compiuti, su domanda degli interessati, fuori del circuito doganale o fuori dell’orario normale degli uffici. Insieme con la esenzione doganale s’intende accordata anche la deroga ai divieti e alle altre restrizioni di carattere economico applicabili alle importazioni o alle esportazioni in generale. Sono escluse da questa agevolezza le merci importate o esportate temporaneamente per vendita incerta, conformemente all’articolo 5, lettera i. Restano invece ferme, anche nel traffico di frontiera, sia le norme autonome e convenzionali vigenti nei due Paesi in materia di valute e pagamenti, opere d’arte, monopoli, polizia, caccia e pesca, sia le disposizioni di carattere sanitario e fitosanitario e le restrizioni circa la produzione, il trasporto e il commercio di determinati prodotti. Le disposizioni della presente Convenzione non modificano le norme vigenti nei due Paesi per regolare gli sdoganamenti e la vigilanza doganale. Le misure di polizia veterinaria da applicarsi al movimento del bestiame saranno stabilite con successivo scambio di Note fra i due Governi. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | lvl_u7/art_11 | Franchissement de la frontière; facilités Mesures de surveillance Art. 11 Mesures de surveillance Les Autorités douanières compétentes des deux Parties contractantes prendront, chacune pour son compte, les mesures de surveillance nécessaires pour éviter tout abus en rapport avec les facilités. stipulées par la présente Convention. En cas de fraude, elles auront le droit de supprimer ou de suspendre l’octroi des facilités aux personnes qui ont commis la fraude ou y ont participé. Le cas échéant, les Autorités douanières des deux pays fixeront, d’un commun accord, les mesures à prendre. Sur demande officielle, les deux douanes se fourniront réciproquement des renseignements concernant le mouvement des marchandises, des produits, des véhicules, animaux, etc., auxquels s’applique la présente Convention. | Erleichterungen beim Grenzübertritt Überwachungsmassnahmen Art. 11 Überwachungsmassnahmen Die zuständigen Zollbehörden der beiden vertragschliessenden Staaten werden, unabhängig voneinander, die erforderlichen Überwachungsmassnahmen ergreifen, um jeden Missbrauch der in diesem Abkommen vorgesehenen Erleichterungen zu verhindern. Im Falle von Widerhandlungen sind sie berechtigt, die Personen, die ihn begangen oder sich daran beteiligt haben und schuldig befunden wurden, zeitweise oder für immer von den Erleichterungen auszuschliessen. Nötigenfalls werden sich die Zollbehörden der beiden Staaten über die zu ergreifenden Massnahmen einigen. Auf offizielles Begehren hin werden sich die beiden Zollbehörden gegenseitig Angaben liefern über den Verkehr mit den in diesem Abkommen aufgeführten Waren, Erzeugnissen, Fahrzeugen, Tieren usw. | Facilitazioni di passaggio Misure di sorveglianza Art. 11 Misure di sorveglianza Le competenti Autorità doganali delle due Parti contraenti prenderanno, ciascuna per proprio conto, le necessarie misure di sorveglianza per evitare ogni abuso in rapporto alle facilitazioni previste dalla presente Convenzione. In caso di frode, esse avranno il diritto di escludere o di sospendere dalle facilitazioni stesse le persone che le abbiano commesse o che vi abbiano partecipato, se riconosciute colpevoli. Occorrendo, le Autorità doganali dei due Paesi si metteranno d’accordo sulle misure da adottare. Le due Dogane, se ufficialmente richieste, si forniranno vicendevolmente notizie sui movimenti delle merci, prodotti, veicoli, animali, ecc., contemplati dalla presente Convenzione. |
CH | 0.631.256.945.41 | null | null | null | Convention du 2 juillet 1953 entre la Suisse et l'Italie relative au trafic de frontière et au pacage (avec annexes, échanges de lettres et procès-verbal) | Abkommen vom 2. Juli 1953 zwischen der Schweiz und Italien betreffend den Grenz- und Weideverkehr (mit Anhängen, Briefwechseln und Prot.) | Convenzione tra la Svizzera e l'Italia del 2 luglio 1953 per il traffico di frontiera ed il pascolo (con All., Scambio di lettere e Processo verbale) | lvl_u7/art_12 | Franchissement de la frontière; facilités Commission mixte Art. 12 Commission mixte Une «Commission permanente mixte» pour le trafic de frontière est instituée en vue de l’application de la présente Convention et de la surveillance de la bonne marche du trafic que ladite convention tend à faciliter. La Commission comprendra trois délégués de chacune des deux Parties contractantes, qui pourront, le cas échéant, être assistés d’experts en la personne des fonctionnaires dont dépendent directement les services de frontière. La Commission pourra proposer aux Gouvernements toutes les mesures qui lui paraîtront propres à assurer la bonne application de la Convention. La Commission sera constituée le plus tôt possible dès l’entrée en vigueur de la présente Convention. Elle entrera en fonction au plus tard durant le mois suivant. La Commission se réunira alternativement en Italie et en Suisse. Après la première séance, la Commission se réunira à la demande de l’une des deux Parties contractantes. | Erleichterungen beim Grenzübertritt Gemischte Kommission Art. 12 Gemischte Kommission Zur Durchführung dieses Abkommens und zur Überwachung der reibungslosen Abwicklung des Verkehrs, den das Abkommen erleichtern will, wird eine «Ständige gemischte Kommission für den Grenzverkehr» geschaffen. Die Kommission wird aus je 3 Mitgliedern jedes der beiden vertragschliessenden Staaten bestehen. Nötigenfalls können Beamte, die dem Grenzdienst unmittelbar vorstehen, als Experten zugezogen werden. Die Kommission kann den Regierungen alle Massnahmen vorschlagen, die sie im Interesse des reibungslosen Funktionierens des Abkommens als angezeigt erachtet. Die Kommission wird nach Inkrafttreten dieses Abkommens so bald als möglich gebildet und tritt spätestens im darauffolgenden Monat in Funktion. Sie wird abwechslungsweise in Italien und in der Schweiz zusammentreten. Nach der ersten Sitzung wird die Kommission jeweils auf Verlangen eines der beiden vertragschliessenden Staaten einberufen. | Facilitazioni di passaggio Commissione mista Art. 12 Commissione mista Per la esecuzione della presente Convenzione e per la sorveglianza sul buon andamento del traffico che con essa si è inteso facilitare, è istituita una «Commissione mista permanente per il traffico di frontiera». La Commissione sarà composta, per ciascuna delle due Parti contraenti, da tre membri, assistiti, occorrendo, in qualità di esperti, dai funzionari dai quali immediatamente dipendono i servizi di confine. La Commissione potrà proporre ai Governi tutte le misure che si ritengono atte al buon funzionamento della Convenzione. La Commissione, sarà costituita al più presto possibile dopo la data di entrata in vigore della presente Convenzione ed entrerà in funzione, al più tardi entro il mese successivo. La Commissione si riunirà alternativamente in Italia e in Svizzera. Dopo la prima riunione la Commissione sarà convocata su domanda di una delle due Parti. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_1 | Art. 1 1 Le présent accord s’applique aux stagiaires, c’est-à-dire aux ressortissants de l’un des deux Etats, qui se rendent de leur pays dans l’autre pour y occuper un emploi durant un temps limité, afin de parfaire leurs connaissances linguistiques et professionnelles. 2 Les stagiaires doivent avoir achevé leur formation professionnelle, avoir 18 ans révolus, mais ne pas être âgés de plus de 30 ans. | Art. 1 1 Diese Vereinbarung findet Anwendung auf Gastarbeitnehmer, das heisst auf Angehörige eines der beiden Staaten, die im andern Staat für eine begrenzte Zeit ein Arbeitsverhältnis eingehen, um ihre sprachlichen und beruflichen Kenntnisse zu vervollkommnen. 2 Die Gastarbeitnehmer sollen eine abgeschlossene berufliche Ausbildung besitzen, das 18. Lebensjahr vollendet und das 30. Lebensjahr nicht überschritten haben. | Art. 1 1 Il presente accordo si applica ai praticanti, cioè ai cittadini di uno dei due Stati, che dal loro Paese si recano nell’altro per assumere un impiego durante un tempo determinato allo scopo di perfezionare le proprie cognizioni linguistiche e professionali. 2 I praticanti devono aver conchiuso la loro formazione professionale, avere almeno 18 anni compiuti, ma non più di 30. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_2 | Art. 2 1 Chacun des deux Etats admet un nombre de stagiaires pouvant s’élever annuellement à 150 au plus, sans que la situation du marché du travail puisse être invoquée. Les demandes supplémentaires seront traitées avec bienveillance si la situation du marché du travail le permet. 2 L’autorisation est imputée sur le contingent de l’année durant laquelle elle a été accordée. Une prolongation de l’autorisation de stage, accordée conformément à l’art. 4, al. 1, n’est pas considérée comme une nouvelle admission, ni comprise dans le contingent. 3 Si le contingent attribué à l’un des deux Etats n’est pas complètement utilisé, cet Etat ne peut ni réduire le contingent de l’autre ni reporter le reliquat inutilisé sur l’année suivante. 4 Le contingent peut être modifié sur la proposition de l’un des deux Etats par un accord qui doit intervenir au plus tard le 1 er décembre pour l’année suivante. | Art. 2 1 Jeder der beiden Staaten lässt im Kalenderjahr bis zu 150 Gastarbeitnehmer ohne Rücksicht auf den Arbeitsmarkt zu. Weitere Gesuche werden mit Wohlwollen behandelt, wenn die Arbeitsmarktlage es gestattet. 2 Massgebend für die Anrechnung auf das jährliche Kontingent ist das Datum der Zulassungsbewilligung. Eine Verlängerung der Aufenthaltsbewilligung als Gastarbeitnehmer gemäss Artikel 4, Absatz 1, gilt nicht als Neuzulassung und wird auf das Kontingent nicht angerechnet. 3 Wird das einem Staat zustehende Kontingent nicht ausgenützt,so darf dieser weder das Kontingent des andern Staates herabsetzen noch den nichtbenützten Rest seines Kontingentes auf das folgende Jahr übertragen. 4 Das Kontingent kann auf Vorschlag eines der beiden Staaten durch eine Vereinbarung abgeändert werden, die spätestens am 1. Dezember für das folgende Jahr zu treffen ist. | Art. 2 1 Ciascuno dei due Stati ammette annualmente fino a 150 praticanti, senza poter invocare la situazione del mercato del lavoro. Le domande soprannumerarie saranno considerate con benevolenza ove la situazione del mercato del lavoro lo consenta. 2 L’autorizzazione è portata a conto del contingente dell’anno in cui essa è accordata. Non è considerata ammissione nuova nè è compresa nel contingente la proroga della pratica accordata in conformità dell’articolo 4 capoverso l. 3 Lo Stato che non ha interamente usato il proprio contingente non può ridurre il contingente dell’altro nè conteggiare per l’anno successivo il resto non usato. 4 Il contingente può essere modificato su proposta di uno dei due Stati mediante accordo stipulato al più tardi il 1° dicembre, per l’anno successivo. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_3 | Art. 3 1 Les stagiaires ne peuvent être admis que si les employeurs qui désirent les occuper s’engagent envers les autorités compétentes à les rétribuer, dans la mesure où ils remplissent normalement leur emploi, selon les tarifs fixés par les contrats collectifs de travail ou, à défaut de pareils contrats, d’après les autres prescriptions sur la matière ou selon les taux en usage dans la profession et la région. 2 Dans tous les cas, les employeurs doivent s’engager à verser au stagiaire un salaire qui corresponde au travail qu’il fournit et lui permette au moins d’assurer son entretien. 3 En matière de transfert d’économies, les stagiaires sont placés sur le même pied que les autres salariés venant de leur pays. | Art. 3 1 Die Gastarbeitnehmer können nur zugelassen werden, wenn sich die Arbeitgeber, die sie zu beschäftigen wünschen, den zuständigen Behörden gegenüber verpflichten, sie, sofern sie normale Arbeit leisten, nach den in den Gesamtarbeitsverträgen festgelegten Tarifen oder in Ermangelung von solchen nach den sonst geltenden Vorschriften oder nach den berufs- und ortsüblichen Ansätzen zu entlöhnen. 2 In allen andern Fällen haben sich die Arbeitgeber zu verpflichten, den Gastarbeitnehmern einen Lohn zu zahlen, der ihren Arbeitsleistungen entspricht und ihnen gestattet, mindestens für ihren Unterhalt aufzukommen. 3 In der Überweisung von Ersparnissen sind die Gastarbeitnehmer den andern Arbeitnehmern aus ihrem Lande gleichgestellt. | Art. 3 1 praticanti possono essere ammessi soltanto se i datori di lavoro che desiderano assumerli s’impegnano con le autorità competenti a retribuirli, ove lavorino normalmente, secondo le tariffe dei contratti collettivi di lavoro, o, in mancanza di simili contratti, secondo le altre disposizioni in materia o gli usi professionali della regione. 2 In ogni caso, i datori di lavoro devono impegnarsi a versare al praticante una retribuzione che corrisponda al suo lavoro e gli consenta di provvedere al suo mantenimento. 3 Per quel che concerne il trasferimento di risparmi, i praticanti sono equiparati agli altri lavoratori provenienti dallo stesso Stato. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_4 | Art. 4 1 L’autorisation de stage est délivrée pour une durée ne dépassant pas une année. Exceptionnellement, elle peut être prolongée de six mois. 2 Le stagiaire ne doit exercer que l’activité pour laquelle il a reçu l’autorisation. 3 En principe, les stagiaires ne doivent pas, après avoir achevé leur période de perfectionnement, rester dans le pays où ils ont fait leur stage, dans l’intention d’y prendre un autre emploi. | Art. 4 1 Die Bewilligung für Gastarbeitnehmer wird für eine ein Jahr nicht überschreitende Dauer erteilt. Ausnahmsweise kann sie um sechs Monate verlängert werden. 2 Der Gastarbeitnehmer darf nur die ihm bewilligte Tätigkeit ausüben. 3 Die Gastarbeitnehmer dürfen nach Ablauf ihrer Fortbildungszeit grundsätzlich nicht in dem Gebiete des Staates, in dem die Fortbildung stattgefunden hat, in der Absicht verbleiben, dort ein anderes Arbeitsverhältnis einzugehen. | Art. 4 1 L’autorizzazione di pratica è accordata per un termine non superiore a un anno; eccezionalmente essa può essere prorogata di sei mesi. 2 Il praticante può svolgere solamente l’attività per la quale ha ricevuto l’autorizzazione. 3 Per principio, i praticanti, terminato il periodo dei loro perfezionamento, non possono rimanere nel paese dove hanno fatto pratica, per assumervi altro impiego. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_5 | Art. 5 1 Les prescriptions relatives au droit du travail et à la protection des travailleurs s’appliquent aux stagiaires dans la même mesure qu’aux nationaux. 2 Dans le domaine des assurances sociales, les prescriptions en vigueur dans le pays où le stagiaire prend emploi sont applicables conformément aux dispositions de la convention entre la Suisse et l’Autriche relative aux assurances sociales (avec protocole final), conclue le 15 juillet 1950. | Art. 5 1 Auf die Gastarbeitnehmer finden die Vorschriften des Arbeitsrechtes und des Arbeitnehmerschutzes in gleicher Weise wie auf Inländer Anwendung. 2 Für die Behandlung der Gastarbeitnehmer auf dem Gebiete der Sozialversicherung gelten die Vorschriften des Beschäftigungslandes nach Massgabe der Bestimmungen des zwischen der Schweiz und Österreich abgeschlossenen Abkommens über Sozialversicherung samt Schlussprotokoll vom 15. Juli 1950. | Art. 5 1 Le norme concernenti il diritto del lavoro e la protezione dei lavoratori devono essere applicate ai praticanti allo stesso modo che ai lavoratori nazionali. 2 Quanto alle assicurazioni sociali, valgono le norme vigenti nello Stato dove il praticante lavora, in conformità delle disposizioni della Convenzione tra la Svizzera e l’Austria relativa alle assicurazioni sociali (con protocollo finale), conchiusa il 15 luglio 1950. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_6 | Art. 6 1 Les candidats suisses qui désirent être admis comme stagiaires doivent présenter leur demande à l’Office fédéral de l’industrie, des arts et métiers et du travail, à Berne; les candidats autrichiens au Ministère fédéral des affaires sociales, à Vienne. Les candidats ont à fournir toutes les indications nécessaires à l’examen de leur demande et préciser notamment le nom et l’adresse de leur futur employeur, ainsi que la nature de l’emploi prévu. 2 L’autorité compétente du pays d’origine, mentionnée à l’al. 1, transmet les demandes qu’elle peut approuver à l’autorité correspondante du pays où le stage doit avoir lieu. 3 L’autorité compétente du pays où le stage doit avoir lieu statue conformément à l’art. 2, al. 1, dans les limites du contingent annuel ou, si ce contingent est dépassé, examine la demande avec bienveillance. 4 Au demeurant, les prescriptions légales sur l’entrée, le séjour et la sortie des étrangers, qui sont en vigueur dans chacun des Etats signataires, s’appliquent également aux stagiaires. | Art. 6 1 Schweizerische Bewerber haben das Gesuch um Zulassung als Gastarbeitnehmer beim Bundesrat für Industrie, Gewerbe und Arbeit in Bern, österreichische Bewerber beim Bundesministerium für soziale Verwaltung in Wien einzureichen. Die Bewerber haben alle für die Prüfung ihres Gesuches notwendigen Angaben zu machen und insbesondere den Namen und die Adresse des künftigen Arbeitgebers sowie die Art der vorgesehenen Beschäftigung anzugeben. 2 Die gemäss Absatz 1 zuständige Behörde des Heimatstaates übermittelt das Gesuch, sofern sie es befürworten kann, der entsprechenden Behörde des Beschäftigungslandes. 3 Die zuständige Behörde des Beschäftigungslandes entscheidet über die Zulassung nach Artikel 2, Absatz 1, im Rahmen des jährlichen Kontingentes oder, falls dieses überschritten ist, nach wohlwollendem Ermessen. 4 Im übrigen finden die in jedem der beiden Vertragsstaaten geltenden Rechtsvorschriften über die Einreise, den Aufenthalt und die Ausreise von Ausländern auch auf die Gastarbeitnehmer Anwendung. | Art. 6 1 I candidati svizzeri che desiderano essere ammessi come praticanti devono presentare domanda all’Ufficio federale dell’industria, delle arti e mestieri e del lavoro, a Berna; i candidati austriaci, al «Bundesministerium für soziale Verwaltung», a Vienna. I candidati devono dare le indicazioni necessarie all’esame della loro domanda e precisare in particolare il nome e l’indirizzo dei loro futuro datore di lavoro, nonchè il genere d’impiego previsto. 2 L’autorità competente dello Stato d’origine, di cui al capoverso 1, trasmette le domande che essa può approvare alla corrispondente autorità dello Stato in cui avrà luogo la pratica. 3 L’autorità competente dello Stato dove avrà luogo la pratica decide in conformità all’articolo 2 capoverso 1, nei limiti del contingente annuo; se il contingente è stato superato, esamina la domanda con benevolenza. 4 Per il rimanente, si applicano anche ai praticanti le norme giuridiche concernenti l’entrata, il soggiorno e l’uscita degli stranieri, vigenti in ciascuno degli Stati firmatari. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_7 | Art. 7 1 Les autorités compétentes des deux Etats faciliteront les démarches que les candidats entreprendront en vue de trouver un emploi approprié. Cette aide sera également prêtée au stagiaire qui, sans qu’il y ait faute de sa part, perd son emploi avant la fin du stage ou le quitte ensuite d’un conflit de travail. 2 Pour la recherche d’un emploi de stagiaire, les candidats autrichiens bénéficieront en Suisse de l’aide de la Commission suisse pour l’échange de stagiaires avec l’étranger, à Baden; le Ministère fédéral des affaires sociales, à Vienne, prêtera une aide semblable aux candidats suisses en Autriche. | Art. 7 1 Die zuständigen Behörden beider Staaten erleichtern den Bewerbern die Suche nach einer geeigneten Gastarbeitnehmerstelle. Dies gilt auch, wenn vor Ablauf der Zulassungszeit das Arbeitsverhältnis eines Gastarbeitnehmers ohne sein Verschulden wegen eines Arbeitskonfliktes im Betrieb die Beschäftigung aufgibt. 2 In der Schweiz steht den österreichischen Bewerbern die Schweizerische Kommission für den Austausch von Stagiaires mit dem Ausland in Baden und in Österreich den schweizerischen Bewerbern das Bundesministerium für soziale Verwaltung in Wien für die Vermittlung von Gastarbeitnehmerstellen zur Verfügung. | Art. 7 1 Le autorità competenti dei due Stati agevoleranno ai candidati la ricerca di un’occupazione idonea. Esse presteranno pure simile assistenza al praticante che, senza sua colpa, avrà perso il suo impiego prima del termine della pratica oppure l’avrà lasciato in seguito a un conflitto di lavoro. 2 Per la ricerca d’un posto di praticante i candidati austriaci fruiscono in Svizzera dell’aiuto della Commissione svizzera per lo scambio dei praticanti con l’estero, a Baden; i candidati svizzeri, in Austria, di quello del «Bundesministerium für soziale Verwaltung», a Vienna. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_8 | Art. 8 Les autorités compétentes veilleront à ce que les demandes soient traitées aussi rapidement que possible. Elles s’efforceront d’aplanir dans le plus bref délai les difficultés qui pourraient surgir à propos de l’entrée et du séjour des stagiaires. | Art. 8 Die zuständigen Behörden sorgen für eine möglichst rasche Behandlung der Gesuche. Sie sind bestrebt, allfällige Schwierigkeiten bei der Einreise oder während des Aufenthaltes in kürzester Frist zu beheben. | Art. 8 Le autorità competenti provvedono affinchè le domande siano rapidamente esaminate. Esse si sforzano di eliminare, nel tempo più breve, eventuali difficoltà circa l’entrata e il soggiorno dei praticanti. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_9 | Art. 9 1 Les autorités compétentes des deux Etats prendront de concert les mesures nécessaires à l’application du présent accord. 2 Elles s’informeront réciproquement des changements apportés à des prescriptions du droit national qui régissent des domaines touchant la présente convention. | Art. 9 1 Die zuständigen Behörden der beiden Staaten treffen in beiderseitigem Einverständnis die nötigen Massnahmen für die Durchführung der Vereinbarung. 2 Sie unterrichten sich gegenseitig über Änderungen innerstaatlicher Vorschriften auf den diese Vereinbarung betreffenden Gebieten. | Art. 9 1 Le autorità competenti dei due Stati prendono di comune intesa i provvedimenti necessari all’esecuzione del presente accordo. 2 Esse si informano reciprocamente delle modificazioni apportate alle norme di diritto interno disciplinanti materie che toccano la presente convenzione. |
CH | 0.142.111.637 | null | null | null | Accord du 19 mars 1956 entre la Confédération suisse et la République d'Autriche sur l'échange de stagiaires | Vereinbarung vom 19. März 1956 über den Austausch von Gastarbeitnehmern (Stagiaires) zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Republik Österreich | Accordo del 19 marzo 1956 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica d'Austria concernente lo scambio di praticanti («stagiaires») | art_10 | Art. 10 1 Le présent accord est conclu par échange de notes; il entrera en vigueur au début du second mois suivant l’échange de notes et aura effet jusqu’au 31 décembre 1956. 2 Il sera prorogé par tacite reconduction et chaque fois pour une nouvelle année, à moins que l’un des deux Etats ne le dénonce par écrit avant le 1 er juillet pour la fin de l’année. 3 En cas de dénonciation, les admissions et les autorisations de séjour reposant sur le présent accord gardent leur effet pour la durée prévue. Max Petitpierre Johannes Coreth | Art. 10 1 Diese Vereinbarung wird durch Notenaustausch abgeschlossen; sie tritt mit Beginn des zweiten auf den Notenaustausch folgenden Monats in Kraft und gilt bis zum 31. Dezember 1956. 2 Die Vereinbarung gilt stillschweigend jeweils für ein weiteres Kalenderjahr verlängert, sofern sie nicht von einem der beiden vertragschliessenden Staaten vor dem 1. Juli zum Jahresende schriftlich gekündigt wird. 3 Im Falle der Kündigung bleiben die auf Grund der vorliegenden Vereinbarung ausgesprochenen Zulassungs- und Aufenthaltsbewilligungen für die vorgesehene Dauer gültig. Max Petitpierre Johannes Coreth | Art. 10 1 Il presente accordo è conchiuso mediante scambio di note; esso entrerà in vigore all’inizio del secondo mese dopo lo scambio di note e avrà effetto fino al 31 dicembre 1956. 2 Esso sarà prorogato per tacita intesa e ogni volta per un nuovo anno, purchè non sia disdetto per iscritto da una delle due Parti anteriormente al 1° luglio per la fine dell’anno. 3 In caso di disdetta, le autorizzazioni di entrata e di soggiorno concesse in virtù del presente accordo rimarranno valide per tutta la durata per la quale sono state concesse. Max Petitpierre Johannes Coreth |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_1 | Art. 1 Au cas d’abordage ou de tout autre événement de navigation concernant un navire de mer et qui est de nature à engager la responsabilité pénale ou disciplinaire du capitaine ou de toute autre personne au service du navire, aucune poursuite ne pourra être intentée que devant les autorités judiciaires ou administratives de l’État dont le navire portait le pavillon au moment de l’abordage ou de l’événement de navigation. | Art. 1 Im Falle eines Schiffszusammenstosses oder eines sonstigen Ereignisses der Seeschifffahrt mit der Folge strafrechtlicher oder disziplinarischer Verantwortlichkeit des Kapitäns oder jeder andern Person im Dienste des Seeschiffes kann eine strafrechtliche oder disziplinarische Verfolgung ausschliesslich von den gerichtlichen oder administrativen Behörden desjenigen Staates angehoben werden, dessen Flagge das Seeschiff im Zeitpunkt des Schiffszusammenstosses oder des sonstigen Ereignisses führte. | Art. 1 Per urto fra navi o per qualsiasi altro avvenimento di navigazione concernente una nave di mare, il quale implichi la responsabilità penale o disciplinare del capitano o di qualunque altra persona addetta al servizio della nave, nessun perseguimento può essere intentato se non davanti alle autorità giudiziarie o amministrative dello Stato di cui la nave batteva bandiera al momento dell’urto o dell’avvenimento di navigazione. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_2 | Art. 2 Dans le cas prévu à l’article précédent, aucune saisie ou retenue du navire ne pourra être ordonnée, même pour des mesures d’instruction, par des autorités autres que celles dont le navire portait le pavillon. | Art. 2 In den Fällen gemäss Artikel 1 hievor kann eine Beschlagnahme oder Zurückhaltung des Seeschiffes, auch für Untersuchungshandlungen, nur von den Behörden desjenigen Staates angeordnet werden, dessen Flagge das Seeschiff führte. | Art. 2 Per il caso previsto dall’articolo primo, non può essere ordinato sequestro o ritenzione, nemmeno per misure d’istruzione, se non dalle autorità dello Stato di cui la nave batteva bandiera. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_3 | Art. 3 Aucune disposition de la présente convention ne s’oppose à ce qu’un État au cas d’abordage ou autre événement de navigation reconnaisse à ses propres autorités, le droit de prendre toutes mesures relatives aux certificats de compétence et licences qu’il a accordés, ou de poursuivre ses nationaux à raison des infractions commises pendant qu’ils étaient à bord d’un navire portant le pavillon d’un autre État. | Art. 3 Keine Bestimmung dieses Übereinkommens steht dem Recht eines Staates entgegen, im Falle eines Schiffszusammenstosses oder sonstigen Ereignisses der Seeschifffahrt seinen eigenen Behörden die Befugnis zu verleihen, alle Massnahmen bezüglich der von ihm ausgestellten Befähigungsausweise und Bewilligungen zu ergreifen, oder seine eigenen Staatsangehörigen für Verfehlungen, die sie an Bord eines Schiffes begangen haben, das die Flagge eines anderen Staates führte, zur Rechenschaft zu ziehen. | Art. 3 Nessuna disposizione della presente convenzione impedisce che uno Stato, in caso di un urto fra navi o di altro avvenimento di navigazione, riconosca alle sue autorità la competenza di prendere provvedimenti circa i certificati di idoneità e le licenze da esso rilasciati o persegua i suoi cittadini per le infrazioni commesse quando trovavansi a bordo di una nave che batteva bandiera d’un altro Stato. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_4 | Art. 4 La présente convention ne s’applique pas aux abordages ou autres événements de navigation survenus dans les ports et rades ainsi que dans les eaux intérieures. En outre, les Hautes Parties Contractantes peuvent au moment de la signature, du dépôt des ratifications ou lors de leur adhésion à la convention, se réserver le droit de poursuivre les infractions commises dans leurs propres eaux territoriales. | Art. 4 Dieses Übereinkommen findet keine Anwendung auf Schiffszusammenstösse oder sonstige Ereignisse der Seeschifffahrt, die sich in Häfen oder auf der Reede oder innerhalb der Binnengewässer ereignet haben. Des weiteren können sich die Hohen vertragschliessenden Parteien gleichzeitig mit der Unterzeichnung, der Hinterlegung der Ratifikationsurkunde oder der Beitrittserklärung zu diesem Übereinkommen das Recht vorbehalten, strafbare Handlungen und Verfehlungen innerhalb ihrer eigenen Territorialgewässer zu verfolgen. | Art. 4 La presente convenzione non è applicabile agli urti fra navi o ad altri avvenimenti di navigazione che accadono nei porti, nelle rade o nelle acque interne. Le Alte Parti contraenti possono inoltre, al momento della firma, del deposito delle ratificazioni o della loro adesione, riservarsi il diritto di perseguire le infrazioni commesse nelle loro acque territoriali. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_5 | Art. 5 Les Hautes Parties Contractantes s’engagent à soumettre à arbitrage tous différends entre États pouvant résulter de l’interprétation ou l’application de la présente Convention, sans préjudice toutefois des obligations des Hautes Parties Contractantes qui ont convenu de soumettre leurs différends à la Cour Internationale de Justice. | Art. 5 Die Hohen vertragschliessenden Parteien unterwerfen sich für alle Streitigkeiten zwischen zwei Staaten bezüglich der Auslegung oder Anwendung dieses Übereinkommens einem Schiedsgericht, vorbehältlich ihrer Verpflichtungen, allfällige Streitigkeiten dem Internationalen Gerichtshofe zu unterbreiten. | Art. 5 Le Alte Parti contraenti s’impegnano a sottoporre ad arbitrato tutte le controversie fra Stati cagionate dall’interpretazione o dall’applicazione della presente convenzione, senza pregiudizio degli obblighi delle Alte Parti contraenti che hanno convenuto di sottoporre le loro controversie alla Corte Internazionale di Giustizia. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_6 | Art. 6 La présente Convention est ouverte à la signature des États représentés à la neuvième Conférence diplomatique de Droit Maritime. Le procès-verbal de signature sera dressé par les soins du Ministère des Affaires Étrangères de Belgique. | Art. 6 Dieses Übereinkommen steht allen Staaten, welche an der neunten Diplomatischen Seerechtskonferenz vertreten waren, zur Unterzeichnung offen. Das Unterzeichnungsprotokoll wird vom Belgischen Aussenministerium erstellt. | Art. 6 La presente convenzione è aperta alla firma degli Stati rappresentati alla nona Conferenza diplomatica di diritto marittimo. Il processo verbale di firma sarà steso per cura del Ministero degli affari esteri del Belgio. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_7 | Art. 7 La présente Convention sera ratifiée et les instruments de ratification seront déposés auprès du Ministère des Affaires étrangères de Belgique qui en notifiera le dépôt à tous les États signataires et adhérents. | Art. 7 Dieses Übereinkommen ist zu ratifizieren und die Ratifikationsurkunden sind beim belgischen Aussenministerium zu hinterlegen, das den übrigen Staaten, welche das Übereinkommen ratifiziert haben oder ihm beigetreten sind, Anzeige erstattet. | Art. 7 La presente convenzione sarà ratificata e gl’istrumenti di ratificazione saranno depositati presso il Ministero degli affari esteri del Belgio, che ne notificherà il deposito a tutti gli Stati firmatari e aderenti. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_8 | Art. 8 a. La présente Convention entrera en vigueur entre les deux premiers États qui l’auront ratifiée, six mois après la date du dépôt du deuxième instrument de ratification. b. Pour chaque État signataire ratifiant la Convention après le deuxième dépôt, celle-ci entrera en vigueur six mois après la date du dépôt de son instrument de ratification. | Art. 8 a. Dieses Übereinkommen tritt zwischen den ersten beiden Staaten, welche es ratifiziert haben, nach Ablauf von sechs Monaten seit der Hinterlegung der zweiten Ratifikationsurkunde in Kraft. b. Für alle weiteren Staaten, welche das Übereinkommen alsdann ratifizieren, tritt es nach sechs Monaten seit der Hinterlegung der Ratifikationsurkunde in Kraft. | Art. 8 a. La presente convenzione entrerà in vigore, per i due primi Stati che l’avranno ratificata, sei mesi dopo la data del deposito dell’istrumento della seconda ratificazione. b. La presente convenzione entrerà in vigore sei mesi dopo il deposito del loro istrumento di ratificazione, per gli Stati firmatari che l’avranno ratificata dopo il deposito dell’istrumento della seconda ratificazione. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_9 | Art. 9 Tout État non représenté à la neuvième Conférence diplomatique de Droit Maritime pourra adhérer à la présente Convention. Les adhésions seront notifiées au Ministère des Affaires étrangères de Belgique qui en avisera par la voie diplomatique tous les États signataires et adhérents. La Convention entrera en vigueur pour l’État adhérent six mois après la date de réception de cette notification, mais pas avant la date de son entrée en vigueur telle qu’elle est fixée à l’art. 8 a . | Art. 9 Jeder Staat, der an der neunten Diplomatischen Seerechtskonferenz nicht vertreten war, kann diesem Übereinkommen beitreten. Die Beitrittsurkunden sind dem belgischen Aussenministerium zu übersenden, das hiervon auf diplomatischem Wege denjenigen Staaten, welche das Übereinkommen unterzeichnet haben oder ihm beigetreten sind, Kenntnis geben wird. Das Übereinkommen tritt für den neu beitretenden Staat sechs Monate nach Eingang der Beitrittserklärung beim belgischen Aussenministerium in Kraft, in keinem Falle aber vor dem Tag des Inkrafttretens gemäss Artikel 8 Buchstabe a. | Art. 9 Ogni Stato non rappresentato alla nona Conferenza diplomatica di diritto marittimo può aderire alla presente convenzione. Le adesioni saranno notificate al Ministero degli affari esteri del Belgio che comunicherà, in via diplomatica, le notificazioni ricevute, a tutti gli Stati firmatari e aderenti. La convenzione entrerà in vigore, per lo Stato che ad essa avrà aderito, sei mesi dopo la data del ricevimento della notificazione, ma non prima della data dell’entrata in vigore prevista nell’articolo 8, lettera a. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_10 | Art. 10 Toute Haute Partie Contractante pourra à l’expiration du délai de trois ans qui suivra l’entrée en vigueur à son égard de la présente Convention, demander la réunion d’une conférence chargée de statuer sur toutes les propositions tendant à la révision de la Convention. Toute Haute Partie Contractante qui désirerait faire usage de cette faculté en avisera le Gouvernement belge qui se chargera de convoquer la conférence dans les six mois. | Art. 10 Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien ist befugt, drei Jahre nach dem für sie erfolgten Inkrafttreten des Übereinkommens, den Zusammentritt einer neuen Konferenz zu veranlassen, um allfällige Änderungen herbeizuführen. Will ein Staat von dieser Befugnis Gebrauch machen, so hat er seine Absicht der belgischen Regierung bekanntzugeben, welche es übernehmen wird, eine neue Konferenz innert sechs Monaten einzuberufen. | Art. 10 Ciascuna Alta Parte contraente, trascorsi tre anni dalla data in cui per essa sarà entrata in vigore la presente convenzione, potrà chiedere la riunione di una conferenza incaricata di statuire su tutte le proposte di revisione della convenzione. Ciascuna Alta Parte contraente che desidera far uso di questa facoltà ne darà avviso al Governo belga il quale si incaricherà di convocare entro sei mesi la conferenza. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_11 | Art. 11 Chacune des Hautes Parties Contractantes aura le droit de dénoncer la présente Convention à tout moment après son entrée en vigueur à son égard. Toutefois, cette dénonciation ne prendra effet qu’un an après la date de réception de la notification de dénonciation au Gouvernement belge qui en avisera les autres Parties Contractantes par la voie diplomatique. | Art. 11 Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien kann das Übereinkommen jederzeit seit dem für sie erfolgten Inkrafttreten kündigen, jedoch wird die Kündigung erst nach Ablauf eines Jahres, seit Eingang der Kündigungserklärung bei der belgischen Regierung, wirksam. Die belgische Regierung wird die übrigen Vertragsstaaten auf dem diplomatischen Wege benachrichtigen. | Art. 11 Ciascuna Alta Parte contraente, in ogni tempo dopo la data in cui per essa sarà entrata in vigore la presente convenzione, avrà il diritto di disdirla. La disdetta avrà tuttavia effetto soltanto un anno dopo che la relativa notificazione sarà pervenuta al Governo belga, il quale la comunicherà, in via diplomatica, alle altre Parti contraenti. |
CH | 0.747.313.34 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence pénale en matière d'abordage et autres événements de navigation | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die strafrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen und anderen Ereignissen der Seeschifffahrt | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza penale in materia di urto fra navi e altri avvenimenti di navigazione | art_12 | Art. 12 a. Toute Haute Partie Contractante peut, au moment de la ratification, de l’adhésion, ou à tout moment ultérieur, notifier par écrit au Gouvernement belge que la présente Convention s’applique aux territoires ou à certains des territoires dont elle assure les relations internationales. La Convention sera applicable aux dits territoires six mois après la date de réception de cette notification par le Ministère des Affaires étrangères de Belgique, mais pas avant la date d’entrée en vigueur de la présente Convention à l’égard de cette Haute Partie Contractante. b. Toute Haute Partie Contractante qui a souscrit une déclaration au titre du paragraphe a de cet article, pourra à tout moment aviser le Ministère des Affaires étrangères de Belgique que la Convention cesse de s’appliquer au territoire en question. Cette dénonciation prendra effet dans le délai d’un an prévu à l’art. 11. c. Le Ministère des Affaires étrangères de Belgique avisera par la voie diplomatique tous les États signataires et adhérents de toute notification reçue par lui au titre du présent article. Fait à Bruxelles, en un seul exemplaire, le 10 mai 1952, en langues française et anglaise, les deux textes faisant également foi. | Art. 12 a. Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien kann im Zeitpunkt der Ratifikation oder ihres Beitritts sowie in jedem späteren Zeitpunkt, der belgischen Regierung schriftlich die Erklärung abgeben, dass dieses Übereinkommen auch für Territorien oder Teile hiervon, welche unter ihrer Staatshoheit stehen, Geltung haben soll. Das Übereinkommen tritt für diese Territorien nach sechs Monaten seit Eingang dieser schriftlichen Erklärung beim belgischen Aussenministerium in Kraft, in keinem Falle aber vor dem Inkrafttreten dieses Übereinkommens für den Vertragsstaat selber. b. Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien, welche eine schriftliche Erklärung gemäss Buchstabe a dieses Artikels unterzeichnet hat, kann jederzeit dem belgischen Aussenministerium mitteilen, dass das Übereinkommen für das betreffende Territorium keine Anwendung mehr findet. Diese Kündigung wird nach Ablauf der in Artikel 11 vorgesehenen Frist von einem Jahr wirksam. c. Das belgische Aussenministerium gibt allen Staaten, welche das Übereinkommen unterzeichnet haben oder ihm beigetreten sind, von den nach Massgabe dieses Artikels eingegangenen Erklärungen auf diplomatischem Wege Kenntnis. Ausgefertigt in Brüssel, am 10. Mai 1952, in französischer und englischer Sprache; der französische und der englische Wortlaut dieses Übereinkommens sind in gleicher Weise massgebend. | Art. 12 a. Ciascuna Alta Parte contraente, all’atto della ratificazione, dell’adesione o successivamente in qualsiasi tempo, può notificare per iscritto al Governo belga che la presente convenzione è applicabile ai territori o a qualcuno dei territori di cui essa, Alta Parte contraente, assicura le relazioni internazionali. La convenzione sarà applicabile a detti territori sei mesi dopo la data in cui la notificazione sarà pervenuta al Ministero degli affari esteri del Belgio, ma non prima della data dell’entrata in vigore della presente convenzione per detta Alta Parte contraente. b. Ciascuna Alta Parte contraente che avrà firmato una dichiarazione conformemente alla lettera a di questo articolo potrà in ogni tempo notificare al Ministero degli affari esteri del Belgio che la convenzione cessa d’essere applicata al territorio di cui si tratta. Questa disdetta avrà effetto dopo il termine di un anno previsto nell’articolo 11. c. Il Ministero degli affari esteri del Belgio comunicherà, in via diplomatica, a tutti gli Stati firmatari e aderenti, le notificazioni ricevute a norma del presente articolo. Fatto a Bruxelles, in un solo esemplare, il 10 maggio 1952, nelle lingue francese e inglese, i cui testi fanno parimente fede. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_1 | Art. 1 1. L’action du chef d’un abordage survenu entre navires de mer ou entre navires de mer et bateaux de navigation intérieure pourra être intentée uniquement: a) Soit devant le tribunal de la résidence habituelle du défendeur ou d’un des sièges de son exploitation; b) Soit devant le tribunal du lieu où une saisie a été pratiquée sur le navire défendeur ou sur un autre navire appartenant au même défendeur dans le cas où cette saisie est autorisée, ou du lieu où la saisie aurait pu être pratiquée et où le défendeur a donné une caution ou une autre garantie; c) Soit devant le tribunal du lieu de l’abordage, lorsque cet abordage est survenu dans les ports et rades ainsi que dans les eaux intérieures. 2. Il appartiendra au demandeur de décider devant lequel des tribunaux indiqués au paragraphe précédent l’action sera portée. 3. Le demandeur ne pourra pas intenter au même défendeur une nouvelle action basée sur les mêmes faits devant une autre juridiction sans se désister de l’action déjà introduite. | Art. 1 1. Für Klagen wegen eines Zusammenstosses von Seeschiffen oder von Seeschiffen und Binnenschiffen sind ausschliesslich folgende Gerichte zuständig: a. das Gericht am Ort des Wohnsitzes oder einer Geschäftsniederlassung des Beklagten; b. oder das Gericht des Ortes, wo das schuldige Seeschiff, oder ein anderes, demselben Beklagten gehörendes Seeschiff, sofern dessen Beschlagnahme zulässig ist, beschlagnahmt worden ist, oder des Ortes, wo die Beschlagnahme hätte durchgeführt werden können und wo der Beklagte eine Kaution oder eine anderweitige Sicherheit geleistet hat; c. oder das Gericht des Ortes, wo sich der Schiffszusammenstoss ereignet hat, wenn dieser Ort in einem Hafen, auf der Reede oder innerhalb der Binnengewässer liegt. 2. Der Kläger hat sich zu entscheiden, vor welchem in vorstehendem Absatz bezeichneten Gericht er seine Klage einreichen will. 3. Der Kläger kann eine neue Klage gegen denselben Beklagten gestützt auf dieselben Tatsachen vor einem andern Gericht nur einreichen, wenn er eine bereits eingereichte Klage zurückgezogen hat. | Art. 1 1. L’azione per urto fra navi di mare o fra navi di mare e battelli della navigazione interna può essere proposta unicamente: a. sia davanti al tribunale del luogo in cui il convenuto abitualmente risiede o in cui trovasi una delle sedi della sua impresa; b. sia davanti al tribunale del luogo in cui è stato eseguito il sequestro della nave in causa, o di un’altra nave appartenente al medesimo convenuto nel caso in cui tale sequestro sia autorizzato, oppure davanti al tribunale del luogo in cui il sequestro sarebbe potuto essere eseguito e dove il convenuto ha prestato cauzione o altra garanzia; c. sia davanti al tribunale del luogo in cui l’urto è accaduto, qualora esso abbia avuto luogo in porti, rade o acque interne. 2. L’attore sceglie fra questi tribunali quello davanti al quale proporre l’azione. 3. L’attore non potrà, per i medesimi fatti, intentare alla stessa controparte una nuovo azione davanti a un’altra giurisdizione, se non desiste dall’azione già proposta. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_2 | Art. 2 Les dispositions de l’art. 1 ne portent aucune atteinte au droit des Parties de porter une action à raison de l’abordage devant telle juridiction qu’elles auront choisie d’un commun accord ou bien de la soumettre à l’arbitrage. | Art. 2 Die Bestimmungen von Artikel 1 hievor belassen den Parteien das Recht, eine Klage wegen eines Schiffszusammenstosses bei demjenigen Gericht anzubringen, dessen Zuständigkeit sie gemeinsam vereinbart haben, sowie das Recht, auf ein Schiedsgericht zu kompromittieren. | Art. 2 Le disposizioni dell’articolo primo non pregiudicano il diritto delle Parti di proporre un’azione per urto davanti ad una giurisdizione scelta di comune accordo, oppure di sottoporre l’azione all’arbitrato. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_3 | Art. 3 1. Les demandes reconventionnelles nées du même abordage pourront être portées, devant le tribunal compétent pour connaître de l’action principale aux termes de l’article premier. 2. Dans le cas où il existe plusieurs demandeurs, chacun pourra porter son action devant le tribunal antérieurement saisi d’une action née du même abordage contre la même partie. 3. Au cas d’abordage où plusieurs navires sont impliqués, rien dans les dispositions de la présente Convention ne s’oppose à ce que le tribunal saisi par application des règles de l’art. 1 se déclare compétent suivant les règles de compétence de sa loi nationale pour juger toutes les actions intentées à raison du même événement. | Art. 3 1. Widerklagen aus demselben Schiffszusammenstoss können bei demselben Gerichte eingereicht werden, das gemäss Artikel 1 hievor für die Hauptklage zuständig ist 2. Sind mehrere Kläger vorhanden, so kann jeder seine Klage bei demselben Gericht einreichen, bei welchem gegen dieselbe Partei bereits eine Klage eingereicht worden ist. 3. Sind bei einem Schiffszusammenstoss mehrere Schiffe beteiligt, so steht keine Bestimmung dieses Übereinkommens dem Recht entgegen, dass das gemäss Artikel 1 zuständige Gericht sich nach Massgabe der Zuständigkeitsregeln seines Landesrechtes für die Beurteilung aller Klagen aus demselben Schiffszusammenstoss zuständig erklärt. | Art. 3 1. Le domande riconvenzionali, causate da uno stesso urto fra navi, possono essere proposte davanti al tribunale competente, secondo il disposto dell’articolo primo, a decidere l’azione principale. 2. Se vi sono più attori, ognuno può proporre la propria azione davanti al tribunale già adito per un’azione diretta contro la stessa controparte e causata dallo stesso urto fra navi. 3. Se all’urto concorsero più navi, le disposizioni della presente convenzione non impediscono al tribunale adito, in applicazione del disposto dell’articolo primo, di dichiararsi competente, secondo le regole di competenza della propria legge nazionale, a giudicare tutte le azione intentate a causa dell’unico evento. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_4 | Art. 4 La présente convention s’étend aux actions tendant à la réparation des dommages que, soit par exécution ou omission d’une manœuvre, soit par inobservation des règlements, un navire a causé soit à un autre navire, soit aux choses ou aux personnes se trouvant à bord, alors même qu’il n’y aurait pas eu abordage. | Art. 4 Dieses Übereinkommen findet auf den Ersatz des Schadens, den ein Schiff durch Ausführung oder Unterlassung eines Manövers oder durch Nichtbeobachtung einer Verordnung einem andern Schiffe oder den an Bord befindlichen Personen oder Sachen zugefügt hat, auch dann Anwendung, wenn ein Zusammenstoss nicht stattgefunden hat. | Art. 4 La presente convenzione regge, anche se non vi è stato urto, le azioni di risarcimento dei danni, causati, sia per esecuzione od omissione di manovra, sia per inosservanza dei regolamenti, da una nave a un’altra nave oppure a cose o persone a bordo. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_5 | Art. 5 Rien de ce qui est prescrit dans la présente convention ne modifie les règles de droit qui sont en vigueur dans les États Contractants, en ce qui concerne les abordages intéressant des navires de guerre ou des navires appartenant à l’État ou au service de l’État. | Art. 5 Keine Vorschrift dieses Übereinkommens ändert die in den Vertragsstaaten geltenden Bestimmungen über den Schiffszusammenstoss, an welchem Kriegsschiffe, Staatsschiffe oder im Dienste des Staates stehende Schiffe beteiligt sind. | Art. 5 Le disposizioni della presente convenzione non modificano le regole giuridiche che vigono negli Stati contraenti circa gli urti fra navi da guerra oppure fra navi appartenenti allo Stato od adibite al suo servizio. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_6 | Art. 6 La présente Convention sera sans effet en ce qui concerne les actions nées du contrat de transport ou de tout autre contrat. | Art. 6 Dieses Übereinkommen findet keine Anwendung auf Klagen, die sich auf einen Beförderungsvertrag oder einen sonstigen Vertrag stützen. | Art. 6 La presente convenzione non regge le azioni fondate su contratti di trasporto od altri contratti. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_7 | Art. 7 La présente Convention ne s’appliquera pas aux cas visés par les dispositions de la Convention revisée sur la navigation du Rhin du 17 octobre 1868. | Art. 7 Dieses Übereinkommen findet keine Anwendung auf Fälle, welche in der Revidierten Rheinschiffahrts-Akte vom 17. Oktober 1868 geregelt sind. | Art. 7 La presente convenzione non si applica ai casi contemplati dalle disposizioni della convenzione riveduta, del 17 ottobre 1868, concernente la navigazione sul Reno. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_8 | Art. 8 Les dispositions de la présente Convention seront appliquées à l’égard de tous les intéressés, lorsque tous les navires en cause seront ressortissants aux États des Hautes Parties Contractantes. Il est entendu toutefois: 1. Qu’à l’égard des intéressés ressortissant d’un État non contractant, l’application desdites dispositions pourra être subordonnée par chacun des États Contractants à la condition de réciprocité; 2. Que, lorsque tous les intéressés sont ressortissants du même État que le tribunal saisi, c’est la loi nationale et non la Convention qui est applicable. | Art. 8 Die Bestimmungen dieses Übereinkommens finden auf alle Beteiligten Anwendung, wenn alle beteiligten Schiffe die Staatsangehörigkeit einer Hohen vertragschliessenden Partei besitzen. Jedoch besteht Einverständnis darüber: 1. dass jeder Vertragsstaat die Anwendung der bezeichneten Bestimmungen auf Beteiligte, die einem Nichtvertragsstaate angehören, von der Voraussetzung der Gegenseitigkeit abhängig machen kann; 2. dass die Landesgesetzgebung und nicht das Übereinkommen Anwendung findet, wenn alle Beteiligten dem Staate angehören, dessen Gericht angerufen wurde. | Art. 8 Le disposizioni della presente convenzione sono applicate a tutti gli interessati quando tutte le navi in causa battono bandiera degli Stati delle Alte Parti contraenti. S’intende tuttavia: 1. che l’applicazione di dette disposizioni agli interessati, soggetti di uno Stato non contraente, potrà, da ogni Stato contraente, essere subordinata alla reciprocità; 2. che é applicabile la legge nazionale e non la convenzione quando tutti gli interessati sono soggetti dello Stato stesso cui appartiene il tribunale adito. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_9 | Art. 9 Les Hautes Parties Contractantes s’engagent à soumettre à arbitrage tous différends entre États pouvant résulter de l’interprétation ou l’application de la présente Convention, sans préjudice toutefois des obligations des Hautes Parties Contractantes qui ont convenu de soumettre leurs différends à la Cour Internationale de Justice. | Art. 9 Die Hohen vertragschliessenden Parteien unterwerfen sich für alle Streitigkeiten zwischen zwei Staaten bezüglich der Auslegung oder Anwendung dieses Übereinkommens einem Schiedsgericht, vorbehältlich ihrer Verpflichtung, allfällige Streitigkeiten dem Internationalen Gerichtshofe zu unterbreiten. | Art. 9 Le Alte Parti contraenti s’impegnano a sottoporre ad arbitrato tutte le controversie fra Stati cagionate dall’interpretazione o dall’applicazione della presente convenzione, senza pregiudizio degli obblighi delle Alte Parti contraenti che hanno convenuto di sottoporre le loro controversie alla Corte Internazionale di Giustizia. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_10 | Art. 10 La présente Convention est ouverte à la signature des États représentés à la neuvième Conférence diplomatique de Droit Maritime. Le procès-verbal de signature sera dressé par les soins du Ministère des Affaires étrangères de Belgique. | Art. 10 Dieses Übereinkommen steht allen Staaten, welche an der neunten Diplomatischen Seerechtskonferenz vertreten waren, zur Unterzeichnung offen. Das Unterzeichnungsprotokoll wird vom belgischen Aussenministerium erstellt. | Art. 10 La presente convenzione è aperta alla firma degli Stati rappresentati alla nona Conferenza diplomatica di diritto marittimo. Il processo verbale di firma sarà steso per cura del Ministero degli affari esteri del Belgio. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_11 | Art. 11 La présente Convention sera ratifiée et les instruments de ratification seront déposés auprès du Ministère des Affaires étrangères de Belgique qui en notifiera le dépôt à tous les États signataires et adhérents. | Art. 11 Dieses Übereinkommen ist zu ratifizieren und die Ratifikationsurkunden sind beim belgischen Aussenministerium zu hinterlegen, das den übrigen Staaten, welche das Übereinkommen ratifiziert haben oder ihm beigetreten sind, Anzeige erstattet. | Art. 11 La presente convenzione sarà ratificata e gl’istrumenti di ratificazione saranno depositati presso il Ministero degli affari esteri del Belgio, che ne notificherà il deposito a tutti gli Stati firmatari e aderenti. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_12 | Art. 12 a. La présente Convention entrera en vigueur entre les deux premiers États qui l’auront ratifiée, six mois après la date du dépôt du deuxième instrument de ratification. b. Pour chaque État signataire ratifiant la Convention après le deuxième dépôt, celle-ci entrera en vigueur six mois après la date du dépôt de son instrument de ratification. | Art. 12 a. Dieses Übereinkommen tritt zwischen den ersten beiden Staaten, welche es ratifiziert haben, nach Ablauf von sechs Monaten seit der Hinterlegung der zweiten Ratifikationsurkunde in Kraft. b. Für alle weiteren Staaten, welche das Übereinkommen alsdann ratifizieren, tritt es nach sechs Monaten seit der Hinterlegung der Ratifikationsurkunde in Kraft. | Art. 12 a. La presente convenzione entrerà in vigore, per i due primi Stati che l’avranno ratificata, sei mesi dopo la data del deposito dell’istrumento della seconda ratificazione. b. La presente convenzione entrerà in vigore sei mesi dopo il deposito del loro istrumento di ratificazione, per gli Stati firmatari che l’avranno ratificata dopo il deposito dell’istrumento della seconda ratificazione. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_13 | Art. 13 Tout État non représenté à la neuvième Conférence diplomatique de Droit Maritime pourra adhérer à la présente Convention. Les adhésions seront notifiées au Ministère des Affaires étrangères de Belgique qui en avisera par la voie diplomatique tous les États signataires et adhérents. La Convention entrera en vigueur pour l’État adhérent six mois après la date de réception de cette notification, mais pas avant la date de son entrée en vigueur telle qu’elle est fixée à l’art. 12 a. | Art. 13 Jeder Staat, der an der neunten Diplomatischen Seerechtskonferenz nicht vertreten war, kann diesem Übereinkommen beitreten. Die Beitrittsurkunden sind dem belgischen Aussenministerium zu übersenden, das hievon auf diplomatischem Wege denjenigen Staaten, welche das Übereinkommen unterzeichnet haben oder ihm beigetreten sind, Kenntnis gibt. Das Übereinkommen tritt für den neu beitretenden Staat sechs Monate nach Eingang der Beitrittserklärung beim belgischen Aussenministerium in Kraft, in keinem Falle aber vor dem Tag des Inkrafttretens gemäss Artikel 12 Buchstabe a. | Art. 13 Ogni Stato non rappresentato alla nona Conferenza diplomatica di diritto marittimo può aderire alla presente convenzione. Le adesioni saranno notificate al Ministro degli affari esteri del Belgio che comunicherà, in via diplomatica, le notificazioni ricevute, a tutti gli stati firmatari e aderenti. La convenzione entrerà in vigore, per lo Stato che ad essa avrà aderito, sei mesi dopo la data del ricevimento della notificazione, ma non prima della data dell’entrata in vigore prevista nell’articolo 12, lettera a. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_14 | Art. 14 Toute Haute Partie Contractante pourra à l’expiration du délai de trois ans qui suivra l’entrée en vigueur à son égard de la présente Convention, demander la réunion d’une Conférence chargée de statuer sur toutes les propositions tendant à la révision de la Convention. Toute Haute Partie Contractante qui désirerait faire usage de cette faculté en avisera le Gouvernement belge qui se chargera de convoquer la Conférence dans les six mois. | Art. 14 Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien ist befugt, drei Jahre nach dem für sie erfolgten Inkrafttreten des Übereinkommens den Zusammentritt einer neuen Konferenz zu veranlassen, um allfällige Änderungen herbeizuführen. Will ein Staat von dieser Befugnis Gebrauch machen, so hat er seine Absicht der belgischen Regierung bekanntzugeben, welche es übernehmen wird, eine neue Konferenz innert sechs Monaten einzuberufen. | Art. 14 Ciascuna Alta Parte contraente, trascorsi tre anni dalla data in cui per essa sarà entrata in vigore la presente convenzione, potrà chiedere la riunione di una conferenza incaricata di statuire su tutte le proposte di revisione della convenzione. Ciascuna Alta Parte contraente che desidera far uso di questa facoltà ne darà avviso al Governo belga il quale si incaricherà di convocare entro sei mesi la conferenza. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_15 | Art. 15 Chacune des Hautes Parties Contractantes aura le droit de dénoncer la présente Convention à tout moment après son entrée en vigueur à son égard. Toutefois, cette dénonciation ne prendra effet qu’un an après la date de réception de la notification de dénonciation au Gouvernement belge qui en avisera les autres Parties Contractantes par la voie diplomatique. | Art. 15 Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien kann das Übereinkommen jederzeit seit dem für sie erfolgten Inkrafttreten kündigen, jedoch wird die Kündigung erst nach Ablauf eines Jahres seit Eingang der Kündigungserklärung bei der belgischen Regierung wirksam. Die belgische Regierung wird die übrigen Vertragsstaaten auf diplomatischem Wege benachrichtigen. | Art. 15 Ciascuna Alta Parte contraente, in ogni tempo dopo la data in cui per essa sarà entrata in vigore la presente convenzione, avrà il diritto di disdirla. La disdetta avrà tuttavia effetto soltanto un anno dopo che la relativa notificazione sarà pervenuta al Governo belga, il quale la comunicherà, in via diplomatica, alle altre Parti contraenti. |
CH | 0.747.313.24 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles relatives à la compétence civile en matière d'abordage | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die zivilrechtliche Zuständigkeit bei Schiffszusammenstössen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole concernenti la competenza civile in materia di urto fra navi | art_16 | Art. 16 a. Toute Haute Partie Contractante peut, au moment de la ratification, de l’adhésion, ou à tout moment ultérieur, notifier par écrit au Gouvernement belge que la présente Convention s’applique aux territoires ou à certains des territoires dont elle assure les relations internationales. La Convention sera applicable aux dits territoires six mois après la date de réception de cette notification par le Ministère des Affaires étrangères de Belgique, mais pas avant la date d’entrée en vigueur de la présente Convention à l’égard de cette Haute Partie Contractante. b. Toute Haute Partie Contractante qui a souscrit une déclaration au titre du par. a de cet article, pourra à tout moment aviser le Ministère des Affaires étrangères de Belgique que la Convention cesse de s’appliquer au Territoire en question. Cette dénonciation prendra effet dans le délai d’un an prévu à l’art. 15. c. Le Ministère des Affaires étrangères de Belgique avisera par la voie diplomatique tous les États signataires et adhérents de toute notification reçue par lui au titre du présent article. | Art. 16 a. Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien kann im Zeitpunkt der Ratifikation oder ihres Beitritts sowie in jedem späteren Zeitpunkt der belgischen Regierung schriftlich die Erklärung abgeben, dass dieses Übereinkommen auch für Territorien oder Teile hievon, welche unter ihrer Staatshoheit stehen, Geltung haben soll. Das Übereinkommen tritt für diese Territorien nach sechs Monaten seit Eingang dieser schriftlichen Erklärung beim belgischen Aussenministerium in Kraft, in keinem Falle aber vor dem Inkrafttreten dieses Übereinkommens für den Vertragsstaat selber. b. Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien, welche eine schriftliche Erklärung gemäss Buchstabe a dieses Artikels unterzeichnet hat, kann jederzeit dem belgischen Aussenministerium mitteilen, dass das Übereinkommen für das betreffende Territorium keine Anwendung mehr findet. Diese Kündigung wird nach Ablauf der in Artikel 15 vorgesehenen Frist von einem Jahr wirksam. c. Das belgische Aussenministerium gibt allen Staaten, welche das Übereinkommen unterzeichnet haben oder ihm beigetreten sind, von den nach Massgabe dieses Artikels eingegangenen Erklärungen auf diplomatischem Wege Kenntnis. Ausgefertigt in Brüssel, am 10. Mai 1952, in französischer und englischer Sprache; der französische und der englische Wortlauf dieses Übereinkommens sind in gleicher Weise massgebend. | Art. 16 a. Ciascuna Alta Parte contraente, all’atto della ratificazione, dell’adesione o successivamente in qualsiasi tempo, può notificare per iscritto al Governo belga che la presente convenzione è applicabile ai territori o a qualcuno dei territori di cui essa, Alta Parte contraente, assicura le relazioni internazionali. La convenzione sarà applicabile a detti territori sei mesi dopo la data in cui la notificazione sarà pervenuta al Ministero degli affari esteri del Belgio, ma non prima della data dell’entrata in vigore della presente convenzione per detta Alta Parte contraente. b. Ciascuna Alta Parte contraente che avrà firmato una dichiarazione conformemente alla lettera a di questo articolo potrà in ogni tempo notificare al Ministero degli affari esteri del Belgio che la convenzione cessa d’essere applicata al territorio di cui si tratta. Questa disdetta avrà effetto dopo il termine di un anno previsto nell’articolo 15. c. Il Ministero degli affari esteri del Belgio comunicherà, in via diplomatica, a tutti gli Stati firmatari e aderenti, le notificazioni ricevute a norma del presente articolo. Fatto a Bruxelles, in un solo esemplare, il 10 maggio 1952, nelle lingue francese e inglese, i cui testi fanno parimenti fede. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_1 | Art. 1 Dans la présente Convention, les expressions suivantes sont employées, avec les significations indiquées ci-dessous: 1. «Créance Maritime» signifie allégation d’un droit ou d’une créance ayant l’une des causes suivantes: a. Dommages causés par un navire soit par abordage, soit autrement; b. Pertes de vies humaines ou dommages corporels causés par un navire ou provenant de l’exploitation d’un navire; c. Assistance et sauvetage; d. Contrats relatifs à l’utilisation ou la location d’un navire par charte-partie ou autrement; e. Contrats relatifs au transport des marchandises par un navire en vertu d’une charte-partie, d’un connaissement or autrement; f. Pertes ou dommages aux marchandises et bagages transportés par un navire; g. Avarie commune; h. Prêt à la grosse; i. Remorquage; j. Pilotage; k. Fournitures, quel qu’en soit le lieu, de produits ou de matériel faites à un navire en vue de son exploitation ou de son entretien; l. Construction, réparations, équipement d’un navire ou frais de cale; m. Salaires des Capitaine, Officiers ou hommes d’équipage; n. Débours du Capitaine et ceux effectués par les chargeurs, les affréteurs ou les Agents pour le compte du navire ou de son propriétaire; o. La propriété contestée d’un navire; p. La copropriété contestée d’un navire ou sa possession, ou son exploitation, ou les droits aux produits d’exploitation d’un navire en copropriété; q. Toute hypothèque maritime et tout mort-gage. 2. «Saisie» signifie l’immobilisation d’un navire avec l’autorisation de l’autorité judiciaire compétente pour garantie d’une créance maritime, mais ne comprend pas la saisie d’un navire pour l’exécution d’un titre. 3. «Personne» comprend toute personne physique ou morale, société de personnes or de capitaux ainsi que les États, les Administrations et Établissements publics. 4. «Demandeur» signifie une personne, invoquant à son profit, l’existence d’une créance maritime. | Art. 1 In diesem Übereinkommen werden die folgenden Worte in dem nachstehend angegebenen Sinne verwendet: 1. «Maritime Forderung» bezeichnet einen Anspruch oder eine Forderung, welche aus einem oder mehreren der nachstehend aufgeführten Rechtsgründe entstanden sind: a. Schäden, die von einem Seeschiff durch Schiffszusammenstoss oder auf andere Weise verursacht worden sind; b. Verlust von menschlichem Leben oder Körperverletzung, verursacht durch ein Seeschiff oder aus dem Betriebe eines Seeschiffes herrührend; c. Hilfeleistung und Bergung; d. Verträge über die Verwendung oder Vermietung eines Seeschiffes mittels einer Chartepartie oder auf andere Weise; e. Verträge über die Beförderung von Gütern mit einem Seeschiff nach Massgabe einer Chartepartie, eines Konnossementes oder auf andere Weise; f. Verlust oder Beschädigung von mit einem Seeschiff beförderten Gütern oder Reisegepäck; g. Havarie-Grosse; h. Bodmerei; i. Schleppfahrt; j. Lotsendienst; k. Lieferung von Waren oder Material für den Betrieb oder Unterhalt eines Seeschiffes, gleichgültig an welchem Ort die Lieferung erfolgt ist; l. Bau, Reparatur oder Ausrüstung und Bemannung eines Seeschiffes sowie Werftkosten; m. Löhne und Heuer der Kapitäne, Schiffsoffiziere und Schiffsmannschaften; n. Auslagen des Kapitäns, der Ablader, Befrachter oder Agenten für Rechnung des Seeschiffes oder des Schiffseigentümers; o. Eigentum an einem Seeschiff; p. Gemeinschaftliches Eigentum an einem Seeschiff, Betrieb, Besitz oder Nutzungsrechte an einem Seeschiff in gemeinschaftlichem Eigentum; q. Schiffshypotheken oder Sicherheitsübereignung eines Seeschiffes. 2. «Beschlagnahme» bedeutet jede Verarrestierung eines Seeschiffes mit Bewilligung einer zuständigen gerichtlichen Behörde zur Sicherung einer maritimen Forderung, bedeutet aber nicht Beschlagnahme oder Pfändung eines Seeschiffes für die Vollziehung eines vollstreckbaren Forderungstitels. 3. «Person» umfasst jede natürliche oder juristische Person, Personengesellschaft oder Kapitalgesellschaft, sowie die Staaten, Verwaltungen und öffentlich-rechtlichen Anstalten. 4. Das Wort «Kläger» bezeichnet jede Person, die zu ihren Gunsten den Bestand einer maritimen Forderung geltend macht. | Art. 1 Nella presente convenzione, le espressioni qui elencate sono usate con le comprensioni seguenti: 1. «Credito marittimo» significa: allegazione di un diritto o di un credito fondati su una di queste cause: a. danni provocati da una nave per urto o altrimenti, b. perdite di vite umane o lesioni corporali provocate da una nave o provenienti dall’esercizio di una nave, c. assistenza e salvataggio, d. contratti relativi all’uso o alla locazione di una nave per noleggio o altrimenti, e. contratti relativi al trasporto di merci per nave in virtù di un noleggio, di una polizza di carico o d’altro, f. perdite o avarie delle merci e dei bagagli trasportati per nave, g. avaria comune, h. prestito navale, i. rimorchio, j. pilotaggio, k. forniture di prodotti o di materiali, in qualsiasi luogo fatte a una nave per il suo esercizio o la sua manutenzione, l. costruzione, riparazioni, attrezzatura di nave o spese di cantiere, m. salari del capitano, degli ufficiali, dell’equipaggio, n. esborsi del capitano, dei caricatori, dei noleggiatori o degli agenti per la nave o per conto del suo proprietario, o. proprietà contestata di una nave, p. comproprietà contestata di una nave, oppure possesso, esercizio o partecipazione agli utili d’esercizio, di una nave in comproprietà, q. ogni ipoteca navale e ogni pegno morto; 2. «sequestro» significa: l’immobilizzazione – autorizzata dalla giurisdizione competente – di una nave per garanzia di un credito marittimo, esclusa però la detenzione di una nave per l’esecuzione di un titolo; 3. «persona» significa sia le persone fisiche e giuridiche, sia le società di persone o di capitali, sia gli Stati, le amministrazioni e gli enti pubblici; 4. «attore» significa la persona che allega a suo profitto l’esistenza di un credito marittimo. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_2 | Art. 2 Un navire battant pavillon d’un des États contractants ne pourra être saisie dans le ressort d’un État Contractant qu’en vertu d’une créance maritime, mais rien dans les dispositions de la présente Convention ne pourra être considéré comme une extension ou une restriction des droits et pouvoirs que les États, Autorités publiques ou Autorités portuaires tiennent de leur loi interne ou de leurs règlements, de saisir, détenir ou autrement empêcher un navire de prendre la mer dans leur ressort. | Art. 2 Ein Seeschiff, das die Flagge eines der Vertragsstaaten führt, kann im Gebiete eines andern Vertragsstaates nur für eine maritime Forderung vorsorglich beschlagnahmt werden, doch haben keine Bestimmungen dieses Übereinkommens die Bedeutung, dass die Rechte und Befugnisse eines Staates, einer öffentlichen oder Hafenbehörde, nach Massgabe des eigenen Landesrechtes ein Seeschiff zu beschlagnahmen, festzuhalten oder an der Ausfahrt innerhalb ihres Hoheitsgebietes zu verhindern, eingeschränkt oder ausgedehnt werden. | Art. 2 La nave battente bandiera di uno degli Stati contraenti, non può essere sequestrata nella giurisdizione di uno Stato contraente, se non in virtù di un credito marittimo, ma le disposizioni della presente convenzione non comportano estensione o restrizione alcuna dei diritti e poteri di sequestrare una nave o di detenerla o di impedirle comunque di salpare, che, nell’ambito della loro giurisdizione, competono agli Stati o alle autorità pubbliche o portuali in virtù delle loro leggi e regolamenti interni. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_3 | Art. 3 1. Sans préjudice des dispositions du par. 4 et de l’art. 10, tout Demandeur peut saisir soit le navire auquel la créance se rapporte, soit tout autre navire appartenant à celui qui était, au moment où est née la créance maritime, propriétaire du navire auquel cette créance se rapporte alors même que le navire saisie est prêt à faire voile, mais aucun navire ne pourra être saisi pour une créance prévue aux alinéas o, p ou q de l’article premier à l’exception du navire même que concerne la réclamation. 2. Des navires seront réputés avoir le même propriétaire lorsque toutes les parts de propriété appartiendront à une même ou aux mêmes personnes. 3. Un navire ne peut être saisi et caution ou garantie ne sera donnée, plus d’une fois dans la juridiction d’un ou plusieurs des États Contractants, pour la même créance et par le même Demandeur; et si un navire est saisi dans une des dites juridictions et une caution ou une garantie a été donnée, soit pour obtenir la mainlevée de la saisie, soit pour éviter celle-ci, toute saisie ultérieure de ce navire, ou de n’importe quel autre navire, appartenant au même propriétaire, par le Demandeur et pour la même créance maritime, sera levée et le navire sera libéré par le Tribunal ou toute autre juridiction compétente du dit État, à moins que le Demandeur ne prouve, à la satisfaction du Tribunal ou de toute autre Autorité Judiciaire compétente, que la garantie ou la caution a été définitivement libérée avant que la saisie subséquente n’ait été pratiquée ou qu’il n’y ait une autre raison valable pour la maintenir. 4. Dans le cas d’un affrètement d’un navire avec remise de la gestion nautique, lorsque l’affréteur répond, seul, d’une créance maritime relative à ce navire, le Demandeur peut saisir ce navire ou tel autre appartenant à l’affréteur, en observant les dispositions de la présente Convention, mais nul autre navire appartenant au propriétaire ne peut être saisi en vertu de cette créance maritime. L’alinéa qui précède s’applique également à tous les cas où une personne autre que le propriétaire est tenue d’une créance maritime. | Art. 3 1. Vorbehältlich der Bestimmungen von Absatz 4 hiernach und von Artikel 10 kann jeder Kläger entweder dasjenige Seeschiff, auf welches sich eine Forderung bezieht, oder jedes andere Seeschiff, das demselben Eigentümer im Zeitpunkt der Entstehung der maritimen Forderung gehört, beschlagnahmen lassen, selbst wenn das Seeschiff segelfertig ist. Für die Forderungen oder Ansprüche gemäss Buchstabe o, p oder q des Artikels 1 kann jedoch nur dasjenige Seeschiff beschlagnahmt werden, auf das sich der Anspruch bezieht. 2. Die Seeschiffe gelten als Eigentum desselben Schiffseigentümers, wenn alle Eigentumsanteile ein und derselben Person gehören. 3. Für die gleiche Forderung des gleichen Klägers kann ein Seeschiff im Gebiete eines oder mehrerer Vertragsstaaten nur einmal beschlagnahmt, oder eine Kaution oder Sicherheitsleistung nur einmal verlangt werden; wird ein Seeschiff im Gebiet eines Vertragsstaates beschlagnahmt und ist eine Kaution oder Sicherheit für die Aufhebung oder Abwendung der Beschlagnahme geleistet worden, so ist jede weitere Beschlagnahme desselben Schiffes oder jedes andern Seeschiffes desselben Eigentümers durch den Kläger für dieselbe maritime Forderung vom Gericht oder jeder anderen zuständigen gerichtlichen Behörde eines anderen Staates aufzuheben und das Seeschiff ist freizugeben, es sei denn, dass der Kläger genügend nachweist, dass auf eine Kaution oder Sicherheitsleistung endgültig verzichtet und diese freigegeben worden ist, bevor die nachfolgende Beschlagnahme anbegehrt wurde, oder dass ein anderer gültiger Grund für die Aufrechterhaltung der ersten Beschlagnahme besteht. 4. Haftet im Falle einer Vercharterung mit Überlassung der nautischen Führung des Seeschiffes an den Befrachter letzterer allein für eine maritime Forderung bezüglich des betreffenden Seeschiffes, so kann der Kläger dieses Seeschiff oder jedes andere Seeschiff, das diesem Befrachter gehört, nach Massgabe dieses Übereinkommens beschlagnahmen lassen, jedoch kann kein anderes Seeschiff, das dem Schiffseigentümer gehört, für diese maritime Forderung beschlagnahmt werden. Dieser Absatz findet auch auf alle anderen Fälle Anwendung, in welchen eine andere Person als der Eigentümer für eine maritime Forderung haftet. | Art. 3 1. Fermo restando il disposto del quarto capoverso qui appresso e dell’articolo 10, ogni attore può sequestrare, anche se pronte a salpare, sia la nave cui il credito si riferisce sia ogni altra nave appartenente a colui che era, al momento dell’insorgere del credito marittimo, proprietario della nave cui il credito si riferisce; ma nessuna nave, tranne quella cui il credito si riferisce, può essere sequestrata per i crediti previsti alle lettere o, p, q dell’articolo 1. 2. Delle navi sono reputate appartenere allo stesso proprietario quando tutte le parti di proprietà appartengono alla stessa o alle stesse persone. 3. Una nave può essere sequestrata e una cauzione o una garanzia pretesa, per lo stesso credito e dallo stesso attore, nella giurisdizione di uno o di più Stati contraenti, un’unica volta soltanto e, se in una di dette giurisdizioni una cauzione o una garanzia è prestata per ottenere la revoca del sequestro o per evitarlo, ogni ulteriore sequestro della stessa nave o di qualsiasi altra nave dello stesso proprietario, da parte dell’attore per lo stesso credito marittimo, sarà revocato e la nave sarà liberata dal tribunale o da qualsiasi altra competente autorità giudiziaria dello Stato in questione, salvo che l’attore provi esaurientemente al tribunale o all’altra competente autorità giudiziaria, che la garanzia o la cauzione erano state definitivamente liberate prima che l’ulteriore sequestro intervenisse oppure provi che c’è un’altra valida ragione per mantenere il sequestro. 4. Quando il noleggiatore risponde solo, di un credito marittimo relativo ad una nave noleggiata con rimessa della gestione nautica, l’attore può sequestrare quella nave o altra appartenente al noleggiatore, osservando le disposizioni della presente convenzione; ma in virtù di quel eredito non può sequestrare alcun’altra nave appartenente al proprietario. Il capoverso precedente è pure applicabile nei casi in cui una persona diversa dal proprietario è tenuta a un credito marittimo. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_4 | Art. 4 Un navire ne peut être saisi qu’avec l’autorisation d’un Tribunal ou de toute autre Autorité Judiciaire compétente de l’État Contractant dans lequel la saisie est pratiquée. | Art. 4 Ein Seeschiff kann nur mit Bewilligung eines Gerichtes oder einer andern zuständigen gerichtlichen Behörde des Vertragsstaates, in dem die Beschlagnahme durchzuführen ist, beschlagnahmt werden. | Art. 4 Una nave può essere sequestrata soltanto con l’autorizzazione di un tribunale o di un’altra autorità giudiziaria competente dello Stato contraente nel quale il sequestro è effettuato. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_5 | Art. 5 Le Tribunal ou toute autre Autorité Judiciaire compétente dans le ressort duquel le navire a été saisi, accordera la mainlevée de la saisie lorsqu’une caution ou une garantie suffisantes auront été fournies, sauf dans le cas où la saisie est pratiquée en raison des créances maritimes énumérées à l’article premier ci-dessus, sous les lettres o et p; en ce cas, le juge peut permettre l’exploitation du navire par le Possesseur, lorsque celui-ci aura fourni des garanties suffisantes, ou régler la gestion du navire pendant la durée de la saisie. Faute d’accord entre les Parties sur l’importance de la caution ou de la garantie, le Tribunal ou l’Autorité Judiciaire compétente en fixera la nature et le montant. La demande de mainlevée de la saisie moyennant une telle garantie, ne pourra être interprétée ni comme une reconnaissance de responsabilité, ni comme une renonciation au bénéfice de la limitation légale de la responsabilité du propriétaire du navire. | Art. 5 Das Gericht oder jede andere zuständige gerichtliche Behörde, in deren Zuständigkeitsgebiet ein Seeschiff beschlagnahmt worden ist, hat die Aufhebung der Beschlagnahme zu verfügen, wenn eine hinreichende Kaution oder Sicherheit geleistet worden ist, ausser im Falle einer Beschlagnahme für einen maritimen Anspruch gemäss den Buchstaben o und p des Artikels 1; in diesen Fällen kann der Richter den Betrieb des Seeschiffes durch den Besitzer gestatten, wenn letzterer die erforderlichen Sicherheiten geleistet hat, oder er kann andere Massnahmen für den Betrieb des Seeschiffes während der Dauer der Beschlagnahme treffen. Können sich die Parteien über die Kaution oder Sicherheitsleistung nicht einigen, so bestimmt das Gericht oder die zuständige gerichtliche Behörde deren Art und Höhe. Das Begehren um Aufhebung der Beschlagnahme mittels einer solchen Sicherheitsleistung gilt weder als Anerkennung der Haftung noch als Verzicht auf die Rechtswohltat der beschränkten Haftung des Schiffseigentümers. | Art. 5 Il tribunale o altra competente autorità giudiziario, nella cui giurisdizione la nave è stata sequestrata, se una cauzione o una garanzia sufficiente è prestata, revoca il sequestro, tranne quando si fonda sui crediti marittimi elencati nell’articolo 1, lettere o e p; in questo caso il giudice può o permettere al possessore, che presta garanzie sufficienti, d’esercire la nave o regolare la gestione della nave durante il sequestro. Se le parti non si accordano sull’entità della cauzione o della garanzia, il tribunale o la competente autorità giudiziaria ne determinerà la natura e l’importo. La domanda di revoca del sequestro, fondata su una tale garanzia,non significa ammissione di responsabilità né rinuncia al beneficio della limitazione legale di responsabilità del proprietario di nave. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_6 | Art. 6 Toutes contestations relatives à la responsabilité du Demandeur, pour dommages causés à la suite de la saisie du navire ou pour frais de caution ou de garantie fournies en vue de le libérer ou d’en empêcher la saisie seront réglées par la loi de l’État Contractant dans le ressort duquel la saisie a été pratiquée ou demandée. Les règles de procédure relatives à la saisie d’un navire, à l’obtention de l’autorisation visée à l’art. 4 et à tous autres incidents de procédure qu’une saisie peut soulever sont régies par la loi de l’État Contractant dans lequel la saisie a été pratiquée ou demandée. | Art. 6 1. Alle Streitigkeiten über die Verantwortlichkeit des Klägers für Schäden, die durch die Beschlagnahme verursacht werden, oder für die Kosten der Kaution oder Sicherheitsleistung im Hinblick auf die Aufhebung oder Abwendung der Beschlagnahme, werden nach dem Rechte desjenigen Vertragsstaates beurteilt, in dessen Gebiet die Beschlagnahme durchgeführt oder anbegehrt worden ist. 2. Das Verfahren der Beschlagnahme eines Seeschiffes, der richterlichen Bewilligung gemäss Artikel 4, sowie alle übrigen Verfahrensfragen, die eine Beschlagnahme mit sich bringen kann, werden vom Recht desjenigen Vertragsstaates geregelt, in dessen Gebiet die Beschlagnahme durchgeführt oder anbegehrt worden ist. | Art. 6 Ogni contestazione circa la responsabilità dell’attore, per danni derivati dal sequestro della nave o per spese di cauzione o di garanzia prestate per liberare la nave o impedirne il sequestro, è regolata dalla legge dello Stato contraente nella cui giuris-dizione il sequestro è stato effettuato o chiesto. La procedura del sequestro, l’ottenimento dell’autorizzazione, di cui all’articolo 4, e ogni altra questione procedurale originata dal sequestro, sono regolati dalla legge dello Stato contraente nella cui giurisdizione il sequestro è stato effettuato o chiesto. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_7 | Art. 7 1. Les Tribunaux de l’État dans lequel la saisie a été opérée seront compétents pour statuer sur le fond du procès: – soit si ces Tribunaux sont compétents en vertu de la loi interne de l’État dans lequel la saisie est pratiquée; – soit dans les cas suivants, nommément définis: a. Si le Demandeur a sa résidence habituelle ou son principal établissement dans l’État où la saisie a été pratiquée; b. Si la créance maritime est elle-même née dans l’État Contractant dont dépend le lieu de la saisie; c. Si la créance maritime est née au cours d’un voyage pendant lequel la saisie a été faite; d. Si la créance provient d’un abordage ou de circonstances visées par l’art. 13 de la Convention Internationale pour l’unification de certaines règles en matière d’abordage, signée à Bruxelles, le 23 septembre 1910; e. Si la créance est née d’une assistance ou d’un sauvetage; f. Si la créance est garantie par une hypothèque maritime ou un mort-gage sur le navire saisi. 2. Si le Tribunal, dans le ressort duquel le navire a été saisi n’a pas compétence pour statuer sur le fond, la caution ou la garantie à fournir conformément à l’art. 5 pour obtenir la mainlevée de la saisie, devra garantir l’exécution de toutes les condamnations qui seraient ultérieurement prononcées par le Tribunal compétent de statuer sur le fond, et le Tribunal ou toute autre Autorité Judiciaire du lieu de la saisie, fixera le délai dans lequel le Demandeur devra introduire une action devant le Tribunal compétent. 3. Si les conventions des parties contiennent soit une clause attributive de compétence à une autre juridiction, soit une clause arbitrale, le Tribunal pourra fixer un délai dans lequel le saisissant devra engager son action au fond. 4. Dans les cas prévus aux deux alinéas précédents, si l’action n’est pas introduite dans le délai imparti, le Défendeur pourra demander la mainlevée de la saisie ou la libération de la caution fournie. 5. Cet article ne s’appliquera pas aux cas visés par les dispositions de la convention révisée sur la navigation du Rhin du 17 octobre 1868. | Art. 7 1. Die Gerichte desjenigen Staates, in dem die Beschlagnahme durchgeführt worden ist, sind zuständig, über den materiellen Rechtsanspruch zu entscheiden: – entweder, wenn diese Gerichte nach Massgabe des Landesrechtes des Staates, in welchem die Beschlagnahme durchgeführt worden ist, zuständig sind; – oder in den folgenden Fällen: a. wenn der Kläger seinen Wohnsitz oder seine geschäftliche Hauptniederlassung in dem Staate, in welchem die Beschlagnahme durchgeführt wurde, hat; b. wenn die maritime Forderung selber in demjenigen Staate entstanden ist, in welchem die Beschlagnahme durchgeführt wurde; c. wenn die maritime Forderung während der Reise, während welcher das Seeschiff beschlagnahmt wurde, entstanden ist; d. wenn die Forderung aus einem Schiffszusammenstoss oder aus Umständen gemäss Artikel 13 des Internationalen Abkommens zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über den Zusammenstoss von Schiffen, am 23. September 1910 in Brüssel unterzeichnet, entstand; e. wenn die Forderung aus Hilfeleistung oder Bergung entstand; f. wenn die Forderung durch eine Schiffshypothek an dem beschlagnahmten Schiffe oder eine Sicherheitsübereignung sichergestellt ist. 2. Ist das Gericht, in dessen Zuständigkeitsbereich das Seeschiff beschlagnahmt wurde, für die Beurteilung des materiellen Rechtsanspruches nicht zuständig, so muss die Kaution oder Sicherheit, welche gemäss Artikel 5 für die Aufhebung der Beschlagnahme geleistet worden ist, für die Vollstreckung aller Urteile genügen, die von einem für die Beurteilung des materiellen Rechtsanspruches zuständigen Gerichte gefällt werden können, und das Gericht oder die zuständige gerichtliche Behörde des Ortes der Beschlagnahme hat eine Prosekutionsfrist zu bestimmen, binnen welcher der Kläger beim zuständigen Gericht die Klage einzureichen hat. 3. Haben die Parteien zugunsten eines anderen Gerichtes kompromittiert oder eine Schiedsgerichtsvereinbarung getroffen, so hat das Gericht oder die zuständige gerichtliche Behörde eine Frist anzusetzen, binnen welcher der Kläger seine Klage einzureichen hat. 4. Wird in den beiden Fällen der vorstehenden Absätze die Klage nicht innert der angesetzten Frist eingereicht, so kann der Beklagte die Aufhebung der Beschlagnahme oder die Freigabe der geleisteten Kaution oder Sicherheit verlangen. 5. Dieser Artikel findet keine Anwendung auf Fälle, welche in der Revidierten Rheinschiffahrtsakte von 17. Oktober 1868 geregelt sind. | Art. 7 1. I tribunali dello Stato nel quale il sequestro è effettuato sono competenti per statuire sul merito della questione: – sia se tali tribunali derivano la loro competenza dalla legge interna dello Stato nel quale il sequestro è effettuato; – sia nei casi seguenti singolarmente determinati: a. se l’attore ha la sua residenza abituale o la sua sede principale nello Stato nel quale il sequestro è effettuato; b. se il credito marittimo stesso sorge nello Stato contraente dal quale dipende il luogo di sequestro; c. se il credito marittimo sorge nel corso di un viaggio durante il quale il sequestro è effettuato; d. se il credito marittimo deriva da un urto o da circostanze, di cui all’articolo 13 della convenzione internazionale per l’unificazione di alcune regole in materia di urto fra navi, conchiusa a Bruxelles il 23 settembre 1910; e. se il credito marittimo deriva da assistenza o da salvataggio; f. se il credito marittimo è garantito da ipoteca navale o di pegno morto sulla nave sequestrata. 2. Se il tribunale, nella cui giurisdizione la nave è sequestrata, non è competente per statuire sul merito, la cauzione o la garanzia necessaria, secondo l’articolo 5, per la revoca del sequestro, dovrà pure garantire l’esecuzione di tutte quelle condanne che il tribunale competente nel merito potrà ulteriormente pronunciare; il tribunale o ogni altra autorità giudiziaria del luogo di sequestro assegna un termine entro il quale l’attore deve intentare l’azione davanti al tribunale competente. 3. Se le parti hanno convenuto clausole attributive della competenza ad altra giuris-dizione o clausole di arbitrato, il tribunale può assegnare al sequestrante un termine per proporre l’azione. 4. Nei casi previsti dai due capoversi precedenti, se l’azione non è intentata nel termine impartito, il convenuto può domandare la revoca del sequestro o la liberazione della cauzione prestata. 5. Il presente articolo non è applicabile ai casi contemplati dalle disposizioni della convenzione riveduta del 17 ottobre 1868 concernente la navigazione sul Reno. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_8 | Art. 8 1. Les dispositions de la présente Convention sont applicables dans tout État Contractant à tout navire battant pavillon d’un État Contractant. 2. Un navire battant pavillon d’un État non Contractant peut être saisi dans l’un des États Contractants, en vertu d’une des créances énumérées à l’art. 1, ou de toute autre créance permettant la saisie d’après la loi de cet État. 3. Toutefois, chaque État Contractant peut refuser tout ou partie des avantages de la présente Convention à tout État non Contractant et à toute personne qui n’a pas, au jour de la saisie, sa résidence habituelle ou son principal établissement dans un État Contractant. 4. Aucune disposition de la présente Convention ne modifiera ou n’affectera la loi interne des États Contractants en ce qui concerne la saisie d’un navire dans le ressort de l’État dont il bat pavillon par une personne ayant sa résidence habituelle ou son principal établissement dans cet État. 5. Tout tiers, autre que le Demandeur originaire qui excipe d’une créance maritime par l’effet d’une subrogation, d’une cession ou autrement, sera réputé, pour l’application de la présente Convention, avoir la même résidence habituelle ou le même établissement principal que le créancier originaire. | Art. 8 1. Die Bestimmungen dieses Übereinkommens finden in jedem Vertragsstaate für ein Seeschiff, das die Flagge eines Vertragsstaates führt, Anwendung. 2. Ein Seeschiff, das die Flagge eines Nichtvertragsstaates führt, kann in einem Vertragsstaate für eine der in Artikel 1 angeführten Forderungen sowie für jede andere Forderung, für welche das Landesrecht dieses Staates die Beschlagnahme zulässt, beschlagnahmt werden. 3. Dieses Übereinkommen lässt das Recht jedes Vertragsstaates unberührt, ganz oder teilweise von der Anwendung dieses Übereinkommens gegenüber Nichtvertragsstaaten oder Personen, welche, am Tage der Beschlagnahme, weder Wohnsitz noch ihre geschäftliche Hauptniederlassung in einem Vertragsstaate hatten, abzusehen. 4. Keine Vorschrift dieses Übereinkommens berührt oder ändert die Bestimmungen des Landesrechtes eines Vertragsstaates bezüglich der Beschlagnahme eines Seeschiffes innerhalb des eigenen Staatsgebietes, dessen Flagge das Seeschiff führt, zugunsten einer Person, die ihren Wohnsitz oder ihre geschäftliche Hauptniederlassung in demselben Staate hat. 5. Wird eine maritime Forderung von einem Dritten, der nicht der ursprüngliche Kläger ist, geltend gemacht, sei es infolge Subrogation, Zession oder auf andere Weise, so wird dieser Dritte für die Anwendung dieses Übereinkommens gehalten, wie wenn er seinen Wohnsitz oder seine geschäftliche Hauptniederlassung an demselben Orte, wie der ursprüngliche Kläger hätte. | Art. 8 1. Le disposizioni della presente convenzione sono applicabili in ogni Stato contraente ad ogni nave che batte bandiera di uno degli Stati contraenti. 2. La nave che batte bandiera di uno Stato non contraente può essere sequestrata in uno degli Stati contraenti per uno dei crediti elencati nell’articolo 1 o per qualsiasi altro credito che, secondo la legge di quello Stato, fonda il sequestro. 3. Tuttavia ogni Stato contraente può ricusare in tutto o in parte i vantaggi della presente convenzione ad ogni Stato non contraente e a ogni persona che non aveva, il giorno del sequestro, la sua residenza abituale o la sua principale sede in uno Stato contraente. 4. Le disposizioni della presente convenzione non modificano né influenzano la legge interna degli Stati contraenti, per quanto concerne il sequestro di una nave, nella giurisdizione dello Stato di cui essa batte bandiera, da parte di una persona che ha la sua residenza abituale o la sua sede principale in quello Stato. 5. Ogni terzo, diverso dall’attore originario, che per surrogazione, cessione o altro allega un credito marittimo è reputato, quanto all’applicazione della presente convenzione, avere la stessa residenza abituale o la stessa sede principale del creditore originario. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_9 | Art. 9 Rien dans cette Convention ne doit être considéré comme créant un droit à une action qui, en dehors des stipulations de cette Convention, n’existerait pas d’après la loi à appliquer par le Tribunal saisi du litige. La présente Convention ne confère aux Demandeurs aucun droit de suite, autre que celui accordé par cette dernière loi ou par la Convention Internationale pour l’unification de certaines règles relatives aux privilèges et hypothèques maritimes si celle-ci est applicable. | Art. 9 Keine Bestimmung dieses Übereinkommens hat die Bedeutung, dass sie irgendein Klagerecht gewähren würde das, abgesehen von den Bestimmungen dieses Übereinkommens, nach dem Recht, welches das zuständige Gericht anwendet, nicht besteht. Dieses Übereinkommen verschafft dem Kläger ein Verfolgungsrecht nur soweit ein solches nach Massgabe des Rechts, welches das zuständige Gericht anwendet, oder nach Massgabe des Internationalen Übereinkommens über die seerechtlichen Privilegien und Hypotheken an Seeschiffen besteht. | Art. 9 Le disposizioni della presente convenzione non creano diritti ad azioni, che, indipendentemente dalle norme della presente convenzione, non esisterebbero secondo la legge che il tribunale adito deve applicare. La presente convenzione non consente agli attori alcuna misura cautelare diversa da quella che detta legge e, ove sia applicabile, la convenzione internazionale sui privilegi e le ipoteche navali, accordano. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_10 | Art. 10 Les Hautes Parties Contractantes peuvent au moment de la signature du dépôt des ratifications ou lors de leur adhésion à la Convention, se réserver a. Le droit de ne pas appliquer les dispositions de la présente Convention à la saisie d’un navire pratiquée en raison d’une des créances maritimes visées aux o et p de l’article premier et d’appliquer à cette saisie leur loi nationale; b. Le droit de ne pas appliquer les dispositions du premier paragraphe de l’art. 3 à la saisie pratiquée sur leur territoire en raison des créances prévues à l’al. q de l’art. 1. | Art. 10 Die Hohen vertragschliessenden Parteien können im Zeitpunkt der Hinterlegung ihrer Ratifikationsurkunden oder ihres Beitritts zu diesem Übereinkommen folgende Vorbehalte anbringen: a. dass sie die Bestimmungen dieses Übereinkommens für die Beschlagnahme für eine maritime Forderung gemäss Buchstabe o und p des Artikels 1 nicht anwenden, sondern für eine solche Beschlagnahme ihr Landesrecht anwenden; b. dass sie die Bestimmungen des ersten Absatzes des Artikels 3 auf eine in ihrem Gebiete durchgeführte Beschlagnahme für Forderungen gemäss Buchstabe q des Artikels 1 nicht anwenden. | Art. 10 Le Alte Parti contraenti possono, all’atto della firma, del deposito degli istrumenti di ratificazione o della loro adesione alla convenzione, riservarsi: a. il diritto di non applicare le disposizioni della presente convenzione al sequestro di una nave fondato sui crediti marittimi, di cui alla lettera o e q dell’articolo 1, e di applicarvi invece la loro legge interna; b. il diritto di non applicare il disposto del primo capoverso dell’articolo 3 al sequestro sul loro territorio fondato sui crediti marittimi di cui al capoverso q dell’articolo l. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_11 | Art. 11 Les Hautes Parties Contractantes s’engagent à soumettre à arbitrage tous différends entre États pouvant résulter de l’interprétation ou l’application de la présente Convention, sans préjudice toutefois des obligations des Hautes Parties Contractantes qui ont convenu de soumettre leurs différends à la Cour Internationale de Justice. | Art. 11 Die Hohen vertragschliessenden Parteien unterwerfen sich für alle Streitigkeiten zwischen zwei Staaten bezüglich der Auslegung oder Anwendung dieses Übereinkommens einem Schiedsgericht, vorbehältlich ihrer Verpflichtung, allfällige Streitigkeiten dem Internationalen Gerichtshofe zu unterbreiten. | Art. 11 Le Alte Parti contraenti s’impegnano a sottoporre ad arbitrato tutte le controversie fra Stati cagionate dall’interpretazione o dall’applicazione della presente convenzione, senza pregiudizio degli obblighi delle Alte Parti contraenti che hanno convenuto di sottoporre le loro controversie alla Corte Internazionale di Giustizia. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_12 | Art. 12 La présente Convention est ouverte à la signature des États représentés à la neuvième Conférence diplomatique de Droit Maritime. Le procès-verbal de signature sera dressé par les soins du Ministère des Affaires étrangères de Belgique. | Art. 12 Dieses Übereinkommen steht allen Staaten, welche an der neunten Diplomatischen Seerechtskonferenz vertreten waren, zur Unterzeichnung offen. Das Unterzeichnungsprotokoll wird vom belgischen Aussenministerium erstellt. | Art. 12 La presente convenzione è aperta alla firma degli Stati rappresentati alla nona Conferenza diplomatica di diritto marittimo. Il processo verbale di firma sarà steso per cura del Ministero degli affari esteri del Belgio. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_13 | Art. 13 La présente Convention sera ratifiée et les instruments de ratification seront déposés auprès du Ministère des Affaires étrangères de Belgique qui en notifiera le dépôt à tous les États signataires et adhérents. | Art. 13 Dieses Übereinkommen ist zu ratifizieren und die Ratifikationsurkunden sind beim belgischen Aussenministerium zu hinterlegen, das den übrigen Staaten, welche das Übereinkommen ratifiziert haben oder ihm beigetreten sind, Anzeige erstattet. | Art. 13 La presente convenzione sarà ratificata e gli strumenti di ratificazione saranno depositati presso il Ministero degli affari esteri del Belgio, che ne notificherà il deposito a tutti gli Stati firmatari e aderenti. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_14 | Art. 14 a. La présente Convention entrera en vigueur entre les deux premiers États qui l’auront ratifiée, six mois après la date du dépôt du deuxième instrument de ratification. b. Pour chaque État signataire ratifiant la Convention après le deuxième dépôt, celle-ci entrera en vigueur six mois après la date du dépôt de son instrument de ratification. | Art. 14 a. Dieses Übereinkommen tritt zwischen den ersten beiden Staaten, welche es ratifiziert haben, nach Ablauf von sechs Monaten seit der Hinterlegung der zweiten Ratifikationsurkunde in Kraft. b. Für alle weiteren Staaten, welche das Übereinkommen alsdann ratifizieren, tritt es nach sechs Monaten seit der Hinterlegung der Ratifikationsurkunde in Kraft. | Art. 14 a. La presente convenzione entrerà in vigore, per i due primi Stati che l’avranno ratificata, sei mesi dopo la data del deposito dell’istrumento della seconda ratificazione. b. La presente convenzione entrerà in vigore sei mesi dopo il deposito del loro istrumento di ratificazione, per gli Stati firmatari che l’avranno ratificata dopo il deposito dell’istrumento della seconda ratificazione. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_15 | Art. 15 Tout État non représenté à la neuvième Conférence diplomatique de Droit Maritime pourra adhérer à la présente Convention. Les adhésions seront notifiées au Ministère des Affaires étrangères de Belgique qui en avisera par la voie diplomatique tous les États signataires et adhérents. La Convention entrera en vigueur pour l’État adhérent six mois après la date de réception de cette notification, mais pas avant la date de son entrée en vigueur telle qu’elle est fixée à l’art. 14 a . | Art. 15 Jeder Staat, der an der neunten Diplomatischen Seerechtskonferenz nicht vertreten war, kann diesem Übereinkommen beitreten. Die Beitrittsurkunden sind dem belgischen Aussenministerium zu übersenden, das hievon auf diplomatischem Wege denjenigen Staaten, welche das Übereinkommen unterzeichnet haben oder ihm beigetreten sind, Kenntnis gibt. Das Übereinkommen tritt für den neu beitretenden Staat sechs Monate nach Eingang der Beitrittserklärung beim belgischen Aussenministerium in Kraft, in keinem Falle aber vor dem Tag des Inkrafttretens gemäss Artikel 14, Buchstabe a. | Art. 15 Ogni Stato non rappresentato alla nona Conferenza diplomatica di diritto marittimo può aderire alla presente convenzione. Le adesioni saranno notificate al Ministero degli affari esteri del Belgio che comunicherà, in via diplomatica, le notificazioni ricevute, a tutti gli Stati firmatari e aderenti. La convenzione entrerà in vigore, per lo Stato che ad essa avrà aderito, sei mesi dopo la data del ricevimento della notificazione, ma non prima della data dell’entrata in vigore prevista nell’articolo 14, lettera a. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_16 | Art. 16 Toute Haute Partie Contractante pourra à l’expiration du délai de trois ans qui suivra l’entrée en vigueur à son égard de la présente Convention, demander la réunion d’une Conférence chargée de statuer sur toutes les propositions tendant à la révision de la Convention. Toute Haute Partie Contractante qui désirerait faire usage de cette faculté en avisera le Gouvernement belge qui se chargera de convoquer la conférence dans les six mois. | Art. 16 Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien ist befugt, drei Jahre nach dem für sie erfolgten Inkrafttreten des Übereinkommens, den Zusammentritt einer neuen Konferenz zu veranlassen, um allfällige Änderungen herbeizuführen. Will ein Staat von dieser Befugnis Gebrauch machen, so hat er seine Absicht der belgischen Regierung bekanntzugeben, welche es übernehmen wird, eine neue Konferenz innert sechs Monaten einzuberufen. | Art. 16 Ciascuna Alta Parte contraente, trascorsi tre anni dalla data in cui per essa sarà entrata in vigore la presente convenzione, potrà chiedere la riunione di una conferenza incaricata di statuire su tutte le proposte di revisione della convenzione. Ciascuna Alta Parte contraente che desidera far uso di questa facoltà ne darà avviso al Governo belga il quale si incaricherà di convocare entro sei mesi la conferenza. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_17 | Art. 17 Chacune des Hautes Parties Contractantes aura le droit de dénoncer la présente Convention à tout moment après son entrée en vigueur à son égard. Toutefois, cette dénonciation ne prendra effet qu’un an après la date de réception de la notification de dénonciation au Gouvernement belge qui en avisera les autres Parties Contractantes par la voie diplomatique. | Art. 17 Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien kann das Übereinkommen jederzeit seit dem für sie erfolgten Inkrafttreten künden, jedoch wird die Kündigung erst nach Ablauf eines Jahres, seit Eingang der Kündigungserklärung bei der belgischen Regierung, wirksam. Die belgische Regierung wird die übrigen Vertragsstaaten auf diplomatischem Wege benachrichtigen. | Art. 17 Ciascuna Alta Parte contraente, in ogni tempo dopo la data in cui per essa sarà entrata in vigore la presente convenzione, avrà il diritto di disdirla. La disdetta avrà tuttavia effetto soltanto un anno dopo che la relativa notificazione sarà pervenuta al Governo belga, il quale la comunicherà in via diplomatica, alle altre Parti contraenti. |
CH | 0.747.323.1 | null | null | null | Convention internationale du 10 mai 1952 pour l'unification de certaines règles sur la saisie conservatoire des navires de mer | Internationales Übereinkommen vom 10. Mai 1952 zur einheitlichen Feststellung einzelner Regeln über die vorsorgliche Beschlagnahme von Seeschiffen | Convenzione internazionale del 10 maggio 1952 per l'unificazione di alcune regole del sequestro conservativo delle navi di mare | art_18 | Art. 18 a. Toute Haute Partie Contractante peut, au moment de la ratification, de l’adhésion, or à tout moment ultérieur, notifier par écrit au Gouvernement belge que la présente Convention s’applique aux territoires ou à certains des territoires dont elle assure les relations internationales. La Convention sera applicable aux dits territoires six mois après la date de réception de cette notification par le Ministère des Affaires étrangères de Belgique, mais pas avant la date d’entrée en vigueur de la présente Convention à l’égard de cette Haute Partie Contractante. b. Toute Haute Partie Contractante qui a souscrit une déclaration au titre du par. a de cet article pourra à tout moment aviser le Ministère des Affaires étrangères de Belgique que la Convention cesse de s’appliquer au Territoire en question. Cette dénonciation prendra effet dans le délai d’un an prévu à l’art. 17. c. Le Ministère des Affaires étrangères de Belgique avisera par la voie diplomatique tous les États signataires et adhérents de toute notification reçue par lui au titre du présent article. Fait à Bruxelles, le 10 mai 1952, en langues française et anglaise, les deux textes faisant également foi. (Suivent les signatures) | Art. 18 a. Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien kann im Zeitpunkt der Ratifikation oder ihres Beitritts, sowie in jedem späteren Zeitpunkt, der belgischen Regierung schriftlich die Erklärung abgeben, dass dieses Übereinkommen auch für Territorien oder Teile hievon, welche unter ihrer Staatshoheit stehen, Geltung haben soll. Das Übereinkommen tritt für diese Territorien nach sechs Monaten seit Eingang dieser schriftlichen Erklärung beim belgischen Aussenministerium in Kraft, in keinem Falle aber vor dem Inkrafttreten dieses Übereinkommens für den Vertragsstaat selber. b. Jede der Hohen vertragschliessenden Parteien, welche eine schriftliche Erklärung gemäss Buchstabe a dieses Artikels unterzeichnet hat, kann jederzeit dem belgischen Aussenministerium mitteilen, dass das Übereinkommen für das betreffende Territorium keine Anwendung mehr findet. Diese Kündigung wird nach Ablauf der in Artikel 17 vorgesehenen Frist von einem Jahr wirksam. c. Das belgische Aussenministerium gibt allen Staaten, welche das Übereinkommen unterzeichnet haben oder ihm beigetreten sind, von den nach Massgabe dieses Artikels eingegangenen Erklärungen auf diplomatischem Wege Kenntnis. Ausgefertigt in Brüssel, am 10. Mai 1952, in französischer und englischer Sprache; der französische und der englische Wortlaut dieses Übereinkommens sind in gleicher Weise massgebend. (Es folgen die Unterschriften) | Art. 18 a. Ciascuna Alta Parte contraente, all’atto della ratificazione dell’adesione o successivamente in qualsiasi tempo, può notificare per iscritto al Governo belga che la presente convenzione è applicabile ai territori o a qualcuno dei territori di cui essa, Alta Parte contraente, assicura le relazioni internazionali. La convenzione sarà applicabile a detti territori sei mesi dopo la data in cui la notificazione sarà pervenuta al Ministero degli affari esteri del Belgio, ma non prima della data dell’entrata in vigore della presente convenzione per detta Alta Parte contraente. b. Ciascuna Alta Parte contraente che avrà firmato una dichiarazione conformemente alla lettera a di questo articolo potrà in ogni tempo notificare al Ministero degli affari esteri del Belgio che la convenzione cessa d’essere applicata al territorio di cui si tratta. Questa disdetta avrà effetto dopo il termine di un anno previsto nell’articolo 17. c. Il Ministero degli affari esteri del Belgio comunicherà in via diplomatica, a tutti gli Stati firmatari e aderenti, le notificazioni ricevute a norma del presente articolo. Fatto a Bruxelles, in un solo esemplare, il 10 maggio 1952, nelle lingue francese e inglese, i cui testi fanno parimente fede. ( Seguono le firme ) |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_1 | Art. 1 a . Les Parties contractantes s’accordent mutuellement, en temps de paix, les droits spécifiés à l’annexe pour établir les services aériens internationaux réguliers définis à cette annexe, dont les aéronefs atterrissent sur leurs territoires respectifs ou les traversent. b. Chaque Partie contractante désignera une ou plusieurs entreprises de transports aériens pour exploiter les services convenus, dont elle décidera la date d’ouverture. | Art. 1 a. Die Vertragsstaaten gewähren einander in Friedenszeiten gegenseitig die im Anhang umschriebenen Rechte zur Errichtung der in diesem Anhang festgelegten internationalen Luftverkehrslinien, deren Luftfahrzeuge auf ihrem Staatsgebiet landen oder es durchqueren. b. Jeder Vertragsstaat bezeichnet eine oder mehrere Luftverkehrsunternehmungen für den Betrieb der vereinbarten Linien, deren Eröffnungsdatum er bestimmt. | Art. 1 a. Le Parti contraenti s’accordano l’un l’altra, in tempo di pace, i diritti specificati nell’allegato per l’apertura dei servizi aerei internazionali regolari definiti nell’allegato stesso, che fanno scalo sui loro rispettivi territori o li sorvolano. b. Ciascuna Parte contraente designa una o più imprese di trasporti aerei per l’esercizio dei servizi convenuti, dei quali stabilisce la data di apertura. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_2 | Art. 2 a. Sous réserve de l’art. 8 ci-après, l’autorisation d’exploitation nécessaire devra être délivrée aux entreprises désignées de chaque Partie contractante. b. Toutefois, avant d’être autorisées à ouvrir les services convenus, les entreprises désignées pourront être appelées à prouver auprès de l’autorité aéronautique habilitée à délivrer l’autorisation d’exploitation qu’elles remplissent les conditions prescrites par les lois et règlements que doit normalement appliquer cette autorité à toutes les entreprises de transports aériens des autres pays. | Art. 2 a. Unter Vorbehalt des nachstehenden Artikels 8 ist den von jedem Vertragsstaat bezeichneten Unternehmungen die erforderliche Betriebsbewilligung zu erteilen. b. Bevor den bezeichneten Unternehmungen gestattet wird, die vereinbarten Linien zu eröffnen, können sie angehalten werden, sich bei der für die Betriebsbewilligung zuständigen Luftfahrtbehörde darüber auszuweisen, dass sie den durch Gesetz und Verordnung aufgestellten Bedingungen, welche von dieser Behörde üblicherweise auf alle Luftverkehrsunternehmungen anderer Staaten angewendet werden, genügen. | Art. 2 a. Con riserva dell’articolo 8 del presente accordo, l’autorizzazione d’esercizio necessaria deve essere rilasciata alle imprese designate da ciascuna Parte contraente. b. Tuttavia, prima di essere autorizzate ad aprire i servizi convenuti, le imprese designate possono essere richieste di provare, davanti all’autorità aeronautica competente a rilasciare l’autorizzazione d’esercizio, che adempiono le condizioni prescritte dalle leggi e dai regolamenti normalmente applicati da questa autorità a tutte le imprese di trasporti aerei degli altri Stati. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_3 | Art. 3 a. Les entreprises désignées bénéficieront, tant en Suisse qu’en Irak, de possibilités égales et équitables pour l’exploitation des services convenus. b. La capacité de transport offerte par les entreprises désignées sera adaptée à la demande de trafic. c. Les entreprises désignées prendront en considération sur les parcours communs leurs intérêts mutuels afin de ne pas affecter indûment leurs services respectifs. d. Les services convenus auront pour objet essentiel d’offrir une capacité correspondant à la demande de trafic entre le pays auquel appartient l’entreprise désignée et les pays de destination. e. Le droit d’embarquer et le droit de débarquer sur le territoire d’une Partie contractante, aux points spécifiés aux tableaux ci-après, du trafic international à destination ou en provenance de pays tiers reconnus par les deux Parties contractantes seront exercés conformément aux principes généraux de développement ordonné affirmés par les Gouvernements suisse et irakien et ceci dans des conditions telles que la capacité soit adaptée: 1) à la demande de trafic entre le pays de provenance et les pays de destination; 2) aux exigences d’une exploitation économique des services convenus; 3) à la demande de trafic des régions traversées, compte tenu des services locaux et régionaux. | Art. 3 a. Den bezeichneten Unternehmungen stehen für den Betrieb der vereinbarten Linien sowohl in der Schweiz wie in Irak gleiche und gerechte Möglichkeiten offen. b. Das Beförderungsangebot der bezeichneten Unternehmungen soll der Verkehrsnachfrage angepasst sein. c. Die bezeichneten Unternehmungen haben auf den gemeinsamen Strecken auf ihre wechselseitigen Interessen Rücksicht zu nehmen, um ihre Linien nicht gegenseitig ungerechtfertigt zu beeinträchtigen. d. Die vereinbarten Luftverkehrslinien sollen vor allem ein Beförderungsangebot gewährleisten, das der Verkehrsnachfrage zwischen dem Staat, welchem die Unternehmung angehört, und den Bestimmungsstaaten entspricht. e. Das Recht, auf dem Gebiet eines Vertragsstaates an den in nachstehenden Tabellen bezeichneten Punkten im internationalen Verkehr Fluggäste, Postsendungen und Waren nach oder von dritten, durch die beiden Vertragsstaaten anerkannten Staaten aufzunehmen oder abzusetzen, soll entsprechend den von der schweizerischen und der irakischen Regierung bestätigten allgemeinen Grundsätzen einer geordneten Entwicklung ausgeübt werden und unter Bedingungen, bei denen das Beförderungsangebot angepasst ist: 1. an die Verkehrsnachfrage zwischen dem Herkunftsstaat und den Bestimmungsstaaten: 2. an die Anforderungen eines wirtschaftlichen Betriebes der vereinbarten Linien; 3. an die in den durchquerten Gebieten bestehende Verkehrsnachfrage, unter Berücksichtigung der örtlichen und regionalen Linien. | Art. 3 a. Le imprese designate fruiranno, sia nella Svizzera sia nell’Iraq, di possibilità eguali ed eque per l’esercizio dei servizi convenuti. b. La capacità di trasporto offerta dalle imprese designate sarà adeguata alla richiesta di traffico. c. Le imprese designate terranno conto per i tragitti comuni dei loro reciproci interessi allo scopo di non pregiudicare indebitamente i loro servizi rispettivi. d. I servizi convenuti perseguiranno essenzialmente lo scopo di offrire una capacità di trasporto che corrisponda alla richiesta di traffico tra il paese al quale appartiene l’impresa designata e i paesi ai quali il traffico è destinato. e. Il diritto di imbarcare e quello di sbarcare sul territorio di una Parte contraente, negli scali indicati nelle tavole qui appresso, del traffico internazionale a destinazione di terzi paesi riconosciuti dalle due Parti contraenti o proveniente da essi saranno esercitati conformemente alle norme generali di un ordinato sviluppo, alle quali hanno sottoscritto i Governi svizzero e iracheno e in modo che la capacità sia adeguata: 1. alla richiesta di traffico tra il paese di provenienza e quelli di destinazione; 2. alle esigenze di un esercizio economico dei servizi convenuti; 3. alla richiesta di traffico delle regioni sorvolate, tenuto conto delle aviolinee locali e regionali. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_4 | Art. 4 Les tarifs seront fixés à des taux raisonnables, en prenant en considération l’économie de l’exploitation, un bénéfice normal et les caractéristiques présentées par chaque service, telles que la rapidité et le confort. Il sera aussi tenu compte des recommandations de l’Association du transport aérien international (IATA). A défaut de telles recommandations, les entreprises désignées consulteront les entreprises de transports aériens de pays tiers qui desservent les mêmes parcours. Leurs arrangements seront soumis à l’approbation des autorités aéronautiques des Parties contractantes. Si les entreprises désignées n’ont pu arriver à une entente, ces autorités s’efforceront de trouver une solution. En dernier ressort, il sera fait recours à la procédure prévue à l’art. 9 ci-après. | Art. 4 Die Tarife werden in vernünftiger Höhe vereinbart, wobei die Wirtschaftlichkeit des Betriebes, ein normaler Gewinn und die besonderen Gegebenheiten jeder Luftverkehrslinie, wie Geschwindigkeit und Bequemlichkeit, sowie die Empfehlungen des Internationalen Lufttransportverbandes (IATA) in Betracht zu ziehen sind. Fehlen solche Empfehlungen, so beraten sich die bezeichneten Unternehmungen zu diesem Zweck mit den Luftverkehrsunternehmungen dritter Staaten, welche die gleichen Strecken bedienen. Ihre Abmachungen sind der Genehmigung der Luftfahrtbehörden der Vertragsstaaten zu unterbreiten. Können sich die bezeichneten Unternehmungen nicht einigen, so werden sich die genannten Behörden bemühen, eine Lösung zu finden. In letzter Linie wird das in Artikel 9 vorgesehene Verfahren angewendet. | Art. 4 Le tariffe saranno fissate a prezzi ragionevoli, tenendo conto della economia dell’esercizio, di un utile normale e delle caratteristiche di ciascun servizio, come la rapidità e la comodità. Sarà tenuto parimente conto delle raccomandazioni dell’Associazione dei trasporti aerei internazionali (IATA). In mancanza di siffatte raccomandazioni, le imprese designate consulteranno le imprese di trasporti aerei di terzi Stati che prestano servizio sulle stesse tratte. Gli accordi intervenuti saranno sottoposti all’approvazione delle autorità aeronautiche delle Parti contraenti. Se le imprese designate non hanno potuto accordarsi tra di loro, le suddette autorità cercheranno di trovare una soluzione. In ultima istanza, sarà fatto capo alla procedura prevista nell’articolo 9 del presente accordo. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_5 | Art. 5 a. Pour l’utilisation des aéroports et autres facilités offertes par une Partie contractante, les entreprises désignées de l’autre Partie contractante n’auront pas à payer de taxes supérieures à celles que doivent acquitter les aéronefs nationaux affectés à des services internationaux similaires. b. Les carburants, les huiles lubrifiantes et les pièces de rechange introduits ou pris à bord sur le territoire d’une Partie contractante par ou pour le compte des entreprises désignées de l’autre Partie contractante et destinés uniquement à l’usage des aéronefs desdites entreprises bénéficieront du traitement national en ce qui concerne les droits de douane, frais d’inspection ou autres droits et taxes imposés aux entreprises de transports aériens qui participent au trafic international; il est entendu, cependant qu’aucune Partie contractante ne sera tenue d’accorder aux entreprises désignées de l’autre Partie contractante un traitement plus favorable que celui que cette autre Partie contractante accorderait dans un cas semblable. c. Les aéronefs que les entreprises désignées d’une Partie contractante utiliseront sur les services convenus, ainsi que les carburants, les huiles lubrifiantes, les pièces de rechange, l’équipement normal et les provisions de bord restant dans ces appareils seront, sur le territoire de l’autre Partie contractante, exempts des droits de douane, frais d’inspection et autres droits et taxes nationaux, même si ces approvisionnements sont employés ou consommés au cours de vols au-dessus dudit territoire. | Art. 5 a. Für die Benützung der Flughäfen und anderer durch einen Vertragsstaat zur Verfügung gestellten Einrichtungen sollen den bezeichneten Unternehmungen des andern Vertragsstaates keine höheren Gebühren auferlegt werden als jene, welche die auf regelmässigen internationalen Linien eingesetzten eigenen Luftfahrzeuge zu entrichten haben. b. Brennstoffe, Schmierstoffe und Ersatzteile, welche durch oder für eine vom einen Vertragsstaat bezeichnete Unternehmung in das Gebiet des andern Vertragsstaates ausschliesslich für den Gebrauch durch Luftfahrzeuge dieser Unternehmungen eingeführt oder an Bord genommen werden, sollen in bezug auf Zollgebühren, Revisions- und andere Gebühren und Abgaben gleich behandelt werden, wie wenn sie an Bord von nationalen Luftfahrzeugen eingeführt würden, die auf regelmässigen internationalen Linien eingesetzt sind. Es hat dabei die Meinung, dass kein Vertragsstaat verpflichtet ist, den bezeichneten Unternehmungen des andern Vertragsstaates eine günstigere Behandlung zuteil werden zu lassen als sie dieser andere Vertragsstaat im gleichen Falle gewähren würde. c. Die Luftfahrzeuge, welche die von einem Vertragsstaat bezeichneten Unternehmungen auf den vereinbarten Linien benützen, sowie Brennstoffe, Schmierstoffe, Ersatzteile, Gegenstände der normalen Ausrüstung und Bordvorräte, welche in diesen Luftfahrzeugen verbleiben, sind im Gebiet des andern Vertragsstaates zollfrei und von Revisions‑ und andern nationalen Gebühren und Abgaben befreit, selbst dann, wenn die genannten Sachen auf Flügen über diesem Staatsgebiet verwendet oder verbraucht werden. | Art. 5 a. Per l’uso degli aeroporti ed altre facilitazioni concesse da una Parte contraente, le imprese designate dall’altra Parte non devono pagare tasse superiori a quelle pagate dagli aeromobili nazionali adibiti a servizi internazionali del genere. b. I carburanti, i lubrificanti e le parti di ricambio introdotti o presi a bordo sul territorio di una Parte contraente dalle imprese designate dall’altra Parte contraente o per conto di tali imprese e destinati unicamente all’uso degli aeromobili di queste imprese goderanno del trattamento nazionale per quanto concerne i dazi, le spese d’ispezione e le altre tasse o imposte applicabili alle imprese di trasporti aerei che partecipano al traffico internazionale; resta tuttavia convenuto che nessuna Parte contraente è tenuta a concedere alle imprese designate dall’altra Parte contraente un trattamento più favorevole di quello che quest’ultima Parte contraente concederebbe in un caso analogo. c. Gli aeromobili che le imprese designate da una Parte contraente usano sui servizi convenuti, come pure i carburanti, i lubrificanti, le parti di ricambio, il normale equipaggiamento e le provviste di bordo che restano negli aeromobili saranno sul territorio dell’altra Parte contraente esenti da dazio, da spese d’ispezione o altre tasse e imposte nazionali, anche se sono usati o consumati durante il sorvolo di detto territorio. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_6 | Art. 6 Les certificats de navigabilité, les brevets d’aptitude et les licences délivrés ou validés par une Partie contractante et encore en force seront reconnus par l’autre Partie contractante pour l’exploitation des services convenus. Chaque Partie contractante se réserve, cependant, le droit de ne pas reconnaître pour la circulation au-dessus de son territoire les brevets d’aptitude et les licences délivrés à ses propres ressortissants par un pays tiers. | Art. 6 In Kraft stehende Lufttüchtigkeitszeugnisse, Fähigkeitsausweise und Bewilligungen, welche vom einen Vertragsstaat ausgestellt oder anerkannt worden sind, werden vom andern Vertragsstaat für den Betrieb der vereinbarten Linien als gültig anerkannt. Jeder Vertragsstaat behält sich indessen das Recht vor, Fähigkeitsausweise und Bewilligungen, welche eigenen Staatsangehörigen durch den andern Vertragsstaat ausgestellt oder anerkannt wurden, für Flüge über seinem eigenen Staatsgebiet nicht anzuerkennen. | Art. 6 I certificati di navigabilità, i brevetti d’idoneità e le licenze rilasciati o convalidati da una Parte contraente e ancora valevoli saranno riconosciuti dall’altra Parte contraente per l’esercizio dei servizi convenuti. Ciascuna Parte contraente si riserva tuttavia il diritto di non riconoscere per la circolazione al disopra del suo territorio i brevetti d’idoneità e le licenze rilasciati ai suoi cittadini da un terzo Stato. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_7 | Art. 7 a. Les lois et règlements régissant sur le territoire d’une Partie contractante l’entrée et la sortie des aéronefs affectés à la navigation aérienne internationale ou les vols de ces aéronefs au-dessus dudit territoire s’appliqueront aux entreprises désignées de l’autre Partie contractante. b. Les lois et règlements régissant sur le territoire d’une Partie contractante l’entrée, le séjour et la sortie des passagers, équipages, envois postaux ou marchandises, tels que ceux qui concernent les formalités, l’immigration, les passeports, la douane et la quarantaine, s’appliqueront aux passagers, équipages, envois postaux ou marchandises transportés par les aéronefs des entreprises désignées de l’autre Partie contractante pendant que ceux-ci se trouvent sur ledit territoire. c. Les passagers en transit à travers le territoire d’une Partie contractante seront soumis à un contrôle simplifié. Les bagages et les marchandises seront exempts des droits de douane, frais d’inspection et taxes similaires si le transit est direct. | Art. 7 a. Die Gesetze und Verordnungen über den Einflug und den Wegflug der in der internationalen Luftfahrt eingesetzten Luftfahrzeuge oder über die Flüge dieser Luftfahrzeuge über dem Gebiet eines Vertragsstaates sind auf die bezeichnete Unternehmung des andern Vertragsstaates anwendbar. b. Die Gesetze und Verordnungen, die auf dem Gebiete eines Vertragsstaates die Einreise, den Aufenthalt und die Ausreise von Fluggästen, Besatzungen, Post‑ oder Frachtsendungen regeln, wie die Vorschriften über Abfertigung, Einwanderung, Pässe, Zoll und Quarantäne, sind auf die Fluggäste, Besatzungen, Postsendungen oder Waren anwendbar, welche von Luftfahrzeugen der bezeichneten Unternehmung des andern Vertragsstaates befördert werden, solange sich diese Luftfahrzeuge auf dem genannten Staatsgebiet befinden. c. Die Fluggäste, die das Gebiet eines Vertragsstaates durchreisen, unterliegen einer vereinfachten Kontrolle. Auf Gepäck und Waren im direkten Durchgangsverkehr werden keine Zoll‑, Revisions‑ und ähnlichen Abgaben erhoben. | Art. 7 a. Le leggi e i regolamenti in vigore sul territorio di una Parte contraente e concernenti l’entrata o l’uscita degli aeromobili adibiti alla navigazione aerea internazionale o i voli di questi aeromobili al disopra di detto territorio si applicheranno alle imprese designate dell’altra Parte contraente. b. Le leggi e i regolamenti che disciplinano sul territorio di una Parte contraente l’entrata, la permanenza e l’uscita di passeggeri, equipaggi, invii postali o merci, come quelli concernenti le modalità, l’immigrazione, i passaporti, le formalità doganali e la quarantena, si applicheranno ai passeggeri, equipaggi, invii postali o merci trasportati dagli aeromobili delle imprese designate dall’altra Parte contraente, quando questi aeromobili si trovano su detto territorio. c. I passeggeri che transitano attraverso il territorio di una Parte contraente saranno sottoposti a un controllo semplificato. I bagagli e le merci in transito diretto saranno esenti da dazi, spese d’ispezione e tasse del genere. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_8 | Art. 8 Chaque Partie contractante se réserve le droit de refuser ou de révoquer une autorisation d’exploitation à une entreprise désignée de l’autre Partie contractante lorsqu’elle n’a pas la preuve qu’une part importante de la propriété et le contrôle effectif de cette entreprise sont entre les mains de ressortissants de l’une ou l’autre Partie contractante, ou lorsque l’entreprise ne se conforme pas aux lois et règlements visés à l’art. 7 ci-dessus, ou ne remplit pas les obligations découlant du présent accord. | Art. 8 Jeder Vertragsstaat behält sich das Recht vor, die Betriebsbewilligung für eine bezeichnete Unternehmung des andern Vertragsstaates zu verweigern oder zu widerrufen, wenn ihm nicht bewiesen wird, dass ein wesentlicher Teil des Eigentums und das tatsächliche Bestimmungsrecht innerhalb dieser Unternehmung in Händen von Staatsangehörigen des einen oder des andern Vertragsstaates liegen, oder wenn die Unternehmung sich nicht den in Artikel 7 erwähnten Gesetzen und Verordnungen unterzieht, oder wenn sie die aus diesem Abkommen sich ergebenden Pflichten nicht erfüllt. | Art. 8 Ciascuna Parte contraente si riserva il diritto di rifiutare o di revocare un’autorizzazione d’esercizio a un’impresa designata dall’altra Parte contraente, qualora non abbia la prova che una parte importante della proprietà e il controllo effettivo di quest’impresa sono nelle mani di cittadini di una o dell’altra Parte contraente o quando l’impresa non si conforma alle leggi e ai regolamenti di cui all’articolo 7 o non adempie gli obblighi derivanti dal presente accordo. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_9 | Art. 9 a. Les Parties contractantes soumettront à l’arbitrage tout différend relatif à l’interprétation et à l’application du présent accord ou de son annexe qui ne pourrait être réglé par voie de négociations directes. b. Un tel différend sera porté devant tout tribunal compétent pour en connaître qui viendrait à être institué au sein de l’Organisation de l’aviation civile internationale créée par la convention relative à l’aviation civile internationale signée, à Chicago, le 7 décembre 1944, ou, à défaut d’un tel tribunal, devant le Conseil de cette Organisation. c. Toutefois, les Parties contractantes pourront, d’un commun accord, régler le différend en le portant soit devant un tribunal arbitral, soit devant tout autre personne ou organisme. d. Les Parties contractantes s’engagent à se conformer à la sentence rendue. | Art. 9 a. Die Vertragsstaaten unterwerfen jede Meinungsverschiedenheit über Auslegung oder Anwendung dieses Abkommens oder seines Anhanges, die nicht durch direkte Verhandlungen beigelegt werden kann, einem schiedsgerichtlichen Verfahren. b. Eine derartige Meinungsverschiedenheit ist dem zuständigen Gericht zu unterbreiten, welches innerhalb der Internationalen Zivilluftfahrtorganisation, wie sie durch das am 7. Dezember 1944 in Chicago unterzeichnete Abkommen über die internationale Zivilluftfahrt geschaffen wurde, eingesetzt wird. Fehlt ein solches Gericht, ist die Meinungsverschiedenheit dem Rat dieser Organisation zu unterbreiten. c. Die Vertragsstaaten können jedoch vereinbaren, die Meinungsverschiedenheit entweder durch ein Schiedsgericht oder durch irgendeine andere von ihnen bezeichnete Person oder Organisation schlichten zu lassen. d. Die Vertragsstaaten verpflichten sich, sich dem Schiedsspruch zu unterziehen. | Art. 9 a. Le Parti contraenti convengono di sottoporre ad arbitrato le contestazioni concernenti l’interpretazione e l’applicazione del presente accordo o del suo allegato che non fossero regolate mediante trattative dirette. b. Le contestazioni saranno portate davanti a qualsiasi tribunale competente che fosse costituito in seno all’Organizzazione della navigazione aerea civile internazionale istituita dalla Convenzione relativa alla navigazione aerea civile internazionale, firmata a Chicago il 7 dicembre 1944 oppure, in mancanza di siffatto tribunale, davanti al Consiglio dell’organizzazione. c. Tuttavia le Parti contraenti possono, di comune accordo, regolare le contestazioni portandole sia davanti a un tribunale arbitrale sia davanti ad un’altra persona od organizzazione. d. Le Parti contraenti s’impegnano a conformarsi alla sentenza pronunciata. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_10 | Art. 10 Le présent accord et tous les contrats qui s’y rapportent seront enregistrés auprès de l’Organisation de l’aviation civile internationale créée par la convention relative à l’aviation civile, internationale signée, à Chicago, le 7 décembre 1944. | Art. 10 Dieses Abkommen und alle damit in Zusammenhang stehenden Verträge sind bei der Internationalen Zivilluftfahrtorganisation, die durch das am 7. Dezember 1944 in Chicago unterzeichnete Abkommen über die internationale Zivilluftfahrt geschaffen wurde, zu hinterlegen. | Art. 10 Il presente accordo e tutti i contratti che a esso si riferiscono saranno registrati presso l’Organizzazione della navigazione aerea civile internazionale istituita dalla Convenzione relativa alla navigazione aerea civile internazionale, firmata a Chicago il 7 dicembre 1944. |
CH | 0.748.127.194.32 | null | null | null | Accord du 31 mars 1952 relatif aux services aériens entre la Suisse et le Royaume de l'Irak | Abkommen vom 31. März 1952 über den Luftverkehr zwischen der Schweiz und dem Königreich Irak | Accordo del 31 marzo 1952 concernente i servizi aerei tra la Svizzera e il Regno dell'Iraq | art_11 | Art. 11 a. Le présent accord sera ratifié par les deux Parties contractantes et les instruments de ratification seront échangés à Bagdad. L’accord entrera en vigueur à la date de cet échange. b. Dans un esprit d’étroite collaboration, les autorités aéronautiques des Parties contractantes se consulteront de temps à autre afin de s’assurer que les principes définis au présent accord sont appliqués et que les objectifs de ce dernier sont réalisés de manière satisfaisante. Elles tiendront compte en particulier des statistiques du trafic des services convenus, qu’elles s’engagent à échanger régulièrement. c. Le présent accord et son annexe seront mis en harmonie avec toute convention de caractère multilatéral qui viendrait à lier les Parties contractantes. d. Des modifications à l’annexe pourront être convenues entre les autorités aéronautiques des Parties contractantes. e. Chaque Partie contractante pourra mettre fin au présent accord par avis donné un an d’avance à l’autre Partie contractante. | Art. 11 a. Dieses Abkommen ist durch die beiden Vertragsstaaten zu ratifizieren, wobei die Ratifikationsurkunden in Bagdad ausgetauscht worden. Das Abkommen tritt mit dem Datum dieses Austausches in Kraft. b. Die Luftfahrtbehörden der Vertragsstaaten werden sich von Zeit zu Zeit im Geiste enger Zusammenarbeit gegenseitig beraten um sich. über die Anwendung der in diesem Abkommen aufgestellten Grundsätze und über die befriedigende Verwirklichung der darin erstrebten Ziele zu vergewissern. Sie ziehen vor allem die Verkehrsstatistik der vereinbarten Linien in Betracht, zu deren regelmässigem Austausch sie sich gegenseitig verpflichten. c. Dieses Abkommen und sein Anhang sind mit jedem mehrseitigen Abkommen, welchem die Vertragsstaaten beitreten sollten, in Einklang zu bringen. d. Abänderungen des Anhangs können zwischen den Luftfahrtbehörden der Vertragsstaaten vereinbart werden. e. Jeder Vertragsstaat kann dieses Abkommen mit einjähriger Kündigungsfrist aufheben. | Art. 11 a. Il presente accordo sarà ratificato dalle due Parti contraenti e gli strumenti di ratificazione saranno scambiati a Baghdad. L’accordo entrerà in vigore alla data di detto scambio. b. In uno spirito di stretta collaborazione, le autorità aeronautiche delle Parti contraenti si consulteranno di tempo in tempo per accertarsi che le norme definite nel presente accordo siano applicate in modo soddisfacente. Esse terranno conto, in particolare, delle statistiche del traffico dei servizi convenuti, che s’impegnano a scambiarsi regolarmente. c. Il presente accordo e il suo allegato dovranno essere messi in concordanza con qualsiasi convenzione di carattere multilaterale che dovesse vincolare più tardi le Parti contraenti. d. Modificazioni dell’allegato potranno essere convenute tra le autorità aeronautiche delle Parti contraenti. e. Ciascuna Parte contraente può porre fine al presente accordo mediante notificazione fatta un anno prima all’altra Parte contraente. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_I | Art. I 1 La présente convention s’applique aux impôts suivants: a. Dans le Royaume-Uni: à l’impôt sur la masse successorale (estate duty) prélevé en Grande-Bretagne; b. En Suisse: aux impôts cantonaux et communaux sur la masse successorale ou sur les parts héréditaires. 2 La présente convention est applicable à l’impôt sur la masse successorale prélevé en Irlande du Nord de la même manière qu’à l’impôt sur la masse successorale perçu en Grande-Bretagne. 3 La présente convention est aussi applicable à tous autres impôts, essentiellement analogues aux impôts visés aux al. 1 et 2, qui seront établis en Grande-Bretagne, en Irlande du Nord ou en Suisse, après la signature de la présente convention. | Art. I 1 Die Steuern, welche Gegenstand dieses Abkommens bilden, sind: a. im Vereinigten Königreich: Die in Grossbritannien erhobene Nachlasssteuer (estate duty); b. in der Schweiz: Die kantonalen und kommunalen Nachlass- und Erbanfallsteuern. 2 Das vorliegende Abkommen findet auf die in Nordirland erhobene Nachlasssteuer in gleicher Weise Anwendung wie auf die in Grossbritannien erhobene Nachlasssteuer. 3 Das vorliegende Abkommen findet auch auf alle andern Steuern Anwendung, die ihrem Wesen nach den in den Absätzen 1 und 2 genannten ähnlich sind und nach der Unterzeichnung dieses Abkommens in Grossbritannien, Nordirland oder der Schweiz erhoben werden. | Art. I 1 La presente convenzione è applicabile alle seguenti imposte: a. nel Regno Unito: imposta sulla massa successoria (estate duty) prelevata in Gran Bretagna; b. in Svizzera: alle imposte cantonali e comunali sulla massa successoria o sulle quote ereditarie. 2 La presente convenzione è applicabile all’imposta sulla massa successoria prelevata nell’Irlanda del Nord allo stesso modo che è applicabile all’imposta sulla massa successoria prelevata in Gran Bretagna. 3 La presente convenzione è parimente applicabile a tutte le altre imposte, essenzialmente analoghe a quelle citate nei capoversi primo e secondo, che saranno prelevate nella Gran Bretagna, nell’Irlanda del Nord o nella Svizzera, dopo la firma della presente convenzione. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_II | Art. II 1 Dans la présente convention, à moins qu’il n’en ressorte autrement du contexte: a. Le terme «Royaume-Uni» désigne la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord; b. Le terme «Grande-Bretagne» désigne l’Angleterre, le Pays de Galles et l’Ecosse, mais ne comprend pas les Iles de la Manche ni l’Ile de Man; c. Le terme «Suisse» désigne la Confédération suisse; d. Le terme «territoire», lorsqu’il est employé à propos de l’une ou l’autre des Parties contractantes, désigne, selon le contexte, la Grande-Bretagne ou la Suisse; e. Le terme «impôt» désigne, selon le contexte, l’impôt prélevé en Grande-Bretagne sur la masse successorale ou l’un des impôts cantonaux ou communaux prélevés en Suisse sur la masse successorale ou sur les parts héréditaires. 2 Pour l’application de la présente convention, la question de savoir si une personne décédée avait son domicile, au moment de son décès, dans une partie quelconque du territoire de l’une des Parties contractantes sera résolue conformément à la législation en vigueur dans ce territoire; une personne n’ayant pas son domicile en Suisse au moment de son décès doit être traitée comme une personne ayant son domicile en Suisse, lorsque, d’après le droit civil suisse, la succession doit être ouverte en Suisse. 3 Pour l’application des dispositions de la présente convention par l’une quelconque des Parties contractantes, toute expression qui n’est pas autrement définie aura, à moins qu’il n’en ressorte autrement du contexte, le sens que lui attribue la législation qui régit, dans le territoire de cette Partie, les impôts auxquels s’applique la convention. | Art. II 1 In diesem Abkommen bedeuten, wenn sich aus dem Zusammenhang nichts anderes ergibt: a. der Ausdruck «Vereinigtes Königreich» Grossbritannien und Nordirland; b. der Ausdruck «Grossbritannien» England, Wales und Schottland; er umfasst jedoch nicht die Kanalinseln und die Insel Man; c. der Ausdruck «Schweiz» die Schweizerische Eidgenossenschaft; d. der mit Bezug auf die eine oder andere vertragschliessende Partei verwendete Ausdruck «Gebiet», je nach dem Zusammenhang, Grossbritannien oder die Schweiz; e. der Ausdruck «Steuer», je nach dem Zusammenhang, die in Grossbritannien erhobene Nachlasssteuer oder eine der in der Schweiz erhobenen kantonalen und kommunalen Nachlass- und Erbanfallsteuern. 2 Bei Anwendung dieses Abkommens wird die Frage, ob eine verstorbene Person zur Zeit ihres Todes in irgendeinem Teil des Gebietes einer der vertragschliessenden Parteien Wohnsitz hatte, gemäss der in diesem Gebiet in Kraft stehenden Gesetzgebung entschieden; eine Person, die zur Zeit ihres Todes nicht in der Schweiz Wohnsitz hatte, wird wie eine Person mit Wohnsitz in der Schweiz behandelt, wenn nach schweizerischem Zivilrecht der Erbgang in der Schweiz zu eröffnen ist. 3 Bei Anwendung der Bestimmungen dieses Abkommens durch jede der vertragschliessenden Parteien wird, wenn sich aus dem Zusammenhang nichts anderes ergibt, jedem nicht anders umschriebenen Begriff der Sinn beigelegt, der ihm nach der Gesetzgebung zukommt, die im Gebiete dieser Partei für die Gegenstand dieses Abkommens bildenden Steuern in Kraft steht. | Art. II 1 Nella presente convenzione, salvo che risulti altrimenti dal contesto: a. l’espressione «Regno Unito» designa la Gran Bretagna e l’Irlanda del Nord; b. l’espressione «Gran Bretagna» designa l’Inghilterra, il Paese di Galles e la Scozia, ma non comprende le isole della Manica e l’isola di Man; c. l’espressione «Svizzera» designa la Confederazione Svizzera; d. l’espressione «territorio», quando è usata a proposito dell’una o dell’altra Parte contraente, designa, secondo il contesto, la Gran Bretagna o la Svizzera; e. l’espressione «imposta» designa, secondo il contesto, l’imposta prelevata in Gran Bretagna sulla massa successoria o una delle imposte cantonali o comunali prelevate in Svizzera sulla massa successoria o sulle quote ereditarie. 2 Nell’applicazione della presente convenzione, la questione di sapere se una persona morta aveva il suo domicilio, al momento della morte, in una parte qualsiasi del territorio di una delle Parti contraenti è risolta conformemente alla legislazione in vigore in questo territorio; una persona che era domiciliata nella Svizzera al momento della sua morte deve essere trattata come una persona avente il suo domicilio in Svizzera, se, secondo il diritto civile svizzero, la successione deve essere aperta nella Svizzera. 3 Nell’applicazione delle disposizioni della presente convenzione da parte di una delle Parti contraenti, qualsiasi espressione che non sia in altro modo definita ha il significato che le attribuisce la legislazione disciplinante, nel territorio di questa Parte, le imposte cui è applicabile la convenzione, salvo che risulti diversamente dal contesto. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_III | Art. III 1 Lorsqu’une personne, au moment de son décès, avait son domicile en Suisse et n’avait pas de domicile dans une partie quelconque de la Grande-Bretagne, la situation de tous droits ou intérêts énumérés à l’art. IV de la convention, qu’ils reposent sur le droit strict ou sur l’équité (legal or equitable), se déterminera exclusivement, en tant que la situation de ces droits ou intérêts a de l’importance pour la perception de l’impôt en Grande-Bretagne, d’après les règles énoncées au dit art. IV; toutefois, lorsqu’il s’agit d’un bien quelconque sur lequel un impôt pourrait être prélevé en Grande-Bretagne en faisant abstraction du présent alinéa, l’art. IV n’est applicable que dans le cas où un impôt est prélevé en Suisse sur le même bien, ou serait prélevé sur lui s’il n’y avait pas lieu en l’espèce à une exonération spéciale. 2 Lorsqu’une personne, au moment de son décès, avait son domicile dans une partie quelconque de la Grande-Bretagne et n’avait pas de domicile en Suisse, la situation de tous droits ou intérêts énumérés à l’art. IV de la convention, qu’ils reposent sur le droit strict ou sur l’équité (legal or equitable), se déterminera exclusivement, en tant que la situation de ces droits ou intérêts a de l’importance pour la perception de l’impôt en Suisse, d’après les règles énoncées au dit art. IV; toutefois, lorsqu’il s’agit d’un bien quelconque sur lequel un impôt pourrait être prélevé en Suisse en faisant abstraction du présent alinéa, l’art. IV n’est applicable que dans le cas où un impôt est prélevé en Grande-Bretagne sur le même bien, ou serait prélevé sur lui s’il n’y avait pas lieu en l’espèce à une exonération spéciale. 3 Lorsque l’application de l’art. IV dans le territoire de l’une des Parties contractantes aurait pour conséquence la perception d’un impôt sur un bien qui ne serait l’objet d’aucun impôt dans ce territoire en faisant abstraction de l’art. IV, le dit article n’est pas applicable à ce bien. 4 Aucune disposition du présent article ne fera obstacle à la perception de l’impôt en Grande-Bretagne sur les droits ou intérêts qui changent de mains en vertu d’une disposition régie par le droit d’une partie quelconque de la Grande-Bretagne ou en vertu de la dévolution légale prévue par ce droit. | Art. III 1 Stirbt eine Person mit Wohnsitz in der Schweiz und ohne Wohnsitz in irgendeinem Teil Grossbritanniens, so wird die Belegenheit jedes der in Artikel IV dieses Abkommens aufgezählten, auf strengem Recht oder Billigkeitsregeln (legal or equitable) beruhenden Rechte (rights or interests), soweit die Belegenheit für die Steuererhebung in Grossbritannien von Bedeutung ist, ausschliesslich auf Grund der in dem genannten Artikel IV umschriebenen Regel bestimmt; wenn aber ohne Berücksichtigung dieses Absatzes in Grossbritannien auf irgendeinem Vermögenswert eine Steuer erhoben werden könnte, so findet Artikel IV auf diesen Vermögenswert nur dann Anwendung, wenn darauf in der Schweiz eine Steuer erhoben oder nur wegen einer besonderen Steuerbefreiung nicht erhoben wird. 2 Stirbt eine Person mit Wohnsitz in irgendeinem Teil Grossbritanniens und ohne Wohnsitz in der Schweiz, so wird die Belegenheit jedes der in Artikel IV dieses Abkommens aufgezählten, auf strengem Recht oder Billigkeitsregeln (legal or equitable) beruhenden Rechte (rights or interests), soweit die Belegenheit für die Steuererhebung in der Schweiz von Bedeutung ist, ausschliesslich auf Grund der in dem genannten Artikel IV umschriebenen Regeln bestimmt; wenn aber ohne Berücksichtigung dieses Absatzes in der Schweiz auf irgendeinem Vermögenswert eine Steuer erhoben werden könnte, so findet Artikel IV auf diesen Vermögenswert nur dann Anwendung, wenn darauf in Grossbritannien eine Steuer erhoben oder nur wegen einer besonderen Steuerbefreiung nicht erhoben wird. 3 Würde die Anwendung von Artikel IV im Gebiet der einen vertragschliessenden Partei zur Erhebung einer Steuer auf einem Vermögenswert führen, auf dem ohne den genannten Artikel IV in diesem Gebiet keine Steuer erhoben würde, so findet dieser Artikel auf den Vermögenswert keine Anwendung. 4 Keine Bestimmung dieses Artikels soll die Erhebung der Steuer in Grossbritannien auf einem Recht (right or interest) ausschliessen, das auf Grund einer dem Recht irgendeines Teils von Grossbritannien unterstehenden Verfügung oder eines von diesem Recht beherrschten Übergangs von Rechts wegen die Hand wechselt. | Art. III 1 Se una persona, al momento della sua morte, era domiciliata nella Svizzera e non aveva domicilio in una parte qualsiasi della Gran Bretagna, la situazione dei diritti o interessi enumerati all’articolo IV della convenzione, sia che si fondino sullo stretto diritto, sia che si fondino sull’equità (legal or equitable), è determinata esclusivamente, in quanto la situazione di questi diritti o interessi sia d’importanza per la riscossione delle imposte in Gran Bretagna, secondo le regole enunciate in detto articolo IV; tuttavia, se si tratta di un bene sul quale un’imposta potrebbe essere riscossa in Gran Bretagna facendo astrazione dal presente capoverso, l’articolo IV è applicabile solo qualora un’imposta fosse prelevata nella Svizzera sullo stesso bene o sarebbe prelevata su di esso, se, nel caso particolare, una speciale esenzione non lo impedisse. 2 Se una persona, al momento della sua morte, era domiciliata in una parte qualsiasi della Gran Bretagna e non aveva domicilio nella Svizzera, la situazione dei diritti o interessi enumerati all’articolo IV della convenzione, sia che si fondino sullo stretto diritto, sia che si fondino sull’equità (legal or equitable), è determinata esclusivamente, in quanto la situazione di questi diritti o interessi sia d’importanza per la riscossione dell’imposta in Svizzera, secondo le regole enunciate in detto articolo IV; tuttavia, se si tratta di un bene sul quale un’imposta potrebbe essere riscossa nella Svizzera facendo astrazione dal presente capoverso, l’articolo IV è applicabile solo qualora un’imposta fosse prelevata in Gran Bretagna sullo stesso bene o sarebbe prelevata su di esso, se, nel caso particolare, una speciale esenzione non lo impedisse. 3 Se l’applicazione dell’articolo IV sul territorio di una delle Parti contraenti avesse per conseguenza la riscossione di un’imposta su un bene che, facendo astrazione dell’articolo IV, non sarebbe oggetto di imposta su questo territorio, detto articolo non è applicabile. 4 Nessuna disposizione del presente articolo deve pregiudicare la riscossione dell’imposta in Gran Bretagna su i diritti o interessi che mutano di mano, in virtù di una disposizione retta dal diritto di una qualsiasi parte della Gran Bretagna o in virtù della devoluzione legale prevista da detto diritto. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_IV | Art. IV Les règles auxquelles se rapportent les al. 1 et 2 de l’art. III sont les suivantes: a. Les droits ou intérêts (à l’exception des droits de gage) portant sur des biens immobiliers seront réputés situés au lieu où se trouvent les dits biens; b. Les droits ou intérêts (à l’exception des droits de gage) portant sur des biens mobiliers corporels autres que ceux qui sont ci-après l’objet d’une disposition particulière, ainsi que sur des billets de banque ou du papier-monnaie, sur d’autres formes de monnaie ayant cours légal au lieu de l’émission, sur des lettres de change ou titres de créances négociables, seront réputés situés au lieu où les dits biens, billets, espèces de monnaie ou effets se trouveront effectivement à la date du décès ou, s’ils sont en cours d’expédition, au lieu de destination; c. Les créances, garanties ou non, y compris les titres émis par un gouvernement, une municipalité ou une autorité publique, ainsi que les reconnaissances de dette ou obligations émises par une société, à l’exclusion toutefois des créances qui sont l’objet d’une disposition particulière dans le présent article, seront réputés situés au lieu où la personne décédée avait son domicile au moment de son décès; d. Les participations à des sociétés sous forme d’actions ou de parts au capital – y compris les actions ou parts au capital détenues par un fiduciaire (nom i nee), que le droit de jouissance (beneficial ownership) soit patent par des documents ou d’une autre manière – seront réputées situées au lieu où la société a été constituée ou d’après la législation duquel elle a été constituée; e. Les sommes payables en vertu de polices d’assurances seront réputées situées au lieu où la personne décédée avait son domicile au moment de son décès; f. Les bateaux et les aéronefs, ainsi que les parts de propriété à de tels biens, seront réputés situés au lieu où ces bateaux ou aéronefs sont immatriculés; g. La clientèle (goodwill), en tant qu’élément d’une fortune servant à l’exploitation d’une entreprise industrielle ou commerciale ou d’une profession libérale, sera réputée située au lieu où est exploitée l’entreprise ou exercée la profession à laquelle se rattache cette clientèle; h. Les brevets, marques de fabrique, dessins, droits d’auteur, ainsi que les droits ou licences pour l’exploitation de brevets, marques de fabrique, dessins ou oeuvres protégées par un droit d’auteur, seront réputés situés au lieu où la personne décédée avait son domicile au moment de son décès; i. Les droits et actions en responsabilité civile résultant d’actes illicites, qui subsistent au bénéfice de la succession d’une personne décédée, seront réputés situés au lieu où ils ont pris naissance; j. Les créances établies par jugement seront réputées situées au lieu où le jugement est enregistré; k. Tous autres droits ou intérêts seront réputés situés au lieu qui est déterminé par la législation en vigueur dans le territoire de la Partie contractante dans lequel la personne décédée n’avait pas de domicile. | Art. IV Die in den Absätzen 1 und 2 von Artikel III erwähnten Regeln lauten: a. Rechte (rights or interests) (ausgenommen Pfandrechte) an unbeweglichem Vermögen gelten als an dem Orte belegen, wo dieses Vermögen liegt; b. Rechte (rights or interests) (ausgenommen Pfandrechte) an beweglichen körperlichen Sachen, für die hienach nichts anderes bestimmt wird, sowie an Banknoten oder Papiergeld und andern am Ausgabeort als gesetzliche Zahlungsmittel geltenden Geldsorten, an begebbaren Wechseln und an übertragbaren Schuldscheinen gelten als an dem Orte belegen, wo diese Sachen, Noten, Geldsorten oder Urkunden zur Zeit des Todes liegen, oder, wenn sie sich unterwegs befinden, am Orte ihrer Bestimmung; c. Guthaben, mit oder ohne Pfandsicherheit, mit Einschluss der von einer Regierung, Gemeinde oder andern öffentlichen Behörde ausgegebenen Wertpapiere und der von einer Gesellschaft ausgegebenen Schuldverschreibungen und Obligationen, aber unter Ausschluss derjenigen Schuldverpflichtungen, für welche in diesem Artikel etwas anderes bestimmt wird, gelten als an dem Orte belegen, wo die verstorbene Person zur Zeit ihres Todes ihren Wohnsitz hatte; d. Beteiligungen an Gesellschaften in Form von Aktien oder Kapitalanteilen (mit Einschluss der Aktien oder Kapitalanteile, die sich im Besitze eines Treuhänders [nominee] befinden, unbeschadet darum, ob das Nutzungsrecht [beneficial ownership] aus Urkunden oder auf andere Weise ersichtlich ist) gelten als an dem Orte belegen, wo oder nach dessen Gesetzgebung die Gesellschaft errichtet worden ist; e. Auf Grund eines Versicherungsvertrages zahlbare Geldbeträge gelten als an dem Orte belegen, wo die verstorbene Person zur Zeit ihres Todes ihren Wohnsitz hatte; f. Schiffe und Luftfahrzeuge und Anteilsrechte an solchen gelten als an dem Orte belegen, wo die Schiffe oder Luftfahrzeuge immatrikuliert sind; g. der Geschäftswert (goodwill) als Bestandteil des Vermögens, das der Ausübung eines Handels- oder Geschäftsbetriebes oder eines freien Berufes dient, gilt als an dem Orte belegen, wo dieser Handels- oder Geschäftsbetrieb oder freie Beruf, dem er zugehört, ausgeübt wird; h. Patente, Marken, Muster, Urheberrechte und Rechte oder Lizenzen zum Gebrauch von Patenten, Marken, Mustern oder urheberrechtlich geschützten Werken gelten als an dem Orte belegen, wo die verstorbene Person zur Zeit ihres Todes ihren Wohnsitz hatte; i. Rechte oder Ansprüche aus unerlaubter Handlung, die zugunsten des Nachlasses einer verstorbenen Person weiterbestehen, gelten als an dem Orte belegen, wo diese Rechte oder Ansprüche entstanden sind; j. gerichtlich festgestellte Forderungen gelten als an dem Orte belegen, wo das Urteil eingetragen ist; k. jedes andere Recht (right or interest) gilt als an dem Orte belegen, der sich nach der Gesetzgebung bestimmt, die im Gebiet der vertragschliessenden Partei, in dem die verstorbene Person keinen Wohnsitz hatte, in Kraft steht. | Art. IV Le regole, cui i capoversi primo e secondo dell’articolo III si riferiscono, sono le seguenti: a. i diritti o interessi (eccettuati i diritti di pegno) su beni immobili sono considerati situati dove detti beni si trovano; b. i diritti o interessi (eccettuati i diritti di pegno) su beni mobili corporali che non sono oggetto, qui di seguito, di una disposizione particolare, su biglietti di banca o carta moneta, su altre specie di moneta con corso legale nel luogo d’emissione e su cambiali o titoli di credito negoziabili, sono considerati situati nel luogo in cui detti beni, biglietti, specie di monete o effetti si trovano in realtà alla data della morte o, se sono in corso di spedizione, nel luogo di destinazione; c. i crediti, garantiti o no, compresi i titoli emessi da un Governo, un consiglio municipale o un’autorità pubblica, come pure i riconoscimenti di debito o le obbligazioni emesse da una società, eccettuati tuttavia i crediti che sono oggetto di una disposizione particolare nel presente articolo, sono considerati situati nel luogo in cui la persona morta era domiciliata al momento della sua morte; d. le partecipazioni a società, in forma di azioni o di quote di capitale, comprese le azioni o quote di capitale detenute da un fiduciario (nominee), sia che il diritto di godimento (beneficial ownership) risulti da documenti, sia che risulti in altro modo, sono considerate stabilite nel luogo in cui, o secondo la cui legislazione, la società è stata costituita; e. le somme che devono essere pagate in virtù di polizze d’assicurazioni sono considerate situate nel luogo, dove la persona morta era domiciliata al momento della sua morte; f. i battelli e gli aeromobili, come pure tutte le parti di proprietà su questi beni, sono considerati situati nel luogo, dove detti battelli o aeromobili sono immatricolati; g. la clientela (goodwill), in quanto elemento di un attivo che serve all’esercizio di una azienda industriale o commerciale o di una professione liberale, è considerata situata nel luogo, dove l’impresa è esercitata o dove la professione, cui detta clientela è attribuita, è esercitata; h. i brevetti, marche di fabbrica, disegni, diritti d’autore, come pure diritti o licenze per l’esercizio di brevetti, marche di fabbrica, disegni od opere protette da un diritto d’autore, sono considerati situati nel luogo, dove la persona morta era domiciliata al momento della morte; i. i diritti e le azioni in materia di responsabilità civile derivati da atti illeciti, che sussistono a beneficio della successione di una persona morta, sono considerati situati nel luogo, dove sono sorti; j. i crediti accertati mediante una sentenza sono considerati situati nel luogo in cui la sentenza è stata registrata; k. tutti gli altri diritti o interessi sono considerati situati nel luogo che è determinato dalla legislazione in vigore nel territorio della Parte contraente, sul quale la persona morta non era domiciliata. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_V | Art. V 1 En fixant le montant sur lequel l’impôt doit être calculé, on accordera les déductions qui sont autorisées par la législation en vigueur dans le territoire où le dit impôt est perçu. 2 Lorsqu’un impôt est perçu sur un bien quelconque dans le territoire de l’une des Parties contractantes, à la suite du décès d’une personne qui, au moment de son décès, n’avait pas son domicile dans une partie quelconque de ce territoire mais avait son domicile dans une partie quelconque du territoire de l’autre Partie contractante, il ne sera pas tenu compte, pour fixer le montant ou le taux de l’impôt, des autres biens, en tant qu’ils sont situés hors du premier territoire; toutefois, le présent alinéa ne s’appliquera pas: a. A l’impôt prélevé en Suisse sur la fortune immobilière sise en Suisse (y compris les accessoires); b. A l’impôt prélevé en Grande-Bretagne, en tant que les autres biens visés au présent alinéa changent de mains en vertu d’une disposition régie par le droit d’une partie quelconque de la Grande-Bretagne ou en vertu de la dévolution légale prévue par ce droit. | Art. V 1 Bei der Festsetzung des für die Steuerberechnung massgebenden Betrages sollen die Abzüge, die gemäss der im steuererhebenden Gebiet in Kraft stehenden Gesetzgebung zulässig sind, gewährt werden. 2 Wird im Gebiet der einen vertragschliessenden Partei beim Tode einer Person, die zur Zeit ihres Todes ihren Wohnsitz in keinem Teil dieses Gebietes, sondern in irgendeinem Teil des Gebietes der andern vertragschliessenden Partei hatte, eine Steuer auf irgendeinem Vermögenswert erhoben, so werden bei der Festsetzung des Betrages oder Satzes dieser Steuer irgendwelche andere Vermögenswerte, die ausserhalb des erstgenannten Gebietes belegen sind, ausser Betracht gelassen; dieser Absatz findet jedoch keine Anwendung auf: a. die in der Schweiz erhobene Steuer auf in der Schweiz liegendem unbeweglichem Vermögen (einschliesslich Zugehör); b. die in Grossbritannien erhobene Steuer, wenn die in diesem Absatz erwähnten anderen Vermögenswerte auf Grund einer dem Recht irgendeines Teils von Grossbritannien unterstehenden Verfügung oder eines von diesem Recht beherrschten Übergangs von Rechts wegen die Hand wechseln. | Art. V 1 Stabilendo l’importo sul quale l’imposta è calcolata, sono concesse le deduzioni autorizzate dalla legislazione in vigore nel territorio, in cui l’imposta è riscossa. 2 Se un’imposta è riscossa su un bene qualsiasi nel territorio di una Parte contraente, in seguito alla morte di una persona che, al momento del decesso, non vi era domiciliata, ma aveva il suo domicilio nell’altra Parte contraente, non è tenuto conto, per stabilire l’importo o il tasso dell’imposta, degli altri beni, in quanto essi siano situati fuori di quel territorio; tuttavia, il presente capoverso non è applicabile: a. all’imposta prelevata in Svizzera sulla sostanza immobiliare situata in Svizzera (compresi gli accessori); b. all’imposta prelevata in Gran Bretagna, in quanto gli altri beni, di cui al presente capoverso, mutino di mano in virtù di una disposizione retta dal diritto di una parte qualsiasi della Gran Bretagna o in virtù della devoluzione legale prevista da detto diritto. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_VI | Art. VI 1 Toute demande en remboursement d’impôt fondée sur les dispositions de la présente convention doit être présentée dans un délai de cinq ans à compter du jour du décès de la personne dont la succession entraîne la dite demande ou, dans les cas d’expectative, quand le paiement de l’impôt est différé jusqu’à la date d’entrée en possession, dans un délai de cinq ans à partir de cette date. 2 Les montants d’impôt à rembourser ne portent pas intérêt. | Art. VI 1 Begehren um Steuerrückerstattung, die sich auf die Bestimmungen dieses Abkommens stützten, sind binnen fünf Jahren nach dem Tage des Todes der Person, bezüglich deren Nachlass sie gestellt werden, einzureichen oder, im Falle eines anwartschaftlichen Anspruches, bei dem die Steuerzahlung bis zum Tage der Inbesitznahme hinausgeschoben wird, binnen fünf Jahren nach diesem Tage. 2 Zurückzuerstattende Steuerbeträge werden nicht verzinst. | Art. VI 1 Qualsiasi domanda di rimborso d’imposta, che si fonda sulle disposizioni della presente convenzione, deve essere presentata entro un termine di cinque anni dal giorno della morte della persona, in seguito alla cui successione detta domanda è stata presentata o, nel caso di aspettativa, quando il pagamento dell’imposta è differito fino alla data dell’entrata in possesso, entro un termine di cinque anni da questa data. 2 Gli importi d’imposta da rimborsare non fruttano interessi. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_VII | Art. VII 1 Les autorités compétentes des deux Parties contractantes peuvent communiquer directement entre elles en vue d’éliminer les difficultés ou les doutes qui pourraient surgir lors de l’application ou de l’interprétation de la présente convention. 2 Dans le présent article, l’expression «autorités compétentes» désigne: s’il s’agit de la Grande-Bretagne, les Commissioners of Inland Revenue ou leur représentant dûment autorisé; s’il s’agit de la Suisse, le directeur de l’administration fédérale des contributions ou son représentant dûment autorisé; s’il s’agit de l’Irlande du Nord, le Minister of Finance ou son représentant dûment autorisé; et s’il s’agit d’un territoire auquel la présente convention est étendue conformément à l’art. VIII, l’autorité compétente dans ce territoire pour administrer les impôts auxquels s’applique la présente convention. | Art. VII 1 Die zuständigen Behörden der beiden vertragschliessenden Parteien können zum Zwecke der Beseitigung von Schwierigkeiten oder Zweifeln bei der Anwendung oder Auslegung dieses Abkommens unmittelbar miteinander verkehren. 2 In diesem Artikel bedeutet der Ausdruck «zuständige Behörden» auf seiten Grossbritanniens, die Commissioners of Inland Revenue oder ihren bevollmächtigten Vertreter; auf seiten der Schweiz, den Direktor der Eidgenössischen Steuerverwaltung oder seinen bevollmächtigten Vertreter; auf seiten Nordirlands, den Minister of Finance oder seinen bevollmächtigten Vertreter; und auf seiten irgendeines Gebietes, auf welches dieses Abkommen gemäss Artikel VIII ausgedehnt wird, die in diesem Gebiete für die Verwaltung der unter dieses Abkommen fallenden Steuern zuständige Behörde. | Art. VII 1 Le autorità competenti delle due Parti contraenti possono conferire direttamente per eliminare le difficoltà o i dubbi che potrebbero sorgere dall’applicazione o dall’interpretazione della presente convenzione. 2 Nel presente articolo, l’espressione «autorità competenti» designa: se si tratta della Gran Bretagna, i Commissioners of Inland Revenue o i loro rappresentanti debitamente autorizzati; se si tratta della Svizzera, il direttore dell’Amministrazione federale delle contribuzioni o il suo rappresentante legale; se si tratta dell’Irlanda del Nord, il Minister of Finance o il suo rappresentante legale debitamente autorizzato; e se si tratta del territorio al quale la presente convenzione è estesa, conformemente all’articolo VIII, l’autorità competente in questo territorio per amministrare le imposte cui la presente convenzione è applicabile. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_VIII | Art. VIII 1 La présente convention pourra être étendue, intégralement ou avec des modifications, à tout territoire dont le Royaume-Uni assume la représentation internationale et qui perçoit des impôts essentiellement analogues à ceux auxquels s’applique la convention; une telle extension prendra effet à partir de la date et avec les modifications et conditions (y compris les conditions relatives à la dénonciation) que les Parties contractantes pourront spécifier et convenir dans un échange de notes. 2 A moins que les Parties contractantes ne conviennent expressément du contraire, l’extinction des effets de la présente convention en ce qui concerne le Royaume-Uni ou la Suisse, conformément à l’art. X, vaudra également pour l’application de la convention dans tout territoire auquel elle aura été étendue en vertu des dispositions du présent article. | Art. VIII 1 Dieses Abkommen kann entweder unverändert oder mit Änderungen auf irgendein Gebiet ausgedehnt werden, für dessen internationale Beziehungen das Vereinigte Königreich zuständig ist und das Steuern erhebt, die ihrem Wesen nach denjenigen, die Gegenstand dieses Abkommens bilden, ähnlich sind; jede derartige Ausdehnung soll von dem Datum an und mit den Änderungen und Bedingungen (einschliesslich Kündigungsbedingungen) wirksam sein, welche in den zwischen den vertragschliessenden Parteien zu diesem Zwecke auszutauschenden Noten bestimmt und vereinbart werden. 2 Die Beendigung dieses Abkommens gemäss Artikel X mit Bezug auf das Vereinigte Königreich oder die Schweiz setzt auch der Anwendbarkeit des Abkommens auf irgendein Gebiet, auf das es gemäss diesem Artikel ausgedehnt worden ist, ein Ende, sofern die vertragschliessenden Parteien nicht ausdrücklich etwas anderes vereinbart haben oder vereinbaren. | Art. VIII 1 La presente convenzione può essere estesa, integralmente o con modificazioni, a tutto il territorio del quale il Regno Unito assume la rappresentanza internazionale e che riscuote imposte essenzialmente analoghe a quelle cui la convenzione è applicabile; una tale estensione ha effetto dalla data e con le modificazioni e condizioni (comprese le condizioni circa la disdetta) che le Parti contraenti possono specificare e convenire mediante uno scambio di note. 2 Eccetto che le Parti contraenti non convengano espressamente il contrario, l’estinzione degli effetti della presente convenzione, per quanto concerne il Regno Unito o la Svizzera, conformemente all’articolo X, vale pure per l’applicazione della convenzione in qualsiasi territorio, cui essa sia stata estesa in virtù di disposizioni del presente articolo. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_IX | Art. IX 1 La présente convention sera ratifiée et les instruments de ratification seront échangés à Berne aussitôt que possible. 2 La présente convention entrera en vigueur le jour de l’échange des instruments de ratification et elle sera applicable aux successions des personnes qui décèdent ce jour ou après ce jour. | Art. IX 1 Das vorliegende Abkommen soll ratifiziert und die Ratifikationsurkunden sollen so bald als möglich in Bern ausgetauscht werden. 2 Das vorliegende Abkommen tritt am Tage des Austausches der Ratifikationsurkunden in Kraft und findet Anwendung auf Erbfälle von Personen, die an oder nach diesem Tage sterben. | Art. IX 1 La presente convenzione deve essere ratificata e gli strumenti di ratificazione devono essere scambiati a Berna, il più presto possibile. 2 La presente convenzione entra in vigore il giorno dello scambio degli strumenti di ratificazione ed è applicabile alle successioni delle persone che sono morte in detto giorno o dopo. |
CH | 0.672.936.72 | null | null | null | Convention du 12 juin 1956 entre la Confédération suisse et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord en vue d'atténuer les doubles impositions en matière d'impôts sur les successions | Abkommen vom 12. Juni 1956 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Vereinigten Königreich von Grossbritannien und Nordirland zur Milderung der Doppelbesteuerung auf dem Gebiete der Erbschaftssteuern | Convenzione del 12 giugno 1966 tra la Confederazione Svizzera e il Regno Unito della Gran Bretagna e dell'Irlanda del Nord intesa ad attenuare i casi di doppia imposizione in materia di imposte sulle successioni | art_X | Art. X 1 La présente convention restera en vigueur pendant trois ans au moins après la date de son entrée en vigueur. 2 La présente convention restera en vigueur après l’expiration de cette période de trois ans, à moins que l’une des Parties contractantes n’informe l’autre, six mois au moins avant l’expiration de cette période, par écrit et par la voie diplomatique, de son intention de mettre fin à la convention. 3 Si l’une des Parties contractantes informe l’autre, après l’expiration de la période de trois ans, par écrit et par la voie diplomatique, de son intention de mettre fin à la présente convention, celle-ci cessera d’être applicable aux successions des personnes décédées après la date fixée dans la notification de la dénonciation (date qui ne saurait être plus proche que six mois du jour de la notification) ou, si aucune date n’y est fixée, après l’expiration de six mois à compter du jour de la notification. 4 La convention pourra prendre fin séparément par rapport à l’Irlande du Nord, selon la procédure décrite aux al. 2 et 3 du présent article. | Art. X 1 Das vorliegende Abkommen bleibt während mindestens drei auf den Tag seines Inkrafttretens folgenden Jahren in Kraft. 2 Das vorliegende Abkommen bleibt nach Ablauf dieses Zeitraumes von drei Jahren weiterhin in Kraft, wenn keine der vertragschliessenden Parteien mindestens sechs Monate vor Ablauf dieses Zeitraumes die andere vertragschliessende Partei auf diplomatischem Wege schriftlich von ihrer Absicht, das Abkommen ausser Kraft zu setzen, in Kenntnis gesetzt hat. 3 Teilt nach Ablauf dieses Zeitraumes von drei Jahren eine der vertragschliessenden Parteien der anderen auf diplomatischem Wege schriftlich ihre Absicht mit, dieses Abkommen ausser Kraft zu setzen, so findet es keine Anwendung mehr auf Erbfälle von Personen, die nach dem in der Kündigungsmitteilung festgesetzten (mindestens sechs Monate nach dem Tage dieser Mitteilung liegenden) Zeitpunkt oder, falls kein solcher Zeitpunkt in dieser Mitteilung bestimmt worden ist, nach Ablauf von sechs Monaten vom Tage der Mitteilung an sterben. 4 Das vorliegende Abkommen kann im Verhältnis zu Nordirland unter Beachtung des in den Absätzen 2 und 3 dieses Artikels vorgeschriebenen Verfahrens gesondert beendet werden. | Art. X 1 La presente convenzione rimane in vigore durante almeno tre anni dalla data della sua entrata in vigore. 2 La presente convenzione rimane in vigore dopo la scadenza di questo periodo di tre anni, salvo che una delle Parti contraenti, almeno sei mesi prima della scadenza di detto periodo, informi l’altra, per iscritto e per via diplomatica, della sua intenzione di disdire la convenzione. 3 Se una delle Parti contraenti, dopo la scadenza del periodo di tre anni, informa l’altra, per iscritto e per via diplomatica, della sua intenzione di disdire la presente convenzione, questa cessa di essere applicabile alle successioni delle persone morte dopo la data stabilita nella notificazione della disdetta (intercorrendo tra questa data e il giorno della notificazione un intervallo di almeno sei mesi) o, se nessuna data è stata stabilita, dopo che sei mesi siano trascorsi dal giorno della notificazione. 4 La convenzione può cessare i suoi effetti separatamente rispetto all’Irlanda del Nord, conformemente alla procedura descritta nei capoversi secondo e terzo del presente articolo. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_1 | Art. 1 Le gouvernement italien s’engage à mettre les chemins de fer italiens en mesure de réaliser, dans un délai de 4–6 ans dès l’entrée en vigueur du présent accord et dans l’ordre adopté ci‑dessous ou simultanément, les projets de travaux mentionnés dans la convention passée le 23 juillet 1955 entre les Chemins de fer fédéraux suisses (CFF) et les Ferrovie italiane dello Stato (FS), concernant le financement de travaux en vue du développement et de l’électrification de certaines lignes de chemins de fer de l’Italie accédant à la Suisse. Ces projets concernent: 1. Construction de la double voie entre Gallarate et Arona, y compris l’électrification de la deuxième voie; 2. Achèvement des travaux d’agrandissement à la gare de Domodossola dans le cadre de la convention existante à ce sujet; 3. Electrification de la ligne Pino (fr.) – Luino (courant alternatif monophasé à 15 kV, 16 2/3 périodes), sur la base d’un contrat particulier à conclure entre les deux administrations; 4. Electrification de la ligne Alessandria – Novara – Oleggio – Arona; 5. Electrification des lignes Oleggio – Sesto Calende – Luino et Laveno – Gallarate, y compris l’extension de la gare de Luino; 6. Agrandissement des centrales hydro–électriques destinées à alimenter les lignes à électrifier susmentionnées et achat de locomotives destinées à l’exploitation de ces lignes. En outre, le Gouvernement italien s’engage à mettre en mesure les FS, en ce qui a trait à l’électrification des lignes mentionnées sous ch. 4 et 5, à adapter leurs installations aux exigences de lignes de trains de marchandises bien équipées. | Art. 1 Die italienische Regierung verpflichtet sich, den Italienischen Staatsbahnen zu ermöglichen, die in der Vereinbarung vom 23. Juli 1955 zwischen den Schweizerischen Bundesbahnen (SBB) und den «Ferrovie italiane dello Stato» (FS) über die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz bezeichneten Ausbauarbeiten innert einer Frist von 4–6 Jahren nach Inkrafttreten dieses Abkommens in der nachfolgenden Reihenfolge oder gleichzeitig durchzuführen. Es handelt sich um folgende Projekte: 1. Bau der Doppelspur zwischen Gallarate und Arona, einschliesslich der Elektrifikation des zweiten Geleises; 2. Beendigung der Ausbauarbeiten im Bahnhof Domodossola im Rahmen der hierüber bestehenden Vereinbarung, 3. Elektrifikation der Linie Pino (Grenze)–Luino (Einphasen‑Wechselstrom von 15 kV und 16 2 /3 Perioden) auf Grund einer von den beiden Verwaltungen noch abzuschliessenden besonderen Vereinbarung; 4. Elektrifikation der Linie Alessandria–Novara–Oleggio–Arona; 5. Elektrifikation der Linien Oleggio‑Sesto Calende–Luino und Laveno–Gallarate, einschliesslich der Erweiterung des Bahnhofes Luino; 6. Erweiterung der Kraftwerke, die zur Speisung der erwähnten zu elektrifizierenden Linien vorgesehen sind, und Anschaffung von Lokomotiven für den Betrieb dieser Linien. Des weiteren verpflichtet sich die italienische Regierung, den Italienischen Staatsbahnen zu ermöglichen, die Anlagen der in den Ziffern 4 und 5 genannten Linien mit Bezug auf die Elektrifikation den Anforderungen gut ausgerüsteter Güterzugslinien anzupassen. | Art. 1 Il Governo italiano s’impegna, nel termine di 4 a 6 anni a contare dall’entrata in vigore del presente accordo e nell’ordine stabilito qui appresso oppure simultaneamente, a porre le Ferrovie italiane dello Stato in grado di attuare i progetti dì lavori menzionati nella Convenzione sul finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee ferroviarie italiane di accesso alla Svizzera, conchiusa il 23 luglio 1955 tra le Ferrovie federali svizzere (FFS) e le Ferrovie italiane dello Stato (FS). Tali progetti concernono: 1. la costruzione del doppio binario fra Gallarate e Arona, compresa l’elettrificazione del secondo binario; 2. il compimento dei lavori d’ampliamento nella stazione di Domodossola nell’ambito della relativa Convenzione esistente; 3. l’elettrificazione della linea Pino (confine)–Luino (corrente alternata monofase di 15 kV, 162/3 periodi), sul fondamento di un contratto particolare che sarà conchiuso fra le due amministrazioni; 4. l’elettrificazione della linea Alessandria–Novara–Oleggio–Arona; 5. l’elettrificazione delle linee Oleggio–Sesto Calende–Luino e Laveno–Gallarate, compreso l’allargamento della stazione di Luino; 6. l’ampliamento delle centrali idroelettriche destinate ad alimentare le linee da elettrificare, indicate qui sopra, come pure l’acquisto di locomotive per l’esercizio di tali linee. Inoltre, il Governo italiano s’impegna, per quanto concerne l’elettrificazione delle linee indicate nei numeri 4 e 5, a porre le FS in grado di adattare gl’impianti di esse alle esigenze di linee per treni merci ben attrezzate. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_2 | Art. 2 Le Gouvernement suisse s’engage à autoriser le financement des travaux de développement et d’électrification mentionnés à l’article premier par un prêt des CFF aux FS de 200 millions de francs suisses. | Art. 2 Die schweizerische Regierung verpflichtet sich, die Finanzierung der in Artikel 1 umschriebenen Ausbau‑ und Elektrifikationsarbeiten durch ein Darlehen der SBB an die Italienischen Staatsbahnen im Betrage von 200 Millionen Schweizerfranken zu bewilligen. | Art. 2 Il Governo svizzero s’impegna ad autorizzare il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione, menzionati nell’articolo 1, mediante un prestito di 200 milioni di franchi svizzeri da parte delle FFS alle FS. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_3 | Art. 3 Les conditions de financement prévues à l’article précédent sont fixées par une convention, passée entre les CFF et les FS. | Art. 3 Die Bedingungen der im vorangehenden Artikel vorgesehenen Finanzierung bilden Gegenstand einer besonderen Vereinbarung zwischen den SBB und den Italienischen Staatsbahnen. | Art. 3 Le condizioni del finanziamento previsto nell’articolo che precede sono stabilite in una convenzione conchiusa tra le FFS e le FS. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_4 | Art. 4 Le transfert du prêt sera effectué par le service réglementé des paiements, soit par l’intermédiaire de l’Accord de paiement italo‑suisse en vigueur. Le service des amortissements et des intérêts sera effectué en dehors de tout service réglementé des paiements, soit en francs suisses libres. | Art. 4 Die Überweisung der Darlehenssumme erfolgt im gebundenen Zahlungsverkehr, d.h. über das bestehende schweizerisch‑italienische Zahlungsabkommen, Der Amortisations‑ und Zinsendienst erfolgt ausserhalb jedes gebundenen Zahlungsverkehrs in freien Schweizerfranken. | Art. 4 Il prestito sarà trasferito nell’ambito del servizio disciplinato dei pagamenti, ossia per il tramite dell’accordo italo–svizzero di pagamento in vigore. Il servizio d’ammortamento sarà eseguito indipendentemente da qualsiasi servizio disciplinato dei pagamenti, ossia in franchi svizzeri liberi. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_5 | Art. 5 L’Etat italien se porte garant du remboursement du capital et du service des intérêts du prêt mentionné ci‑dessus. | Art. 5 Der italienische Staat garantiert die Rückzahlung und Verzinsung des obgenannten Darlehens. | Art. 5 Lo Stato italiano garantisce il rimborso del capitale e il servizio degli interessi del prestito menzionato qui sopra. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_6 | Art. 6 Les deux gouvernements s’engagent à prendre toutes mesures propres à développer le trafic ferroviaire entre les deux pays et le trafic de transit par Chiasso, Domodossola et Luino. Ces points frontières ne seront soumis en aucun cas à un régime moins favorable que celui appliqué aux autres points frontières par chacun des deux pays. Les deux gouvernements s’abstiendront de toute mesure discriminatoire, notamment en ce qui concerne les formalités de contrôle. Ils s’engagent en outre à prendre dans leur trafic réciproque toutes les mesures adéquates pour que les opérations de douane, de police de frontière et d’administration puissent s’effectuer dans les plus brefs délais et dans les meilleures conditions. | Art. 6 Die beiden Regierungen verpflichten sich, alle geeigneten Massnahmen zur Förderung des Eisenbahnverkehrs zwischen den beiden Ländern sowie des Transitverkehrs über die Bahnhöfe Chiasso, Domodossola und Luino zu ergreifen. Diese Grenzübergänge dürfen von beiden Ländern in keinem Falle ungünstiger behandelt werden als ihre übrigen Grenzübergänge. Beide Regierungen unterlassen alle diskriminierenden Massnahmen, insbesondere was die Kontrollformalitäten betrifft. Sie verpflichten sich des weiteren, für ihren gegenseitigen Verkehr alle geeigneten Vorkehren zu treffen, um die zolldienstliche, grenzpolizeiliche und administrative Behandlung innert kürzester Zeit und unter günstigsten Bedingungen zu ermöglichen. | Art. 6 I due Governi s’impegnano a prendere tutti i provvedimenti idonei a sviluppare il traffico ferroviario fra i due paesi e il traffico di transito per Chiasso, Domodossola e Luino. Questi punti di confine non saranno in alcun caso sottoposti a trattamento meno favorevole di quello applicato da ciascuno dei due Paesi agli altri punti di confine. 1 due Governi s’asterranno da qualsiasi provvedimento discriminante, in particolare per quanto concerne le formalità di controllo. Inoltre, essi s’impegnano a prendere, nel traffico reciproco, tutte le misure adeguate affinché le operazioni di dogana, di polizia confinaria e d’amministrazione, possano essere eseguite nel tempo più breve e nelle condizioni migliori. |
CH | 0.742.140.345.42 | null | null | null | Accord du 23 juillet 1955 entre la Confédération suisse et la République italienne concernant le financement de travaux en vue du développement et de l'électrification de certaines lignes des «Ferrovie italiane dello Stato» accédant à la Suisse | Abkommen vom 23. Juli 1955 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und der Italienischen Republik betreffend die Finanzierung des Ausbaues und der Elektrifikation gewisser Zufahrtslinien der Italienischen Staatsbahnen nach der Schweiz | Accordo del 23 luglio 1955 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica Italiana concernente il finanziamento dei lavori di sviluppo e di elettrificazione di alcune linee di accesso alla Svizzera delle Ferrovie italiane dello Stato | art_7 | Art. 7 Le présent Accord entrera en vigueur dès l’échange des instruments de ratification. Fait à Rome, en deux exemplaires, le 23 juillet 1955. Pour la Confédération suisse: Pour la République italienne: M. lklé A. Cattani | Art. 7 Das vorstehende Abkommen tritt nach Austausch der Ratifikationsurkunden in Kraft. Erstellt in doppelter Ausfertigung in Rom, am 23. Juli 1955. Für die Schweizerische Eidgenossenschaft: Für die italienische Republik: M. Iklé A. Cattani | Art. 7 Il presente accordo entrerà in vigore non appena saranno stati scambiati gli strumenti di ratificazione. Fatto a Roma, in due esemplari, il 23 luglio 1955. Per la Confederazione Svizzera: Per la Repubblica Italiana: M. lklé A. Cattani |
Subsets and Splits
No community queries yet
The top public SQL queries from the community will appear here once available.